FC Mulhouse

[RACING1906]

Samedi 21 décembre à 18h, le FCM se déplacera à MONTCEAU.

[Kaniber]

a Mulhouse il leurs manque le Racing ,pour se motivé

[RACING1906]

Et ils gagnent encore à l'extérieur 1-2 !

Autant ils sont mauvais à domicile, autant ils accumulent les bonnes performances à l'extérieur.

[Kaniber]

Une semaine après avoir été étrillé sur sa pelouse du stade de l'Ill par Epinal (4-0), le FC Mulhouse a renoué avec le succès à Montceau-les-Mines ce soir (1-2), à l'occasion de la 14e journée de CFA.

Une victoire qui confirme la "régularité" du FCM cette saison : inconsistant à domicile et épatant à l'extérieur.

Les buts mulhousiens ont été inscrits par Brahmia (30e) et Douillard (40e) en première période. Bando a réduit le score pour Montceau en toute fin de match (89e).

[RACING1906]

Samedi à 20h, le FCM reçoit LYON DUCHERE.

[Kaniber]

classement .Pts J
1. Epinal 42 13
2. Yzeure 41 13
3. Sarre-Union 36 14
4. Villefranche sur Saone 36 14
5. Moulins 35 12
6.Lyon 2 35 13
7. Lyon Duchère 33 13
8. Sochaux 2 33 14
9. Mulhouse 31 14
10. Saint-Priest 31 14
11. Raon l'Etape 27 12
12. Montceau 26 13
13. Jura Sud 25 12
14. Monts d'Or Azergues 25 12
15. Vesoul 24 14
16. Belfort 24 13

[RACING1906]

DEVAUX REVIENT

Jean-Christophe Devaux retrouve Gharib Amzine samedi. Ces deux anciens du Racing sont devenus entraîneurs, l’un à Lyon-Duchère, l’autre au FCM.

S’il y a un souvenir , une image qu’il garde de ses sept années Racing, c’est cette 79e minute historique, dans cette finale victorieuse de Coupe de la Ligue, le 30 avril 2005 (2-1 face à Caen).

Ce but, on lui en reparle encore, il ne s’en lasse pas et c’est lui-même qui le remet sur la table. « “Mama” (Mamadou Niang) , laisse-le moi (ce ballon). Je le sentais (ce coup franc) … »

La frappe est limpide, elle signe le 2-1 final. Des buts, pourtant, cet arrière central n’en a pas planté beaucoup. Mais à chaque fois, ils se sont avérés décisifs.

Son autre coup d’éclat remonte à 1996, quand Lyon avait sorti la Lazio de Rome en Coupe UEFA. Et lui avait inscrit le premier des quatre pions rhodaniens. Lyon, d’ailleurs, il a failli y revenir cette saison, s’occuper des U19.

Son expérience d’entraîneur à Ain-Sud a marqué. « J’avais besoin d’un petit club pour me remettre les pieds à l’étrier. Après Reims (quitté en 2009) , j’avais arrêté ma carrière, déçu du milieu du foot. Mais là je suis tombé sur un bon groupe, avec des gars du coin.

« En deux ans, on a ramené le club en DH, ce qui ne lui était plus arrivé depuis dix ans. » Ce club de Saint-Maurice Beynost a même frôlé le CFA 2.

Et Jean-Christophe Devaux est rentré pleinement dans sa carrière d’entraîneur. « On a plaisir à apprendre les petits trucs qu’on a appris. Je suis assez exigeant sur le geste. Une passe mal faite, je n’aime pas ! »

« On a plaisir à apprendre les petits trucs qu’on a appris »
Ses modèles, il les a d’ailleurs connus au Racing, entre Ivan Hasek – « Avec lui c’était la rigueur avant tout » – et Jacky Duguépéroux – « Il savait motiver ses troupes ».

« J’ai essayé de trouver mon identité, d’être à la fois rigoureux à l’entraînement et proche des joueurs. Si on se prépare en touriste, on ne peut pas bien jouer… »

Ce samedi soir, l’ancien du Racing va retrouver un autre Ciel et Blanc, lui aussi passé sur le banc (du FC Mulhouse), Gharib Amzine. « Je l’ai de temps au temps au téléphone. Je suis content de le revoir. »

Et quand deux ex-pros se retrouvent, ils se comparent souvent le tour de taille. Celui de l’entraîneur de Lyon-Duchère n’aurait pas bougé. « Quand on a connu le haut niveau, on est obligé de continuer à faire du sport. Les fouteux font attention aujourd’hui, ils ne prennent plus du ventre (rires) … »

D’autant que lui, Jean-Christophe Devaux (38 ans), il joue toujours, avec les vétérans de Jonage. Par contre, il a abandonné le beach-soccer. « Je ne voyais plus ma famille. Mais j’ai besoin de transpirer, avoir la sensation de donner mon maximum. »

Cette dépense physique, il l’a toujours eue. Joueur, il avait une activité débordante. Son duo à l’arrière avec Teddy Bertin – « Je l’ai souvent au téléphone » – est d’ailleurs resté dans les mémoires de la Meinau.

« Teddy, c’est le premier à m’avoir accueilli quand je suis arrivé à Strasbourg. Il y avait une bonne entente, on a vécu de bons moments. Moi j’aimais aller au contact, c’est moi qui récupérais les ballons et lui, il relançait derrière. Moi, ça m’allait (rires). »

Bon, parfois, il y a eu des éclats de voix. « Ça nous arrivait de nous engueuler. On se disait “tu fais chier”, mais c’était sur le terrain. Une fois qu’on en sortait, c’était oublié. »

D’ailleurs, mis à part les relégations (en Division 2), il ne garde que de bons souvenirs de son séjour alsacien. « Une fois que je suis bien, pourquoi partir ? J’aimais bien, ma femme aussi. »

Des clubs, le monsieur n’en a pas fréquenté des tonnes. Il y a eu Lyon et son Olympique (dès l’âge de cinq ans, avec une licence trafiquée parce que trop jeune), puis pendant 18 saisons, dont six chez les pros, le Racing, le Servette (quatre mois), Reims (deux piges) avant de muter entraîneur.

« Les jeunes, aujourd’hui, dès qu’ils arrivent quelque part, ils pensent déjà où ils vont partir. Les agents leur font miroiter des choses ailleurs, ils sont devenus des mercenaires. »

L’Alsace, c’est aussi là qu’il a pris le goût du vin. « Je ne buvais pas une goutte d’alcool, c’était ballon-ballon. Mais avec la Route des vins… »

Son capitaine Cédric Kante l’a aiguillé. « Le parrain de mon fils est à Strasbourg, quand je monte je passe toujours un coup de fil et on m’en met de côté. »

Pour lui faire plaisir, il y a le pinot gris, le noir aussi, les vendanges tardives du gewurztraminer aussi. « J’aime revenir en Alsace. » Et y coacher ? « Ce serait marrant. Avec François (Keller) pourquoi pas. »

Avec Lyon-Duchère, qu’il ambitionne de ramener en National, il y a l’espoir de retrouver Gerland. « L’OL se construit un stade en dehors de la ville. Gerland sera aux rugbymen (LOU, en Pro D2) , aux filles de l’OL ou à nous, deuxième club de Lyon. »

dna.fr

[Kaniber]

« On a plaisir à apprendre les petits trucs qu’on a appris »
Ses modèles, il les a d’ailleurs connus au Racing, entre Ivan Hasek – « Avec lui c’était la rigueur avant tout » – et Jacky Duguépéroux – « Il savait motiver ses troupes ».

Bin oui

« J’aime revenir en Alsace. » Et y coacher ? « Ce serait marrant. Avec François (Keller) pourquoi pas. »

Pourqu'oi pas , mais François en adjoint

[PoY]

Oh oui tiens, prenons Devaux comme entraîneur bien expérimenté comparé à Keller

[Kaniber]

Mon cher c'était une boutade , par contre un Hasek ou un Duguépéroux tout de suite