Jean-Marc Furlan

[FM17]

Tu parles des joueurs qu il a choisit comme Romulo ? Je te rapelle que Furlan a fait descendre Troyes et le Racing en 2 ans puis a échoué à Nantes...
L équipe était loin d être mauvaise l année de la descente et on avait le meilleur effectif lors de la non remontée...Je te laisse croire que Furlan est un excellent entraineur, son palmares parle pour lui...Tu te laisses abuser par ses paroles pompeuses...je peux le comprendre, il s exprime plutôt bien même si en fait il brasse beaucoup de vent...Un bon entraineur est un entraineur qui sublime ses joueurs, qui les fait progresser, qui tire le meilleur d eux et qui obtient des résultats...Pas un "blablateur" qui s autoproclame amoureux du beau jeu....
Furlan n est pas bon sur le banc (gestion tactique des matchs, charisme) et serait meilleur dans un rôle de directeur sportif...

[télésupporteur]

ce qui est regrettable dans tous les clubs, c'est les conflits entraîneurs-dirigeants
l'entraîneur veut recruter dupont, le dirigeant recrute durandt, et puis s'étonne de le retrouver sur le banc de touche

[Tenor]

N'empêche que 3 l' a fait resigner malgré les déboires du passé, et qui se retrouve en très bonne position en ce moment.
Alors arrêtons de massacrer les entraineur

[Keating]

Nouvelle défaite de Troyes ce soir Furlan, le spécialiste des séries de victoires, puis de défaites, puis de victoires, puis de défaites, etc ...

[FM17]

etc etc....puis descente, puis non remontée, puis défaite....

[fan_racing]

J'ai vu un match de Troyes cette saison, ils jouaient super bien en 4-2-3-1. Et donc, je suppose que comme d'hab' les adversaires ont pigé le truc et savent le contrer. Et comme Furlan n'a sûrement pas appris à maîtriser un autre dispositif depuis le temps, les Troyens vont probablement récolter leurs points au compte-goutte désormais.

[Its_me]

Le coup du « dindon »

Jean-Marc Furlan, ancien entraîneur du Racing, va retrouver l'Alsace, samedi, à la tête d'une équipe de Troyes qui ne veut pas revivre le traumatisme de 2003, où l'ESTAC s'était fait sortir par les hommes de José Guerra.

Jean-Marc Furlan retrouve l'Alsace, ce week-end, avec une équipe de Troyes (L 2) qui veut effacer les fantômes de 2003, quand l'ESTAC (alors en L 1) avait subi la loi des hommes en vert du SC Schiltigheim.

«En L 1 et L 2 on flippe tous, cette épreuve est source d'humiliation et de tracas»

- En 2003, Troyes avait été éliminé par Schiltigheim. En reste-t-il des traces huit ans après ?
- Ni moi, ni les joueurs actuels n'ont connu cette défaite et je n'ai rien ressenti de particulier après le tirage au sort. Mais au niveau de l'encadrement, des employés, cette élimination reste dans la mémoire du club. C'est normal : quand un grand club subit un traumatisme en Coupe de France, il s'en souvient. On va donc rester vigilants.

- Vous êtes bien entrés dans la compétition en éliminant Château-Thierry. Comment abordez-vous la rencontre de samedi à Schiltigheim ?
- La Coupe de France est importante pour l'ESTAC et à Château-Thierry, on n'a pas pris le match à la légère. Les joueurs étaient sérieux et appliqués, d'où le score (12-0, avec deux buts pour Marcos et un pour Bezzaz, ndlr).
Avec les joueurs, on a déjà parlé de Schiltigheim et on se concentre surtout sur le fait que ça va être compliqué. En Coupe, il y a toujours des surprises. Mais là, je préférerai qu'il n'y en ait pas.

- Connaissez-vous cette équipe alsacienne ?
- Non. Et comme les matches ont été annulés le week-end dernier, on n'a pas pu la superviser.

- A quel sorte de match vous attendez-vous ?
- Un match incertain, où les deux équipes auront leur chance à un moment ou à un autre. En 90 minutes, tout est possible dans le foot. Et comme tous les entraîneurs de L 1 et de L 2, je me méfie totalement de ces premiers tours de Coupe. On flippe tous, parce que cette épreuve peut être source d'humiliation et de tracas.

« Je ne connais ni l'équipe, ni le stade »

Ce ne sont pas forcément de bonnes soirées. Se qualifier est normal et si on perd, on est les dindons de la farce.
Si je vous dis que je suis confiant avant cette rencontre, c'est que je suis fou. Ce n'est pas comme jouer à Valenciennes ou Lyon : là, on a beaucoup à perdre et pas grand-chose à gagner...

- Qu'est-ce que cela vous fait de revenir en Alsace ?
- Pas grand-chose. Ce n'est pas comme avec Nantes l'an passé, où je me suis retrouvé à la Meinau, dans un stade où j'avais travaillé durant deux ans.
Là, je ne connais pas l'équipe, ni le stade. Mais je vais être content de revoir certaines personnes avec qui j'ai travaillé ici.

[argueti]

J'ai presque envie d'aller voir cette rencontre

[Tenor]

A mon avis çà vaudra le coup d'y aller

[argueti]

« L’avocat du Racing n’a rendu ses conclusions que jeudi, veille de l’audience », indique l’ex-entraîneur strasbourgeois (2007-2009) qui réclame 470 000 euros après son limogeage en juin 2009 à un an de la fin de son contrat. « Nous avions même dû lui adresser une injonction pour qu’il les rende dans les délais. Bien sûr, mon avocat et moi les avons récupérées trop tard pour les étudier sérieusement et avons dû demander un ajournement. Les dirigeants du Racing usent de tous les expédients légaux pour retarder la procédure. Je sais déjà que si je devais obtenir gain de cause, ils feraient immanquablement appel. »