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 . A moins que ce soi un des présentateur de FR3 alsace? Je ne me souviens plus où je l'ai vu.
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L'Equipe a écrit :Ivan Hasek brigue la Fédération
L'ancien joueur et entraîneur tchécoslovaque Ivan Hasek va déposer sa candidature à la présidence de la Fédération tchèque de football (CMFS) pour succéder au président sortant, Jan Obst, lors de l'élection prévue à la mi-avril.
«La semaine prochaine, je présenterai au public et à la presse mon programme et les objectifs de ma candidature. Une vaste affaire de corruption d'arbitres révélée en 2004 sera au centre de sa campagne. Mis à jour grâce à des écoutes téléphoniques de la police, le scandale implique une trentaine de dirigeants et d'arbitres et a touché jusqu'à un vice-président de la CMFS, Milan Brabec», a annoncé Hasek, 41 ans, élu meilleur footballeur de son pays en 1987 et 1988, puis capitaine de la Tchécoslovaquie lors de la Coupe du monde 1990 en Italie.
Hasek rejoint cinq autres prétendants au poste de président de la CMFS. Ancien international (5 buts en 56 sélections, entre 1984 et 1994), il est considéré comme le favori de l'élection par de nombreux experts du football pragois.
Joueur polyvalent, Hasek a notamment porté les maillots du Sparta Prague (1re div. tchécoslovaque puis tchèque), du Racing Club de Strasbourg, Sanfrecce Hiroshima et Ichihara (D1 japonaise). Sa carrière d'entraîneur l'a conduit de nouveau au Sparta Prague et à Strasbourg, ainsi qu'au Vissel Kobe (D1 japonaise), club qui l'a remercié au bout de huit mois, fin septembre 2004, pour cause de mauvais résultats.
Diplômé de la faculté de droit de l'Université Charles à Prague, Hasek parle couramment le français, l'allemand, l'anglais et le japonais.


Candidat à la présidence de la Fédération tchèque de football, l'ancien entraîneur de Strasbourg Ivan Hasek s'est dit déterminé, vendredi à Prague, à combattre le fléau de la corruption s'il est élu à la mi-avril.
«L'affaire de corruption a eu des retombées assez graves. Des mesures énergiques doivent être prises pour qu'elle ne se reproduise plus. Il faut en premier lieu appliquer des mesures plus strictes de discipline. Je peux imaginer par exemple une interdiction à vie de toutes les activités footballistiques pour les personnes impliquées dans la corruption, ou bien la relégation forcée de n'importe quel club concerné», a-t-il dit lors de la présentation de son programme électoral.
Révélée l'an dernier, une vaste affaire de corruption implique une trentaine de dirigeants et d'arbitres et a touché jusqu'à un vice-président de la CMFS, Milan Brabec, qui occupait en même temps le poste de chef de la commission d'arbitrage. Trois clubs (FC Slovacko, Slezsky FC Opava et Slovan Liberec) sur les 16 que compte la première division et deux autres clubs de la deuxième division ont été pénalisés dans le cadre de cette affaire. Plusieurs autres clubs font toujours l'objet d'une enquête.
Ancien international (5 buts en 56 sélections, entre 1984 et 1994), Ivan Hasek, diplômé en droit, est considéré comme le favori de l'élection par de nombreux experts du football pragois.

Ivan Hasek ne sera pas président
L'ex entraîneur du Racing Club de Strasbourg, Ivan Hasek ne sera pas le prochain président de la Fédération tchèque. Il a échoué à l'issue du premier tour de scrutin, vendredi à Prague.
Meilleur footballeur de son pays en 1987 et 1988, puis capitaine de la Tchécoslovaquie lors de la Coupe du monde 1990, Ivan Hasek militait pour des «mesures strictes de discipline» pour éradiquer la corruption du football tchèque, récemment secoué par plusieurs affaires. «Le football a besoin d'un changement. (...) Au moins une partie de la direction actuelle devrait avoir un carton rouge», a-t-il déclaré avant le vote.
Deux candidats sont encore en lice pour le second tour. Il s'agit de Vlastimil Kostal, président du Sparta Prague et membre de l'actuel comité exécutif de la CMFS, et Pavel Mokry, actuel premier vice-président de la CMFS.



L'ancien joueur et entraîneur tchèque Ivan Hasek, 41 ans, s'est dit mardi prêt à briguer de nouveau le 10 juin le présidence de la Fédération tchèque de football (CMFS), malgré son échec dans un premier scrutin qui s'est finalement terminé sans vainqueur le 15 avril.
«J'estime beaucoup la confiance que m'exprime le public, les joueurs, les dirigeants et les amateurs de football (...) C'est pourquoi j'ai décidé de poser encore ma candidature et de briguer de nouveau la présidence de la CMFS, le 10 juin», a-t-il affirmé dans un communiqué pour la presse. M. Hasek a été éliminé dès le premier tour du scrutin tenu le 15 avril. Aucun des deux autres candidats, l'ex-chef du Sparta Prague, Vlastimil Kostal, et le premier vice-président de la CMFS, Pavel Mokry, n'a pourtant ensuite réussi à obtenir la majorité requise au sein des deux chambres (tchèque et morave) de la fédération.
Meilleur footballeur de son pays en 1987 et 1988, puis capitaine de la Tchécoslovaquie lors de la Coupe du monde 1990 en Italie, Ivan Hasek a réclamé, lors de sa campagne, des «mesures strictes de discipline» pour assainir le football tchèque, éclaboussé depuis 2004 par un vaste scandale de corruption.
Ancien international (5 buts en 56 sélections entre 1984 et 1994), Ivan Hasek a notamment porté les maillots du Sparta Prague, du Racing Club de Strasbourg, de Sanfrecce Hiroshima et d'Ichihara (D1 japonaise). Sa carrière d'entraîneur l'a conduit de nouveau au Sparta Prague et à Strasbourg, ainsi qu'au Vissel Kobe (D1 japonaise).
