[06/07] 37ème J: Strasbourg / Metz : 2-1

[anonix]

On va même oublier la panenka loupé de Cohade contre je sais plus qui tellement j'ai déja oublié

MARSEILLE, LYON, LENS NOUS ARRIVONS !! TREMBLEZ !!! (ou pas)

[Stan]

Petite stat sur le racing à  la Meinau cette saison..

19 matches joués, 15 victoires, 4 matches nuls, aucune défaite, 27 buts marqués, 8 encaissés.

Malgré des petites victoires, le racing a été impérial en son antre durant toute la saison et ça ça fait plaisir.

[Psychogene]

Mon top :
Bellaid
Cohade
Lacour

[Bou]

aye rentre de soiree..
J'ai failli pas avoir de place (RcsFan ???) mais finalement j'etais a la meinau...
Ah ca fait du bien un match comme ca... Presque merci a tum d'avoir vendange, ca laissait la pression jusqu'a la fin..
Ensuite resto au pont des vosges, et la, dommage pas de joueurs du racing, mais zitelli (et peut-etre pires mais suis pas sur).
En tout cas mon autographe de zitelli sur le billet racing-metz de ce soir, je trouve ca pas mal comme symbole..
Ensuite boite, dans qq minutes biberon au petit puis dodo

[FM17]

Certains ne sont pas encore couchés sans doute moi je me prépare à  aller bosser...Ils vont m entendre au magasin, je vais demander à  une de mes hotesses d annoncer "chers clients nous avons la joie de vous annoncer que le racing club de strasbourg remonte en ligue 1" !!
bonne journée à  tous et que la fête continue
une pensée pour les....fatalistes picards !! eh oui on monte

[D520]

chers clients nous avons la joie de vous annoncer que le racing club de strasbourg remonte en ligue 1" !!

même pas chiche , que de la gueule

[argueti]

Les fatales picards

La Ligue 1 est à  eux !

Un an à  peine après la relégation, les hommes de Jean-Pierre Papin ont assuré hier à  la Meinau leur place en Ligue 1, en venant à  bout (2-1) du champion de L2, le FC Metz.

Un pied en Ligue 1, l'autre en L2 à  la Meinau, un Å“il à  Créteil pour suivre le résultat d'Amiens, l'oreille à  Istres pour surveiller Caen… Le Racing abandonne rapidement, hier soir, toute gymnastique et tout calcul. Pour une raison simple : ses rivaux pour la montée se promènent à  l'extérieur et l'adversaire du soir sur la pelouse, le FC Metz, affiche clairement son intention de remporter le derby de l'Est. Ne serait-ce que pour l'honneur.

Cohade marque… dans le jeu

Il faut toutes ses facultés à  Stéphane Cassard pour stopper la tentative à  bout portant de Papiss Cissé, suite à  un centre d'Agouazi. Strasser, absent au marquage, revient heureusement en boulet de canon dans une forêt de jambes messines pour dégager le ballon dans les tribunes (10e). Les hostilités sont ouvertes, la bataille peut commencer. Renaud Cohade règle sa mire : coup du sombrero, frappe enchaînée à  ras de terre, Marichez capte sans souci mais ce n'est que partie remise (11e). Deux minutes plus tard, le tireur de penaltys émérite du Racing récupère une balle cafouillée par la défense messine, arme une fusée de 25 mètres qui fait mouche (1-0, 13e). Dire qu'il a attendu le match le plus important de l'année pour inscrire son premier but dans le jeu… Quel talent ! Comme à  son habitude cette saison, le Racing répond présent dans les matches au sommet : à  la 17e, c'est Mouloungui qui croise un peu trop sa tête sur un centre de Vergerolle. Et Metz ne s'approche plus du but adverse que par des coups de pied arrêtés. Mais chanceux : Bassong décoche un coup franc en plein dans le mur alsacien. Le ballon ricoche sur le pied de Tum et prend le pauvre Cassard à  contre-pied (1-1, 19e). Rien n'est acquis, ni la victoire et encore moins la montée. Une phase de jeu lumineuse des Strasbourgeois va cependant les rapprocher un peu plus du soleil de la L1. Le précieux Camadini ouvre sur Tum, qui grille la politesse à  Bassong et décoche un centre millimétré. Mouloungui surgit au premier poteau et d'une petite déviation, redonne l'avantage aux Strasbourgeois (2-1, 22e). Partie sur une allure de Coupe, le match revient doucement à  un rythme de fin de championnat. Quand le Racing regagne les vestiaires, il est provisoirement en Ligue 1.

1200 secondes, que c'est long !

A 45 minutes du paradis, un seul mot d'ordre : pas de gaffe. Donc, pas de but. Strasbourg opère désormais en contres et manque d'un cheveu de creuser l'écart. Tum, idéalement lancé par Cohade, se retrouve seul devant Marichez mais son tir passe d'un mètre à  côté (61e). Metz n'a pas le temps de souffler que Mouloungui déboule côté gauche, remet à  Tum qui ne peut reprendre de volée (62e). La Meinau lance la ola. Trop tôt, beaucoup trop tôt : tour à  tour, Strasser, Bellaïd et Mouloungui sauvent in extremis devant Gygax et Cissé (67e, 68e, 69e). 1200 secondes, que c'est long ! Gameiro remplace Mouloungui et Strasbourg retrouve sa marche en avant. Cohade s'infiltre côté gauche, feint le centre mais son tir est contré au dernier moment (80e). Derrière, Cassard ne tremble pas sur une tête piquée d'Agouazi (85e). A trois minutes du bonheur, une tête acrobatique de Bellaïd débarrasse la surface alsacienne d'un centre de Cheik Gueye. Chaque touche, chaque dégagement du Racing, chaque prise de balle de Cassard est applaudie comme un but. Temps additionnel : trois minutes. 92e, coup franc de Cardy. Le dernier, assurément. La frappe lourde rebondit devant Cassard qui bloque le cuir, façon arrêt de volée au rugby. Quelques hurlements d'impatience plus tard, Laurent Duhamel libère les bleu et blanc. Messieurs, bravo, nous revoilà  en Ligue 1 !

27100 cœurs qui battent

Dans une Meinau transportée de bonheur où ils sont restés invaincus toute la saison, les Strasbourgeois ont validé leur accession avec une journée d'avance.

Ça semblait trop beau pour être vrai. « Tout est réuni », disait Pascal Camadini jeudi après-midi. Tout, oui. Une Meinau à  guichets fermés pour la première fois depuis plus de deux ans, une affluence record cette saison en Ligue 2 (27100 spectateurs), un adversaire de prestige, la promesse d'une fête grandiose. Bref, la folle ambiance des grandes soirées de Ligue 1 que le Racing – et derrière lui, toute l'Alsace – espérait retrouver ce vendredi, pour fêter en grande pompe une accession au lendemain de l'Ascension. Alors, oui, ça semblait trop beau pour être vrai. Et pourtant, les Strasbourgeois ont transformé le rêve en réalité. Les hommes de Jean-Pierre Papin sont allés chercher ce succès libérateur que le kop appelait de ses vÅ“ux, par une immense banderole, avant même le coup d'envoi. « Un dernier effort pour une victoire qui vaut de l'or. » A 20 h 22, l'égalisation messine n'a même pas eu le temps d'insinuer le doute dans les esprits alsaciens. Les Bleus n'entendent rien lâcher. Le 11e but de Mouloungui, deux minutes plus tard, les replace hors de portée d'Amiens. La Meinau chante, entame une ola dont chacun redoute toutefois qu'elle ne soit subitement interrompue par ces Messins guère enclins à  jouer les victimes consentantes. Les minutes défilent. Les images d'une saison au couteau aussi. Tous ces succès arrachés avec les tripes, avec, parfois aussi, ces attributs masculins que la décence nous interdit de nommer ici. « Avec le cÅ“ur », dirait sans doute le président Philippe Ginestet qui avait fait de 2006-2007 « l'année du cÅ“ur. »

Trois jours à  Ibiza

Une envolée de Cassard dans la dernière minute, un coup franc de Cardy saisi par le gardien strasbourgeois dans les arrêts de jeu : c'est fait. Le Racing est en L 1, après une année de purgatoire. Le néophyte Jean-Pierre Papin (chez les pros) a gagné son pari. Il a rempli l'unique mission qui lui était véritablement assignée, avec cette apothéose dans une Meinau forteresse imprenable – la seule en L 2 – cette saison (15 victoires, 4 nuls). 27100 spectateurs – moins un millier de Messins, pas trop marris de la défaite des leurs – peuvent laisser éclater leur joie. Et le speaker Jean-Luc Filser s'égosiller dans une sono inaudible et énumérer les noms, incompréhensibles, des héros de la montée. 20 minutes plus tard, dans les vestiaires, le président Philippe Ginestet, déjà  passé sous la douche, saute comme un cabri sur une table et annonce deux nouvelles : « Une prime supplémentaire de 100000 euros à  partager entre tous et un voyage de trois jours dès lundi à  Ibiza. » Le coach adjoint Sébastien Migné, qui en avait fait le pari, accepte de bonne grâce de passer à  la tondeuse. Il ressortira la boule à  zéro. Dehors, le feu d'artifice illumine le ciel meinovien. La nuit noire est tombée, mais les cieux sont bleus.

« La victoire d'un club »

Jean-Pierre Papin : « Mon premier sentiment ? Une grande fierté. Nous avons fait un grand match. Metz n'était pas venu pour lâcher quoi que ce soit. Nous n'avons rien lâché non plus, comme si souvent cette année. Pour le club, cette remontée un an après la descente, c'est fantastique. C'est même dur de trouver les mots. Les gars sont allés chercher cette victoire très loin. Quand le coup de sifflet final a retenti, j'ai ressenti une grande délivrance. C'est une émotion aussi forte que celles que j'ai connues comme joueur. Cette réussite n'est pas seulement la mienne. C'est celle de tout un staff. Seb (Sébastien Migné, son adjoint) et moi entraînions l'an dernier en CFA 2. Les joueurs ont adhéré à  notre discours. Alex (Vencel) a fait du très bon boulot avec Steph (Stéphane Cassard). Jean-Claude Thiry a été très pointu dans sa préparation physique. C'est la récompense d'un travail collectif. La victoire d'un club. »
Renaud Cohade (Racing, buteur) : « Je savais que j'allais marquer dans le jeu cette saison, et ça tombe ce soir, c'est génial ! Sur la frappe, je n'ai pas réfléchi, je me suis juste appliqué et c'est rentré. Mais cette victoire, ce n'est pas que la mienne, c'est celle d'une équipe, d'un collectif, d'un état d'esprit qu'il faut qu'on conserve pour la saison prochaine. Quand je vois Ekobo, qui n'a pas joué aujourd'hui parce qu'il avait les jambes lourdes mais qui nous a soutenus comme jamais, franchement, je trouve ça exceptionnel, cet état d'esprit… »

Stéphane Cassard (gardien du Racing) : « J'ai toujours dit aux jeunes qu'il fallait se servir de nos expériences, les bonnes comme les mauvaises, pour progresser. En un an comme dans toute ma carrière, j'ai vécu des hauts et des bas, et j'ai appris qu'il faut profiter d'instants comme celui-là . Sur le dernier coup franc de Cardy, je savais que c'était la balle de la montée. Je n'avais pas le droit à  l'erreur. Avant ce match, nous avions notre destin entre nos mains. Ce match de la montée, on l'a préparé depuis longtemps, toute la saison en fait ».

Habib Bellaïd (défenseur du Racing) : « Au coup de sifflet final, on a ressenti une immense fierté, mais on s'est aussi projeté vers l'avenir. Nous voulons garder ces valeurs, ce cÅ“ur, qui nous ont permis de monter, pour affronter la Ligue 1 la saison prochaine. L'an dernier, on avait une super équipe, mais on avait tout faux simplement parce qu'on n'avait pas la même chance en fin de rencontre… C'est la meilleure émotion de ma carrière. J'espère que j'en connaîtrai d'autres. Pas des montées, hein, des titres ! »

Stéphane Godin et Jean Deutsch

[argueti]

Strasbourg retrouve l'élite

Vainqueur du champion Metz dans le choc de la soirée, Strasbourg a gagné le droit d'évoluer de nouveau en Ligue 1 la saison prochaine. Une remontée méritée pour JPP et ses hommes, très réguliers.

Et dire que Strasbourg avait failli laisser filer Eric Mouloungui cet hiver… Vendredi soir contre Metz lors de ce match si important, c'est une nouvelle fois l'attaquant gabonais qui a délivré les siens. Une reprise pleine d'opportunisme à  bout portant sur un centre parfait de Tum à  la 22eme minute synonyme d'immense bonheur pour les Strasbourgeois. Avec ce onzième but de la saison, Mouloungui a en effet permis au Racing de battre le leader de L2, seulement battu à  six reprises avant ce déplacement en Alsace. Mais cette victoire vaut beaucoup plus que trois points. Elle permet en effet à  Strasbourg de retrouver la L1. Les Strasbourgeois, qui comptent 70 points, soit deux de plus que Caen et quatre de plus qu'Amiens, sont mathématiquement assurés de remonter parmi l'élite. Seulement un an après l'avoir quittée.

Alors certes, le RC Strasbourg évoluera de nouveau en Ligue 1 la saison prochaine, mais on ne peut pas dire que Jean-Pierre Papin et ses hommes aient volé le droit de faire l'ascenseur. Après un début de saison un peu laborieux avec notamment une défaite à  Amiens (1-0), un nul chez le bonnet d'âne Tours (0-0) ou plusieurs autres points abandonnés à  domicile contre Dijon (0-0) et Le Havre (1-1), les Alsaciens se sont faufilés progressivement vers le podium. Ils se retrouvent en fait troisièmes du classement pour la première fois de la saison le 27 octobre, soir d'un succès à  Gueugnon (1-0) grâce à  un but de l'inévitable Mouloungui. Par la suite, Lacour et ses partenaires oscilleront constamment entre la place de dauphin et celle de troisième. Avec même deux accrocs sur le même score (1-1) à  Guingamp et Châteauroux qui feront brièvement sortir le Racing du trio de tête.

Mais uniquement brièvement. Car après plusieurs victoires capitales en fin de saison (Gueugnon, Reims, Brest, Bastia), les Strasbourgeois réussiront la performance de passer Caen au meilleur moment. Et ce succès symbolique face au champion ce vendredi 18 mai renvoie donc le club alsacien vers l'échelon supérieur. A l'issue du coup de sifflet final de M.Duhamel, JPP, au bord des larmes, a donc bondit. Le président Ginestet lui a rendu un premier mais vibrant hommage, assurant au micro d'Eurosport que l'ancien buteur de l'OM était l'homme qu'il fallait « pour faire redémarrer un train qui n'avançait plus. » Mais le mot de la fin était pour le nouveau héros de toute une région : Jean-Pierre Papin lui-même : « J'avais deux rêves, c'était de monter en L1 et de voir la Meinau pleine. Aujourd'hui, je suis exaucé et c'est génial. »

[FM17]

chers clients nous avons la joie de vous annoncer que le racing club de strasbourg remonte en ligue 1" !!

même pas chiche , que de la gueule

Non à  11h, 15h et 19h ce sera fait

[Bou]

Si sa peus intéréssé quelqu'un j'ai quatre place a vendre pour le match de demain strasbourg - metz !! Ces 4 place sont situées dans la tribune EST HAUTE, secteur F, rang F ! 20€ chacune !!

Pour les achetés envoyé moi un e-mail sur l'adresse suivant:
rcs-fan@hotmail.fr !!

dépechez-vous