Allez Mamadou, 25ans... c'est l'âge de raison ça il parrait... l'âge auquel on comprend qu'il y a un temps pour s'amuser, et un temps pour le travail.
Alors fête dignement ce 1/4 de siècle... fais une bonne grosse teuf comme tu les aime... et après concentré... boulot, boulot...
T'étais honoré qu'un club comme le racing s'intéresse à toi il y a un an. Maintenant honore la confiance qu'on t'a fait.
On veut des buts !
[Ex] Mamadou Niang
- argueti
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Les vérités de Niang
Le buteur sénégalais du RCS, qui reçoit Nice demain (20h) à la Meinau, retrouve la parole en même temps que le chemin des filets.
Il ne faisait plus parler la poudre sur la pelouse et préférait donc s'abstenir en dehors. Même après son doublé en amical contre Thoune le 8 octobre à Sierentz (3-2), Mamadou Niang avait gardé le silence, indiquant qu'il s'exprimerait après Ajaccio. Muet en L1 depuis un voyage à Guingamp le 10 janvier, l'attaquant sénégalais a tenu parole. Dans le bourbier corse d'abord où il a inscrit samedi son 1e rbut en championnat depuis 9 mois. Sur le terrain médiatique ensuite où il occupe de nouveau une place de choix. Mamadou Niang est de retour. Amaigri. Trop d'ailleurs. Après sa cure à Merano (Italie) en septembre, le buteur strasbourgeois a continué à perdre du poids. Jusqu'à atteindre un plancher à 78 kg (après Paris) qui a conduit le nouveau coach, Jacky Duguépéroux, à lui intimer l'ordre de reprendre quelques kilos. « Il bosse comme un malade, trois fois par semaine avec le préparateur physique Michel Dufour, pour retrouver de la tonicité et récupérer de la masse musculaire. Il se comporte comme un pro et mon but est de le conserver dans cet état d'esprit. » Montré du doigt il y a peu par les dirigeants pour une hygiène de vie supposée peu compatible avec les exigences de son métier, Niang rétablit la vérité. La sienne du moins. « J'ai lu qu'on m'envoyait à Merano parce que je pesais 89 kg. En fait, j'étais à 87, le poids avec lequel je suis rentré de sélection en juillet et qui m'a permis de marquer en amical contre Jablonec. Je faisais 86 kg quand je marquais l'an passé. Personne ne parlait alors d'un problème de surpoids. Simplement, le coach (Antoine Kombouaré) pensait qu'avec un peu de poids en moins, mes performances pouvaient s'améliorer. Je suis parti à Merano en accord avec lui. Mais à 78 kg, je me sentais mal dans ma peau. Je n'avais plus d'énergie, plus de puissance, plus le coup de rein. »
« Je dépends du collectif »
Pendant sa période de mutisme, Niang, remonté aujourd'hui à 80 kg, a ravalé son amertume, celle née des rumeurs qui ont circulé à son sujet. « Beaucoup de choses ont été dites dans les journaux, certaines vraies, d'autres fausses. Les critiques sportives font partie du jeu et je les accepte. On nous encense quand ça va bien, on a le droit de nous critiquer quand ça ne va pas. Mais les attaques sur ma vie privée m'ont blessé. Les gens parlent sans rien savoir de moi. On dit que je fais la fête et que je n'ai pas une bonne hygiène de vie. Mais je vis tranquillement avec ma famille. Si ça n'allait pas, c'était pour d'autres raisons. » La première, selon lui, tient au faible rendement du Racing. « Ma réussite a toujours été due au collectif. À Metz déjà , à Strasbourg aussi. L'an dernier, avec Coco Martins, Danijel Ljuboja, Lulu Le Pen et Bass (Bassila), on se trouvait les yeux fermés. Regardez Pauleta à Paris. Quand le collectif ne tourne pas, il peine à marquer. » Samedi, après deux occasions ratées en Corse, le Sénégalais s'est pris pour Mamadou le maudit. « Heureusement, j'ai mis la 3e au fond. Il me fallait un but pour me libérer. Le Racing m'a beaucoup donné, sportivement et humainement. Le coach (Kombouaré) aussi. J'ai une dette envers eux. Le coach est parti, mais je peux encore rembourser le club. Cet été, il y a eu, c'est vrai, des bruits autour d'un possible départ. Mais je ne me suis jamais pris la tête. Pas une seule fois je ne suis allé voir Marc Keller pour en discuter. J'ai envie de donner le maximum pour Strasbourg. C'est ma seule préoccupation. » Suspendu dans 8 jours à Lyon, Niang sera de fait réduit au silence. Mais demain, le Lion de la Teranga aura encore l'occasion de rugir face aux Aiglons niçois.
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Andréas
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Football : Mamadou Niang à 213 km/h !
L´attaquant Sénégalais du Racing Club de Strasbourg , Mamadou Niang a été contrôlé à 213 km/h vendredi dernier au volant de sa voiture sur une route nationale aux environs de Strasbourg , ou la vitesse maximale autorisée était de 90 km/h .
Il a été arreté par la gendarmerie et a eut 5 points de retrait de permis .
Le président de son club , Egon Gindorf a precisé que des sanctions allaient être prises à l´encontre de l´attaquant vedette Strasbourgeois .
"Disons que la comparaison qui sert de matrice au raisonement est quelque peu grandiloquante donc peu pertinante, mais il n'y a pas contradiction logique pour autant" Julio 10/05/08 
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