Le Centre de Formation
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S'ils venaient à le virer ou le vendre ils auraient vraiment rien compris à la formation !
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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baskath
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Je viens de trouver ça sur le site uefa.com !
mdrrrr (un peu jaune quand même), la phrase "Ces jeunes sont l'avenir d'un Racing qui a autant de chances d'éviter la L2 que Claude Makelele de marquer un but d'une frappe de plus de 30 mètres… "
Ca fait quand même plaisir un tel article sur le site de l'UEFA, non ?
uefa.com a écrit :Sidi Keita, Kevin Gameiro, Ricardo Faty ou Habib Bellaid constituent une intéressante relève au RC Strasbourg qui affronte le PFC Litex Lovetch en 16es de finale de la Coupe UEFA.
Des noms qu'on n'a pas fini d'entendre
Quand on s'intéresse au centre de formation du Racing, on se délecte de tous ses noms destinés à devenir de futurs bons, et pourquoi pas très bons. Habib Bellaid (défenseur), Jean-Christophe Vergerolle (défenseur), Yann Schneider (défenseur), Ricardo Faty (milieu défensif), Sidi Yaya Keita (milieu défensif), Gaëtan Krebs (milieu offensif), Kevin Gameiro (attaquant), Rudy Carlier (attaquant) constituent peut-être une solution pour une équipe première à la dérive en Championnat. Ce ne serait pas la première fois.
Gemmrich s'en souvient
Dans les années 1970, Strasbourg a construit les premières bases de son savoir-faire en matière de formation. Albert Gemmrich, Rolland Wagner ou Léonard Specht pointaient le bout de leurs crampons. "Evidemment, ça n'avait rien à voir avec ce qu'il se passe de nos jours", précise Gemmrich (5 sélections en équipe de France, champion de France avec Strasbourg en 1979, 106 buts en 308 matches de L1). "Nous, on intégrait le centre de formation à 17-18 ans, pas avant. Mais je garde un merveilleux souvenir de cette époque et de notre entraîneur, Paco Matéo, un grand monsieur."
De Cobos à Dacourt
Suivront d'autres grands joueurs, tous purs produits strasbourgeois. On pense à José Cobos, Yannick Rott, Olivier Dacourt, Valérien Ismaël, Martin Djetou, François Keller, Aziz Rabbah ("un souvenir magnifique, de belles années passées avec de supers joueurs", se souvient ce dernier, aujourd'hui à la recherche d'un club), et plus récemment Pascal Johansen, Cédric Kanté, Yacine Abdessadki ou Salim Arrache.
Gambardella en 2003
Sans palmarès, ces générations de joueurs n'auraient pas acquis une véritable légitimité. Le centre de formation du Racing, sans avoir dévalisé toutes les coupes mises en jeu, s'est construit un petit palmarès non négligeable : vainqueur de la coupe Gambardella (1965), finaliste de cette même compétition (2003), Champion de France cadets (1976) et 17 ans (1992).
"C'est le jour et la nuit"
Le centre de formation du Racing Club de Strasbourg n'a pas toujours été ce bâtiment luxueux, à quelques pas de La Meinau. François Keller est bien placé pour raconter cette évolution. Joueur prometteur de la génération Dacourt-Djetou-Ismaël, "les trois plus forts, qui ont entraîné les autres dans leur sillage", il est aujourd'hui l'entraîneur du groupe de Championnat de France Amateur. "Sans dénigrer le travail fait il y a dix ou quinze ans, c'est le jour et la nuit entre cette époque et aujourd'hui. Par exemple, à l'époque où j'étais joueur, le centre de formation était dans le stade de la Meinau, on était vingt joueurs maximum et il devait y avoir trois employés. Maintenant, le centre est détaché du stade, les gamins sont soixante et il y a dix employés. On a comblé notre retard, comme l'ensemble des clubs français, et il faut poursuivre le travail."
Des vagues en Alsace
La formation n'est pas une tradition strasbourgeoise, comme ça peut être le cas au FC Nantes Atlantique ou à l'AJ Auxerre. Ici, elle s'est faite par vagues. "Par exemple, commente l'entraîneur Jacky Duguépéroux (champion de France avec le Racing en 1979, vainqueur deux fois de la Coupe de la Ligue en tant qu'entraîneur), après la génération Dacourt-Ismaël-Djetou, il y a eu un creux. On n'a pas toujours su faire venir les meilleurs jeunes. Depuis l'arrivée de Marc Keller, un vrai travail a été fait dans ce sens et l'on a maintenant au club des espoirs comme Bellaid, Faty ou Gameiro."
Larguet remplace Zix
La construction du nouveau centre de formation, inauguré en octobre 2000, n'enterre pas toute l'histoire de formation du club strasbourgeois, mais elle marque la fin d'une époque. D'ailleurs, Freddy Zix, l'emblématique directeur, est parti à la retraite. Il a été remplacé par Nasser Larguet, figure connue dans le milieu de la formation française. Il était le directeur du centre de formation de l'AS Cannes version dorée. Celle qui a vu naître Peter Luccin, Sébastien Frey, Jonathan Zebina…
Viser la continuité
Puis, il a migré au Havre AC, où Anthony Le Tallec et Florent Sinama-Pongolle se sont révélés. En place depuis le 1er juillet 2005, Nasser Larguet sait où il va. "Il y a un élément essentiel à prendre en compte quand on parle de formation ; il faut avoir une approche linéaire, qui s'exerce dans la continuité. Maintenant, je souhaite qu'on aille encore plus loin dans la détection des jeunes joueurs, de haut niveau. Avoir trois ou quatre joueurs très forts par génération est l'idéal."
Penser à la famille
Pour Albert Gemmrich, la formation a une limite quand elle fait trop tôt appel à des jeunes et qu'elle les sort du cocon familial. "Pour un gamin, quitter sa famille à quinze ans est un risque. Je pense que c'est un peu rapide." Le problème, c'est que ne pas prendre un joueur à cet âge-là c'est l'assurance de le voir partir dans un autre club moins scrupuleux. Une réglementation sur ce sujet ne serait d'ailleurs pas un luxe…"
Six chez les pros
Larguet n'a pas eu le temps de chômer. Plusieurs de ses nouveaux protégés ont passé la porte du groupe pro cette saison. "La génération strasbourgeoise actuelle n'est pas loin de celle que j'ai connue à Cannes", sourit le technicien. " Et comme ces derniers temps, tout s'accélère au Racing, la mission semble difficile. Car six joueurs qui fréquent régulièrement le groupe pro, ça fait six joueurs en moins en CFA, donc, autant en moins en 18 ans et ainsi de suite. Cette formation accélérée n'est-elle pas trop rapide ?
"Un peu vite"
"Je pense que ça va un peu vite, en effet", estime l'actuel directeur du centre. Mais si on explique aux gamins qu'ils doivent leur place à leurs qualités mais aussi à un concours de circonstances, ça ira. Il faut être prudent." Et au Racing, on commence à se faire une sérieuse idée de ces gamins prêts à en découdre.
Gameiro élimine l'Etoile Rouge
La nouvelle génération strasbourgeoise vient d'un peu partout. D'Alsace (Krebs, Schneider), de Paris (Vergerolle, Gameiro, Bellaid, Faty), du Mali (Keita), de Cannes (Carlier). Cette année, ils ont tous eu leur chance. Keita s'était d'ailleurs imposé comme le patron du milieu avant de se déchirer les ligaments. Il reviendra courant mars. Gameiro a éclaté à la face de l'Europe en "claquant" un doublé qui élimina le FK Crvena Zvezda (2-2).
Bellaid égalise à Rome
Avant lui, Bellaid avait aussi fait parler de lui en Coupe UEFA en marquant le but du match nul sur la pelouse de L'AS Roma (1-1). Pour un premier but en pro, ça a de l'allure. Ils ont tous foulé une pelouse de L1 pour la première fois, avec plus ou moins de bonheur. La vie du Racing en L1 (19e) étant moins glamour qu'en UEFA, c'est un moindre mal.
"J'en vois qui plafonnent"
"Cette génération est à l'orée d'une carrière prometteuse, mais rien n'est encore acquis pour eux", prévient le Duguépéroux. Contrairement à la génération des Dacourt-Djetou-Ismaël qui sont arrivés avec plus de bouteille, la génération actuelle est plus jeune et plus fragile. Maintenant, ils doivent prouver qu'ils sont costauds mentalement. J'en vois certains qui plafonnent, on va voir comment ils réagissent s'ils redescendent jouer l'un ou l'autre match en CFA. Je dirai que Bellaid et Gameiro ont un cran d'avance sur les autres."
Faire ses armes en L2
Ces jeunes sont l'avenir d'un Racing qui a autant de chances d'éviter la L2 que Claude Makelele de marquer un but d'une frappe de plus de 30 mètres… Alors, l'an prochain, en L2, il faudra compter sur eux. Un mal pour un bien ? Peut-être… Aguerris aux joutes parfois obscures de la deuxième division, ces jeunes-là ne reviendront que plus forts. Et le Racing connaîtra peut-être une deuxième jeunesse. S'ils se maintiennent en L1, cela voudra dire que Makelele a marqué le plus beau but de la saison.
mdrrrr (un peu jaune quand même), la phrase "Ces jeunes sont l'avenir d'un Racing qui a autant de chances d'éviter la L2 que Claude Makelele de marquer un but d'une frappe de plus de 30 mètres… "
Ca fait quand même plaisir un tel article sur le site de l'UEFA, non ?
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C'est bien pour notre centre de formation, par contre ce qui est étonnant c'est que les autres joueurs rentenus sont pour la plupart titulaire dans leurs clubs alors que chez nous, Tritz n'a jamais fait une seule apparition dans le groupe proBelle surprise pour Stéphane Tritz, cette semaine. Il a appris qu'il faisait partie du groupe de joueurs sélectionnés par Philippe Bergeroo, entraîneur national de l'équipe de France des moins de 19 ans, pour participer, le 1er mars, au match amical contre l'Ukraine à Montélimar. C'est la première fois que Stéphane Tritz, arrière latéral qui a fait quelques apparitions en CFA, est appelé en équipe de France.
Il évoluera aux côtés de garçons comme Samir Nasri (Marseille), Blaise Matuidi (Troyes), Hatem Ben Arfa, Karim Benzema (Lyon) ou encore Jérémy Menez (Sochaux). Il rejoindra la sélection dimanche.
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
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Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
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bravo pour le centre de formation du racing
un rappel des selectionnés du mois de février
( référence :site de la FFF)
moins de 16 ans - 42 convoqués
Abdel Lamange, Mehdi Kirch et Magaye Gueye
moins de 18 ans - 28 convoqués
Fanchonne et Lourde
moins de 17 ans - 18 convoqués
Schneiderlin
moins de 19 ans - 18 convoqués
Tritz
un rappel des selectionnés du mois de février
( référence :site de la FFF)
moins de 16 ans - 42 convoqués
Abdel Lamange, Mehdi Kirch et Magaye Gueye
moins de 18 ans - 28 convoqués
Fanchonne et Lourde
moins de 17 ans - 18 convoqués
Schneiderlin
moins de 19 ans - 18 convoqués
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