[Ex] Pascal Johansen

[baskath]

Il n'a pas de chance d'ailleurs, car il ne figure pas dans l'équipe-type de Lequipe.fr alors qu'il a une note supérieure aux milieux qui y figurent !

Sûrement un oubli de la part de lequipe.fr, qui n'a pas dû penser à  aller voir la note de Johansen pour faire l'équipe-type, par habitude...

[ZITELLI]

En tout cas, avec un vrai milieu défensif à  ses côtés, il a un rendement bien plus intéressant.

[The_Key_Player]

Jcrois que c'était une mode de faire descendre des milieux à  vocation offensive, rapide et technique pour bonifier les ballons défensifs, mais combien s'en sont bien sortis dans ce rôle?!!!

Carrière, Pédretti, Pontus, Johansen etc.....

Ces joueurs sont bien plus efficaces entourés de quelques gros bras pour défendre et imposer leur physique!!!

La pression est moins grande sur leurs épaules, ils jouent plus libérés!

[Pinon]

JOHANSEN D'ATTAQUE. - Autre blessé de longue date à  nouveau opérationnel, Pascal Johansen ne se ressent plus de sa tendinite au talon d'Achille. Il a donc participé à  l'entraînement du jour dans son intégralité.

[NéRiK]

Un de moins a l'infirmerie, c'est toujours ca, d'autant que Johansen n'était pas mauvais avant qu'il se blesse.

[L'homme de la vallée]

Bon alors il revient notre Pagalou ?

Il est remis ou pas ?

Car c'est vrai qu'avant sa blessure, ses prestations allaient crescendo, et depuis la blessure de Gameiro, sa manque un peu de soutient et de punch devant. Johansen ne serait pas de trop pour (ré)animer le frond offensif...

[argueti]

Johansen : « Ne plus réfléchir »

Coupé dans son élan fin janvier par une tendinite d'Achille, le Colmarien, entré en jeu contre Le Mans dimanche, sera titulaire ce soir.

À l'instar de Pontus Farnerud, Pascal Johansen avait mis du temps, cette saison, à  trouver la bonne carburation. Mais alors que son entente avec le Suédois atteignait son rythme de croisière en début d'année 2006, le Colmarien a été stoppé net par une tendinite d'Achille fin janvier. « C'est toujours difficile de se passer du terrain pour une blessure qui semble anodine de prime abord et qui, au final, traîne en longueur », regrette-t-il. « C'est un peu le mal de l'équipe cette saison : quand on commence à  trouver la bonne formule et que les résultats suivent, les blessures empêchent toujours d'enchaîner. » Rétabli depuis une quinzaine, l'ex-international espoirs est passé par la case réserve (en amical contre Schiltigheim) mais a encore été freiné en début de semaine dernière par une gastro-entérite qui l'a privé du déplacement à  Bâle. Rétabli, il a, dimanche contre Le Mans, remplacé Pontus Farnerud à  une demi-heure de la fin. « Quand on manque de rythme, il est toujours plus difficile d'entrer dans un match que de le démarrer. J'ai vécu un retour assez frustrant, car aujourd'hui, nous accusons cinq longueurs de retard sur Troyes. Nous avons raté l'occasion de revenir à  deux points des Troyens et il nous faut impérativement rapporter quelque chose de Saint-Etienne. Une victoire dimanche dernier aurait changé pas mal de choses. Avec cinq déplacements dans les huit derniers matches, alors que Troyes recevra cinq fois, ça s'annonce très difficile. Mais c'est faisable. Nous avons prouvé à  Monaco (1-1), Bordeaux (1-2), Lens (1-2) et Toulouse (2-1) que nous pouvions rivaliser avec ces équipes-là , même si nous n'avons pas toujours rapporté de résultats positifs. Saint-Etienne sort d'une période très dure. Il y a un coup à  jouer là -bas. » Un coup à  réussir absolument pour que cette saison ne devienne pas celle des regrets éternels. Car le milieu récupérateur estime le Racing loin de sa véritable place : « Sans leur manquer de respect, nous n'avons rien à  envier à  beaucoup de nos rivaux. Je suis convaincu qu'il n'a pas manqué grand-chose cette année pour figurer dans la première moitié du tableau, que si nous avions gagné le premier match contre Auxerre à  la Meinau (0-0) et pris un bon départ lors des quatre premières journées, nous aurions vécu une saison radicalement différente. Pendant longtemps, nous avons cru que nous allions rattraper les points perdus, comme l'an dernier. Mais pour diverses raisons et notamment cette série de blessures, nous sommes toujours en position très délicate. Une relégation de cette équipe-là  en Ligue 2 serait un énorme gâchis. Aujourd'hui, il ne faut plus réfléchir. Nous sommes capables de réaliser des coups là  où l'on ne nous attend plus. »

« Pas une équipe bis »

Cette dernière remarque vaut aussi pour un 8e retour de Coupe UEFA que le Racing semble quelque peu galvauder. « Même si le coach fait tourner, l'équipe alignée ne sera pas une équipe bis », s'inscrit en faux Johansen. « Dans une carrière, on n'a pas beaucoup d'occasions de jouer des rencontres comme celles-là . Je ne m'en fais pas : la motivation va venir toute seule une fois sur le terrain. Nous avons deux buts à  rattraper. C'est un beau challenge et ça promet un beau match. »

Une touche de fraîcheur

Ecarté des terrains depuis fin janvier et une anodine tendinite au talon d'Achille, Pascal Johansen signera ce soir son retour. Le Colmarien aborde avec appétit la fin de saison strasbourgeoise. Pour un peu, il croirait même en l'exploit.

Longtemps, Pascal Johansen a affiché la tête des mauvais jours. Regard noir, tête basse et grommellement inaudible sont alors de rigueur. Au sortir des séances d'entraînement, où il enquille seul les tours de terrain, le garçon est à  prendre avec des pincettes. C'est bien connu, Johansen a un caractère de cochon. Encore plus en cette période de traversée du désert.
Fin janvier, son élan est stoppé net par une bête douleur au tendon d'Achille qui s'est réveillée à  l'entraînement. Forfait pour le déplacement à  Lyon-Duchère, en Coupe de France, le milieu de terrain pense rapidement revenir dans la partie. Las, son indisponibilité dure finalement près d'un mois et demi.
Duguépéroux, en proie à  de sérieux soucis d'effectif - un pic de 14 forfaits est même enregistré au plus fort de l'hiver -, ne peut que déplorer cette nouvelle « tuile ». D'autant que Johansen venait tout juste de monter en régime.

« En forme ascendante »

Peu inspiré, pour ne pas dire nonchalant, lors de la première moitié de saison, le Colmarien avait retrouvé les crocs. A l'image de son but « maradonesque » contre Metz (2-0) - une chevauchée de 60 mètres à  travers les lignes lorraines -, il tire à  lui seul l'équipe vers le haut.
« C'est vrai que j'étais en forme ascendante, rappelle-t-il. Aux côtés de Pontus Farnerud, dans l'axe, et de Diané, à  droite, on commençait à  trouver nos marques. Ça allait de mieux en mieux. Mon seul souci était d'enchaîner. Et puis il y a eu ce coup d'arrêt. C'est rageant. »
Des tribunes ou devant son poste de télévision, Johansen suit la lente agonie des siens. De l'humiliation à  la Duchère à  l'impuissance contre Ajaccio, en passant par la désillusion lensoise, il ronge son frein. Péniblement.
Manque de chance, son retour aux affaires coïncide avec la bonne passe des Bleus. A son poste, Abdessadki a pris racine. Toulouse puis Troyes tombent alors face aux Strasbourgeois. « L'équipe a bien tourné et c'est tant mieux, explique-t-il. La concurrence n'est pas faite pour me déplaire. En foot, de toute façon, tout va très vite. »
Dimanche dernier, Johansen sort définitivement du gué en prenant part à  la dernière demi-heure du match contre le Mans (1-2). Juste le temps de se replonger dans le bain et de comprendre à  quel point le Racing est engagé dans une mauvaise passe.

« Auxerre, tout part de là  »

« Ça a été une grosse claque mais nous ne sommes pas complètement condamnés, assure-t-il. Nous avons notre place en Ligue 1. Le temps presse. Il va falloir gagner des matches. Dès dimanche et le déplacement à  Saint-Etienne. Si on tombe, ce sera un énorme gâchis. Je repense souvent à  notre premier match, contre Auxerre (0-0). Il fallait le gagner, celui-là . Je suis persuadé que tout part de là . »
Les affres du championnat seront occultées l'espace d'une soirée européenne. Peut-être la dernière avant un bail. « La réalité du championnat fait qu'on n'a pas vraiment la tête à  ça, reconnaît celui qui sera amené à  retrouver ses galons de titulaire. C'est dommage. Maintenant, on ne va pas laisser tomber. Ceux qui seront sur le terrain auront envie de rattraper les deux buts de retard et de créer l'exploit. Moi, en tout cas, je vais tenter d'apporter ma touche de fraîcheur. »
Premier constat visible : Pascal Johansen n'affiche plus sa tête des mauvais jours. Son caractère de cochon, c'est pour la gagne qui le réserve désormais. Voilà  enfin une bonne nouvelle.

[télésupporteur]

ne plus réfléchir faire parler les pieds
intellectuel non

[fl0w]

il faut le vendre,

c est le seul moyen je pense... il est plus dans le coup frenchement.

[Pinon]

Faut aussi voir qu'il revient de blessure, tu peux pas etre au top de suite ...