Il est mauvait !et quand enfin l'occasion ce presente pour le debarquer ,il le font resigner.

Ah ça l'attitude de la défense sur ce coup là c'était vraiment formidable, Devaux en tête, des mecs qui en veulent et qui se battent sur toutes les balles !Its_me a écrit :J'ai aussi pensé la même chose en voyant le but.
Deroff doit monter sur Capoue qui arrive lancé... mais non il reste aligné et la laisse tirer sans aucune gêne.
DNA a écrit :Deroff : « Jouer plus libérés »
Le capitaine strasbourgeois Yves Deroff pense que son équipe est loin d'avoir abdiqué avant le déplacement à Sochaux. Explications.
« Il reste quatre matches. Mathématiquement, ce n'est pas fini ». Yves Deroff, le capitaine strasbourgeois, ne veut pas encore tenir un autre discours.
Même s'il est convenu. Même s'il faudrait désormais un miracle pour que le Racing s'en sorte. Et même si l'ex-Nantais est loin d'avoir fait le match parfait samedi, face à son ancien club et au très remuant Aurélien Capoue, auteur du seul but du match. « Faut demander à Derrien (NDLR : l'arbitre du match) pourquoi il ne m'a pas laissé jouer le duel. Il a systématiquement sifflé contre moi, même quand Capoue tirait le maillot », lance-t-il.
« Finalement, ça nous crispait plus qu'autre chose »
Mais paradoxalement, Yves Deroff estime que cette défaite à la Meinau peut être un mal pour un bien. Mentalement parlant. « Il n'y a plus ces deux points d'écart avec Troyes. Ça va nous permettre de jouer plus libérés. Finalement, ça nous crispait plus qu'autre chose », explique-t-il.
Autre raison d'espérer, les bons entraînements effectués ces derniers jours par un groupe pro enfin au complet (à l'exception de Devaux et Lacour, toujours convalescents). Une envie de jouer perceptible sur les terrains d'entraînements du Krimmeri, où les Racingmen ne se sont pas fait de cadeaux hier matin lors des oppositions cinq contre cinq.
Avec notamment l'énième coup de gueule - digne du Marseillais qu'il est - d'un Salim Arrache au taquet ou encore la colère froide de Yacine Abdessadki. « La tension aux entraînements, ce n'est pas forcément mauvais, relativise le capitaine du RCS, certains reviennent de blessures et ils ont envie de bien faire, d'apporter un plus ».
« Si jamais le club est revendu, je partirai »
Une chose est sûre, même si le Racing rejoint la Ligue 2, Yves Deroff n'a pas encore fait ses valises. « J'ai encore un an de contrat. Si jamais le groupe reste comme ça, bien motivé... ça peut être un beau challenge de faire l'ascenseur », affirme l'arrière.
Avec notamment l'apport des jeunes du club, comme Bellaïd, Carlier ou encore Krebs. « Ils ont le niveau, estime Deroff, du haut de ses 28 ans, certains ont prouvé qu'ils étaient capables de jouer en Ligue 1. Il faut juste qu'ils prennent confiance ».
Et « la mentalité et le discours ambitieux de Ginestet me conviennent. Mais si jamais le club est revendu, peut-être que je partirai, avance toutefois Deroff. Ça fait 4 ans que je suis au Racing, j'ai connu trois ou quatre entraîneurs, autant de présidents... Faut vraiment voir qui va rester sur le terrain et en dehors. La stabilité, c'est mieux ».
Mais avant de penser à la saison prochaine, le capitaine strasbourgeois veut se concentrer sur ce match capital au stade Bonal. « Les Sochaliens ont perdu la semaine dernière à Rennes, sur un penalty litigieux. Et les Racing-Sochaux, c'est difficile, surtout qu'ils doivent encore avoir en mémoire notre victoire de l'an dernier », ajoute le capitaine des bleus.
Et même si le FC Sochaux est quasiment assuré de se maintenir, « chez eux, ils vont pas lâcher, c'est sûr », achève Yves Deroff.