
Au passage, le projet des locaux, c'est quoi exactement? A part du blabla, aucun chiffre... Pour moi, à l'heure actuelle, c'est tout autant du vent côté locaux que côté "estrangers"...
Attends le communiqué de Tracfinlolo a écrit :Non grata en vertu de quoi?Tenor a écrit :Ce n'est pas parce Plessis archi connu dans le milieu que les actionnaires minoritaires, la ville et surtout M. Ries, donneront du jour au lendemain raison à Fontenla. Ils iront au clash et s'en iront la queue entre les jambes aprfès avoir essayé de tous les artifices possibles. Ils n'ont pas encore compris que c'est du personnel non grata ici
En quoi Ries est-il fondé à décréter que Fontenla n'a rien à faire "ici"?
Celui de la saisine de décembre, ou celui de la saisine de mars...?Tenor a écrit :Attends le communiqué de Tracfin![]()
L'Alsace a écrit : Les Alsaciens gardent le cap
Pour la Ville de Strasbourg et le groupement de repreneurs locaux, l’arrivée de Jean-Claude Plessis ne fait que retarder le départ des propriétaires, à leurs yeux inéluctable.
Jafar Hilali et Alain Fontenla ont acheté le Racing et n’entendent pas le quitter. Dans le milieu des affaires, ils auraient sans doute toute légitimité pour le faire. Mais le monde du foot n’est pas régi comme les autres. La dimension humaine y joue un rôle capital et les propriétaires l’ont, en trois mois et demi de règne, un brin oublié.
Aussi les acteurs alsaciens restent-ils persuadés que leur départ est la seule issue valable pour le club. A leur tête, une municipalité qui ne désarme pas et pousse plus que jamais Fontenla et consorts vers la sortie. « Ils ont trouvé une nouvelle vitrine plus qu’honorable », répète le directeur du cabinet du maire, Patrick Pincet, qui a appelé le nouveau président vendredi. « Jean-Claude Plessis est un monsieur du foot qui a réussi quelque chose de formidable à Sochaux. Il a été pris d’une envie irrépressible de revenir dans le foot et est persuadé qu’il va raccommoder tout le monde. Mais il s’embarque dans une histoire qui ne correspond pas à sa vision. A Sochaux, il travaillait avec une philosophie de club proche de celle d’Auxerre ou du Nantes de la belle époque, basée sur une vraie politique de formation. Là, le contexte est très différent. Structurellement, sa nomination ne change rien. Il n’y a pas de projet sportif, aucune garantie de moralité. Des enquêtes sont en cours à l’encontre des propriétaires. Même si nous ne maîtrisons pas l’étendue de leurs moyens, nous restons persuadés que leur priorité est de réaliser des plus-values sur les ventes de joueurs. C’est plus que navrant. »
L’offre alsacienne caduque en milieu de semaine ?
Avec un soupçon d’ironie, le médiateur de la Ville Henri Ancel se félicite « d’avoir bientôt un nouvel ami », sous-entendant ainsi que le défilé continue. « Je me suis bien entendu avec Julien Fournier, puis Luc Dayan. Il n’y a pas de raison qu’il n’en aille pas de même avec Jean-Claude Plessis. Chez lui, l’envie a peut-être été plus forte que le raisonnable. Je suppose que sa nomination signifie le rejet définitif de l’offre de rachat. Mais en l’absence d’information plus précise, nous la maintenons quelque temps encore. Une fois que nous la retirerons, les propriétaires devront assumer l’exercice en cours. Mon seul regret, c’est que l’arrivée de Jean-Claude Plessis retarde ou annule la revente. C’est sa responsabilité d’avoir accepté un tel engagement. »
L’offre alsacienne, « toujours d’actualité » selon Frédéric Sitterlé, pourrait être retirée en milieu de semaine. « Elle permettrait, si elle était acceptée, de régler définitivement le problème et redonner de l’ambition au club », veut encore croire le Blodelsheimois. « Elle reste valable, mais qu’ils se dépêchent. Chaque jour, la situation se détériore et ça rend le sauvetage plus compliqué et coûteux. »
Dans trois jours, Jean-Claude Plessis mesurera sur place l’énorme fossé qui sépare l’environnement des propriétaires londoniens. Il demandera audience à Roland Ries. « Il sera reçu. Qu’il le soit par le maire, c’est autre chose », anticipe P. Pincet. « Roland Ries a, depuis trois mois, accueilli tous les dirigeants du Racing à mesure de leur nomination. Aujourd’hui, sa position, adoptée jeudi, est ferme, en cohérence avec l’intérêt supérieur du club, en coordination avec la Ligue et en accord avec les repreneurs alsaciens. Il ne va pas l’expliquer encore une fois à un nouvel interlocuteur. A nos yeux, Jean-Claude Plessis ne sera qu’un salarié de plus dans la galaxie Fontenla. »
Celle qui scellera le sort de la bande de Fontenlalolo a écrit :Celui de la saisine de décembre, ou celui de la saisine de mars...?Tenor a écrit :Attends le communiqué de Tracfin![]()