Le groupe:
Gregorini, Lloris;
Abardonado, Jarjat, S. Traoré, Varrault, An. Yahia;
Balmont, Echouafni, Ederson, Rool, Roudet;
Bagayoko, Bellion, B. Koné, Vahirua.
Les absents: Fanni, Fauconnier (convalescence), Bigné, Bisconti, So. Camara, Diakité, Dolci, Grenet, Tchato (choix entraîneur).
[05/06] 33ème J: Nice / RCS : 3-1
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Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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DNA a écrit :Sortir de la précarité
Dans la Baie des Anges, le Racing tâchera de quitter la zone des relégables pour la première fois depuis longtemps. A six journées de la fin, une victoire devrait constituer un tournant décisif dans la lutte pour le maintien. Là , c'est le moment.
Personne ne sait ce qu'est devenu Robby Langers. C'est un tort. Car le nom de ce grand échalas luxembourgeois à la tignasse blonde est associé à l'une des plus pénibles et douloureuses dérouillées strasbourgeoises. Ce soir de mai 1990, au stade du Ray, le bourreau du Racing avait frappé quatre fois. En plein coeur.
Anéantis, ridiculisés - certains diront même, ouh ! le vilain mot, "achetés" -, les Bleus rétrocédaient aux Aiglons leur billet pour la Division 1 après s'être pourtant imposés 3-1 une semaine plus tôt à la Meinau. Six buts dans la musette, dont quatre du seul Langers en l'espace d'une mi-temps, le Racing se vautrait péniblement sur la dernière digue des barrages.
Aujourd'hui, on aimerait savoir si l'homme jouit d'une retraite calme et paisible, quelque part dans la prospérité du grand-duché. Ou alors si son fait d'arme lui a permis d'acquérir ad vitam eternam une petite masure sur la Côte d'Azur. Promenade des Anglais, là où le prix ne se discute plus sous 5000 euros au mètre carré... S'il n'a rien de mieux à faire ce soir, ce bon vieux Robby sera peut-être même dans les tribunes. Ne sait on jamais.
De cette soirée funeste et de cette hypothétique présence discrète, les hommes de Duguépéroux n'en ont pourtant cure. Et pour cause. Prenez Habib Bellaïd, par exemple. Le gamin qui s'évertue depuis trois matches à tenir la baraque en défense n'allait alors que sur ses quatre ans. Il ne connaissait rien au football ni du Racing.
Là , le défenseur a cerné les enjeux de la soirée. Alors que son équipe est revenue à deux points de Troyes, équipe qui occupe depuis un bail l'envieuse place de premier non relégable et se frotte à un Lyon light (sans Cris, Abidal, Clerc et Wiltord) en début d'après-midi, Bellaïd espère contribuer au redressement des siens. En cas de victoire, les Alsaciens pourraient fort bien sortir de la précarité dans laquelle ils sont plongés depuis la sixième journée.
« On est capables de marquer des buts contre de bonnes équipes, assure-t-il depuis l'expérience un brin frustrante mais rassérénante contre Lille (2-2). Pour s'en sortir, il nous faudra au moins une victoire à l'extérieur. C'est peut-être le bon moment. »
A priori, Nice a d'autres chats à fouetter. Dans deux semaines, les hommes de Frédéric Antonetti ont rendez-vous au Stade de France. Comme le Racing l'an dernier, ils disputeront la finale de la Coupe de la Ligue. Eux devront venir à bout de Nancy pour rêver d'une escapade européenne, rendue impossible à travers le championnat depuis leur dernier revers à Bordeaux. Il faut donc espérer qu'ils n'aient pas totalement la tête aux affaires courantes.
« Au contraire, je pense que chaque joueur essayera de se montrer à son avantage, prévient Duguépéroux, en connaissance de cause. A nous de trouver la rigueur défensive qui nous fait défaut. Avec elle, nous aurions aujourd'hui les points qui manquent. »
Il se trouve que le Racing n'a pas su jouer aux capitalistes quand le moment opportun s'est présenté. Ce matin, il ne voit que Troyes en rêve et reste toujours sous la menace de Metz, voire d'Ajaccio.
Bref, sa situation n'est pas reluisante. Au moins a-t-il prouvé ces dernières semaines que son combat est résolu. « Tous ensemble, tous ensemble, ouais, ouais... »
Si la compo niçoise est celle des DN, ça va nous faire une belle rencontre Rool - AbdéDNA a écrit :Sièges éjectables
Dans les buts, Cassard ou Puydebois ? Lloris ou Grégorini ? Ce sont les principaux choix qui s'offrent aux deux entraîneurs à l'heure de désigner les acteurs de ce Nice - Racing, aussi anecdotique pour les uns que vital pour les autres...
GARDIENS. - Même s'il n'a rien laissé filtrer de sa décision, prise depuis plusieurs jours, Jacky Duguépéroux devrait changer de gardien ce soir à Nice. Auteur d'une fâcheuse « cagade » samedi dernier contre Lille, Nicolas Puydebois va probablement payer la note et céder sa place à celui qui demeure dans l'esprit de son entraîneur le titulaire du poste : Stéphane Cassard. Côté niçois aussi, le siège de dernier rempart est éjectable. Mais pour d'autres raisons. Impliqué depuis le début de la campagne du « Gym » en Coupe de la Ligue, le jeune Hugo Lloris (19 ans), programmé pour disputer la finale et titularisé depuis deux matches en Ligue 1, devrait être confirmé. Damien Grégorini demeure néanmoins prêt à l'emploi.
LIGUE. - Les Niçois disputeront la finale de la Coupe de la Ligue le 22 avril prochain, au Stade de France contre Nancy. N'ayant plus rien à attendre du championnat, ils sont déjà entièrement tournés vers ce grand rendez-vous. Au point de prendre à la légère la venue du Racing ? « Non, promet l'ex-Strasbourgeois Olivier Echouafni. Le Racing viendra avec les crocs, et il faut absolument mettre la finale de côté pour conforter notre 10e place. »
DEFENSE. - Quelle défense centrale le Racing alignera-t-il ce soir au stade du Ray ? Si Cédric Kanté, bien remis du petit coup de pompe qui l'avait amené à sécher l'entraînement de jeudi, est indiscutable, le jeune Bellaïd est en revanche sous la menace de Karim Haggui. L'international tunisien se disait fin prêt hier à l'issue du dernier entraînement. Mais Jacky Duguépéroux semblait plutôt enclin à jouer la sécurité et à reconduire la charnière Kanté - Bellaïd une dernière fois.
RETOURS. - L'OGC Nice enregistrera ce soir deux retours importants dans son effectif. Touché à une cuisse et forfait dimanche dernier à Bordeaux (défaite du « Gym » 1-0), Vahirua devrait retrouver sa place dans les onze. Idem pour Abardonado, de retour de suspension.
 
 En défense il faudra être super vif pour contrer les niçois, Haggui sur le terrain !!!!!!!!!!! et surtout un Deroff des grands jours !!!!
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L'Alsace a écrit :Un Ray de lumière ?
Alors que Troyes accueille Lyon à 17 h 15, le Racing espère réaliser un coup d'éclat à 20 h au stade du Ray face à un OGC Nice déjà assuré du maintien et prochain finaliste de la Coupe de la Ligue.
C'est décidément une habitude depuis trois semaines. Lorsqu'en soirée, à 20 h, le coup d'envoi de leur match à Nice sera donné, les Strasbourgeois connaîtront le résultat de leur principal rival dans la course au maintien, Troyes. Les Aubois reçoivent en effet à 17 h 15 le quadruple et virtuel quintuple champion de France, Lyon, qui aura donc disposé de moins de 72 heures de récupération depuis son nul de mercredi à Gerland contre le Milan AC en quart de finale aller de Ligue des Champions (0-0). « On espère que les Lyonnais n'auront pas laissé trop de forces », glisse le capitaine strasbourgeois par intérim, Yves Deroff. « Troyes a de quoi se poser des questions », enchaîne Arthur Boka. « Alors que de notre côté, nous venons d'engranger 4 points en 2 matches. En gagnant les deux qui nous restent à la Meinau (Nantes, puis Nancy) et en allant chercher une victoire et/ou quelques résultats lors de nos quatre déplacements, nous nous maintiendrions, j'en suis persuadé. Moralement, c'était très dur lorsque nous nous sommes retrouvés à dix points du premier non-relégable. Aujourd'hui, nous n'en avons plus que deux de retard. Nous avançons et il y a encore de quoi faire. Gagner à Nice nous placerait même en position favorable. » On n'en est évidemment pas là , ce que ne manque jamais de rappeler un Jacky Duguépéroux désireux de ne pas céder à l'emballement. « Si j'envie Nice dont la saison est calme et qui se prépare à disputer la finale de la Coupe de la Ligue (le 22 avril contre Nancy) ? En fait, j'envie toutes les équipes qui ne figurent pas dans les trois dernières de L 1. Troyes y compris dont la place est aujourd'hui encore plus confortable que la nôtre. Ça fait deux saisons que nous jouons pour la survie. Et pour nous en sortir, nous devons absolument enchaîner une série. Nous avons beaucoup de chances que Troyes soit en difficulté. Sinon, ce que nous réalisons dans ce cycle retour (16 points en 13 journées, contre 11 en 19 matches aller) ne suffirait pas. »
Cobos : « Le Racing a toujours bien joué »
Le Racing surnage donc toujours. Et comme le disait l'autre jour Yacine Abdessadki, le sommet de son crâne apparaît désormais à la surface. Ne lui reste plus qu'à sortir définitivement la tête de l'eau pour respirer. « Nous ne faisons pas une bonne saison, mais nous ne méritons pas ce qui nous arrive », estime Boka, « nous voulons prouver que nous sommes toujours présents. » Toujours attentif à la vie de son club formateur, le Strasbourgeois de naissance José Cobos, retiré des terrains depuis l'été dernier et adjoint de Frédéric Antonetti sur la Côte d'Azur, n'en doute pas un instant : « Le Racing a raté très peu de matches cette saison. Il a toujours bien joué. Son problème offensif semble résolu, malgré la blessure du petit Kevin Gameiro. Ce que j'apprécie dans sa saison, c'est que malgré sa réputation d'exigence, le public de la Meinau n'a pratiquement jamais sifflé son équipe. Ça, c'est magnifique. Les supporters voient bien que leur équipe donne tout et ont leur rôle à jouer. C'est tellement important que le RCS reste en Ligue 1. » Ce voeu pieux de l'Alsacien ne signifie pourtant nullement que les Aiglons feront le moindre cadeau, même si la finale de Coupe de la Ligue occupe leur esprit. « Pour bien préparer cette finale, le mieux est encore de gagner des matches », souligne Cobos, « Sans compter que nous espérons mieux finir que la saison passée (Ndlr : 12e en 2004-2005, le « Gym » est actuellement 10e). » Ces préoccupations de « riche », le Racing n'en a cure. Il espère juste ne pas croiser vers 22 h trop d'anges dans la baie. Ça signifiera qu'il est toujours en vie au soir de cette 33e journée.
Cassard à la relance ?
Jacky Duguépéroux a longtemps maudit le sort qui l'empêchait d'aligner deux fois de suite la même équipe. À Saint-Etienne (2-0), puis contre Lille (2-2), l'entraîneur strasbourgeois a pourtant réussi ce tour de force. Pour le 33e rendez-vous de la saison ce soir à Nice, le coach du RCS a encore emmené avec lui hier un groupe pratiquement inchangé. Seul Pontus Farnerud, victime d'une bronchite, a disparu des 17, remplacé par Karim Haggui, rétabli de son entorse du genou, mais qui pourrait être estimé un peu juste pour être aligné d'entrée au Ray. Sauf surprise toujours possible, « Dugué » devrait reconduire l'équipe qui vient de récolter quatre points en deux journées. A une exception près peut-être : le gardien. Nicolas Puydebois, qui avait supplanté Stéphane Cassard lors du match aller contre Nice le 19 novembre, mais avait reperdu sa place le 11 janvier à Monaco, avait profité de la blessure de son concurrent à Lens le 4 février (perte de connaissance et fracture du plancher orbital gauche) pour retrouver un statut de titulaire. Une chance inespérée alors, car Cassard multipliait depuis un mois les prestations haut de gamme. Au retour de ce dernier, l'ancien Lyonnais s'est montré décisif à Saint-Etienne. Mais dimanche contre Lille, il a laissé échapper un ballon – trop ?- facile qui aurait pu coûter un point aux Bleus si Amara Diané n'avait égalisé face aux Dogues à la dernière minute (2-2). Est-ce l'occasion pour « Dugué » de relancer celui qui n'avait perdu sa place que sur blessure ? Possible, sinon probable. Du côté niçois, Frédéric Antonetti enregistre les rentrées de deux de ses pièces maîtresses, le coriace Jacques Abardonado en défense centrale et le feu follet tahitien Marama Vahirua (auteur de six buts officiels dans sa carrière face au Racing). Les Bleus retrouveront en face deux ex-Racingmen, Olivier Echouafni, qui accomplit une saison du feu de Dieu et que le « Gym » espère voir prolonger un bail qui expire en juin, et Mamadou Bagayoko, rétabli après une blessure et auteur, selon « Dugué », « d'un très bon match » dimanche à Bordeaux, malgré l'échec niçois (1-0).
L'histoire est en marche ...
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