Y aurait-il une bonne âme pour me tenir au courant de l'évolution du score par SMS ?

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Envoie ton num en mp...Roswell Man a écrit :Y aurait-il une bonne âme pour me tenir au courant de l'évolution du score par SMS ?


L'Alsace a écrit :Opération commando
Après sept défaites consécutives, le RCS est au bord du précipice. Pour garder un espoir de sauver sa peau en L 1, il doit rapporter ce soir (20 h) un résultat positif de son périlleux déplacement chez un Stade rennais à la lutte pour un ticket européen.
On a déjà tout dit et écrit sur l'inextricable situation du Racing à quatre journées du baisser de rideau en L 1. Sur sa série - en cours - de sept défaites, record absolu en 56 saisons au plus haut niveau. Sur ses neuf échecs lors des dix dernières journées, insuffisamment contrebalancés par son succès au Mans (1-0). Ce matin, comme le reconnaît volontiers Jean-Marc Furlan, le RCS est « au fond du seau. » Mais après la défaite contre Lyon qui lui a enfoncé un peu plus encore la tête sous l'eau (1-2), le groupe strasbourgeois est, aux dires de son entraîneur, prêt à repartir au combat. Prêt à lutter d'arrache-pied lors des quatre derniers rounds qui, au regard des programmes des quatre adversaires en présence, ont toutes les chances de le laisser K.-O au soir du 17 mai. L'entraîneur bas-rhinois réfute pourtant l'idée même d'une descente. « J'ai le sentiment d'être le seul, avec mes gars, à penser que nous pouvons signer deux victoires sur nos quatre derniers matches. Gagnons deux fois et nous verrons alors ce qu'ont fait les autres. Si je suis président et si mon entraîneur vient me dire, alors que mathématiquement, tout reste possible, que nous devons préparer la L 2, non seulement je lui donne son chèque dans l'heure, mais en plus, je le pourris. » Furlan ne s'en sait pas moins dans une urgence qui constitue l'exacte antithèse de la méthode qu'il prône. « C'est facile de bâtir un club qui gagne. Il faut juste inscrire le mot patience au tableau. Au Mans, ils travaillent depuis douze ans ensemble. Ils montent, ils redescendent, mais posent pierre après pierre et se structurent. Et ils sont en train de s'installer durablement en Ligue 1. Quand on fait dans le court terme, on n'a rien à espérer. On fait dans le nul. C'est tout un système d'entreprise qui fait les résultats. »
« Soyez orgueilleux et fermes »
Oui, mais voilà . Aujourd'hui, le système d'entreprise est relégué à l'arrière-plan. Car la faillite sportive du RCS en cette fin de saison, avec relégation en L 2 à la clef, mettrait en péril la santé du Racing, obligé de réduire - très - sensiblement la voilure. « Après nos sept défaites consécutives, nous sommes humiliés et obsédés par l'idée de ne pas prendre un nouveau coup de bâton à Rennes », poursuit Furlan, « Que les garçons n'aient pas pris de points à Paris, contre Monaco, à Valenciennes et face à Lyon est, compte tenu de leur prestation, injuste. Je leur ai juste dit cette semaine : " Soyez orgueilleux et fermes. " Pour moi, notre avenir est en Ligue 1. Pour cela, nous devons gagner à Rennes. Or, le Stade rennais ne possède que des joueurs de talent, avec un très fort potentiel offensif, et dispose de l'un des dix plus gros budgets de L 1. Mais si nous avons peur, autant rester à la maison. » Encore 17e au soir de la 25e journée, Rennes affiche toutefois un joli regain de forme. « Nous sommes dans une bonne spirale et nous espérons aller au bout », confirme l'ex-Racingman Mickaël Pagis, meilleur buteur (7 buts) d'un club breton dont Jérôme Leroy (8 passes) est le meilleur pourvoyeur, « Nous revenons de très loin et nous n'avons pas trop de pression. » Rien à voir avec un Strasbourg dont Furlan, plus lapidaire que d'ordinaire dans son décryptage du match, souhaite voir « l'esprit commando. » Au Racing, c'est droit au but. C'est tout ce qui reste.
Suspendu : Mouloungui (Strasbourg).
Absents : à Rennes, Fanni (cheville), Dembélé (cuisse), Thomert (cuisse), Borne (genou), Esteban, Catherine, Katongo, Oniangue et Moreira (choix de l'entraîneur) ; à Strasbourg, Cohade (pubalgie), Othon (ménisque), Schneider (reprise), Abou, Camadini, Abdessadki, Weber, Zenke, Gurtner (choix de l'entraîneur).
Stéphane Godin






Oh ben merde, avec ça on va marquer des buts ...LFP.fr a écrit :16 CASSARD
3 DOS SANTOS
5 BELLAID
15 SZELESI
22 PAISLEY
2 BAH
6 RODRIGO (c)
18 JOHANSEN
19 LACOUR
7 MULENGA
17 FANCHONE
lfp.fr a écrit :16 LUZI
3 TRAORE
5 MENSAH (c)
13 HANSSON
7 LEROY
17 MBIA
18 LEMOINE
26 MARVEAUX
9 PAGIS
19 BRIAND
29 DANZE

 
  


