je croyais qu'il avait acheté moins de 2 millions ... proposer moins est indécent pour un club comme le Racing !il a déjà acheté beaucoup plus cher que ce que j'avais proposé à Philippe Ginestet
17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !
- silex57
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !
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- argueti
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !
L'Alsace a écrit :Laurent Ciup attend une réponse de Fontenla avant demain soir
Candidat déclaré au rachat du Racing Club de Strasbourg, Laurent Ciup, PDG et actionnaire majoritaire du groupe informatique eBizcuss, nous a fait savoir aujourd'hui qu'il se retirerait définitivement du dossier de reprise du RCS s'il n'obtenait pas une réponse claire de Alain Fontenla d'ici à demain soir, jour de Noël.
"J'attends une réponse de Fontenla dans les 24 heures. A un moment donné, il faut avancer", a affirmé ce proche de Luis Fernandez, âgé de 49 ans, qui avait été devancé au dernier moment par Alain Fontenla justement, lorsque Philippe Ginestet, ex-actionnaire majoritaire du RCS, avait il y a quelques semaines finalisé la vente de ses parts dans le club alsacien.
"Je leur ai réitéré hier une offre définitive", explique Laurent Ciup, visiblement agacé des atermoiements du businessman tourangeau et de ses acolytes. Sous-entendu : son offre ne dépasse a priori pas la somme de 1,6 million d'euros déboursée par A. Fontenla pour racheter ses parts à P. Ginestet.
"J'ai même repoussé mes vacances à dimanche pour leur laisser le temps de me répondre, ajoute encore L. Ciup. Le foot continue, même pendant les fêtes. A un moment donné, il faut que je sache, pour pouvoir passer à autre chose."
Avec cet ultimatum, Laurent Ciup pourrait devancer le projet local mené par les actionnaires minoritaires et un conglomérat d'investisseurs régionaux dont la première réunion de concertation a eu lieu hier soir à Illkirch. Un projet qui ne sera pas prêt avant "quinze jours", de l'aveu même de Henri Ancel, mandaté par la Ville de Strasbourg pour diriger les discussions.
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				Manu
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !
La ciup à la grimace ?
			
			
									
									
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !
L'Alsace a écrit :La LFP soutient l'action des élus strasbourgeois en faveur d'un projet de reprise régional
"Roland Ries, maire de Strasbourg et Jacques BIGOT, président de la Communauté urbaine de Strasbourg, prennent acte avec satisfaction de l'initiative de Henri Ancel visant à réunir un tour de table des actionnaires minoritaires et d'autres investisseurs locaux susceptibles de reprendre le contrôle de la SA SP Racing Club de Strasbourg", a fait savoir la Communauté urbaine de Strasbourg (CUS) dans un communiqué diffusé ce jeudi après-midi.
"Il est indispensable que très rapidement la situation financière du club soit clarifiée afin de permettre à notre équipe d'assurer le maintien de son statut professionnel", poursuit le texte envoyé par les élus strasbourgeois.
"La réponse de M. Thiriez, Président de la Ligue de football professionnel (LFP), à notre lettre d'alerte démontre une large convergence de vue des autorités nationales du football et des collectivités locales : la reprise du club par les investisseurs, avec la fois une surface financière suffisante et une vraie motivation pour aider le Racing, constitue la seule voie possible pour le redressement", conclut le communiqué.
Le jeudi 17 décembre, Roland Ries et Jacques Bigot avait saisi par courrier le président Frédéric Thiriez pour que la LFP fasse la lumière sur les conditions de revente du RCS.
Avec cette réponse claire de la Ligue, la pression augmente encore d'un cran sur l'actionnaire majoritaire du RCS, Alain Fontenla, dont les tergiversations sur sa volonté de rester ou non à la tête du club alsacien alimentent la chronique depuis une semaine.
L'investisseur français basé à Londres a jusqu'au 6 janvier 2010 pour bloquer 3 millions d'euros sur les comptes du Racing, comme le lui réclame la DNCG (Direction nationale de contrôle de gestion).
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !
et déjà un qui la joue perso  
			
			
									
									
						
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !
Si le projet de Ciup tient un minimum la route, ça serait bien que Fantomenla lui vende une bonne fois pour toute... la solution du conglomérat régional où chacun met 3 sous et où personne n'est d'accord s'annonce comme la continuité de ce que l'on a déjà connu et qui n'a rien apporté...
			
			
									
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !
Vivement 2010 qu on en sache plus....alors que dans les magasins on ensache moins.... 
			
			
									
									
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !
L'Alsace a écrit :Fontenla se tâte
Toujours vendeur de ses parts alors que l’échéance de la DNCG se rapproche, l’actionnaire majoritaire du Racing Alain Fontenla ne semble pourtant pas décidé à quitter le navire strasbourgeois. Par l’entremise de Ralph Isenegger, il a même sondé Pascal Janin sur ses souhaits de recrutement.
« Il a envie de vendre, mais il n’aura pas d’offres à la hauteur de ce qu’il a dépensé pour acheter le Racing. Il peut difficilement continuer tout seul, mais lui l’envisage. » La phrase est de Laurent Ciup, PDG et actionnaire majoritaire du groupe informatique eBizcuss, dont l’offre de reprise du Racing-Club de Strasbourg a été déclinée samedi par Alain Fontenla (notre édition d’hier), faute d‘avoir proposé un montant suffisant (1). Si ce proche de Luis Fernandez n’est pour autant pas totalement hors course (l’actionnaire majoritaire du RCS voudrait lui proposer un partenariat), son analyse éclaire admirablement les tergiversations incessantes de Fontenla.
Entre un communiqué lapidaire où il annonçait vouloir revendre ses parts une dizaine de jours après les avoir rachetées à Philippe Ginestet et une volte-face désormais culte le lendemain ( «L’actionnaire majoritaire, c’est moi. C’est moi qui décide, ce n’est personne d’autre »), le trader de la City a sans doute perdu toute crédibilité dans le monde du football pour un certain temps. Depuis cette partie de poker menteur, il n’a d’ailleurs plus montré le bout de son nez, ni même décroché son téléphone. Dans le même temps, le Racing a gagné un match (face à Guingamp, 2-1), en a perdu un autre (au Havre, 3-0), avant de partir en vacances, 18 e de Ligue 2 et relégable. Fontenla, lui, n’a rien gagné du tout, surtout pas en popularité, et n’est pas parti en vacances. L’investisseur tourangeau n’a rien fait pour. Car lorsqu’il a pris la décision de vendre, ils sont nombreux à l’avoir pris au mot.
Le projet régional est en route
Laurent Ciup, donc, mais aussi les actionnaires minoritaires du club alsacien, immédiatement rejoints par de nombreux investisseurs régionaux (nos précédentes éditions). Soutenu par la Ville, la Communauté urbaine de Strasbourg (CUS) et la Ligue de football professionnel (LFP), leur projet de reprise est en cours de montage sous la houlette de Henri Ancel, mandaté par les élus strasbourgeois pour diriger les discussions entre les différentes parties, et dont le tour de table pour évaluer les intentions financières de chacun démarre aujourd’hui. Cette solution locale a les faveurs des pouvoirs publics, mais ne sera pas prête avant la deuxième semaine du mois de janvier, de l’aveu même de Henri Ancel.
Entre-temps, Alain Fontenla aura dû satisfaire à un nouveau passage devant la DNCG (2) à Paris, le 6 janvier. Celle-ci exige de lui qu’il bloque 3 millions d’euros sur les comptes courants du club jusqu’en juin avant ce nouveau rendez-vous. Jusqu’à preuve du contraire, il ne l’a toujours pas fait. Lâché en plein vol par le mirage Roman Loban, le patron du RCS semble effectivement trop court financièrement pour poursuivre l’aventure tout seul, comme le sous-entend Laurent Ciup. Quand on lui a demandé s’il avait les fonds nécessaires, le Tourangeau avait pourtant répondu : « Oui, je les ai. Et je n‘exclus pas de les mettre sur la table. » Il n’est pas trop tard pour prendre de bonnes résolutions, en passant aux actes par exemple. Au-delà du 5 janvier, il sera trop tard.
Janin consulté
Vendra ? Vendra pas ? La question reste donc en suspens, d’autant plus que Fontenla et son avocat genevois, Ralph Isenegger, restent apparemment actifs, notamment avec l’ouverture prochaine du mercato hivernal, le 4 janvier à minuit. Selon nos sources, Isenegger s’est longuement entretenu au téléphone avec Pascal Janin peu avant Noël. Au menu de leur discussion : le recrutement. L’entraîneur strasbourgeois, presque constamment en sursis depuis l’éviction de Gilbert Gress au mois d’août, n’a pas nié cette prise de contact, même s’il n’a pas souhaité s’épancher dessus. On sait tout de même — mais c’est un secret de polichinelle — qu’il a surtout été question de renforts offensifs. Le buteur argentin Julio Hernan Rossi, sous contrat jusqu’en juin avec Neuchâtel, a ainsi été approché (notre édition du 21/12), mais le recrutement d’attaquants pourrait être pluriel.
Il aurait été également question de faire venir un entraîneur adjoint pour épauler Janin dans sa gestion du groupe professionnel du RCS. Déjà évoquée lorsque Jean-Pierre Papin était sur le point de faire son retour au Racing, la piste Dominique Cuperly, actuel adjoint de Jean-Guy Wallemme sur le banc du RC Lens, aurait été relancée.
D’ici à la reprise de l’entraînement le 2 janvier, de nouvelles têtes vont donc arriver, c’est une certitude. D’autres vont disparaître, sur et en dehors du terrain. Reste à savoir lesquelles.
Fabien Rouschop
(1) Laurent Ciup a proposé environ 800000 euros à Alain Fontenla, qui avait lui-même déboursé 1,6 million pour racheter les parts de Philippe Ginestet.
(2) Direction nationale de contrôle de gestion.
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						- argueti
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !
L'Equipe a écrit :Fontenla reste et agit
Le financier français Alain Fontenla, qui a pris le contrôle du RC Strasbourg au début du mois après le volte-face de Roman Loban, est revenu sur sa décision de céder à son tour la patate chaude, qu'il avait pourtant annoncée moins de deux semaines après son arrivée. Lundi soir, il a finalisé avec Luc Dayan et Benoît Rousseau un accord confiant aux deux hommes une « mission d'assistance » courant jusqu'à la fin de la saison, afin de remettre le club en ordre de marche, sportivement (l'équipe est 18e de L2), et surtout financièrement. « Cette mission, écrit Racing Investissement, l'actionnaire principal du club, a pour objectif de permettre au club de se configurer le plus rapidement possible pour faire face à aux importants enjeux sportifs et économiques auxquels il est confronté à court et moyen terme. »
Selon nos informations, les comptes du club sont dans une situation très dégradée. Si Alain Fontenla a été déstabilisé par la demande de la DNCG d'immobiliser 3 millions d'euros pour assurer le train de vie du club, la perte au 30 juin 2010 pourrait être deux fois supérieure sans remède adapté. Mais le nouveau propriétaire du club, après avoir pris comme un choc l'état de la SASP et la dimension aléatoire de l'économie du foot, serait décidé à assumer ses responsabilités. Autant pour lui que pour donner une certaine pérennité au club. Luc Dayan, ancien président de Lille (2000-2001), et Benoît Rousseau, ex-directeur financier du PSG (1996-1998), sont connus comme des experts en restructuration de clubs et ont l'habitude de travailler ensemble. Ils sont intervenu notamment pour le compte de l'OGC Nice en 2002 et du FC Nantes en 2007. Ils pourraient se rendre sur place en début de semaine prochaine.
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Re: 17 décembre 2009 : le Racing est à vendre !
Attention tout de même : les deux sauveurs de clubs ne viendront pas gratuitement, et ne comptent sans doute pas s'éterniser ici non plus. De plus, il m'a semblé lire une interview de ce Monsieur Dayan, qui affirmait que le dossier du Racing lui paraissait être l'un des plus compliqués qu'il ait eu à gérer. Sans vouloir verser dans la déprime totale, à mon avis la bête est bien trop blessée pour qu'on puisse encore la sauver, ou du moins il y a peu de chances ... 
			
			
									
									
						

 
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