Les Entraineurs
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Re: Et si ... qui pour remplacer JM Furlan?
Il n'entraine pas en Tunisie ?
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Re: Et si ... qui pour remplacer JM Furlan?
Autant de posts sur Gress, ça prouve vraiment qu'on n'a rien à se mettre sous la dent.johnromyh a écrit : Allez, je lance une idée que personne n'a eu, enfin je ne crois pas...![]()
Un ticket Gress-Cassard.
De vrais crève-la-dalle!!!

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Re: Et si ... qui pour remplacer JM Furlan?
Si, il a pris sa retraite il y a un an je crois, après avoir entraîné en Tunisie.lolo a écrit :Il n'est pas à la retraite, Dugué?

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Re: Et si ... qui pour remplacer JM Furlan?
Moi je viens de penser à un gars qui pourrait être très intéressant. Souvent cantonné en temps qu'entraineur adjoint et au vu des personnes avec qui il a travaillé, il pourrait être pas mal. Cette personne c'est Dominique Cuperly (adjoint de Gerets notament), qu'en pensez vous ?
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Re: Et si ... qui pour remplacer JM Furlan?
je crois qu'il va devenir entraineur Adjoint a Nice !!!!
- obelix
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Re: Et si ... qui pour remplacer JM Furlan?
luis ,lacombe vahid
Le racing je suis tombé dedans quand j'étais petit,et je ne m'en suis jamais vraiment remis!!!
- supppourtjs
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Re: Et si ... qui pour remplacer JM Furlan?
Gress, comme une évidence
L'entraîneur champion de France 1979 est susceptible de retrouver le banc strasbourgeois où il a forgé sa légende. Improbable il y a encore quelques semaines, la possibilité est défendue avec de plus en plus de virulence en interne.
Il n'est pas l'heure de lâcher une assurance, mais de susurrer une possibilité. Trente ans après, le Racing a bien fait appel à l'un de ses glorieux anciens de 1979 pour tenter de remettre de l'ordre dans la boutique. Léonard Specht a succédé à Philippe Ginestet, voilà une semaine, au poste de président.
Gilbert Gress pourrait-il prendre la suite de Jean-Marc Furlan à celui d'entraîneur ? D'aucuns crient « au fou » à voir resurgir l'ombre d'un fantôme aux réussites passées si éclatantes qu'elles en ont peut-être empêché des lendemains qui chantent.
Les opposants ne manquent pas. Ils se targuent d'une lutte contre la nostalgie ou le foot à grand-papa. « Vous l'imaginez face à un joueur qui déboule dans le vestiaire avec la casquette à l'envers ?, note un salarié du Racing proche du terrain. Cela peut donner lieu à des étincelles rapidement. »
Il n'empêche. La solution apparaît régulièrement dans le panorama strasbourgeois. On se souvient qu'à l'été 2003, la tentation Gress n'avait jamais été aussi forte depuis près de dix ans lorsqu'il s'agissait d'envisager la succession d'Ivan Hasek. Antoine Kombouaré était finalement préféré au légendaire technicien du Neudorf. Gress et le Racing, c'est donc aussi une histoire de rendez-vous manqués.
Aujourd'hui, les conditions semblent néanmoins réunies pour renouer le fil d'une passionnelle histoire d'amour ponctuée comme il se doit de ruptures fracassantes. Trente ans après ce que vous savez, quinze étés après la remontée décrochée dans la chaleur d'une Meinau heureuse d'avoir vaincu Rennes en barrage et de retrouver l'élite, Gilbert Gress est un entraîneur libre de tout contrat.
Il est un amoureux du Racing naturellement intéressé par ce qui se passe du côté de la Meinau, même s'il y a assisté à deux matches en une décennie. Il est susceptible d'officier sous les ordres d'un président avec qui il a connu la réussite sans jamais connaître d'anicroche. « 98 % des joueurs que j'ai entraînés me croisent avec grand plaisir », garantit l'intéressé. Il reste toutefois une (mince) couche de glace à briser comme à chaque fois que l'on veut faire appel à l'homme à la chevelure légendaire. « J'ai été contacté par tous les présidents du Racing, mais je n'y ai travaillé qu'avec ceux qui avaient vraiment exprimé leur désir de travailler avec moi, Alain Léopold et Jacky Kientz, souligne le technicien, qui donne ses éclairages à la télévision suisse lors des grandes soirées de foot européen. Il y a un challenge qui semble difficile. Il faudrait voir ça de près. »
Un soutien clairement affiché
Comme dirait une chanson populaire, il suffirait d'un signe pour assister à un incroyable retour. Lors d'une réunion intervenue vendredi entre quelques décideurs du club, « Schilles » n'a pas été loin de faire l'unanimité.
Le technicien, dont la dernière expérience a constitué à assurer le maintien de Aarau dans l'élite suisse, lors d'une saison 2006-2007 très mal embarquée, a un soutien clairement affiché avec Dominique Pignatelli, n°4 dans la hiérarchie des investisseurs au Racing. Il jouit également d'une cote de popularité à nul autre pareil qui aurait son effet sur les supporteurs alors que la campagne d'abonnement débute à peine.
« A Lens, les joueurs ont
rapidement lâché Guy Roux »
Et comme il le rappelait récemment, il « a toujours officié dans des clubs où il n'y avait pas de moyens » et cela tombe bien puisque le Racing n'en a guère. Quel est le risque ? Un ancien entraîneur strasbourgeois pointe le risque d'un décalage entre la démarche de celui qui fêtera ses 68 ans au mois de décembre et les attentes des footballeurs modernes. « A Lens, les joueurs ont rapidement lâché Guy Roux », explique-t-il.
De la même manière, au centre de formation, la cote de Gress n'est pas à un sommet. Vu de l'extérieur, le risque de voir le technicien se consacrer au combat de trop existe, alors qu'il peut paisiblement entretenir son image chez les Helvètes.
Il reste que le plus grand entraîneur de l'histoire du RCS a encore l'envie. Il a encore la cote. Et en ce début du XXIe siècle où le vintage n'a jamais semblé autant à la mode et le Racing en mal de certitudes, l'idée de s'en remettre au faiseur de miracle alsacien sur un terrain de foot relève peut-être simplement de la pertinence.
Fr.N.
L'entraîneur champion de France 1979 est susceptible de retrouver le banc strasbourgeois où il a forgé sa légende. Improbable il y a encore quelques semaines, la possibilité est défendue avec de plus en plus de virulence en interne.
Il n'est pas l'heure de lâcher une assurance, mais de susurrer une possibilité. Trente ans après, le Racing a bien fait appel à l'un de ses glorieux anciens de 1979 pour tenter de remettre de l'ordre dans la boutique. Léonard Specht a succédé à Philippe Ginestet, voilà une semaine, au poste de président.
Gilbert Gress pourrait-il prendre la suite de Jean-Marc Furlan à celui d'entraîneur ? D'aucuns crient « au fou » à voir resurgir l'ombre d'un fantôme aux réussites passées si éclatantes qu'elles en ont peut-être empêché des lendemains qui chantent.
Les opposants ne manquent pas. Ils se targuent d'une lutte contre la nostalgie ou le foot à grand-papa. « Vous l'imaginez face à un joueur qui déboule dans le vestiaire avec la casquette à l'envers ?, note un salarié du Racing proche du terrain. Cela peut donner lieu à des étincelles rapidement. »
Il n'empêche. La solution apparaît régulièrement dans le panorama strasbourgeois. On se souvient qu'à l'été 2003, la tentation Gress n'avait jamais été aussi forte depuis près de dix ans lorsqu'il s'agissait d'envisager la succession d'Ivan Hasek. Antoine Kombouaré était finalement préféré au légendaire technicien du Neudorf. Gress et le Racing, c'est donc aussi une histoire de rendez-vous manqués.
Aujourd'hui, les conditions semblent néanmoins réunies pour renouer le fil d'une passionnelle histoire d'amour ponctuée comme il se doit de ruptures fracassantes. Trente ans après ce que vous savez, quinze étés après la remontée décrochée dans la chaleur d'une Meinau heureuse d'avoir vaincu Rennes en barrage et de retrouver l'élite, Gilbert Gress est un entraîneur libre de tout contrat.
Il est un amoureux du Racing naturellement intéressé par ce qui se passe du côté de la Meinau, même s'il y a assisté à deux matches en une décennie. Il est susceptible d'officier sous les ordres d'un président avec qui il a connu la réussite sans jamais connaître d'anicroche. « 98 % des joueurs que j'ai entraînés me croisent avec grand plaisir », garantit l'intéressé. Il reste toutefois une (mince) couche de glace à briser comme à chaque fois que l'on veut faire appel à l'homme à la chevelure légendaire. « J'ai été contacté par tous les présidents du Racing, mais je n'y ai travaillé qu'avec ceux qui avaient vraiment exprimé leur désir de travailler avec moi, Alain Léopold et Jacky Kientz, souligne le technicien, qui donne ses éclairages à la télévision suisse lors des grandes soirées de foot européen. Il y a un challenge qui semble difficile. Il faudrait voir ça de près. »
Un soutien clairement affiché
Comme dirait une chanson populaire, il suffirait d'un signe pour assister à un incroyable retour. Lors d'une réunion intervenue vendredi entre quelques décideurs du club, « Schilles » n'a pas été loin de faire l'unanimité.
Le technicien, dont la dernière expérience a constitué à assurer le maintien de Aarau dans l'élite suisse, lors d'une saison 2006-2007 très mal embarquée, a un soutien clairement affiché avec Dominique Pignatelli, n°4 dans la hiérarchie des investisseurs au Racing. Il jouit également d'une cote de popularité à nul autre pareil qui aurait son effet sur les supporteurs alors que la campagne d'abonnement débute à peine.
« A Lens, les joueurs ont
rapidement lâché Guy Roux »
Et comme il le rappelait récemment, il « a toujours officié dans des clubs où il n'y avait pas de moyens » et cela tombe bien puisque le Racing n'en a guère. Quel est le risque ? Un ancien entraîneur strasbourgeois pointe le risque d'un décalage entre la démarche de celui qui fêtera ses 68 ans au mois de décembre et les attentes des footballeurs modernes. « A Lens, les joueurs ont rapidement lâché Guy Roux », explique-t-il.
De la même manière, au centre de formation, la cote de Gress n'est pas à un sommet. Vu de l'extérieur, le risque de voir le technicien se consacrer au combat de trop existe, alors qu'il peut paisiblement entretenir son image chez les Helvètes.
Il reste que le plus grand entraîneur de l'histoire du RCS a encore l'envie. Il a encore la cote. Et en ce début du XXIe siècle où le vintage n'a jamais semblé autant à la mode et le Racing en mal de certitudes, l'idée de s'en remettre au faiseur de miracle alsacien sur un terrain de foot relève peut-être simplement de la pertinence.
Fr.N.
Sans la liberte de blamer il n'y a point d'eloge flatteur.
- D520
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Re: Et si ... qui pour remplacer JM Furlan?
L'ALSACE de ce jour
Luis Fernandez est sur les tablettes du RC Strasbourg pour prendre la succession de Jean-Marc Furlan sur le banc strasbourgeois. Rien n'est fait, mais le contact a été noué par le nouveau président, Léonard Specht.
Après Cannes, le Paris-SG, l'Athletic Bilbao, l'Espanyol de Barcelone, Al Rayyan, le Betar Jérusalem, le Bétis Séville et Reims, le Racing Club de Strasbourg pourrait bien être la prochaine destination de l'impulsif et sulfureux Luis Fernandez.
« Je n'ai pas envie de me prostituer financièrement »
L'ex-international, joint hier soir par téléphone, a confirmé que les contacts avaient bien été établis entre les deux parties : « Léonard Specht m'a appelé deux fois cette semaine. Il n'y a pas eu de suite pour le moment et on n'a pas encore parlé du projet sportif. » Le cas du futur ex-entraîneur alsacien Jean-Marc Furlan n'étant pas encore résolu, le club bas-rhinois n'a pas souhaité commenter cette information.
Une nouvelle piste qui corrobore pourtant le discours du nouveau président strasbourgeois. Mercredi, « Léo » Specht avouait être à la recherche d'un technicien de caractère pour diriger sa formation en Ligue 2 : « Les précédentes saisons, l'équipe a régulièrement manqué de caractère. Alors il faut un entraîneur à poigne qui apporte de la force et de la volonté dans les moments difficiles. » Un constat qui l'a sûrement amené à penser au consultant vedette d'RMC, désormais libre de tout contrat après son départ du Stade de Reims en fin de saison.
Connu pour son franc-parler et son fort caractère, l'expérimenté Luis Fernandez a clairement le profil défini par le numéro un alsacien. La saison passée, celui qui ne cache pas être un fervent supporter du Paris Saint-Germain, n'avait pas pu réaliser l'exploit de sauver Reims de la relégation. Mais il garde un certain crédit auprès des clubs de l'hexagone. Après la signature de Gernot Rohr à Nantes et la volonté de Joël Muller de ne pas quitter Metz, les dirigeants alsaciens semblent en tout cas avoir jeté leur dévolu sur le natif de Tarifa (Espagne).
Lors d'un entretien donné à L'Equipe Mag ce vendredi, l'ex-parisien avouait qu'il n'était pas forcément à la recherche d'une place sur le banc.
« J'attends qu'on me fasse une proposition »
« Je me refuse à envoyer des CV et je ne dispose pas d'un agent susceptible de contacter les présidents de club. Je n'ai pas envie de me prostituer financièrement et d'accepter n'importe quoi. » Un discours qui colle bien au personnage Luis Fernandez. S'il n'a pas repoussé le nouveau président alsacien, l'ancien milieu de terrain a tenu à nous préciser qu'il n'était pas le « demandeur ». « Je ne suis pas dans cette optique. Mais si les personnes (ndlr : les dirigeants strasbourgeois) décident de continuer à discuter avec moi, pas de problème. Je suis complètement ouvert au dialogue. J'attends en tout cas qu'on me fasse une proposition de projet pour en reparler. » Pour le moment, Valenciennes et un autre club de Ligue 1 l'ont contacté mais sans donner suite.
À Reims, coach Fernandez avait accepté le poste en souhaitant conserver sa célèbre émission de radio (« Luis Attaque » sur RMC). Une donnée qui aura son importance au moment des discussions. En recrutant « Luis », « Léo » frapperait en tout cas un grand coup médiatique. À l'image de Philippe Ginestet, son prédécesseur, qui avait fait confiance à Jean-Pierre Papin il y a trois saisons pour mener le Racing en Ligue 1. L'ancien attaquant marseillais avait rempli sa mission avant de quitter le club par la petite porte. Pas facile de cohabiter avec les anciennes gloires à la forte personnalité. Même si Luis Fernandez n'est sans doute pas la seule piste explorée actuellement par les dirigeants alsaciens, Léonard Specht aura-t-il envie de tenter ce pari ?
Olivier Arnal
- supppourtjs
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Re: Et si ... qui pour remplacer JM Furlan?
Pour moi, Luis à ma préférence par rapport à Gress, sur une saison complète, il peut faire quelque chose, c'est sur.
Sans la liberte de blamer il n'y a point d'eloge flatteur.