Frédéric Sitterlé

[Gotcha]

hilali

[RACING1906]

Ben non ! Il va investir à MULHOUSE.

[Bou]

Sitterlé (via son mur Facebook) :

Je ne demande qu'une chose : pouvoir investir et prendre en main la reconstruction du club. Pour cela il me faut une chose : la convention. Sans convention je n'ai aucun pouvoir, aucune existence au sein du club. Et mettre de l'argent sans convention revient à faire un chèque en blanc et laisser d'autres gérer les dépenses. Vous le feriez vous ? Dans un premier temps on a voulu faire croire que les conventions étaient "inacceptables" (à tort). Maintenant qu'elle seraient redevenues "acceptables" (mais sur ce point la "presse" est bien silencieuse...), voila autre chose... et puis quoi encore ? Faut il systématiquement se justifier de vouloir sauver le Racing ? On me fait des procès d'intention mais moi je vois juste le chemin parcouru depuis ce sinistre 22 aout. Et les autres, concrètement, ils ont fait quoi ? Qu'est ce qu'on peut lire comme conneries dans la presse parfois ! Et cela toujours sans que le journaliste ne m'appelle une seule fois pour vérifier ses informations... pas très déontologique. Droit de réponse toujours refusé. Il va falloir passer par avocat, tribunal, etc... Mais où va-t-on ? Il n'y a guère qu'en Alsace, pour défendre quelques intérêts bien compris, que l'on peut diffamer ainsi impunément. Un monde à part. Heureusement les décisions qui vont être prises au sein du club dans les prochains jours vont faire taire toutes ces critiques et vont dans le bon sens : celui du Racing !

[RACING1906]

Alors là c'es le pompon ! Voilà qu'il critique sa région natale !!! On dirait du HILALI dans le texte.

Et bien justement si ! Il y a des gens qui font quelque chose : les collectivités locales qui donnent des subventions directes ou indirectes ! Le public qui vient donner son argent aux guichets du stade ! Les sponsors !

S'il était un vrai amoureux du RACING, comme il le prétend, il y a longtemps qu'il aurait pu faire un don en attendant la signature de la convention. Ca montre sa vrai nature de radin et d'affairiste !

[Gotcha]

en fait, plus que les alsaciens, il fustige surtout les médias, qui, il faut bien le reconnaître, sont quand même pas mal de connivence pour dénoncer uniquement la moitié du tableau qui les intéresse.

[urotsukidogi]

Sitterlé essaie de noyer le poisson de sa première convention qui était en l'état effectivement inacceptable. On ne parle pas des trains qui arrivent à l'heure, donc on parle pas ou peu de la nouvelle convention si effectivement elle est correcte.
Il critique sa région? D'abord effectivement il semble plus critiquer un traitement médiatique (il sait toutefois à merveille profiter des "petits médias" locaux), de plus alors on ne doit plus critiquer ce qui est alsacien? Tout est parfait et rose dans cette région? Allons, pas de convention, pas de pognon pour moi c'est normal et je ne retrouverai rien à redire si il n'y avait pas eu cette convention et ce "j'injecte tous les jours dans ce club".

[RACING1906]

Que tout un chacun puisse critiquer sa région, c'est normal. D'ailleurs tous les alsaciens dont je m'honore de faire partie ont un esprit HANS IM SCHNOKELOCH.

Par contre, SITTERLE a vu devant lui se dérouler un tapis rouge à son arrivée et les médias n'étaient pas en reste pour le glorifier. Que maintenant, lui, l'"amoureux du RACING", essaie de nous faire croire qu'un complot alsaco-alsacien est en train d'essayer de le déstabiliser et se pose en victime, je pense s'est proprement scandaleux.

Ce qui me semble plus proche de la réalité, c'est qu'il est très en colère que ses intentions inavouables et intéressées aient été portées sur la place publique.

[argueti]

Frédéric Sitterlé : « Il fallait sortir du blocage »

L’homme d’affaires de Blodelsheim justifie sa reculade sur un certain nombre de ses exigences (« L’Alsace » d’hier) par sa volonté de sortir de l’impasse et de tenir compte de la pression des mondes politique et économique strasbourgeois.

Il ne disconvient pas avoir dû revoir ses attentes à la baisse, mais maintient que la convention de gestion et le contrat de licence de marque Racing première mouture, tels qu’ils avaient été rédigés, faisaient davantage le jeu de l’association RCS foot que le sien, à travers sa holding Blodelsheim Media Venture. À dire vrai, peu importe : la question n’est désormais plus d’actualité.

Les premières versions de ces deux documents sont définitivement caduques. Frédéric Sitterlé a reculé sur à peu près toutes les conditions préalables qu’il souhaitait insérer dans les textes initiaux. « Pour avancer et ne pas rester dans une situation de blocage », justifie-t-il, « J’ai toujours à cœur de mener ma mission de reconstruction. Et pour ce faire, il fallait sortir par le haut de ce blocage. »

Pour avoir longtemps campé sur ses positions, l’homme d’affaires haut-rhinois s’est heurté à tout un environnement. « Les conventions initiales étaient bonnes pour l’association, mais elles ont peut-être été mal expliquées et mal comprises. Toujours est-il qu’elles sont devenues politiquement invendables. »

Le patron de myskreen.com choisit donc de porter l’affaire sur le terrain politique. Il assure même qu’autant que Patrick Spielmann, le président de l’association amateur, et les partenaires du club, la Ville de Strasbourg lui a fortement suggéré de recourir aux services de Henri Ancel. « Ce n’est pas moi qui suis allé le chercher », affirme-t-il, « Avec Henri (Ndlr : son ancien conseiller sur le dossier de rachat du club), nous n’avons pas été d’accord sur un certain nombre de choses. Mais je n’ai pas de problème de fond avec lui. Si on me dit que c’est la solution pour sortir de la crise, je ne vois pas pourquoi je m’y opposerais. Je ne suis pas dans une stratégie d’opposition. Peut-être que ma méthode n’a pas été la bonne et a pu créer une situation sensible. Si l’intérêt du club est de tenir compte de l’environnement politique et économique strasbourgeois, je suis prêt à revenir sur un certain nombre de mes demandes. Je suis sans doute allé un peu vite. »

Au passage, le Blodelsheimois confirme que Patrick Spielmann a bien proposé à Henri Ancel de lui succéder à la présidence de l’association amateur. Ce dernier a fait savoir hier qu’il ne souhaitait pas s’exprimer avant l’assemblée générale de lundi. Mais Sitterlé admet que son ex-allié a posé des conditions à son intervention, comme indiqué dans notre édition d’hier. « Henri a souhaité que certaines des personnes que j’avais mises en place (Ndlr : le chargé de logistique Matthieu Rabby et l’auditeur financier Philippe Chauveau) partent. C’est fait. Je le regrette, parce qu’ils pouvaient apporter au club. Mais encore une fois, je ne vais pas m’opposer à tout, car je désire avant tout que ce qui se passe en ce moment ne fasse pas rater la montée en CFA. »

Alors qu’il faisait de la signature de la convention entre sa SAS (société par actions simplifiée) et l’association un préalable à son engagement financier, Frédéric Sitterlé a intégré que le nouveau document soumis en AG lundi inversera les propositions. « Cette convention ne sera applicable que si je mets l’argent. Autrement dit, si j’assume les besoins en trésorerie jusqu’à la fin de saison. Ça a toujours été mon engagement de départ dès lors que la convention sera signée et ce sera finalement le meilleur juge de paix. »

Il réaffirme ainsi sa volonté de montrer patte blanche, tout en reconnaissant n’avoir pas encore fourni l’attestation de surface financière que lui a réclamée le conseil municipal le 20 février. « Je n’ai aucun problème à attester de cette surface financière », répète-t-il, « Je dois être prochainement reçu par la commission des sports de la Ville, à une date pas encore fixée, et je lui fournirai tous ces documents. En attendant, il est plus simple et plus sage de revenir à une convention de base qui, de toute manière, sécurise mon investissement. Encore une fois, c’est la meilleure solution pour avancer. La convention est, pour moi, le véritable acte de propriété du club. »

Reste qu’on peut aujourd’hui s’interroger : en se donnant le beau rôle et en pointant du doigt le supposé interventionnisme de la municipalité et, au-delà, de l’environnement strasbourgeois, Frédéric Sitterlé ne cherche-t-il pas à leur faire porter la responsabilité d’un éventuel départ ? Pour l’heure, il assure ne pas l’envisager, mais ne ferme pas la porte. « Je maintiens mon engagement. Après, si on souhaite que je parte, il suffira de me le demander poliment. »

Stéphane Godin

Sitterlé a réagi sur FB mais je n'ai pas accès ici ...

[argueti]

" Une fois de plus Godin écrit ce qu'il a envie d'écrire. Ce que je lis ce matin n'est pas le reflet de nos échanges d'hier. Mais comprend il seulement ce qu'il écrit ? C'est sur, à ce tarif la, je préfère encore quand il ne m'appelle pas. Je lui ai demandé de corriger. Cette campagne de désinformation à assez duré, il est temps que les masques tombent. "

[supppourtjs]

Il indique également sur FB que le dossier est maintenant dans les mains de ses avocats.