[13/14] Championnat

[RACING1906]

Je pense que ça ne vaut même plus la peine de compter...

[Kaniber]

football National, 28e journée : Racing – Colmar (1-2) Enterré par le voisin
publiée le 12/04/2014 à 05:00
DNA
Lancé dans des conditions idéales pour le Racing, le derby a confirmé la faiblesse des Strasbourgeois qui n’ont quasiment plus aucune chance d’éviter le CFA. Les SRC n’ont eu besoin d’afficher un visage convaincant qu’après la pause pour s’offrir une victoire qui les rapproche d’un tranquille maintie
Ce serait quand même ballot que cette Meinau s’endorme. Mais c’est bien ce qu’il risque d’arriver. En un match où s’offrait l’une des dernières occasions de se relancer, le Racing s’est ramassé, une nouvelle fois, dans les grandes largeurs.

A huit points de la 14e place ce matin, il a encore affiché d’énormes lacunes qui ne laissent guère de doute quant à son avenir.

Au moins, au regard de l’affluence enregistrée hier soir, on peut espérer quelques travées bien remplies la saison prochaine, en deux occasions, face à Sarre-Union et Mulhouse.
Chéré a planté l’ultime clou dans le cercueil des illusions strasbourgeoises
Mais il est bien triste de constater que le stade strasbourgeois, qui a accueilli plus de monde que sur les neuf autres stades, abritera, à la prochaine reprise, une équipe de CFA.

Car hier, la Meinau a bel et bien vibré comme en ses plus grands soirs, pour inviter ses Bleus à ne pas abandonner dans leur lutte pour le maintien. Le verdict final a toutes les allures d’une douche glaciale, à la mesure des espoirs fous nourris par la première période.

Le Racing déployé autour d’un milieu en losange, avec les deux incertains au coup d’envoi, Lienard et Donzelot, tout comme Pinaud qui n’aurait jamais quitté le onze, a d’abord paru dans ses petits souliers. Quand on n’a pas gagné depuis deux mois, il y a quelques raisons d’être prudent.

Mais les SRC, plutôt permissifs, n’en ont pas vraiment. Comme souvent côté strasbourgeois, Lienard a sonné la charge sur ses débordements côté gauche. Sur une interception de Pinaud, l’ailier a servi Mendy coupable d’une tête trop piquée pour ouvrir la marque.

La Meinau a vrombi. La Meinau a tremblé quand Moukhlil s’est trouvé dans un fauteuil pour défier Gauclin et tenter le lob sur le gardien. Le ballon est passé d’un rien à côté. Sur le dégagement, la lumière a jailli d’une action individuelle d’Alexandre Mendy (40e ).

Le derby était bien emmanché pour le moins bien loti des adversaires. Mais il faut croire que la pause a cassé l’élan. Ou plutôt, elle a permis aux SRC de se remettre les idées en places et le coaching, avec les trois changements à la pause, n’y a sans doute pas été pour rien.

«Il ne vaut pas mieux que je vous dise ce que j’ai dit à la mi-temps, a expliqué Damien Ott, l’entraîneur des Verts. N’importe quel entraîneur tombe sur ses joueurs en pareil cas. Après, on a présenté une belle et bonne image de Colmar. »

Effectivement. Mais la défense du Racing a vite ressemblé à un beurre ramolo au retour des vestiaires. Crillon a conclu un mouvement qui a permis aux visiteurs de se balader sans ciller dans la surface strasbourgeoise (55e ). Sikimic et ses amis ne s’en sont jamais remis.

« On s’est fait promener, on a perdu tous les duels, je ne m’imaginais pas que l’on soit si catastrophique, à la réception comme dans l’utilisation du ballon, a relevé Jacky Duguépéroux. C’est une faillite collective et c’est beaucoup plus inquiétant. L’addition aurait pu être plus salée.»

Car la peur est réapparue chez les Bleus, sans autorité et incapable de défendre sans qu’une pathétique panique ne gagne son arrière garde.
Les SRC peuvent envisager l’avenir en père peinard
Une passe laser de M’Tir a suffi pour ouvrir un boulevard dans la surface locale où tout le monde était emporté. Chéré a planté l’ultime clou dans le cercueil des illusions strasbourgeoises (74e ).

Le dernier quart d’heure, comme les six matches à venir qui n’auront guère d’intérêt, a été long comme un jour sans pain, sauf pour les SRC qui ont pu s’exercer dans l’art de la contre-attaque, en vain.

«Vous ne méritez pas ce public», a affiché le kop des supporters sur une banderole. Il est à peu près établi qu’il ne mérite pas non plus le National.

De leur côté, les SRC peuvent envisager l’avenir en père peinard avec un maintien assuré grâce à leurs dix points d’avance sur la zone rouge.

Sur une série en cours de neuf matches sans victoire, le Racing, lui, n’a plus l’ombre d’un espoir.

[Kaniber]

par Barbara Schuster, publiée le 12/04/2014 à 05:00 |
Mendy au charbon
DNA
Titulaire en pointe à la place de Sebastian Ribas, Alexandre Mendy n’a pas ménagé ses efforts. Mais son but, son premier avec le Racing, n’aura finalement servi à rien.
il ne lui a fallu que dix minutes pour faire parler sa puissance : contrôle, tir en pivot… Alexandre Mendy est dans le coup dès l’entame de ce derby. À l’image d’un secteur offensif plutôt en forme, où Lienard se montre flamboyant et Noro d’une précision diabolique.

Titulaire surprise en pointe, le jeune attaquant de 19 ans, arrivé en provenance de l’OGC Nice au mercato d’hiver, a donc croqué avec envie dans cette rencontre. Et après avoir fait parler son physique de gladiateur, l’avant-centre a montré qu’il avait aussi une belle pointe de vitesse. À la 16e , il laisse sur place Meyer, obligé de commettre une faute qui valait rouge (et finalement non sifflée par M. Guenaoui, l’arbitre de la rencontre).
Alexandre Mendy n’est pas du genre à gamberger
À la 33e , il endosse le costume de héros malheureux durant quelques minutes, après avoir placé une tête immanquable au-dessus de la transversale, sur un service superbe de l’inévitable Lienard. Mais Alexandre Mendy n’est pas du genre à gamberger. Alors quand une nouvelle occasion s’est présentée, il n’a pas tremblé.

Après un dégagement de Gauclin, légèrement dévié par Noro, il récupère le ballon dos au but, se tourne, avance de quelques pas, puis assène une frappe imparable. Cette fois, Mensah ne peut rien faire et Mendy peut courir fêter cette première en se jetant dans les bras de son pote Billy Modeste, resté sur le banc.

Pas rassasié, après la pause, le cousin de Nampalys Mendy (le milieu de l’OGC Nice), continue à s’offrir un beau duel avec Christophe Hérelle. À la 49e , il se montre un peu gourmand en tentant un retourné. À la 61e , alors que Colmar a égalisé via Crillon, il oublie Ledy et se fait contrer in extremis après un centre de Lienard.
Un point d’appui
Alors que le Racing recule et ne cesse de se mettre en danger, Mendy continue d’être un point d’appui incontournable. Notamment pour Gauclin. Mais le vent a bel et bien tourné. Et si l’attaquant continue à se démener à l’avant, ce sont les Colmariens qui mettent la main sur la rencontre.

Son but, finalement, n’aura servi à rien. Si ce n’est aux Strasbourgeois d’espérer, une heure durant, une issue autre qu’une descente en CFA qui semble désormais inévitable.

[urotsukidogi]

il reste encore 6 matchs

Et ça va être très long 5 défaites et un nul....

[Tenor]

tu es optimistes : on va battre le record de JMF alors

[Tenor]

ils vont prendre une casquette à ORLEANS

[Kaniber]

Pas sur , Orléans marque deux buts , et le tour et joué , il n'ont plus besoin de forcé

[Tenor]

et lorsque j'ai envie de me faire plaisir, j'en marque 3 autres : Strasbourg est une référence

[RACING1906]

VINGT NEUVIÈME JOURNEE

http://www.fff.fr/championnats/fff/nati ... e-1/agenda

[Kaniber]

et lorsque j'ai envie de me faire plaisir, j'en marque 3 autres : Strasbourg est une référence

Un peu , car aucune équipe n'a peur du Racing bien au contraire il sont heureux de joué contre eux ça leur rapporte des points

COLMAR S R / VANNES O C

Curieux de voir c'que Colmar va faire contre Vannes