[Ex] Rudy Carlier

[fab]

c'est le moins qu'on puisse dire...

[NéRiK]

J'espere qu'on aura quand meme la chance de revoir Zenke.

[Stan]

C'est trompeur ces 2 buts de Carlier.

Certes il était bien placé, mais à  chaque fois il n'a plus qu'à  la pousser au fond..

N'allons surtout pas croire qu'il peut être un titulaire en puissance.

[D520]

je vous trouve bien dur pour ce jeune !!!
il a marqué 2 x et vous voulez quoi encore , qu'il soit le nouveau n°10, qu'il remplace aussi Pelé en defense et Cassard dans les buts

je me souviens de Carlos Bianci venu au racing meilleur buteur de L1 .
chez nous il avait mis 3 buts en une saison , n'avait presque pas joué parce que Gress estimait qu'il n'apportait pas assez dans le jeu !!!
l'année suivant dans un autre club, il avait de nouveau fini dans les 3 premiers meilleurs buteurs et des buts genre le match de hier soir , il en a mis et ses clubs ont gagné des matchs !!!!!

[Roswell Man]

Si Carlier continue à  marquer, peu importe qu'il soit fantomatique le reste du temps, moi ça me convient très bien... Soit dit en passant, beaucoup de buteurs n'apportent rien ou presque rien au jeu, leur seul vrai talent c'est de se faire oublier et de savoir être là  où il faut, quand il faut...

[Pinon]

Le Trezeguet pour les pauvres

[GeoGeo]

et pinon sait de quoi il parle...

[silex57]

Pourquoi, lui c'est le Carlier des pauvres ?

[argueti]

L'efficacité selon Rudy

Titularisé à  la surprise générale lundi soir à  Metz, Rudy Carlier s'est montré à  la hauteur en réalisant un doublé qui a permis au Racing de ne pas sombrer totalement. Et le Picard n'a pas l'intention de s'arrêter en si bon chemin.

C'était la seule vraie surprise de la soirée. Lundi soir à  Metz, alors que tout le monde attendait un onze de base avec l'inévitable Kandia Traoré en pointe, Rudy Carlier a repointé le bout de ses crampons. D'entrée, alors que le Picard avait, depuis le début de saison, plutôt joué un rôle de joker.

Coaching payant

Un coaching qui s'est révélé payant. Car après une première occasion offerte de la tête par James Fanchone - où Carlier n'a pas réussi à  trouver le cadre - l'avant-centre n'a pas gambergé. Et la deuxième opportunité a été la bonne pour permettre à  son équipe d'égaliser. « C'était pas si facile à  mettre, raconte Carlier en évoquant ce premier but strasbourgeois, car la balle tourne un peu. J'ai juste essayé de la placer le plus près possible du poteau et de la lever, parce que j'ai vu que le gardien était encore près du sol ». Au final, Carlier a trouvé la lucarne opposée d'une frappe splendide, avant de doubler la mise en deuxième mi-temps en vrai renard des surfaces. « Dans ce genre de match, même une demi occasion, faut la mettre, poursuit-il. Il faut être opportuniste. Comme sur le deuxième but... J'ai suivi la balle au cas où le gardien relâchait et c'est ce qui s'est passé ».

« Ils sont anecdotiques »

Et même si Rudy Carlier n'a pas réellement savouré ces deux buts - « ils sont anecdotiques parce qu'ils ont le goût de la défaite », souligne-t-il -, l'attaquant se positionne de plus en plus comme une alternative crédible au poste d'avant-centre.
Car, avec trois buts en 282 minutes jouées, le joueur formé au Racing est à ... un but marqué par match. Pas si mal. Mais le Picard préfère oublier les statistiques et parler, plutôt, de « confiance » rendue à  son coach. « Je n'aime pas décevoir les gens. Jean-Marc Furlan m'a relancé et je me dois d'être meilleur à  chaque fois que je joue », assène le joueur. Pour s'y tenir et être encore plus efficace, Rudy Carlier sait que seul le travail paye. « Ces deux dernières années, j'ai franchi un palier, parce qu'à  Gueugnon comme à  Clermont, j'ai bouffé beaucoup de musculation. Aujourd'hui, je cours plus, j'ai pris du coffre », analyse-t-il. A ce physique enfin à  la hauteur s'ajoute un attrait obsessionnel pour le but adverse. Et en cela, il ressemble beaucoup à  Kevin Gameiro, autre Picard passé par le club.

Du « rab » en fin de séance

Un Gameiro, qui comme Carlier, faisait souvent du « rab » devant le but à  la fin des entraînements. Hier matin, le numéro 29 n'a d'ailleurs pas dérogé à  la règle, en enquillant les reprises - servi par ses compères Jean-Alain Fanchone et Zoltan Szelesi - alors que tout le monde avait déjà  regagné les vestiaires. Pas le choix. Car « rien ne vient sans rien », tranche-t-il.

Barbara Schuster

[silex57]

S'il en veut faut lui laisser sa chance, au moins il se bouge et ça mérite reconnaissance !