baskath a écrit :Jusqu'à preuve du contraire, dans ceux de Chahir non plus.
Je ne demande qu'à te croire:
dans l'affaire de la garde à vue, il n'y a pas encore de non lieu, mais une instruction encore en cours
Dans le cas du clip, celui-ci a été interdit de diffusion, et une plainte déposée...
Un employeur n'a pas à attendre une éventuelle condamnation quelconque pour procéder à un licenciement pour atteinte à son image ou manque de loyauté. Et quand bien même il n'y aurait aucune suite judiciaire, il y a des cas ou le licenciement a été jugé on ne peut plus légal. La seule contrainte, c'est que les faits reprochés (et potentiellement condamnables) soient "visibles" et constituent en soit un fait "matérialisé": dans le cas de la garde à vue, le club ne peut absolument pas s'appuyer sur ce qui a fait l'objet de la garde à vue (puisque ces faits sont non prouvés, donc potentiellement faux), mais sur le seul fait d'être emmené en garde à vue; pour le cas du clip, celui-ci constitue le fait répréhensible et se suffit à lui-même.
Je refuse d'admettre que l'humanité soit si tragiquement vouée à la nuit privée d'étoiles du racisme et de la guerre, que l'aube brillante de la paix et de la fraternité ne puisse jamais poindre.