maintenant faudra mettre la même intensité que face à l'OM pour réaliser un coup, j'espère qu'ils en seront capables
j'ai prono 1-1, vous avez vu mon optimisme de malade
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dna a écrit :La grinta sur la Riviera?
Face à l’OM dimanche dernier à la Meinau, le Racing a convoqué une vertu qui lui a parfois manqué en début de saison, la niaque, et frôlé l’exploit (3-3). Il devra de nouveau hisser son niveau d’intensité demain (15h) à Nice face à un “Gym” soucieux de se relancer après trois revers.
Anthony Gonçalves n’appartiendra jamais au cercle restreint des poètes du ballon rond. Sur un terrain de foot, le milieu du Racing est un pitbull et l’assume. L’ex-capitaine du Stade lavallois n’est pas du genre à y pénétrer en claquettes, sandalettes ou ballerines. Lui serait plutôt rangers, mode commando.
«Trop gentils, trop respectueux»
Depuis le début de saison, “Antho” n’avait guère eu l’occasion d’exprimer son sens du devoir et du sacrifice. S’il a participé à sept des neuf premiers matches, le Chartrain de naissance n’a honoré dimanche dernier face à l’OM que sa deuxième titularisation (3-3), après celle à Montpellier le 19 août (1-1).
Durant 90 minutes, il n’a cessé de harceler des Olympiens usés de l’avoir ainsi trimbalé dans leur short. Parfois teigneux, il symbolise à merveille cette niaque dont le Racing aura grand besoin pour décrocher son maintien en Ligue 1.
Mais on n’en saura pas plus pour l’instant sur son ressenti après sa prestation de niveau “olympique”: depuis quelques semaines, le milieu relayeur, aligné le week-end passé sur le côté droit du losange, décline poliment toute demande d’interview.
Comme hier d’ailleurs où il a néanmoins pris soin d’expliquer que cette posture était sans rapport avec la presse elle-même.
D’autres que lui ont donc été invités à évoquer cette grinta décuplée dont il n’est pas le seul gendre idéal. Jérémy Grimm (cinq apparitions, zéro titularisation) est aussi l’un des garants d’une… “Grimmta” – bon mot qu’on doit à Thierry Hubac, le Monsieur communication du Racing – qui a permis au club de s’offrir deux montées d’affilée.
«La niaque nous manquait, juge le récupérateur alsacien. Nous étions plusieurs à découvrir la L1 et sans doute, au début, avons-nous été trop gentils, trop respectueux des stars que nous avons croisées. Mais quand tu entres sur le terrain, quel que soit l’adversaire, tu dois te faire respecter. Contre l’OM, je suis super content du groupe, de ce qu’il a montré: générosité, envie, rage. Il faut absolument s’appuyer sur ces vertus pour la suite, sans se prendre pour d’autres, ni oublier d’où l’on vient »
«Quand je rentre, je rentre… dedans»
Le latéral droit Kenny Lala dresse le même constat: « Nous avons toujours essayé de répondre présent dans les duels, mais parfois, ça manquait un peu d’intensité. Malgré le but encaissé d’entrée face à l’OM, nous avons pris le match par le bon bout. La preuve, nous avons su nous ressaisir tout de suite et être plus agressifs que lors de certaines rencontres précédentes.»
Même si cette hargne n’est pas une condition suffisante, elle est nécessaire aux yeux d’un Grimm qui s’efforce de donner l’exemple dès qu’il en a la possibilité.
«Quand tu as en face des joueurs aussi talentueux, tu ne peux pas être à 20 %, pas même à 80. Pour l’instant, je joue peu, mais quand je rentre, je rentre… dedans. Je les croque à fond (sic !). Notre but doit être commun : progresser et obtenir le maintien tous ensemble pour rester dans la cour des grands.»
Le Haut-Rhinois, formé au Racing où il est revenu en 2013 après une “escapade” de six ans, avance un autre argument pour expliquer la détermination un peu sinusoïdale des Bleus depuis la 1re journée le 5 août à Lyon: le profond remodelage estival de l’effectif.
«Les dix nouveaux ont dû s’adapter à la région et prendre leurs repères avec le groupe. Un changement de club est toujours un grand bouleversement. Ça ne se fait pas d’un claquement de doigts. La sauce prend tout doucement. Si personne ne triche et si chacun respecte l’autre, je ne vois pas pourquoi ça ne marcherait pas. Il ne faut pas se lamenter, mais, au contraire, continuer à travailler dans la bonne humeur.»
Si, à l’instar d’Anthony Gonçalves, les Bleus privilégient ces prochains temps les actes aux paroles, ils multiplieront leurs chances de tenir les promesses entrevues face à l’OM.

Je ne peux pas répondre à toutes tes sotises mais celle làsolari1 a écrit : Ta propension à toujours mettre William Vainqueur sur le tapis devient de plus en plus ridicule.
Il a fait une bonne saison, c'est évident, mais, il n'est plus là point, peu importe les raisons.
Son talent, ne lui a pas permis de trouver un club de standing, il joue aujourd'hui à Antalyaspor, avant dernier du championnat turc.
C'est toi qui vantait les qualités de Vainqueur de façon régulière pas moi, n'inverse pas les rôles.






