[05/06] 29ème J: Rennes / RCS : 2-1

[Toinou]

Un nul conviendra a tout le monde

Ben oui, mais on prend lequel? Perrier-Doumbe ou Farnerud?

[anonix]

Un boulet de Loué ???

Par les temps qui courent, c'est risqué !!

T'as inversé les mots..
ca donne : "Loué un boulet"
Ok moi aussi je sors

[argueti]

Un nul conviendra a tout le monde

Ben oui, mais on prend lequel? Perrier-Doumbe ou Farnerud?

Gmandia silteplé

[dinky]

Au fait, si vous voulez passer nous voir, nous notre forum il est un peu spécial.
http://phare-ouest.net/forum-srfc/

Sinon, bravo pour votre parcours en UEFA.

[anonix]

Sans Gameiro, sans Gmandia, avec un Alex Farnerud qui est en méforme et un Németh qui s'est trompé de sport, je me demande quand même comment on va faire en attaque...

[Keating]

Au fait, si vous voulez passer nous voir, nous notre forum il est un peu spécial.
http://phare-ouest.net/forum-srfc/

Très sympa votre vidéothèque Faudrait qu'on fasse la même chez nous

Au fait, on peut pas faire un arrangement, vous nous laissez gagner samedi et on demande à  Colmar de vous laisser passer

[seb]

On a deux matchs a faire à  la maison, vous et Ajaccio

Alors tu sais ce qu'on fait mon ami... on considère que contre Strasbourg, vous perdez... (ça sert à  rien de prendre des risques avec Utaka, laissons le récupérer de ses points de sutures... ), et puis vous vous rattrapez contre Ajaccio... (eux vous pouvez les tapper très fort, ça nous dérange pas du tout).

Voilà , on compte sur vous ... en hommage au non-match qu'on a livré à  la Meinau contre vous...

[dinky]

John, franchement ça m'étonnerait qu'il joue, mais on a Jimmy Briand qui peut jouer à  sa place, et dès fois c'est pas mieux pour l'adversaire.
De tout façon notre point fort, c'est plutot les passeurs, quand Gourcuff,Kallstrà¶m,Monterrubio et Sorlin sont en pleine bourre comme en ce moment, tu mets n'importe qui avant centre, il arrivera quand même à  pousser le ballon dans les buts.

[argueti]

De battre leur coeur ne s'arrête pas

La situation du Racing, critique voilà  quinze jours, s'est nettement améliorée. Et si les Strasbourgeois parviennent à  conserver le formidable état d'esprit manifesté dimanche après-midi devant Troyes (2-0), ils peuvent encore croire au maintien.

Même si la relégation demeure, après 28 journées de Ligue 1, l'issue la plus probable pour le Racing, elle n'apparaît plus aujourd'hui comme inéluctable. Comme quoi tout peut aller très vite dans le football, dans un sens comme dans l'autre, du reste. Et ce à  chaque extrémité du classement, puisque le grand Olympique Lyonnais, qui a compté jusqu'à  15 points d'avance sur la 2e place, vient de son côté de voir revenir Bordeaux à  6 longueurs.
Au soir du match nul concédé à  la Meinau devant Ajaccio, le samedi 11 février, c'en était fini des espoirs de maintien du Racing : 10 points de retard sur Troyes à  12 journées de la fin, c'était râpé. Mort ! Deux journées -et deux succès- plus tard, la tendance est toute autre.

Cinq victoires sur les dix dernières journées pourraient suffire au Racing

« Nous avions la pression avant le match. Aujourd'hui, elle est un peu plus sur Troyes. Nous sommes sur la bonne voie. Mais pas encore sauvés », rappelle opportunément Pontus Farnerud, qui évolue à  son meilleur niveau ces temps-ci.
Mathématiquement, la situation du Racing demeure certes très précaire. En prenant 23 points en 28 matches, les Strasbourgeois ont musardé. Mais Troyes, 17e et premier non relégable, ne taille pas la route non plus, avec une cadence inférieure à  1 point par match (27 pts). Sur ces bases-là , on peut toujours espérer que le maintien se jouera autour de 38 points. Cinq victoires sur les dix dernières journées pourraient donc suffire au Racing.
A bien y regarder, il va tout de même falloir souquer ferme pour les décrocher, sachant que Strasbourg disputera six de ses dix derniers matches à  l'extérieur. Et terminera par deux déplacements à  Marseille et Auxerre, rien que ça !
Sans compter que Troyes n'a pas dit son dernier mot. Le passage à  vide de l'ESTAC (7 matches sans victoire) est certes porteur d'espoir pour le Racing, qui a pu s'apercevoir dimanche qu'il n'y avait « pas grand-chose en face », comme on dit. Mais ces quatre points, il faudra tout de même aller les reprendre aux Troyens, qui auront l'avantage, eux, de disputer six matches sur dix à  domicile.
Ce retour à  quatre points n'est en réalité pas le principal enseignement dominical. Ce qui est porteur d'espoir, c'est l'état d'esprit avec lequel les Strasbourgeois ont abordé ce match « à  la vie à  la mort ». Une véritable envie d'en découdre, de l'engagement souvent, de la bravoure parfois. Un sacrifice même : celui du jeune Gameiro, qui avec l'insouciance des ses 18 ans, n'a jamais reculé face au robuste Kouassi, un joueur très « dur sur l'homme », jusqu'à  y laisser son genou gauche.
En outre, le Racing ne s'est pas résigné, jamais, même lorsque ça ne voulait pas rentrer, comme dans le dernier quart d'heure de la première mi-temps, outrageusement dominé par les Bleus. Avec pour symbole de ce Racing qui ne lâche plus rien l'infatigable Yacine Abdessadki, que Philippe Ginestet a rudement bien fait d'aller rechercher à  Toulouse, où il se morfondait.

Gameiro sera opéré demain et absent des terrains pendant six mois

En récupérant ce fier guerrier, mais aussi le prometteur Abou et l'étonnant Loué, le Racing a plutôt réussi son mercato. La dernière énigme concerne l'avant-centre slovaque Szilard Nemeth. Elle sera bientôt levée puisqu'en l'absence de Gameiro, qui sera opéré demain des ligaments croisés du genou gauche et absent des terrains pendant six mois, Jacky Duguépéroux n'a plus d'alternative. « Le tour de Nemeth est venu », confirme l'entraîneur strasbourgeois. Etant entendu que son seul rival valide, Alex Farnerud, reste sur deux apparitions assez pathétiques...

La poursuite impitoyable

En deux journées, le Racing vient de réduire son retard de 10 à  4 points sur le premier non-relégable, Troyes. À dix journées de la fin, la bataille fait rage entre les quatre derniers, Troyes, Strasbourg, Ajaccio et Metz.

C'est devenu un marronnier en fin de saison du côté du Racing Strasbourg depuis l'exercice 1996-97 que les Bleus, sous la première ère Jacky Duguépéroux, avaient bouclé à  la 9e place, avec 60 points, à  4 longueurs seulement du podium. L'embellie de 1999-2000, qui coïncidait avec le remplacement de Pierre Mankowski par Claude Le Roy, avait certes permis au RCS d'atteindre également le 9e rang, mais avec 46 points seulement. Et le club alsacien pointait encore à  la 12e place après 28 journées, avec 36 unités au compteur. Quatre de plus alors que le premier relégable. Cette année-là , Nancy était descendu avec 42 points (en 34 journées), devancé par Marseille à  la différence de buts. Depuis près de dix ans donc, le sujet redevient d'actualité à  chaque sortie d'hiver : le Racing peut-il s'en sortir et renouveler son bail en Ligue 1 ? En huit saisons d'âpres et épuisantes batailles, il n'a échoué qu'une fois, en 2000-2001, terminant 18e et dernier (29 points en 34 journées). Mais il n'a passé qu'une année au purgatoire de la Ligue 2. En cette maudite année 2005-2006 (« la plus noire que j'aie connue », disait dimanche Jacky Duguépéroux), la lutte pour le maintien se circonscrit à  quatre équipes : Troyes 17e (27 points, - 12 au goal-average), Strasbourg 18e (23 points, - 14), Ajaccio 19e (21 points, - 18) et Metz 20e (19 points, - 24, un match de plus à  disputer contre Nancy mardi 7 mars à  Saint-Symphorien). Sochaux, 17e avec 33 points, s'est définitivement mis hors de portée en alignant deux succès contre Auxerre (1-0) et à  Nancy (3-0). Le comparatif des forces en présence et des calendriers de fin de saison confirme l'impression laissée par le terrain : le Racing garde toutes ses chances de sauver sa peau à  dix journées de la fin. Combien de points pour le maintien ? Troyes, premier non-relégable, possède 27 points en 28 journées. A ce rythme-là , le maintien pourrait se jouer à  37 ou 38 points. Moins peut-être si l'on considère que les Aubois n'en ont récolté que 2 sur 21 lors des sept dernières journées. Le classement : Troyes a la main. Même si cela ressemblait à  s'y méprendre à  de l'autopersuasion, le discours de l'entraîneur troyen Jean-Marc Furlan dimanche à  la Meinau après la défaite de son équipe (0-2) n'était pas dénué de tout fondement. « D'aucuns considèrent que nous n'avons plus que quatre points d'avance. Je maintiens que nous en avons encore quatre et que c'est beaucoup. Je suis moins inquiet aujourd'hui qu'avant le coup d'envoi de la saison où tout le monde nous voyait dans la charrette. » Reste que lors des 7 dernières rencontres, le Racing, pour ne citer que lui, a repris 9 points aux Troyens. Pour Metz, largué de huit points avec un match en retard, et Ajaccio, distancé de six longueurs, les affaires se compliquent. Le goal-average : Strasbourg en pole. Des quatre équipes en bagarre, Troyes possède provisoirement la meilleure différence de buts. Mais si le RCS parvient à  lui reprendre quatre points (1 victoire et 1 nul, contre 2 défaites aux Aubois), la tendance s'inversera forcément. La preuve : avant la rencontre de dimanche entre les deux équipes, les Bleus comptaient six buts de retard. Aujourd'hui, il n'en ont plus que deux. Les confrontations directes : Strasbourg invaincu. Seul le Racing a affronté ses trois concurrents à  l'aller et au retour. Il est invaincu (2 victoires et 4 nuls, raflant 10 points sur 18) dans les confrontations directes. Ses trois rivaux, qui doivent encore se mesurer dans une triangulaire retour, ne peuvent en dire autant. Metz et Troyes (5 points en 4 matches) se sont déjà  inclinés une fois. Ajaccio (2 points sur 12) a, lui, connu deux échecs. Un bilan qui confirme que le club bas-rhinois n'a vraiment rien à  envier à  ses concurrents. Le calendrier : avantage Troyes, Metz et Ajaccio. Les trois adversaires du Racing recevront six fois sur dix (sept sur onze même pour les Lorrains, avec leur derby en retard contre Nancy), alors que les hommes de Jacky Duguépéroux devront, eux, se déplacer à  six reprises. Faut-il pour autant s'en inquiéter ? Pas forcément lorsque l'on sait que Troyes vient de perdre ses trois derniers matches au stade de l'Aube ou que Metz a pris quelques éclats à  Saint-Symphorien. Les Troyens auront tout de même l'avantage de jouer trois de leurs quatre dernières rencontres à  domicile, face à  des adversaires abordables (Ajaccio, Toulouse et Nice), alors qu'à  l'inverse, les Alsaciens se déplaceront 3 fois entre la 35e et la 38e journée (à  Sochaux, Marseille et Auxerre). Mais le Racing, qui vient d'engranger 7 points lors de ses 6 derniers déplacements et aurait pu prétendre à  beaucoup plus s'il ne s'était pas injustement incliné dans les arrêts de jeu à  Nantes (4-3) et Bordeaux (2-1), puis dans les dernières minutes à  Lens (2-1), a montré ces derniers mois sa capacité à  bien voyager. Le précédent. En 2002-2003, Montpellier comptait neuf points de retard sur le premier non-relégable après 24 journées et avait fini 16e. Pour fêter ce « miracle », l'entraîneur Gérard Bernardet et son adjoint Pascal Baills (l'ex-Strasbourgeois) avaient rallié Montpellier à  Lourdes en vélo. Racing : les clefs du maintien. S'il venait à  amasser 7 points lors de ses 6 ultimes déplacements, le RCS pourrait n'avoir besoin « que » de 3 victoires sur ses 4 apparitions à  domicile pour s'en sortir. Mais autant, sinon davantage qu'à  l'extérieur, c'est bien à  la Meinau, où il est invaincu depuis quatre matches (nuls contre Ajaccio et Paris, succès sur Metz et Troyes et 8 points sur 12), qu'il jouera sa survie. Le Mans, Lille, Nantes et Nancy seront ses quatre derniers visiteurs.

Rennes et Nice en arbitres

Son entraîneur Jean-Marc Furlan a beau ne pas se dire inquiet, Troyes risque de passer un sale quart d'heure lors des 5 prochaines journées. Gharib Amzine et les autres ouvriront le bal dimanche au Stade de l'Aube par le derby contre Auxerre, 4e. Ils se rendront ensuite à  Lens, 7e, accueilleront le dauphin bordelais, rendront visite à  Rennes et recevront le quadruple champion de France Lyon. Autant dire qu'ils ont tout intérêt à  se cramponner à  leurs 4 points d'avance. Les Rennais seront d'ailleurs le premier arbitre de ce sprint final, puisqu'ils affronteront les quatre derniers à  la suite à  partir de samedi. Nice sera le second. Les Aiglons croiseront eux aussi la route des quatre à  partir de la 33e journée. Petit bonus pour le Racing : il est le seul du quatuor à  en avoir déjà  décousu deux fois avec l'OL (pour deux revers d'ailleurs). Et quand on sait que les Lyonnais ont battu Ajaccio, Metz et Troyes lors du cycle aller, ce n'est pas une mauvaise chose. Le RCS suivra avec attention les confrontations directes de ses adversaires, en espérant secrètement qu'ils se neutraliseront. Lui devra composer sans Kevin Gameiro. Dimanche contre Troyes (2-0), Jacky Duguépéroux a étonné tout le monde en remplaçant son attaquant blessé par Alexander Farnerud, pourtant invisible trois jours plus tôt contre Lovech. Il a préféré laisser sa recrue du mercato, le Slovaque Szilard Nemeth, se morfondre sur le banc avant d'aller défier les Bleus demain au Stade de France avec sa sélection. La Meinau a copieusement conspué le cadet des Farnerud à  plusieurs reprises. « Alex a répondu sur le terrain en délivrant la passe décisive sur le second but », justifie « Dugué », « Pourquoi Nemeth n'a-t-il pas joué ? Si je l'avais trouvé transcendant à  l'entraînement, je l'aurais fait entrer. C'est un choix. Point. Pour l'instant, ce qui me préoccupe, c'est que tout le monde décompresse avant de préparer le voyage à  Rennes. »

Gameiro opéré demain

Le professeur Christian Lutz n'avait guère laissé de place au doute en auscultant Kevin Gameiro dimanche soir à  la Meinau. Remplacé à  la 65e par Alexander Farnerud, le jeune attaquant strasbourgeois souffre bien de la rupture des ligaments croisés du genou gauche diagnostiquée à  chaud par le chirurgien. Son confrère et collègue Jean-Henri Jaeger, auquel Gameiro a rendu visite hier à  10 h 30, a confirmé le verdict. Il opérera lui-même le lutin de l'attaque strasbourgeoise ce mercredi matin. Le jeune buteur alsacien (5 buts officiels en pros, tous inscrits depuis le 14 décembre), qui restera quelques jours à  l'hôpital avant d'entamer sa rééducation, sera indisponible six mois. Il ne sera même pas opérationnel pour le coup d'envoi de la saison 2006-2007.

[coyote]

Ils vont être motivés vos p'tits gars !

Oui, mais voilà  :

Rennes : Utaka OK pour Strasbourg ?
mardi 28 février 2006 - 08 h 38
John Utaka espère être opérationnel samedi pour la venue de Strasbourg au Stade de la Route-de-Lorient. L'attaquant nigérian de Rennes s'est fait poser des points de suture au tendon du pied droit et marchait toujours avec des béquilles lundi.
John Utaka avait beau avoir encore besoin lundi de béquilles pour se déplacer, après s'être fait poser samedi des points de suture au tendon du pied droit, le Rennais espère répondre présent samedi pour la venue de Strasbourg en Championnat.

Le Nigérian, qui reste sur deux triplés consécutifs, est l'homme en forme côté rennais