Frédéric Sitterlé

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fan_racing
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Re: Frédéric Sitterlé

Message par fan_racing »

Surtout d'ailleurs quand c'est le président du club (même si c'est une notion floue pour l'heure) qui paye les saucisses, ça aide.
Après, ça dépend quand même de quels UB90 tu parles, je connais un certain nombre de personnes dans le kop qui sont de très fidèles supporters du Racing et qui ne se prennent pas la tête avec ces histoires sur Internet ... et je pense même qu'ils sont une majorité ...
lunada
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Re: Frédéric Sitterlé

Message par lunada »

Je pense que tu as raison, quand je parle des Ub ce ne sont pas ceux qui font le spectacle, ceux-là sont tout à fait respectables et méritent le statut de supporter exemplaires. Je mets en cause les soi-disants responsables, lekost, kenny , conan et autres greg qui ne font que manipuler ces pauvres malheureux qui ont le club dans le coeur.
Modifié en dernier par argueti le 25 juil. 2011 2:03, modifié 1 fois.
Raison : edit argueti : on va éviter les insultes svp ;)
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supppourtjs
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Re: Frédéric Sitterlé

Message par supppourtjs »

Ce n'est pas faut.
Sans la liberte de blamer il n'y a point d'eloge flatteur.
Manu
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Re: Frédéric Sitterlé

Message par Manu »

ou faux !

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supppourtjs
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Re: Frédéric Sitterlé

Message par supppourtjs »

:oops: :oops: 8)
Sans la liberte de blamer il n'y a point d'eloge flatteur.
télésupporteur
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Re: Frédéric Sitterlé

Message par télésupporteur »

à part être candidat, il n'a pas donné de projet
et surtout, il n'a pas donné les raisons du refus de reprise par hilali :idea:
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argueti
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Re: Frédéric Sitterlé

Message par argueti »

L'Alsace a écrit :Sitterlé est proche du but

C’est aujourd’hui que Frédéric Sitterlé remettra à l’administrateur judiciaire Claude-Maxime Weil son dossier de candidature pour la reprise du RCS. Au travail depuis plusieurs semaines, le Blodelsheimois est en pole position. Entretien. Il a tenté sa chance à plusieurs reprises quand Jafar Hilali était encore à la tête du club. En vain. Aujourd’hui, Frédéric Sitterlé, 36 ans, remet le couvert. Dans la journée, le PDG de la société Myskreen.com remettra son dossier de reprise du Racing Club de Strasbourg à l’administrateur Claude-Maxime Weil, patron de la maison bleue depuis sa mise en redressement judiciaire le 18 juillet dernier. Le Blodelsheimois est a priori le seul candidat sérieux à faire cette démarche. Il devra attendre le 22 août, date de la prochaine audience du Racing devant la 1 re chambre commerciale du Tribunal de grande instance de Strasbourg, pour connaître le sort réservé à son projet.

Frédéric Sitterlé, dans quel état d’esprit êtes-vous ?

Ça va, le dossier est prêt. Cela fait plusieurs semaines que je travaille dessus. J’ai rencontré beaucoup de monde, la Ville de Strasbourg, la Région, la Ligue d’Alsace de football (LAFA)… Tous m’ont encouragé dans mon projet. Je suis le seul à avoir fait cet effort. J’ai tenu compte de toutes les remarques et ce travail en amont renforce mon dossier.

Vous avez également participé aux dernières audiences du club devant les instances nationales. Pourquoi ?

À la Fédération française de football (rencontre informelle avec le président Noël Le Graët notamment, Ndlr), puis devant le CNOSF (1) mercredi, j’étais là en tant que partenaire financier de l’association support RCS Football. C’est elle qui aujourd’hui est à la tête du secteur sportif du Racing et je voulais donner un signe fort de mon engagement avec elle. Le but, c’était de montrer que la structure est solide financièrement.

De nombreux amoureux du Racing se demandent pourquoi cet engagement n’a pas été possible plus tôt. Que leur répondez-vous ?

J’ai essayé de racheter le club à trois reprises à Jafar Hilali. Au printemps 2010, avec un pool de repreneurs locaux, nous avons proposé 4,9 millions d’euros. Hilali a refusé. En juin 2010, j’ai fait une deuxième offre, à un moment où le club avait besoin de garanties financières. J’ai proposé 2 millions contre 34 % du club. Hilali a une nouvelle fois refusé. Enfin, le 20 juin dernier, j’ai formulé une troisième offre d’1,6 million. Hilali refuse le lundi et entre en négociations avec la famille Graeff le vendredi. J’estime qu’avec trois propositions, j’ai fait le maximum. Je ne suis pas allé au-delà parce que la vente avec les Graeff était faite. Pour moi, le club était sauvé. J’étais déçu personnellement mais soulagé pour le Racing, et je n’ai pas surenchéri.

Finalement, la vente ne s’est pas faite en raison de la rétrogradation administrative du Racing en CFA. Et vous êtes toujours là…

Je trouve que le club mérite qu’on continue à se battre pour lui, c’est tout. On demande à un sportif de se montrer combatif sur le terrain, les dirigeants doivent montrer l’exemple en dehors. Pour moi, c’est naturel.

Mais racheter un club de CFA, ce n’est pas pareil qu’un club de National, non ?

Ça ne me fait pas peur. Quelle que soit la situation sportive et financière du Racing, ça reste le Racing, ça reste notre Racing.

D’où vous vient cet amour pour le club ?

C’est une histoire personnelle et d’identité régionale. Comme beaucoup de personnes de mon âge, j’ai de grands souvenirs de samedis soirs passés à la Meinau quand j’étais jeune.

Quelle légitimité avez-vous dans le monde du football ?

J’ai rejoint la LAFA en 1992, où j’ai intégré le conseil des jeunes de la Ligue. Plus tard, j’en ai pris la présidence. Là-bas, j’ai fait la connaissance de Paul Frantz et d’Erny Jacky. Plus tard, j’ai rejoint la Fédération française de football à Paris. Ce qui m’a marqué, c’est la préparation de la Coupe du monde 1998. J’ai eu la chance de côtoyer des grands noms du foot français, comme Jacques Georges, Fernand Sastre, juste avant sa mort, ou encore Georges Boulogne, l’éducateur français par excellence. Il avait 80 ans et il était tous les jours à son bureau, qui était juste à côté du mien.

Votre envie de devenir un jour dirigeant d’un club de football est-elle née à ce moment-là ?

Jusqu’à ce qu’on me téléphone en 2009, quand Philippe Ginestet était encore président du Racing, je n’avais jamais pensé m’impliquer un jour en tant que dirigeant. À cette époque, c’est un banquier qui m’appelle pour me dire que le Racing est à vendre et que ça peut m’intéresser. J’ai d’abord répondu non, puis j’ai réfléchi et j’ai demandé à lire le dossier. Ensuite, on a fixé un rendez-vous avec Ginestet mais la veille de notre rencontre, j’ai appris dans « L’Alsace » que la vente venait d’être conclue.

Pourquoi êtes-vous revenu à la charge ?

En marge d’un match de l’équipe de France, le président de la LAFA Albert Gemmrich m’a dit qu’il était très inquiet pour le Racing, et que si je pouvais faire quelque chose, il comptait sur moi. Ce jour-là, j’ai pris une sorte d’engagement auprès de lui. J’espère pouvoir le tenir.

Quelles sont les grandes lignes de votre projet ?

Il est trop tôt pour en parler. Dans ce dossier de reprise, ce qui m’importe, ce sont les salariés. Ils ont été chahutés dans tous les sens depuis de très longs mois, mais ils ont des compétences dont le club a besoin. Le but, c’est de créer une nouvelle société le plus vite possible pour que ces gens-là, qu’ils poursuivent ou non leur aventure avec le Racing, aient un avenir. Dans mon projet, je souhaite préserver des emplois.

Vous êtes-vous déjà fixé des objectifs précis ?

Le Racing en CFA, c’est une anomalie. On n’est pas là pour stationner à ce niveau, on veut remonter très vite. L’avis rendu jeudi par le CNOSF (2) nous est favorable. Maintenant, c’est la Fédération qui va décider mais on est en droit d’être raisonnablement optimiste. Je ne veux pas parler de budget, mais dans tous les cas, le plus important sera de se donner les moyens de poursuivre la politique de formation à Strasbourg et d’avoir une structure solide pour être prêt le jour où on retrouvera le statut professionnel.

(1) Comité national olympique et sportif français.
(2) Le CNOSF a demandé à la Fédération de réexaminer la situation du Racing, rétrogradé selon lui hâtivement en CFA.

Fabien Rouschop
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argueti
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Re: Frédéric Sitterlé

Message par argueti »

DNA a écrit :Sitterlé en pôle

L’administrateur judiciaire, Claude-Maxime Weil, a reçu deux offres de reprise, hier. Frédéric Sitterlé a formulé la plus crédible.

Claude-Maxime Weil, l’administrateur en charge du plan de redressement du Racing, a reçu, sans surprise, deux offres pour reprendre les actifs du club. Hier après-midi, il a rencontré les porteurs des deux dossiers, Thomas Fritz et Frédéric Sitterlé. Le projet du premier ne l’a visiblement convaincu qu’à moitié. « On pourrait dire que c’est un dossier littéraire, considère Claude-Maxime Weil, puisqu’il ne compte ni volet social, ni volet financier. Thomas Fritz espère m’apporter des garanties. Il faudrait qu’elles apparaissent rapidement. »

En revanche, Frédéric Sitterlé a apporté un dossier plus construit. « Dans son plan, il prévoit le maintien de trois salariés du secteur administrateur, ainsi que le contrat de treize aspirants, indique l’administrateur judiciaire. Il reprend les actifs pour un peu plus de 150 000 euros, s’engage à construire une société au capital de 400 000 euros et à apporter 700 000 euros pour la saison d’après. »

L’image du chef d’entreprise le rend favori dans le projet de reprise. « Il a clairement le soutien de la ville, constate Claude-Maxime Weil. Il y a effectivement un consensus autour de lui. Je regrette seulement qu’il ne puisse pas faire un effort supplémentaire. Mais c’est vrai qu’il ne reprend pas une jolie mariée. » Accessoirement, le Racing reste dans l’attente de décision fédérale, qui pourrait intervenir mercredi. Le club strasbourgeois n’a pas les mêmes attraits en DH ou en CFA.

« Discuter pour qu’il améliore son offre »

« Il y a notamment un volet sponsoring que l’on n’a pas abordé, poursuit M. Weil. Je pense que nous allons continuer à discuter pour qu’il améliore l’offre de reprise. Je pense que c’est un dossier qui se plaide, devant le tribunal. Mais le représentant des créanciers pourrait faire grise mine, alors que la marque, par exemple, avait été valorisée à 1,8 million d’euros. Ceci étant, c’est tout de même mieux que rien. » C’est surtout l’unique voie pour envisager un plan de cession plutôt qu’une liquidation pure et simple.

Fr.N.
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jinky
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Re: Frédéric Sitterlé

Message par jinky »

400 000 euros la premiere année, pour moi c'est des broutilles .................pauvre Racing !
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Gotcha
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Re: Frédéric Sitterlé

Message par Gotcha »

ça reste le seul ... LE SEUL !!! à avoir posé du pognon sur la table

et pour ça, il mérite un peu de considération. où sont tous les autres amoureux du racing ? les anciens actionnaires minoritaires, les anciens de 79, les autres, bref tous les beaux parleurs dans les journaux, au moment où il faut poser du pognon sur la table ? c'est ça qui est triste de mon point de vue...
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