FC Metz

[lolo]

Se prendre 1 but juste apres les évènements, c'est quand meme clair que l'équipe était destabilisée par ce qui c'est passé, pour moi le match doit etre attribué 0-3 sur tapis vert et 2 matchs à  huit clos ferme + 4 avec sursis

Faut quand même pas exagérer. Il s'est passé des choses plus sérieuses dans un passé pas si lointain, à  St Symphorien... Et là , les "supporters" strasbourgeois n'étaient pas tous roses...

[Its_me]

Il me semble qu'il y a deux ans il y avait eu bien pire et ils n'avaient pas été sanctionnés.
Si je me souvient bien, les supporters préparé un truc avec je ne sais combien de drapeaux.
Le match avaient mal tourné et ils balançaient les drapeaux avec leur hampe sur le terrain.

[Manu]

Les incidents de samedi posent au FC Metz un problème à  résoudre d'urgence : celui de se débarrasser d'une poignée d'indésirables.

La rencontre entre Metz et Strasbourg a été interrompue pendant six minutes, en début de deuxième mi-temps, en raison d'une tentative d'envahissement du terrain depuis la tribune Ouest. Mais un premier foyer venait d'être allumé en tribune Est, juste après le deuxième but strasbourgeois, lorsque des supporters messins ont répondu aux provocations de leurs homologues alsaciens.
Dans une sorte d'effet boule de neige, plusieurs individus ont alors quitté la tribune Ouest avec l'intention d'aller en découdre avec les Strasbourgeois, en passant par l'arrière du stade. Refoulés, certains d'entre eux se sont ensuite dirigés en direction de la corbeille présidentielle, en tribune Sud. Selon Jacky Ancel, responsable de la sécurité, il s'agit d'individus membres de la Faction, un groupe non officiel composé selon lui de « nazillons ». Le calme revenu, notamment suite à  l'intervention des CRS en tribune Est, la partie a repris mais un nouveau moment de flottement a suivi lorsque Stéphane Cassard, le gardien de but strasbourgeois, s'est plaint de recevoir des projectiles.
Aucun incident n'a été à  déplorer à  l'issue de la rencontre.Le déroulement défavorable aux Messins n'a évidemment rien arrangé au contexte par nature électrique d'un derby. Mais ce n'est pas la première fois, cette saison, que des dérapages sont à  déplorer en tribune Ouest : face à  Lille, lors du premier match de la saison à  Saint-Symphorien, Richard Trivino avait été pris à  partie par une poignée d'individus. La décision prise ensuite par les dirigeants messins de se séparer du gardien de but arrivé de Créteil à  l'intersaison a pu laisser penser aux supporters qu'ils disposaient d'un véritable pouvoir, de nuisance en l'occurrence. Enfin, si beaucoup se détournent du FC Metz ainsi qu'en témoigne la faible affluence de samedi (à  peine plus de 15000 spectateurs), d'autres ont semble-t-il décidé d'exprimer clairement leur colère devant des résultats plus que médiocres qu'ils imputent à  la politique du club. Ce n'est pas la première fois que le président Molinari est directement pris à  partie par des supporters mécontents.Comme après Metz-Troyes, également marqué par des incidents au printemps 2006, le club lorrain risque une amende, « certainement très salée » comme le redoute Jacky Ancel. La commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP) se réunit jeudi et, à  partir du rapport rédigé par le délégué de la rencontre, décidera de sanctions ou choisira de diligenter une enquête. Le FC Metz n'est sur le coup d'aucun sursis quant à  une éventuelle suspension de terrain et les débordements de samedi n'ont fait aucun blessé. « Depuis la suppression des grillages autour du terrain, en 1998, note Jacky Ancel, nous n'avons que très peu de tentatives d'envahissement à  déplorer. » La plus notable, en 2003, à  la fin d'un match de Ligue 2 face à  Saint-Etienne, avait finalement été contenue.

Afin de produire un électrochoc, un club peut très bien demander de jouer un match à  huis clos mais, à  ce jour, le FC Metz ne semble pas se situer dans cette perspective, radicale. A trois semaines d'un autre derby, lorrain celui-là , l'état d'alerte est cependant maximal. « Nous ne sommes pas en mesure de refuser l'entrée à  une personne possédant un billet de match », rappelle Jacky Ancel. Reste l'arsenal judiciaire, récemment renforcé notamment pour interdire de stade les fauteurs de trouble. S'il n'a été procédé à  aucune arrestation avant-hier, les images de la vidéo surveillance sont actuellement épluchées et ce qu'elles indiqueront donneront lieu ou non à  des procédures. Hier, Carlo Molinari nous a confié son intention de « prendre ce problème à  bras le corps », évoquant « des actes inadmissibles. » « Mais, ajoute le président messin, nous allons d'abord étudier ce que la loi permet avant de nous exprimer publiquement. » Il y a urgence.

[Manu]

Malaises à  Metz

Lanterne rouge de la Ligue 1 après 10 journées et une nouvelle défaite concédée samedi dans le derby de l'Est face à  Strasbourg (1-2), le FC Metz a vécu une soirée agitée lors du derby. Interrompue à  deux reprises en raison de débordements dans les tribunes du stade Saint-Symphorien, la rencontre s'est déroulée dans un climat électrique, pendant que certains, mécontents de la situation du club, ont tenté d'approcher le président Carlo Molinari. Ce dernier rejette la responsabilité sur... les supporters strasbourgeois.


Les CRS ont dû charger dans les travées de Saint-Symphorien (Le Républicain Lorrain).

Le Football Club de Metz espérait beaucoup mieux de son retour en Ligue 1. Champions de France à  l'étage inférieur en mai dernier, les Grenats, après seulement un an de purgatoire, se faisaient une joie de goûter à  nouveau aux parfums des terrains de l'élite française. Malheureusement pour eux, les Lorrains n'auront pas eu le temps de savourer ce retour au premier plan, que leur début de saison cauchemardesque les a déjà  fait retomber sur terre. Derniers après plus d'un quart du championnat, les Mosellans, qui ne comptent qu'une victoire et cinq points au compteur, font déjà  office de postulant très sérieux à  la relégation. Sous pression, les Grenats ont de plus vécu, samedi, une soirée dont ils se seraient bien passée.

A la 52e minute du match face à  Strasbourg, dans la foulée du deuxième but de l'attaquant alsacien Renteria, des supporters messins ont tenté d'envahir le terrain avant d'être arrêtés in-extremis par une partie des 195 stadiers et des 200 policiers assurant la sécurité pour ce derby de l'Est. Dans le même temps, quelques énergumènes ont tenté de s'approcher de la tribune officielle pour s'en prendre au président Carlo Molinari. Des incidents qui ont contraint l'arbitre de la rencontre, Monsieur Ruffray, à  interrompre le jeu pendant sept minutes. Quelques instants après la reprise, à  la 63e minute, l'homme au sifflet devait une nouvelle fois arrêter la partie, pendant une grosse minute ce coup-ci, en raison des jets de projectiles lancés en direction de Stéphane Cassard, le portier strasbourgeois.

Molinari n'assume pas

Si finalement le match a pu aller jusqu'à  son terme, le climat délétère dans les tribunes de Saint-Symphorien, la faute à  une minorité d'individus comme souvent en pareil cas, fait resurgir les récents incidents du mois d'aout, quand le gardien messin Richard Trivino avait été pris en grippe par une frange de supporters, situés dans la tribune Ouest du stade, et répondant au nom de la « Faction ». Accusé d'être le principal responsable du mauvais début de saison des Grenats, le portier avait fait l'objet d'insultes et de crachats à  répétition le 12 août lors d'une défaite concédée face à  Lille. En réponse à  ces débordements, les dirigeants lorrains avaient décidé de... mettre à  l'écart Trivino.

Samedi soir, si le dispositif de sécurité s'est révélé efficace - "C'était un mouvement de foule, verbal. On les a peut-être repoussés de façon manu militari. Force doit rester à  la loi, dit-on", révèle le directeur du stade et de la sécurité Jacky Ancel dans les colonnes du Républicain Lorrain -, les dirigeants messins, en premier lieu son président, préféraient rejeter la faute sur les supporters strasbourgeois. S'il n'a pas voulu s'exprimer sur le sujet au lendemain des incidents, Carlo Molinari avait réagi, à  chaud sur les ondes de RTL samedi soir. "J'ai un profond regret par rapport à  nos familles de supporters. On voulait faire la fête pour les 10 ans de la Horda (un groupe de supporters officiels). Mais j'ai aussi un regret à  exprimer, c'est celui du comportement des supporters strasbourgeois. Je n'arrive pas à  comprendre ces attitudes. Ils arrivent, et au bout de cinq minutes, ils insultent les Messins. C'est inadmissible et ça met le feu au poudre." Ou comment fuir lamentablement ses responsabilités.

Néanmoins, le club, après le visionnage des images vidéo-surveillance, devrait porter plainte dans une affaire où la Ligue pourrait se porter partie civile. Quoi qu'il en soit, mal en point sur le terrain, le FC Metz n'avait pas besoin de défrayer la chronique sur le plan extra-sportif. Et la réception de Nancy dans trois semaines à  peine, dans le toujours chaud derby de la Lorraine, entre l'actuel co-leader et la lanterne rouge de la Ligue 1, n'arrive vraiment pas au moment opportun.

[lolo]

Assez lamentable, la prise de position de Molinari...

[Keating]

Est-ce qu'on a eu droit, d'un côté ou de l'autre aux fameux "machin, machins, on t'*****" ?

[Manu]

paraitrait que Molinari veut porter plainte contre Mouloungui et Renteria suite à  leurs buts... en effet cela aurait mis le feu au poudre

et pour les curieux :

http://factionmetz.free.fr/Historique.htm

[Goose]

Source pour la plainte de Molinarie? car jveux quand même lire ca, ca parait trop gros

[Psychogene]

Mais loooooooooooooooooooooool alors là  je suis écroulé de rire

Molinari champion du monde

[waka]

complétement paumé celui là , qu'il porte plainte on va bien rigolé