 
 sur ce match, je l'ai préféré à da costa
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Je pense que tu fais erreur. Le coup-franc joué à deux ( Liénard et Lala ) était à la suite de l'expulsion après faute sur Blayac.Its_me a écrit :Pfff quelle purge hier soir.
J'ai fait le déplacement et je peux vous dire que dans les tribunes d'un côté comme de l'autre les gens étaient consternés par le niveau des deux équipes.
Pour moi Mangane est totalement fautif sur le but. Les autres n'ont rien compris à son attitude en s'arrêtant et n'ont eu que les yeux pour pleurer en réalisant que le dijonnais avait suivi. Le pire dans l'histoire c'est que je suis sûr que si notre capitaine se décide à finalement reprendre le jeu pour se placer dans l'axe, il peut intercepter la balle en retrait.
Quoiqu'il en soit j'ai vraiment du mal avec notre défense centrale. C'est clairement pas l'assurance tout risque et niveau boulettes et lonnnngues balles, ça y va franco.
L'autre grosse désillusion c'est Saadi ... j'étais indulgent mais là, j'ai de plus en plus de mal à lui trouver des qualités. Il y a une action qui m'a rendu dingue c'est quand il a tenté de prendre Djilobodji de vitesse alors se présentait seul face à lui. Il a poussé son ballon pour déborder le défenseur ... et a fini avec bien 2 mètres de retard.
Comme Stan et Gotcha, j'ai explosé à la toute fin des arrêts de jeu en voyant que personne n'était foutu d'envoyer le ballon dans le paquet... résultat Lienard décale pour Lala et l'arbitre siffle la fin.
Allez, si je dois faire un top, ce serait Lala, Kamara et Da Costa.

Il en a eu au moins deux qu'il a complètement foirés. Le premier sur transversale de Liénard qu'il devaittélésupporteur a écrit :saadi a reçu combien de ballons exploitables
sur ce match, je l'ai préféré à da costa

dna a écrit :Pas qu’un verre à moitié plein
En égalisant dans les arrêts de jeu à Dijon, le Racing a au moins tourné le dos à une spirale négative. Mais en Bourgogne, il a affiché un niveau de jeu qui ne lui permettra pas de s’en sortir.
D’aucuns soulignent que pour faire un grand match, il faut être deux. Pour offrir une purge en bonne et due forme, la condition peut également s’avérer indispensable.
Le DFCO et le Racing n’ont pas assuré une publicité avantageuse au championnat de Ligue 1, samedi, au stade Gaston-Gérard. En un soir où l’élite française a révélé son visage le plus glaçant à Amiens, on appréciera qu’il n’ait été question que de jeu.
« En début de saison, on ne l’aurait pas fait »
Mais les deux équipes en mal de points n’étaient pas préparées à ce triste spectacle. Dijon sortait d’un nul méritoire à Lyon (3-3). Le Racing avait perdu, à la Meinau, sans le mériter face à Nantes, dans les hauteurs du classement aujourd’hui. Il y a quelques semaines, Thierry Laurey avait considéré le contrariant Racing - Amiens (0-1), comme « un bon match de Ligue 2 ». Il n’est pas sûr que le nul de samedi, en Bourgogne, mérite le qualificatif.
« Ce n’était pas le match de l’année mais je préfère ce genre de match avec ce scénario bizarre que les autres qu’on a perdus, a toutefois considéré Bingourou Kamara, le gardien alsacien, pas le moins inspiré sur le terrain. On a montré notre état d’esprit. »
Au moins, effectivement, l’équipe strasbourgeoise n’est plus la machine à perdre alignée au courant d’un mois de septembre décevant.
Le scénario de la rencontre a peut-être contribué à convoquer un brin d’optimisme dans les rangs alsaciens. « On a un peu arraché cette égalisation sur une action confuse, remarque l’entraîneur des Bleus, Thierry Laurey. C’était limite. Mais on s’est battu. On revient pour la première fois au score. En début de saison, on ne l’aurait pas fait. »
Jusqu’alors, ses protégés n’y étaient effectivement jamais parvenus, battus lors des cinq précédents matches où ils ont été menés. Néanmoins, avaient-ils raté autant de passes, montré autant de fébrilité dans leurs actions, affiché un niveau technique si inquiétant ? Pas sûr, sauf peut-être face à Amiens ce qui confirme que d’une trêve internationale à l’autre, Kader Mangane et ses partenaires n’ont pas brillé.
Dans un mois de septembre rouge à un point en quatre matches, ils ont plutôt déçu à trois reprises. L’impression générale est au mieux mitigée. Au moins, la lucidité est de mise.
« On fait trop de cadeaux à l’adversaire, regrette Jérémy Blayac. Dijon n’a pas fait un grand match donc cela aurait été très dur de perdre. On peut être satisfait en raison du scénario, mais pour se sauver, il faudra faire plus. » « On a arrêté l’hémorragie mais il y avait mieux à faire, considère Bakary Koné. On voulait ne pas encaisser de but, ne pas faire de cadeaux parce qu’on a assez offert ».
Portés par l’attrait de la nouveauté, les Strasbourgeois ont peut-être fait illusion lors de leurs premiers pas dans l’élite. Les voilà confrontés à un principe de réalité qui ne leur serait pas franchement favorable. « On a quelques lacunes, techniques, tactiques, mais on ne manque pas d’enthousiasme, martèle toutefois leur entraîneur. Nos lacunes sont par moments criardes. Mais je trouve qu’elles le sont de moins en moins. Il paraît qu’on n’a que de l’enthousiasme. Alors, on va se concentrer sur l’enthousiasme et tout faire à l’enthousiasme. »
Face à Marseille, dans deux semaines, il ne faudra pas en manquer. Mais sur l’ensemble d’une saison, cela risque de ne pas suffire.

dna a écrit : Le Racing s’en est sorti grâce à ses remplaçants Entrants (presque) gagnants
Jérémy Blayac, à l’origine de l’expulsion de Yambéré, puis de l’égalisation, et Martin Terrier, dont le but a permis d’arracher un point à la 92e (1-1), ont bonifié leur sortie du banc avant-hier à Dijon.
« En début de saison, je n’étais pas satisfait des entrants. Je le leur ai dit. Mais sur les derniers matches, c’est un peu mieux. Ils font partie de la stratégie. Si on a débuté à Dijon avec Idriss Saadi et Nuno Da Costa devant, c’est parce qu’on pensait que leur travail de sape bénéficierait à ceux qui entreraient. »
Comme son club, l’entraîneur du Racing Thierry Laurey doit une fière chandelle à ses remplaçants. Avant-hier à Dijon, deux de ses trois entrants ont directement influé sur le résultat. Notamment sur le but égalisateur, dans les arrêts de jeu (90e + 2), de Martin Terrier, lancé une demi-heure plus tôt à la place de Saadi. Au duel sur un ballon aérien, Jérémy Blayac dévie alors le ballon de la tête. À la retombée, Kader Mangane anticipe une mésentente entre Djilobodji et son portier Reynet. Du bout du pied, le Sénégalais glisse à Terrier un ballon d’oxygène pour une équipe en apnée après quatre échecs de suite. Quelques minutes plus tôt, le grand Jérémy avait poussé à la faute Yambéré, exclu pour l’avoir accroché en position de dernier défenseur.
« La volonté de ne pas lâcher, nous l’aurons toujours »
« Jérémy a fait une très bonne entrée, provoqué l’expulsion et pesé. Martin a marqué et apporté sa qualité technique. Ihsan ( Sacko ) a eu un peu de mal à se situer, mais ses grandes courses ont fait reculer la défense dijonnaise », juge le coach, ravi « d’avoir arraché un point qui nous fait un bien énorme. »
Par définition, ce nul signifie cependant que rien n’est gagné. « Mais je ne vais pas faire la fine bouche, positive Terrier. Ce but et ce nul font du bien. Nous nous étions dit que nous devions en prendre au moins un à l’extérieur. Après le but dijonnais, nous étions assommés, mais heureusement, nous avons su réagir. Après mon entrée, ç’a été vite. Quand on entre comme ça, il faut arriver à donner du mouvement, être décisif. C’est bien pour la confiance. Le plus important n’est pas que j’aie marqué, mais ce point pris après quatre défaites. Ça fait du bien au moral. J’espère que ce sera un déclic. »
La colonie bleue l’espère aussi. Mais personne n’est dupe des difficultés récurrentes du double promu strasbourgeois.
Depuis le banc de touche et en vieux routier du championnat, Jérémy Blayac l’observe avec clairvoyance. « La volonté de ne pas lâcher, nous l’aurons toujours. Mais malheureusement, en Ligue 1, ça ne suffit pas. Chaque sortie doit marquer une progression. On a besoin de travailler. Quand on a peu de temps de jeu comme moi, il faut essayer d’être décisif. J’ai essayé de l’être. Ça nous rapporte un point. Aborder la trêve en ayant évité une 5e défaite d’affilée et en étant revenus au score, c’est un bonus psychologique. »
L’attaquant ne tire donc pas la sonnette d’alarme. Mais il n’en admet pas moins « qu’il faut être réaliste. Pour avoir un peu d’expérience, je sais que nous devons nous améliorer dans de nombreux domaines. Nous allons nous contenter de ce point à l’extérieur, mais nous devons encore élever notre niveau. J’y crois parce qu’il y a de la qualité dans ce groupe. »
À son image, les hommes du banc ont d’ailleurs confirmé samedi qu’ils n’étaient nullement mis au ban.

non, it's me, stan et moi faisons référence au coup franc à 40m à la 93ème minute où liénard n'envoie pas le ballon dans le paquet mais décale juste pour lala et l'arbitre siffle la fin. Faut vraiment être bêtepekser a écrit : Je pense que tu fais erreur. Le coup-franc joué à deux ( Liénard et Lala ) était à la suite de l'expulsion après faute sur Blayac.
Il me semble aussi que c'est Lala qui décale sur Liénard dont le tir est contré par la défense dijonnaise. Sur cette action on voit bien que Lala propose ce décalage à Liénard qui s'apprêtait à le tirer directement.
Le dernier coup-franc a été tiré en même-temps que l'arbitre siffle la fin.
Pour Saadi je partage ton avis.
