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[04/05] 5ème J: Monaco / RCS - 3/1
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Kanté
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argueti
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Déclic ou des claques ?
Face à Monaco et ses stars, le Racing - privé de Hagui - sera forcément mis au supplice. Dans l'adversité, Antoine Kombouaré verra-t-il enfin une équipe digne de son nom se dégager ? Allez savoir...
SANS HAGUI. - La nouvelle est tombée hier soir, à l'issue du dernier entraînement. Karim Hagui, revenu de sélection avec une entorse à la cheville droite, ne pourra tenir sa place au coeur de la défense strasbourgeoise, malgré les nouvelles rassurantes distillées en cours de semaine. Le Tunisien devrait être remplacé par Devaux, associé dans l'axe à Kanté.
Hagui forfait, Saviola OK !
« Jeudi, tous les signaux étaient au vert. Aujourd'hui, ils sont au rouge. » Hier, Antoine Kombouaré a eu la désagréable surprise de voir son défenseur international tunisien, Karim Hagui, quitter prématurément la séance. Le néo-Strasbourgeois, qui, la veille, semblait avoir récupéré de son entorse de la cheville droite contractée en sélection, a dû déclarer forfait, la douleur s'étant réveillée. Pour lui succéder, le Marocain Abdel Fahmi semble tenir la corde. Encore que Kombouaré annonce « une ou deux surprises ». Cassard et Le Pen seront titularisés à la place de Vercoutre (blessé) et Niang (de retour d'une cure d'amaigrissement). Dans l'entrejeu, Alexander Farnerud, pas vraiment à son avantage contre Istres, pourrait être privé d'une confrontation directe avec son frère Pontus, surtout dans une optique plus défensive. Lacour, Camadini, voire Abdessadki sont candidats. À Monaco, Didier Deschamps, qui rêvait de Nicolas Anelka, a obtenu Javier Saviola, prêté par le Barça. En l'absence de Nonda et Chevanton, blessés, la perle argentine fera ses grands débuts ce soir. L'ASM récupère Julien Rodriguez en défense centrale et devrait ainsi faire souffler l'un de ses trois internationaux (Squillaci, Givet ou Evra).
L'histoire est en marche ...
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astroboy
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Ce serait un exploit
Pour Arthur Boka et les Strasbourgeois, il faudra une sacrée débauche d'énergie pour rapporter de Monaco un résultat positif.(Photo DNA - Laurent Réa)
Ça ressemble à un rocher « casse-dents ». Depuis 25 ans, le Racing ne s'est plus imposé à Monaco en championnat. Ce soir, il est condamné à l'exploit.
« L'important, ce n'est pas de penser à ce que l'on a fait, mais de penser à ce que l'on va faire. » Il a (parfois) autant le sens de la formule que celui du dribble, Ulrich Le Pen. « On a le potentiel, on a les joueurs, on a l'équipe. Retrouvons le plaisir de jouer ensemble. »
On vous l'accorde, ça fait un peu sermon du dimanche matin, mais ça fait du bien de l'entendre dire. Donc, le Racing nouveau va arriver, va gommer celui qu'on a peiné à voir durant les quatre premières journées. Celui qui n'a pas su se donner les moyens de gagner un seul de ses matches dans un début de championnat qu'on lui annonçait plutôt pépère.
Un devoir de résultat
A l'arrivée, si le Racing a évité le zéro pointé, son bilan est tout juste présentable, à dire vrai quelque peu miséreux. Les deux points amassés ( !) jusque-là ont juste suffi à nourrir un peu plus ses doutes.
Aujourd'hui donc, il commence son fameux mois de septembre qui l'enverra aussi à Caen et à Paris, après avoir accueilli Lens à la Meinau. « Il ne faut penser qu'au match qui vient. Dans ma tête, il n'y a que Monaco », reprend Ulrich Le Pen.
Et le problème, dans cette affaire, c'est bien que septembre commence par un voyage à Monaco, « avec un devoir de résultat ». comme l'estime le même joueur. Si, si.
Match compliqué
On a beau se dire que certains joueurs de la Principauté sont fatigués (par les matches internationaux de la semaine) ou ont les yeux et le reste de leur corps tournés vers mercredi prochain, avec Anfield Road et l'ouverture officielle de la Ligue des Champions, on se dit surtout que c'est encore un match compliqué qui attend le Racing.
« Monaco est plus fort que nous. Mais, pour la première fois de la saison, nous n'aurons rien à perdre, explique Antoine Kombouaré Pour avoir vécu le même genre de situation quand je jouais au Paris SG, les joueurs de Didier Deschamps vont inconsciemment penser au match de Liverpool de mercredi prochain. Ils vont peut-être moins se livrer, par peur de la blessure. »
« Il y a un coup à jouer »
On veut bien, mais ça ressemble à s'y méprendre à une reformulation de la fameuse méthode Coué. Qui veut, grâce aux mots, faire croire que la lumière qui tend à s'éteindre ressemble à l'aube naissante.
« C'est l'occasion ou jamais de se mettre en valeur, poursuit Antoine Kombouaré. C'est l'occasion ou jamais de jouer libéré. J'espère que mes joueurs l'ont compris. Je veux voir une équipe conquérante qui a la possibilité de montrer un autre visage face à un adversaire qui supportera toute la pression. Il y a un coup à jouer. »
Torpeur aoûtienne
Et pour qu'il soit jouable, ce coup-là , il faudra que le Racing change de calibre, de catégorie et que ses cadres reprennent leur rang. Sur ce qu'il a montré depuis début août, on a quelques craintes, presque des certitudes sur sa fragilité mentale actuelle.
On aimerait être rassuré, se dire que les Strasbourgeois vont se réveiller, sortir de leur torpeur aoûtienne. Mais bon, faut être réaliste. Un point pris ressemblerait (presque) à un exploit. Un exploit auquel les Strasbourgeois ont oublié de s'abonner depuis un long moment. Et comme Monaco est une terre historiquement inhospitalière...
Pour Arthur Boka et les Strasbourgeois, il faudra une sacrée débauche d'énergie pour rapporter de Monaco un résultat positif.(Photo DNA - Laurent Réa)
Ça ressemble à un rocher « casse-dents ». Depuis 25 ans, le Racing ne s'est plus imposé à Monaco en championnat. Ce soir, il est condamné à l'exploit.
« L'important, ce n'est pas de penser à ce que l'on a fait, mais de penser à ce que l'on va faire. » Il a (parfois) autant le sens de la formule que celui du dribble, Ulrich Le Pen. « On a le potentiel, on a les joueurs, on a l'équipe. Retrouvons le plaisir de jouer ensemble. »
On vous l'accorde, ça fait un peu sermon du dimanche matin, mais ça fait du bien de l'entendre dire. Donc, le Racing nouveau va arriver, va gommer celui qu'on a peiné à voir durant les quatre premières journées. Celui qui n'a pas su se donner les moyens de gagner un seul de ses matches dans un début de championnat qu'on lui annonçait plutôt pépère.
Un devoir de résultat
A l'arrivée, si le Racing a évité le zéro pointé, son bilan est tout juste présentable, à dire vrai quelque peu miséreux. Les deux points amassés ( !) jusque-là ont juste suffi à nourrir un peu plus ses doutes.
Aujourd'hui donc, il commence son fameux mois de septembre qui l'enverra aussi à Caen et à Paris, après avoir accueilli Lens à la Meinau. « Il ne faut penser qu'au match qui vient. Dans ma tête, il n'y a que Monaco », reprend Ulrich Le Pen.
Et le problème, dans cette affaire, c'est bien que septembre commence par un voyage à Monaco, « avec un devoir de résultat ». comme l'estime le même joueur. Si, si.
Match compliqué
On a beau se dire que certains joueurs de la Principauté sont fatigués (par les matches internationaux de la semaine) ou ont les yeux et le reste de leur corps tournés vers mercredi prochain, avec Anfield Road et l'ouverture officielle de la Ligue des Champions, on se dit surtout que c'est encore un match compliqué qui attend le Racing.
« Monaco est plus fort que nous. Mais, pour la première fois de la saison, nous n'aurons rien à perdre, explique Antoine Kombouaré Pour avoir vécu le même genre de situation quand je jouais au Paris SG, les joueurs de Didier Deschamps vont inconsciemment penser au match de Liverpool de mercredi prochain. Ils vont peut-être moins se livrer, par peur de la blessure. »
« Il y a un coup à jouer »
On veut bien, mais ça ressemble à s'y méprendre à une reformulation de la fameuse méthode Coué. Qui veut, grâce aux mots, faire croire que la lumière qui tend à s'éteindre ressemble à l'aube naissante.
« C'est l'occasion ou jamais de se mettre en valeur, poursuit Antoine Kombouaré. C'est l'occasion ou jamais de jouer libéré. J'espère que mes joueurs l'ont compris. Je veux voir une équipe conquérante qui a la possibilité de montrer un autre visage face à un adversaire qui supportera toute la pression. Il y a un coup à jouer. »
Torpeur aoûtienne
Et pour qu'il soit jouable, ce coup-là , il faudra que le Racing change de calibre, de catégorie et que ses cadres reprennent leur rang. Sur ce qu'il a montré depuis début août, on a quelques craintes, presque des certitudes sur sa fragilité mentale actuelle.
On aimerait être rassuré, se dire que les Strasbourgeois vont se réveiller, sortir de leur torpeur aoûtienne. Mais bon, faut être réaliste. Un point pris ressemblerait (presque) à un exploit. Un exploit auquel les Strasbourgeois ont oublié de s'abonner depuis un long moment. Et comme Monaco est une terre historiquement inhospitalière...
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clod the king
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je sais pas pourquoi mais je sens que ça va être un match sans demi-mesure : soit on va faire une belle performance soit on va se prendre une méchante tolle, je vois rien entre les 2...
"on a tous besoin de croire en quelque chose ... et moi je crois que vais me prendre une autre bière..."
http://www.ht-arena.com/schilik
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Maneo
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astroboy
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