[06/07] 14ème J: Strasbourg / Istres : 2-0

[fab]

Deroff, Strasser et bellaid sont indéboulonnables en défense,

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ça fait peur ça!!!!!
pourquoi on a pas un bon ARD...

[Keating]

Gasmi, gargorov, gameiro, N'diaye, kantari, abou, devaux, Johannsen vont voir leur temps de jeu s'accroitre.

N'diaye il va encore falloir attendre ...

Deroff, Strasser et bellaid sont indéboulonnables en défense, Cohade, lacour et Abdessaki au milieu également, Tum, gameiro en attaque aussi.

De ceux là , on peut sortir Deroff, Abdé et Tum qui n'apportent pas assez ... Disons Abdé, on voit à  la mi-temps s'il est dans le coup, parce que dans ses jours moyens, je préfère le voir sur le banc ...
Abdé jusqu'à  la mi-temps, puis on met Mouloungui à  droite (histoire qu'il ridiculise un autre défenseur ) et rentrée de Gargorov au milieu ... Gasmi à  gauche, Cohade seul au milieu, et Lacour à  droite ...

ça donnerait ça :


Après, selon la forme de chacun, on peut mettre Tum à  la place de Rangelov, Abdé sur le terrain avec Mouloungui à  gauche, dégager Gargorov si on veut remettre Lacour au milieu ...
Enfin bref, ya du choix

[Stan]

Je préfère de loin voir 2 récupérateurs, le foot moderne est de plus en plus physique (surtout en L2) ce qui explique qu'on sacrifie souvent le 10 "à  l'ancienne" au profit d'un milieu défensif supplémentaire.

Perso, je garderais Lacour-Cohade si possible, c'est LA force de l'équipe depuis le début de saison.

[urotsukidogi]

Je préfère aussi deux miliuex défensifs avec Rangelov en tant que MOD-AD et Mouloungui MOG-AG, avec Gameiro en vraie pointe et un Gargorov en relaiattauqe milieu et en point de fixation.
Après Deroff suffit pour la L2 et sinon on passe lacour en défense et Johansen au milieu

[Pinon]

Jean-Pierre Papin a communiqué une liste de dix-sept joueurs appelés à  disputer le match face à  Istres, ce vendredi soir (20h) au stade de la Meinau. L'entraîneur strasbourgeois doit composer avec les suspensions de Bellaid et Deroff, qui s'ajoutent à  la blessure de Vergerolle. Aussi, Eugène Ekobo, Jean-Christophe Devaux et Emil Gargorov font leur retour dans le groupe. Première apparition, cette saison, de Devaux dans le groupe, tandis que Gargorov, touché à  la cheville depuis deux mois, fait son retour.
Après trois victoires consécutives, les hommes de Papin tenteront de poursuivre cette série. « C'est nous qui avons la pression sur ce match, car on se doit de confirmer nos derniers résultats, pense l'entraîneur du Racing. Pour l'instant, nous sommes dans les clous, mais cela demande confirmation à  chaque journée, donc il nous faut prendre les trois points à  chaque match. Ce qui m'inquiète c'est que les trois matches qui viennent seront plus difficiles que les trois précédents. Il est toujours plus dur de jouer contre des équipes de bas de tableau. »

Le groupe:
Cassard, Puydebois;
Devaux, Ekobo, Kantari, Lacour, Strasser;
Abdessadki, Cohade, Gargorov, Johansen, Mouloungui, Schneiderlin;
Gameiro, Mathlouthi, Rangelov, Tum.

Les absents: L. N'Diaye (convalescent), Gurtner (main), Bellaid, Deroff (suspension), Vergerolle (ischio-jambiers), Gasmi (reprise), Mphela (essai), Abou, De Gea, Loué, Perbet (choix entraîneur).

[argueti]

Kantari à  gauche ...

[NéRiK]

Bordel c'est possible d'avoir Abou un match?

[argueti]

En quatrième vitesse ?

Après ses trois succès contre Grenoble, Caen et à  Gueugnon, le Racing vise la passe de quatre ce soir (20 h) à  la Meinau contre une formation d'Istres qui s'est refait la cerise lundi contre Grenoble (3-0).

Jean-Pierre Papin n'est pas du genre à  se défiler, mais pour une fois, l'entraîneur strasbourgeois n'hésite pas à  prôner la fuite en avant. « Il faut que les trois – Metz, Strasbourg et Caen – se détachent et qu'on n'en parle plus. » Alors que le cap du tiers du championnat vient d'être franchi, le Racing est, comme le dit son entraîneur, « dans les clous. » Monté sur le podium pour la première fois à  la faveur de son succès à  Gueugnon vendredi dernier (1-0), il se prépare à  une nouvelle série de trois matches importants, en une semaine cette fois : Istres ce soir, à  Reims mardi et contre Libourne Saint-Seurin vendredi prochain à  la Meinau. Une belle occasion d'enfoncer le clou alors que ses rivaux se déchireront avant la fin des matches aller : Châteauroux – Metz et Grenoble – Caen (14e journée), Bastia – Le Havre (15e), Le Havre – Metz (16e), Bastia-Grenoble et Caen – Châteauroux (17e), Grenoble – Metz et Reims – Caen (18e). « Les trois prochains matches seront plus difficiles que les trois derniers, parce qu'il est toujours plus compliqué de jouer les équipes du bas de tableau que celles du peloton de tête », argumente JPP, « Nous venons de récolter 9 points, mais pour faire fructifier notre capital, il faut remporter au moins deux victoires sur ces trois rencontres. » Un objectif dans les cordes des Bleus. À ceci près, par exemple, qu'Istres relève la tête. Après le changement d'entraîneur intervenu après la 8e journée (l'adjoint Bernard Rodriguez remplaçant Jean-Louis Gasset après une défaite 2-0 à  Tours), le choc psychologique s'est fait attendre et les Istréens ont encore aligné quatre revers. À l'extérieur, leur bilan est famélique : cinq défaites, un nul (0-0 à  Châteauroux) et pas le moindre but inscrit.

« Strasbourg, c'est du bonus »

« Jusqu'à  lundi et notre victoire 3-0 sur Grenoble, ça n'allait pas fort sur le plan mathématique », doit bien convenir le Colmarien Laurent Weber qui coiffe à  Istres la double casquette de doublure et d'entraîneur des gardiens. « Mais depuis trois rencontres, le contenu de notre jeu s'est nettement amélioré. Nous avons perdu 1-0 à  la maison contre Le Havre, mais en faisant jeu égal avec les Havrais. Puis nous nous sommes inclinés 2-0 à  Ajaccio en prenant les deux buts dans le temps additionnel. Depuis quelque temps, nous n'étions pas récompensés. Lundi, nous l'avons enfin été. Grâce à  ce succès, nous sortons de la zone rouge et recollons au peloton. J'espère que la spirale négative s'est inversée, même si Strasbourg n'est pas la destination rêvée pour en avoir confirmation. Pour nous, ce déplacement à  la Meinau, c'est un match joker, du bonus. Notre esprit est surtout tourné vers la semaine prochaine et nos deux réceptions de Gueugnon mardi et Brest vendredi, deux concurrents directs. Mais ça ne signifie pas que nous viendrons à  Strasbourg en victimes. » Jean-Pierre Papin n'en doute pas un seul instant, lui qui reconnaît volontiers que « la pression est sur nous. Quand je pense que nous avons galéré pour mettre un but aux Grenoblois et que les Istréens leur en ont passé trois, ça donne à  réfléchir. Mais continuons avec le même esprit : prenons chaque match comme un tour de coupe à  passer. À nous de rendre la partie facile. » Fort de ses 11 matches sans défaite et de son inédite série de trois succès de rang, le Racing peut s'ancrer durablement dans le tiercé de tête. À condition de bien négocier ses trois rendez-vous en huit jours. Après avoir posé un pied sur le podium, il lui reste à  chausser ses bottes de sept lieues pour atteindre cette fameuse « fuite en avant » appelée de ses voeux par JPP.

Kantari et Ekobo titulaires

Habib Bellaïd et Yves Deroff suspendus, Jean-Christophe Vergerolle toujours blessé : Jean-Pierre Papin va devoir recomposer sa défense aux trois-quarts ce soir. Un casse-tête dont il se serait bien passé. « C'est un petit casse-tête, c'est vrai, parce que j'aime disposer de la même défense », admet-il, « mais tous les entraîneurs sont confrontés à  ce genre de souci dans une saison. J'ai ma petite idée, mon équipe en tête depuis 48 heures, mais puisque je dois tout rebâtir, autant ne pas donner d'indications à  Istres. » Le coach bas-rhinois n'a donc pas été très disert hier sur le onze de départ chargé de faire plier les Provençaux en soirée. A priori, Eugène Ekobo, qui a perdu sa place depuis des semaines, devrait revenir en défense centrale aux côtés de Jeff Strasser. Ahmed Kantari, qui n'a, lui, plus été titularisé depuis sa blessure contre Montpellier lors de la 3e journée, occupera le flanc gauche. Pour le reste, Pascal Johansen, Yacine Abdessadki et Guillaume Lacour devraient figurer ensemble sur le terrain. Mais dans quelle configuration ? L'un des deux derniers occupera le couloir droit de la défense, les trois étant interchangeables dans l'entrejeu. Le Bulgare Emil Gargorov et Jean-Christophe Devaux, qui relèvent de blessure et ont joué le week-end passé en CFA à  Calais, reviennent au sein d'un groupe de 17 dont le jeune Morgan Schneiderlin sera, sauf pépin de dernière minute, le 17e homme. A Istres, quatre des vainqueurs de Grenoble sont sur le flanc, tous blessés : Johan Cavalli, Mamadou Doumbia, Anicet Adjamossi et le jeune Sofikitis. « Le retour de Nicolas Goussé, qui en a fini avec les problèmes physiques qui l'ennuyaient depuis des mois (une pubalgie), va nous faire du bien », relève Laurent Weber, « Il va nous apporter son expérience.» L'ancien Rennais, Messin, Troyen et Guingampais a, dès sa rentrée, trouvé le chemin des filets en ouvrant le score face aux Grenoblois.

Stéphane Godin

[raphou96]

Prendre le train en marche
Le Racing, même diminué par des absences au sein de la défense, se doit de remporter trois points face à  Istres pour ne pas être distancé dans la course à  la montée.
Un match nul ferait désordre. Une défaite, encore plus. Les Strasbourgeois le savent : ils ne peuvent pas lâcher de points dans leur antre de la Meinau face à  Istres, qui flirte avec la zone de relégation. Surtout pas après la belle série de trois victoires consécutives face à  des clients réputés plus difficiles à  manoeuvrer.
« On est dans les clous, maintenant, faut confirmer, lance Jean-Pierre Papin, c'est-à -dire prendre les trois points le plus souvent possible ». Le coach des ciel et blanc table sur « deux victoires lors des trois prochains matchs ». Et avec un déplacement délicat à  Reims mardi, on imagine bien que JPP veut faire le plein à  domicile face à  Istres, puis Libourne.
Pourtant, aucun Strasbourgeois n'affirme prendre ce match à  la légère. Tout d'abord parce que les Sudistes sont en plein réveil. Après un début de saison cauchemardesque, ils ont fait la leçon à  une équipe de Grenoble qui s'est inclinée 3-0, en subissant de plein fouet le retour de l'attaquant Nicolas Goussé.


Casse-tête défensif pour JPP


Ensuite, parce que le FC Istres arrive en Alsace sans pression. « Après le déplacement à  Strasbourg, on reçoit Gueugnon et Brest, soit deux matchs à  gagner pour le maintien. Le Racing, c'est notre joker. Si on ramène un point, ce ne sera que du bonus », explique Laurent Weber, le gardien remplaçant du FC Istres.
Des rumeurs venues du Sud annonceraient même que Bernard Rodriguez, le coach d'Istres, serait prêt à  « lâcher le match », histoire de préserver les forces de ses troupes pour les deux matchs capitaux de la semaine prochaine.
Info ou intox ? Difficile à  dire. La seule certitude est que le FC Istres devra se passer de trois titulaires indiscutables, tous blessés (Cavalli, Doumbia et Adjamossi).
En face, l'effectif présenté par le Racing est lui aussi loin d'être au complet. Avec Vergerolle blessé, Deroff et Bellaïd suspendus, la composition de la défense s'est transformée en un véritable « casse-tête », comme le dit JPP.


« Plus difficile de jouer le bas de tableau que le haut de tableau »


Sans compter les incertitudes à  l'attaque, puisque Tum, touché au ménisque, ne s'est pas beaucoup entraîné cette semaine et pourrait être remplacé au pied levé par Mathlouthi ou Rangelov, de retour dans le groupe.
L'autre ombre au tableau concerne l'état de fraîcheur psychologique des troupes. « Face à  Grenoble ou Caen, la motivation est là , forcément. Face à  Gueugnon ou Istres, le travail sur la motivation et la concentration est plus dur », estime Ahmed Kantari, de retour sur les terrains après plusieurs semaines d'absence.
Même crainte du côté du coach du RCS. « Les trois matchs à  venir sont plus difficiles à  jouer que les trois qu'on vient de jouer, affirme Jean-Pierre Papin, parce que c'est plus difficile de jouer le bas de tableau que le haut de tableau ».
Certes. Mais le Racing n'a pas le choix. Au vu de l'insolente réussite de Metz et de Caen, il faut prendre

[raphou96]

Une défense remodelée
Avec trois défenseurs absents (Deroff, Bellaid, Vergerolle), le Racing devra d'abord assurer ses arrières avant d'aller de l'avant ce soir face à  des Istréens qui voyagent mal.
LA TENTATION ABDESSADKI. - Vergerolle blessé, Deroff et Bellaid suspendus, la défense strasbourgeoise sera profondément remodelée ce soir. Si Kantari devrait effectuer son retour dans le couloir gauche et si Ekobo semble devoir être associé dans l'axe à  Strasser, Jean-Pierre Papin hésite encore pour la place laissée vacante par Deroff. Deux solutions s'offrent à  lui : soit Lacour qui a déjà  occupé ce poste, soit Abdessadki de façon à  ne pas séparer le binôme de récupérateurs Lacour-Cohade qui a donné pleine satisfaction depuis son association. Une jolie tentation d'autant que Captain Yacine, le meilleur passeur du Racing, peut créer le surnombre et le décalage côté droit.
10 SUR 12. - C'est l'objectif de points que s'est fixé Papin pour les quatre prochains rendez-vous. Après Istres, le Racing enchaînera dès mardi un court mais délicat déplacement à  Reims, avant de recevoir Libourne-St-Seurin et de se rendre à  Brest. Il ne restera alors plus que deux matches avant la fin des matches aller : Bastia à  la Meinau et surtout le derby face au leader messin à  St-Symphorien.
LE RETOUR DES BULGARES. - Rangelov et Gargorov sont de retour parmi les 16 et devraient faire leur apparition en cours de partie. « Emil va nous apporter les trente minutes qu'il a dans les jambes », a souligné JPP qui a recadré ses troupes mercredi après l'entraînement. « J'ai senti un relâchement, je n'étais pas satisfait de cette séance. On est moins bien dans le jeu, il faut que chacun fasse l'effort et oublie ses états d'âme. »
ZERO POINTE. - Istres est malade en voyage. En six déplacements, les Provençaux n'ont pas inscrit le moindre but. Certes, ils ont ramené un point de Châteauroux (0-0), mais le reste de leur bilan est un zéro pointé : Metz (3-0), Montpellier (4-0), Tours (2-0), défaite qui a coûté son poste à  Jean-Louis Gasset, Créteil (1-0) et Ajaccio (2-0) avec un doublé de Mandrichi dans le temps additionnel.
AIE ! GOUSSE REVIENT. - Longtemps blessé, Nicolas Goussé a fait sa rentrée lundi contre Grenoble (3-0) s'offrant d'ailleurs l'ouverture du score. Celui qui fut en 2002 le 4e meilleur buteur de L1 sous le maillot troyen avec 15 buts a depuis connu moins de réussite (4 buts à  Guingamp, 8 à  Mons dans le championnat belge) et pas mal de pépins physiques. Attention aussi à  Souari, auteur d'une passe décisive et d'un but face à  l'équipe de Pouliquen.