En discussion depuis plus de deux mois (« L’Alsace » du 21 juin), le départ de Quentin Othon à Nantes n’est toujours pas conclu. Le club de Waldemar Kita est, comme le Racing, placé sous masse salariale contrôlée. S’il a réussi à faire qualifier cette semaine sa recrue défensive, l’ex-Messin Vivian, et à faire partir Djamel Abdoun (à Kavala) et Mathias Coureur (qui a résilié), il espère encore se séparer du gardien Lubos Kamenar, de l’attaquant Christian Bekamenga, du milieu William Vainqueur, voire d’Aurélien Capoue. Pour le président Jean-Claude Plessis, la piste nantaise pourrait bien conduire à une impasse. « Il y a des chances que Quentin reste chez nous. » L’international espoirs, lui, veut encore y croire : « Il reste quelques jours. J’espère que ça va se faire. »
Ah non, pas Nantes, on toucherait quasiment rien ...