[Ex] Arsène Wenger

[silex57]

Les anglais sont contents ils peuvent de nouveau allumer les français ! A mon avis Wenger a raison de ne rien dire ça ne changerais rien de toute façon.

[raphou96]

« J'avais mes raisons »
Arsène Wenger a assuré « avoir eu ses raisons » pour s'énerver lors de l'altercation avec l'entraîneur de West Ham Alan Pardew, mais a expliqué qu'il réservait ses explications à  la commission de discipline de la fédération anglaise.

« Je suis certain que vous avez tous vu ce qui s'est passé à  la fin du match sur la touche », écrit Wenger dans une tribune incluse dans le programme du match disputé dimanche entre Arsenal et Liverpool (3-0). « Je dirai que j'avais mes raisons, mais comme je suis l'objet d'une procédure de la FA (fédération anglaise), je ne peux en dire plus », a-t-il poursuivi.
« Je donnerai le temps voulu les explications sur ce qui s'est passé. Je dirai qu'il y a toujours une raison pour expliquer une réaction », a poursuivi l'entraîneur d'Arsenal.
Wenger avait dû être empêché par un officiel d'aller en découdre physiquement avec Alan Pardew, qui s'était par la suite excusé, reconnaissant avoir manifesté sa joie de manière excessive après le but victorieux de son équipe.
Wenger a « accepté les excuses » de Pardew après la victoire de son équipe et estimé que « l'incident était terminé » de son point de vue. Il n'en a pas explicitement exprimé, mais a reconnu que sa réaction avait été « hors de proportion » et a dit qu'il « regrettait d'avoir réagi ». « Je suis suffisamment adulte pour savoir quand je me comporte mal », a-t-il dit.
Les deux hommes comparaîtront pour « comportement antisportif », mais c'est Wenger qui a été la cible des plus vives critiques. Il est resté obstinément silencieux toute la semaine, annulant, pour la première fois depuis qu'il est arrivé à  Arsenal en 1996, sa causerie hebdomadaire avec la presse. Après le match, il a plaisanté à  ce propos avec les journalistes : « Vous pouvez quand même m'accorder une semaine de vacances après dix ans ».

[Manu]

Depuis 2 jours, le mercato d'hiver est lancé, et tous les journaux sportifs du monde croient connaître des transactions sous-marines qui vont changer le monde du football. C'est le cas du Daily Mirror, tabloïd britannique bien connu, qui envoie Arsène Wenger, le coach français d'Arsenal au Real Madrid.

Entre Wenger et le Real, c'est une histoire d'amour contrariée qui dure depuis bientôt 10 ans: cela fait 3 fois que le club espagnol propose, et trois fois que le technicien alsacien s'oppose.

Cette fois-ci, croit savoir le Daily Mirror, la proposition a de la gueule: 26 millions d'euros de prime à  la signature, un salaire à  l'avenant, et la garantie de recruter dans la maison blanche le prodige espagnol d'Arsenal Cesc Fabregas.

Il faut dire que jusqu'à  récemment, le vestiaire du Real Madrid était devenu une pétaudière, où les egos surdimensionnés de ses stars ne communiquaient plus, pas plus qu'avec l'entraîneur, le bourru Bernd Schuster, remercié avant les fêtes de Noël. Le hic, c'est que le nouvel entraîneur, Juande Ramos, a réussi à  instaurer un semblant de cohésion dans l'équipe, et que le Real rend des copies bien plus propres en championnat.

Quel serait l'intérêt de débarquer Ramos s'il continue sur sa lancée? L'opportunité, peut-être, de récupérer un entraîneur de classe mondiale, qui fait peut-être l'année de trop à  Arsenal, actuel 5ème de la Premier League...

Affaire à  suivre

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[argueti]

Chaque année on le pense aller la bas ...

[argueti]

[Kriskool]

J'étais plongé dans mon taf hier soir à  la Cour de Honau, quant il est apparu soudainement à  l'accueil face à  moi vers 20h30...
Serrage de pince, et petite discussion avec lui, il est vraiment très sympa, et il possède un charisme de fou

[Tenor]

J'étais plongé dans mon taf hier soir à  la Cour de Honau, quant il est apparu soudainement à  l'accueil face à  moi vers 20h30...
Serrage de pince, et petite discussion avec lui, il est vraiment très sympa, et il possède un charisme de fou

Par curiosité, il faisait quoi à  la Cour de Honau ? Recrutement ?

[Kriskool]

Répondu par mp

[argueti]

A l'école d'Arsène

Une vingtaine d'élèves de l'école primaire Hans-Arp de Duttlenheim ont eu la "surprise", hier matin, d'avoir un professeur un peu particulier. Tout simplement Arsène Wenger, le manager d'Arsenal, revenu dans le village de son enfance pour les besoins d'un tournage télé.

Arsène Wenger recrutera-t-il un jour un joueur ayant grandi à  Duttlenheim ? On ne le sait pas encore. L'idée hier était seulement de le faire croire. Pour son dernier numéro de l'année (dimanche 21 juin de 11 h à  12 h), l'émission Téléfoot a réalisé une série de reportages "décalés". Arsène Wenger, consultant pour TF1 et reconnu comme l'un des meilleurs techniciens de la planète football, devait lui se transformer en "professeur" pour une vingtaine d'écoliers de Duttlenheim.

« Quand j'étais enfant, Duttlenheim était un village de paysans »

C'est avec bonne humeur qu'il s'est prêté au jeu, recrutant parmi la (jeune) assistance pour composer une nouvelle équipe d'Arsenal devant affronter le grand rival des Gunners, ni plus ni moins que Manchester United ! Peu avant le tournage, Arsène Wenger s'éclipse quelques instants pour une conversation téléphonique dans la langue de Shakespeare. Il faut dire que pour tout entraîneur, le mois de juin n'est jamais vraiment celui des vacances. Un transfert est ainsi sur le point d'être finalisé du côté d'Arsenal, qui devrait faire signer aujourd'hui le défenseur de l'Ajax Amsterdam Thomas Vermaelen (23 ans). « Arsenal est un club fantastique avec un entraîneur qui prône un beau football », déclarait ainsi le joueur hier dans la presse flamande. Le transfert de l'international belge se serait-il décidé définitivement dans une salle de classe de Duttlenheim ? L'histoire ne le dit pas et ce n'était sans doute pas la priorité d'Arsène Wenger hier matin, lui qui s'est prêté avec beaucoup d'enthousiasme à  l'échange avec les écoliers du village. Ce tournage, Arsène Wenger ne pouvait l'envisager ailleurs qu'à  Duttlenheim, le village où il a grandi - ses parents tenaient le restaurant "A la Croix d'or" - et où il s'est pris de passion pour le ballon rond. « C'est ici que j'ai appris à  lire et à  écrire, se souvient le manager d'Arsenal. C'est toujours sympa de revenir à  l'école. » Bien sûr, l'école Hans-Arp, sortie de terre il y a une quinzaine d'années, ne ressemble guère à  celle des années 1950, quand le jeune Arsène usait ses fonds de culotte sur les bancs de l'école municipale, « au-dessus de la mairie » pour les garçons (c'était au temps de l'école mixte). « Le décor a beaucoup changé, sourit Arsène Wenger. Quand j'étais enfant, Duttlenheim était un village de paysans. Aujourd'hui les tracteurs ont remplacé les chevaux... » Son métier ne lui en laisse guère le temps mais il avoue apprécier revenir dans le village de son enfance, où habite encore une partie de sa famille. « Je pense que tout le monde aime revenir sur les lieux de son enfance. Ce sont des endroits chargés d'émotion et qui vous parlent. » Actualité oblige, Arsène Wenger ne pouvait échapper au sujet qui met en émoi toute l'Alsace du football : la nomination de Gilbert Gress au Racing, qui, hasard du calendrier, est intervenue le même jour que son retour express à  Duttlenheim. « Le Racing a choisi la compétence et l'expérience, estime le manager d'Arsenal. Je pense que le club a de bons jeunes et que Gress (son entraîneur à  Strasbourg en 1979...) en tirera le maximum. »

Un oeil sur le Racing

En observateur avisé, Arsène l'Alsacien sait aussi que la tâche du Racing ne sera pas aisée entre « les clubs qui descendent de L1, Caen, Nantes, Le Havre et des équipes comme Metz, Tours et Guingamp. Il faudra trouver un équilibre et peut-être recruter deux ou trois joueurs d'expérience pour jouer la montée ». Il faudra aussi passer outre la déception de cette saison 2008-2009 et une accession en L1 manquée pour un petit point. « Le groupe a certainement été touché par le fait de rater la montée lors de la dernière journée. C'est toujours difficile d'évaluer les conséquences d'un épisode comme celui-là . Il faudra bien démarrer la saison prochaine. » Quant à  un retour, un jour, au Racing auquel rêvent tant de supporters alsaciens (il a été responsable de la formation de 1981 à  1983), Arsène Wenger s'en remet à  une réponse polie et distanciée, lui qui a encore de nombreux challenges à  relever avec Arsenal : « J'ai toujours eu de l'intérêt pour le club. Léonard (Specht) va laisser travailler les techniciens en place. Aujourd'hui, le plus important est que le club se porte bien, avec ou sans moi. »

Simon Giovannini

[Bou]

Si Wenger veut mettre des billes, c'est le moment ou jamais !

Plusieurs solutions :
- Nous preter des jeunes d'Arsenal en recherche de temps de jeu
- Une capitalisation masquée en nous achetant bezzaz pour 5 ou 10 M€ avec les sous d'Arsenal
- Déménager l'Emirates Stadium à  Strasbourg