[07/08] 10ème J : Metz / Strasbourg : 1-2

[FM17]

je pensais que Papin etait un blaireau avec Abou, Gargorov et Johanssen...
Par contre Furlan voit des choses qu il n avait jamais vues auparavant visiblement...c est bien il est venu à  Strasbourg pour apprendre...
Victoire Imperative contre une équipe de L2 ce soir !

[FM17]

Le Racing aligne un très bon milieu de soir avec Fanchone et Mouloungui sur les côtés et 2 seuls milieux défensifs...Si le résultat est au bout, Lacour doit redescendre derrière ou cirer le banc !

[GeoGeo]

allez ce soir je le sent bien, une petite victoire avec la manière

[argueti]

Vaincre le signe lorrain

Le RCS n'a plus gagné depuis 24 ans à  Metz en championnat. Ce soir (19 h) à  Saint-Symphorien, il tentera de mettre un terme à  ce quart de siècle d'insuccès et de repousser les Lorrains à  dix longueurs.

On vous parle d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, aurait chanté Charles Aznavour. Le 22 octobre 1983, un certain Carsten Nielsen offrait au Racing la dernière de ses quatre victoires (1-0) à  Metz en 46 derbies de championnat. Depuis, les Bleus s'y sont déplacés à  16 reprises, pour 4 nuls et 12 défaites. La dernière – une cinglante fessée (1-4) la saison passée en L 2 — est encore dans toutes les mémoires. Mais dans un passé pas si lointain, on trouve toutefois trace d'un succès alsacien à  Saint-Symphorien. C'était le 2 août 1995 dans l'impayable « Coupe à  Toto » (Intertoto). Grâce à  Franck Sauzée et Alex Mostovoï (2-0), le RCS s'ouvrait la route du Milan AC qu'il allait croiser un peu plus tard en UEFA. Mais il faut bien avouer que ceci ne nous rajeunit guère et qu'au train où les choses, les moins de vingt ans ne connaîtront bientôt plus ce temps-là  non plus. Cette page d'histoire refermée, c'est cette fois d'un duel entre deux candidats au maintien, tous deux promus de Ligue 2, dont il sera question en soirée. À la traîne la saison passée derrière un FCM sacré champion de France, le RCS a pris les devants à  l'étage supérieur. Il émarge 7 longueurs devant la lanterne rouge messine. Mais les deux clubs empruntent depuis quelque temps une trajectoire opposée. Après une entame catastrophique (6 défaites, 2 nuls), les hommes de Francis De Taddeo se sont refait la cerise depuis deux matches et deux succès à  l'extérieur en L 1 à  Caen (2-1) et en 16e de Coupe de la Ligue à  Bordeaux (2-1). « Notre début de saison a été perturbé par les blessures d'éléments clefs (Julien Cardy, toujours pas opérationnel, Sébastien Bassong, Cédric Barbosa et Daniel Gygax) », rappelle le défenseur axial messin (ex- Strasbourgeois) Malick Diop. « C'était une mauvaise passe. Je pense, j'espère que la machine est lancée. »

« àŠtre consistants et constants »

Toujours lanterne rouge (19e attaque et 19e défense), le convalescent mosellan est encore d'une santé précaire. « Mais en gagnant, nous reviendrions à  quatre points du Racing et à  portée du milieu de tableau », insiste le Sénégalais. « Ici, l'attente est très forte. D'abord parce que c'est un derby. Ensuite parce que nos supporters attendent notre première victoire à  domicile. Nous allons tout donner. Mais à  mes yeux, ce derby est un match comme les autres. » Voilà  exactement le message que s'efforce de faire passer l'entraîneur strasbourgeois Jean-Marc Furlan, désireux d'ôter un brin de pression à  un RCS qui reste sur cinq matches sans succès (2 points sur 12 en L 1, aucun but inscrit depuis près de 8 heures). « On respecte l'événement et l'émotion qu'il suscite. Mais lorsqu'un professionnel se laisse aller à  l'émotion, il n'est plus performant. Nous devons être dans le rationnel, l'efficace. S'il signifie beaucoup en Alsace, ce derby a moins d'impact en Lorraine où le vrai derby est celui contre Nancy. Chacun connaît les enjeux : les Messins pensent à  revenir à  quatre points et nous, à  accentuer l'écart. Metz est sur une bonne dynamique et ça peut influer sur le résultat. Nous devrons faire montre d'un surcroît de dynamisme, d'attention et de concentration. àŠtre consistants, en fait. La constance est la plus belle représentation de la force d'une équipe. » Le Racing en aura besoin s'il veut écrire une page d'histoire dont les moins de vingt ans se souviendront longtemps.

Suspendus : Lacour, Abou (Strasbourg).
Absents : à  Metz, Cardy (reprise), Strasser (genou), Vivian (cheville), Renouard (coup au pied), Djiba, P. Cissé, Delgado, Thomas (choix de l'entraîneur) ; à  Strasbourg, Abdessadki (mollet), Weber, Gargorov, Gasmi, Kantari, Schneiderlin, Gmamdia, Schneider, Loue, Bah, Zenke (choix de l'entraîneur).

Puydebois incertain

Le gardien remplaçant du Racing Nicolas Puydebois, blessé aux adducteurs hier après-midi lors de la traditionnelle séance de veille de match, est incertain. Le troisième gardien, Régis Gurtner, a donc été rappelé en urgence. Une décision définitive sera prise ce matin sur la participation au derby de Puydebois.

Stéphane Godin

[argueti]

L'appel du grand large

Ce soir, en un lieu qui lui est étrangement hostile depuis plus de deux décennies, le Racing espère remettre les bouts et filer au large. Aujourd'hui, sept longueurs le séparent de la lanterne rouge messine. Combien ce soir ?

C'était il y a trois semaines tout juste. Au soir de la huitième journée, celle qui a vu le FC Metz toucher le fond à  Saint-Symphorien contre une équipe lyonnaise et un Benzema tout feu tout flamme (1-5), le Racing comptait très exactement dix points d'avance sur son rival le plus intime.

Cinq jours où le vent a tourné

Autant dire qu'à  cette époque pas si lointaine, les hommes de Jean-Marc Furlan ne se souciaient guère des touffus ennuis messins, dont l'impeccable costume de « premier » promu s'était transformé en un méconnaissable tas de loques. C'est que le regard du Racing ne portait alors pas vers le bas. Non, les Bleus nourrissaient même quelques légitimes rêves de grandeur, entretenus par une rencontre assez intelligemment maîtrisée du côté de Sochaux (0-0). Mais le football a ceci de formidable que les situations a priori durables peuvent se retourner en deux temps trois mouvements. Alors que les Alsaciens se faisaient marcher sur la tête par une solide équipe mancelle (0-1) puis essuyaient une seconde charge assenée par les « petits » Amiénois (0-2) en coupe de la Ligue, le tout en l'espace de cinq jours à  la Meinau, les Lorrains renaissaient, comme par enchantement, aux ambitions.

De Taddeo : « Nous sommes en progrès »

La première victoire de la saison, acquise de haute lutte à  Caen (1-2), suivie d'une deuxième tout aussi surprenante et sur le même score aux dépens de Bordeaux en coupe, permettait aux hommes de Francis De Taddeo d'entrevoir la lumière. Pas d'effacer le lourd passif du début de saison - deux points pris en huit journées -, mais au moins de croire en des jours meilleurs. « Depuis notre courte défaite en championnat contre Bordeaux (0-1, 6e journée), nous sommes en progrès, dit l'entraîneur des Grenats. Tâchons de le confirmer contre Strasbourg, puis à  Nancy, puis contre Nice... » « Je crois beaucoup aux cycles, se méfie Jean-Marc Furlan. Nous, on a eu le nôtre, et je suis persuadé qu'on peut le rééditer à  tout moment. Dans l'immédiat, il s'agira déjà  de s'opposer à  cette dynamique. Je mise sur un surcroît d'attention, de concentration, d'envie. Enfin de tout, quoi. »

Sursaut ou renouveau ?

Dangereusement attiré vers le bas du tableau, le Racing est désormais obligé de porter la plus grande attention au sursaut lorrain, qui pourrait bien s'apparenter à  un renouveau si l'affaire venait à  tourner au vilain, ce soir à  Saint-Symphorien. Certes, l'actuel neuvième de L1 peut espérer repousser à  nouveau son hôte à  dix longueurs, en venant à  bout de cette singulière malédiction - vingt-quatre ans d'insuccès en terre lorraine - qui colle aux crampons strasbourgeois. Mais elle peut tout aussi bien voir Metz revenir à  quatre points. Ce qui, convenons-en, n'est plus du tout la même histoire à  deux semaines de la venue de Bordeaux.

« Très grande confiance en mon équipe »

L'esprit cartésien de Furlan, qui écarte toute notion de sortilège ou de diablerie, se contente d'analyser les données rationnelles. « Pour aborder le maintien, on se doit d'être en mesure de contrer le jeu de tout type d'adversaire, dit-il. Pour ça, il faut être efficace, compétent. A mes yeux, comme à  ceux de Wenger ou d'autres référents dans le milieu, la continuité est essentielle. Je garde une très grande confiance en mon équipe. » Inquiet quant à  l'état de fraîcheur de ses troupes avant la venue du Mans, le technicien alsacien se dit rassuré. « En dix jours de coupure, les gars ont eu le temps de se régénérer, assure-t-il. Physiquement et mentalement, nous sommes mieux. » En dépit des absences d'Abdessadki, dont la blessure au mollet traîne en longueur, et de capitaine Lacour, les Strasbourgeois semblent donc parés à  répondre à  l'appel du grand large. Même s'ils peuvent d'ores et déjà  s'attendre à  essuyer du gros grain, comme à  chaque fois à  Metz, l'aspect du beau jeu étant fatalement relégué au second plan. Puissent-ils, cette fois, avoir le vent dans le dos.

Premières

Pas de surprise du côté des titualires, mais Jean-Marc Furlan a par contre dû modifier son banc, en l'absence d'Abou (suspendu). Résultat : Quentin Othon apparaît pour la première fois dans le groupe strasbourgeois cette année, tout comme le défenseur central Pierre Ducrocq. Ironie de l'histoire, Othon, espoir formé au club, avait joué son premier match chez les pros l'an dernier... à  Metz. Enfin Régis Gurtner devrait faire sa première apparition en tant que gardien remplaçant.

Défense à  quatre

Francis de Taddeo, plutôt favorable à  une défense à  cinq, a changé ses plans. L'avalanche de blessés en défense centrale - avec notamment les absences de Vivian Matheus et Jeff Strasser - y est certainement pour quelque chose. Du coup, les Messins devraient évoluer avec deux récupérateurs, l'inamovible François étant associé au défenseur Delhommeau, qui remonte d'un cran.

Sébastien Keller

Metz qui joue à  4 derrière va peut être changer beaucoup de choses ! Surtout si ils prennent le jeu à  leur compte !

[jere57]

J'aimerais savoir si le match se joue a guichet fermé ce soir ?! merci de me repondre au plus vite et allez racing

[argueti]

J'en doute ...

Metz - Strasbourg très regardé

Le derby entre Metz et Strasbourg attire l'attention de nombreux clubs.

Les travées de Saint-Symphorien seront garnies de regards attentifs à  l'occasion de la prochaine journée de championnat. Plusieurs clubs allemands ont effet choisi de profiter du derby Metz - Strasbourg pour observer les deux équipes.

Des émissaires de Dortmund, Leverkussen, Augsburg, Wolfsburg, Frankfurt et Hamburg effectuerons le déplacement. Le club belge d'Anderlecht et Troyes enverront également des observateurs.

[Manu]

J'aimerais savoir si le match se joue a guichet fermé ce soir ?! merci de me repondre au plus vite et allez racing

ça va t es pas chiant toi, tu vas sur le site Messins ou tu appelles leur billeterie

[D520]

J'en doute ...

Metz - Strasbourg très regardé

Le derby entre Metz et Strasbourg attire l'attention de nombreux clubs.

Les travées de Saint-Symphorien seront garnies de regards attentifs à  l'occasion de la prochaine journée de championnat. Plusieurs clubs allemands ont effet choisi de profiter du derby Metz - Strasbourg pour observer les deux équipes.

Des émissaires de Dortmund, Leverkussen, Augsburg, Wolfsburg, Frankfurt et Hamburg effectuerons le déplacement. Le club belge d'Anderlecht et Troyes enverront également des observateurs.

que viennent faire tous ces clubs étrangers lors d'un tel match ?

[GeoGeo]

peut etre superviser bellaid, renteria, gmandia