[07/08] 17ème J: Strasbourg / Rennes : 3-0
- argueti
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Its_me : tu oublies "déviée".
Moi je vois bien le 2e but de Cohade... sur pénalty. C'est vrai, 16 journées sans un seul pénalty en notre faveur, ça commence à faire anormalement beaucoup.
Moi je vois bien le 2e but de Cohade... sur pénalty. C'est vrai, 16 journées sans un seul pénalty en notre faveur, ça commence à faire anormalement beaucoup.
Modifié en dernier par Phapha le 8 déc. 2007 14:35, modifié 1 fois.
- fab
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Moi j'aimerai bien voir schneiderlin au milieu au moins une grosse demi heure!
Après, c'est quand meme l'hecatombe au milieu
Sinon en attaque je verrais bien mulenga-renteria
Par contre santos
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Si un problème a une solution, il ne sert à rien de s'inquiéter. S'il n'en a pas, s'inquiéter n'y changera rien
- Its_me
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DNA a écrit :Du doux dans le dur
Etrillé par Lyon, muet offensivement ces trois dernières journées, vierge de tout succès depuis plus d'un mois et décimé par les forfaits, le Racing est dans le « dur ». Face à une équipe rennaise aussi engoncée dans le doute, les Strasbourgeois tâcheront d'adoucir une atmosphère frileuse.
Jean-Marc Furlan n'a jamais été aussi volubile. A croire que la difficulté l'inspire. L'entraîneur alsacien a puisé dans son habile rhétorique les formules idoines pour expliquer, accuser, contre-attaquer et, finalement, retomber sur ses pieds. Une belle pirouette oratoire dont l'homme « extrêmement extrême », comme il se définit, a le secret.
Le Racing peine, ne marque plus, n'avance plus
Le douloureux épisode lyonnais a servi d'introduction. Dans un déferlement de mots, Furlan a pourfendu les colporteurs de banalités, ceux qui « pensent qu'on a trop respecté l'adversaire » et qui « oublient qu'à 2-0, on a essayé d'attaquer pour réduire le score, en étant maître du ballon. » Le petit couplet sur l'arbitrage, ce grand corps malade, a été particulièrement rythmé et incisif. « Il n'y a rien de plus absurde de dire que ça s'équilibre sur une saison, martèle-t-il. Notre système est obsolète, les erreurs humaines pleuvent. Et comme par hasard, celles-ci ne profitent jamais aux petits. » Toujours est-il que le Racing en a pris cinq à Gerland. En attendant le jour où la vidéo lissera les écarts par rapport aux puissants, ces circonvolutions lexicales ne suffisent pas à alléger la valise. Le fait est que le Racing peine, ne marque plus, n'avance plus. Seuls quatre points le séparent du premier relégable. Furlan a bien compris que son équipe était « dans le dur. » Et même « en plein dedans», depuis qu'une cascade de forfaits a plombé l'ambiance. Quand les vertus du beau jeu ne suffisent plus, que la fluidité dans le mouvement disparaît, l'instinct de survie resurgit. S'il mentionne encore l'objectif d'atteindre « 26 points à la trêve », Furlan parle aujourd'hui de la nécessité de « grappiller » ce qui peut l'être.
Rennes, un mal profond ?
Reste à savoir comment le Racing peut conjurer un sort devenu contraire depuis que le PSG a raflé les points à la Meinau. C'était le 3 novembre dernier. Les Bleus ne s'en sont toujours pas remis. Retrouver la disponibilité intellectuelle du début de saison, quand ses hommes montaient sur le terrain en espérant juste être à la hauteur de l'événement, constitue aux yeux du coach la seule solution. Le fait d'avoir été « contrarié, fortement vexé et humilié » à Lyon est censé faciliter la prise de conscience. Le souci, c'est que les Rennais s'inscrivent peu ou prou dans la même démarche. Eux aussi sont pris dans une spirale infernale, nourrie par quatre défaites de rang en championnat - dont la dernière à Valenciennes (3-0) - qui fait désordre pour un prétendant à la Ligue des champions. Confiant, Pierre Dréossi sent son équipe capable de repartir sur « un nouveau cycle ». L'entraîneur breton n'aura pas manqué de noter que sa troupe a pris quinze buts lors de ses sept derniers matches, toutes compétitions confondues, et n'en a marqué qu'un seul. Et encore, sur penalty. Si ça se trouve, Pagis, Wiltord et compagnie souffrent d'un mal plus profond que leur coach veut bien laisser paraître. Le Racing n'en a cure. Devant les quelque 4 000 enfants invités à la Meinau, les Strasbourgeois veulent adoucir un hiver qui s'annonce rude. C'est le moment, là , maintenant.
Absences en série
C'est le casse-tête pour Jean-Marc Furlan, obligé de composer une équipe inédite en raison de l'avalanche de forfaits. Aux longues absences de Lacour et Camadini s'ajoutent celles de Gameiro (malade), Abdessadki (malade), Fanchone (cuisse) et Mouloungui (genou). Seule bonne nouvelle : la présence de Bellaïd, longtemps incertain. A noter aussi la première apparition du jeune attaquant David Ledy dans le groupe.
Retours
Pierre Dreossi, qui n'a gardé que 17 joueurs pour ce déplacement, récupère le défenseur Stéphane M'Bia (absent depuis un mois) ainsi que le milieu défensif Etienne Didot (absent depuis trois rencontres). Les Strasbourgeois ne découvriront par contre pas Lhadji Badiane. Le jeune attaquant de 20 ans, originaire du quartier de Cronenbourg et passé par Schiltigheim puis Gueugnon est resté en Bretagne pour jouer avec l'équipe réserve.
Sébastien Keller
L'Alsace a écrit :Noël avant l'heure ?
Le RCS, qui fête Noël avec un peu d'avance à 20 h à la Meinau face au Stade rennais, espère s'offrir le plus beau des cadeaux : une victoire qui le fuit depuis quatre matches.
« Samedi (…), le RCS fête Noël avec ses supporters. » Ainsi le site officiel du club strasbourgeois annonce-t-il officiellement le match de ce soir. Comme chaque année à pareille époque, les dirigeants bas-rhinois ont souhaité marquer le coup. 4000 jeunes ont été invités (3000 avec la LAFA, 1000 avec la Région Alsace). Les allées seront animées. Et un lancer de mini-ballons aura lieu sur la pelouse. Bref, tout est réuni pour que la fête soit belle. Ne manque plus que le cadeau à déposer au pied du sapin des supporters : une première victoire en L 1 après quatre matches d'insuccès. Et surtout un premier succès à la Meinau depuis le 25 août contre Lens (2-1). C'est peut-être là que les choses seront les plus compliquées. Car le Stade rennais a beau traverser une passe plus pénible encore que le Racing (quatre défaites consécutives en L 1, aucun but marqué, neuf encaissés), « Rennes reste Rennes », selon Grégory Paisley qui a porté les couleurs bretonnes durant une saison et demie au début des années 2000. « C'est une grosse équipe, avec de belles individualités capables de faire la différence. Rennes a les cartes en main et tout ce qu'il faut pour devenir un grand club : le président idoine, le budget, un stade tout neuf, un centre d'entraînement de qualité à la Piverdière. Je ne serais pas étonné si le Stade rennais s'installait régulièrement dans les cinq premiers de la L 1 ces prochaines années. »
Deux équipes « dans le dur »
Le club breton ne joue d'ailleurs pas les faux modestes et avance à découvert vers un objectif sinon avoué, du moins envisagé: un premier ticket en Ligue des Champions qui lui avait échappé à l'ultime seconde la saison passée. Privés de tour préliminaire, les Rennais sont désormais presque éliminés en Coupe UEFA. Mais leur priorité va aujourd'hui à leur « redressement » en championnat (Ndlr : ils sont encore 7es), après six revers et un nul (1 but pour, 15 contre) lors de leurs sept dernières rencontres officielles. «Rennes est aussi dans le dur. Qui va le mieux s'en sortir ? On va voir», s'interroge l'entraîneur strasbourgeois Jean-Marc Furlan. « Quand on est ainsi dans le dur, tout ce qui importe, c'est de grappiller des points. » Perturbé par les maladies et les blessures, le RCS n'a pas préparé au mieux un match importantissime pour sa sérénité. Mais malgré cette traversée automnale du désert, Stéphane Cassard assure n'avoir perçu aucun signe tangible de fébrilité. « Le groupe et le staff reflètent l'environnement. Il y a au Racing des gens sains, avec un projet ambitieux et une ligne directrice claire. Rien ne me donne à penser qu'il risque d'y avoir panique à bord. » Personne n'est cependant dupe : le premier des deux rendez-vous consécutifs à domicile (avant la réception du dauphin Nancy le 16 décembre) revêt une importance que Jean-Marc Furlan ne nie pas. «Rennes est un des clubs phares du foot français et va le rester longtemps encore. C'est aussi la 2e meilleure équipe à l'extérieur (14 points sur 24, 4 victoires, 2 nuls, 2 défaites). La seule à nous avoir trimballé deux fois avec Troyes l'an dernier. Nous sommes revenus de Lyon vexés, animés par un sentiment d'humiliation. Mais c'est terminé. J'ai envie que nous prenions des points pour nous rassurer. » Après quatre matches sans succès et une glissade de la 6e à la 13e place, cette mise au(x) point(s) s'impose.
Pagis sur le banc
Impressionnant sur le papier, le compartiment offensif rennais peine à trouver ses marques sur le terrain. Sylvain Wiltord, Jimmy Briand et Jérôme Leroy, ses meilleurs buteurs, n'ont inscrit que trois buts, Olivier Thomert et Etienne Didot, deux, et l'ex-Strasbourgeois Mickaël Pagis, 1 seul (en 10 matches). Récemment pris à parti par un imbécile, agacé d'être remplacé à Valenciennes, « Micka » devrait débuter sur le banc. Nantes a déjà approché Rennes pour un prêt au mercato d'hiver. Charlton est également sur les rangs.
La fin du mutisme ?
5 h 10 de mutisme pour le Racing. 6 h 13 pour le Stade rennais. Le match de ce soir à la Meinau mettra aux prises deux équipes qui n'ont plus marqué en L 1 depuis une éternité. « Il faut que cette mauvaise passe dure le moins longtemps possible », assène Grégory Paisley, en référence à la sale période - pas seulement offensive - que traverse le RCS. « Nous devons impérativement claquer le premier but et ensuite nous mettre minables pour garder notre avance. » Cette indigence offensive récurrente n'étonne guère Jean-Marc Furlan. Le Racing a pourtant bouclé 9 de ses 16 matches (plus l'élimination 0-2 en Coupe de la Ligue contre Amiens) sans avoir fait trembler les filets adverses. « Il me paraît normal qu'un promu qui, par définition, dispose d'un petit budget, marque peu. Un grand buteur, c'est 9 millions. Aujourd'hui, nos jeunes, Gameiro, Mouloungui et Renteria (respectivement 3, 3 et 5 buts), connaissent une érosion due à la compétition. Sans compter qu'ils ne bénéficient plus de l'effet de surprise. » Les deux premiers marqueront d'autant plus le pas ce soir qu'ils ne joueront pas. Comme indiqué dans nos colonnes hier, Kévin Gameiro (bronchite) et James Fanchone (a priori arrêté pour une petite semaine pour une douleur au quadriceps droit) se sont officiellement ajoutés aux forfaits déjà connus de Yacine Abdessadki (bronchite), Guillaume Lacour (reprise en CFA) et Pascal Camadini (genou). Eric Mouloungui a lui aussi renoncé. « Son genou ponctionné n'a pas récupéré », indique un Furlan qui s'en tiendra donc à l'équipe bâtie lors de la mise en place de jeudi. A une exception : Zoltan Szelesi retrouvera le poste de latéral droit à la place de Pierre Ducrocq. « Je suis satisfait de Pierre », commente le coach, « Comme Rente, Zoltan était fatigué et avait besoin de souffler. Mais de là à lui enlever tout son crédit et à ne plus le faire jouer, il y a une marge. Je préfère rester dans la logique du club qui l'a fait venir pour le long terme. »
- D520
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si les arbitres avaient moins de merde dans les yeux !!!!Phapha a écrit :Its_me : tu oublies "déviée".
Moi je vois bien le 2e but de Cohade... sur pénalty. C'est vrai, 16 journées sans un seul pénalty en notre faveur, ça commence à faire anormalement beaucoup.
j'aimerais bien connaitre la note des arbitres de Lyons-RCS !!!!
j'espère que le juge de touche sera relégué en CFA après un stage de formation !!!

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