Bon soir c'est clair:on est dans la Merde,alors de deux choses l'une,soit on vire l'entraineur,soit on prend un chomeur plus un joker et on passe un coup de torchon dans cet effectif de mou du cerveau et du tacle devissé.
Dans le premier cas de figure je pense à Antonetti, dans le deuxième cas je pense à Delaye+Ecker.
Antoine Kombouaré
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DémissionKombouaré en sursis à Strasbourg ?
Le président de Strasbourg Egon Gindorf a annoncé qu'il pourrait éventuellement changer son entraîneur, Antoine Kombouaré, après la série de mauvais résultats de son club, battu à domicile par Nantes (0-2), samedi lors de la 9e journée de Ligue 1, et dernier du classement.
«C'est un match inacceptable pour nous tous, c'est honteux pour Strasbourg, a déclaré Gindorf. On n'a toujours pas gagné un match. C'est une situation inacceptable. Je ne peux pas répondre à chaud, mais on va réagir. Il faut qu'on prenne des mesures. Il n'y a pas que les joueurs que l'on peut changer, il y a aussi l'entraîneur. Je vais d'abord en discuter avec lui dimanche.»
Le président du club alsacien a précisé qu'il se donnait le week-end pour «réfléchir» et organiser des réunions avec les autres dirigeants.
«On a touché le fond. Est-on capables de rebondir ?, s'est interrogé pour sa part Antoine Kombouaré. Je me suis toujours bagarré et je continuerai à me bagarrer avec ceux qui veulent me suivre. J'ai besoin des joueurs. Je n'ai pas vu des garçons fatigués. Il y'en a peut-être qui n'osent pas, qui ont peur, mais il faut se bagarrer. Mon avenir, je n'en sais rien. Mon seul souci aujourd'hui, c'est de redonner une âme à cette équipe».
L'ancien défenseur de Nantes et du Paris SG est arrivé à la tête de l'équipe première strasbourgeoise en juin 2003. Il est sous contrat avec le Racing jusqu'en 2007.

L'histoire est en marche ...
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Allez, maintenant qu'on est à 99% en L2, tentons le tout pour le tout :
- changement de coach
- changement de dispositif tactique
- insertion de 4-5 joueurs de la CFA en L1
- achat de 2-3 joueurs au mercato quitte à mettre nos finances dans le rouge
- vente de Bassila, Niang, Deroff, etc... On gagnera pas grand chose mais vu ce qu'ils apportent sur le terrain...
C'est peut être un peu exagéré, mais trop c'est trop. Le racing a besoin d'une petite révolution pour s'en sortir.
- changement de coach
- changement de dispositif tactique
- insertion de 4-5 joueurs de la CFA en L1
- achat de 2-3 joueurs au mercato quitte à mettre nos finances dans le rouge
- vente de Bassila, Niang, Deroff, etc... On gagnera pas grand chose mais vu ce qu'ils apportent sur le terrain...
C'est peut être un peu exagéré, mais trop c'est trop. Le racing a besoin d'une petite révolution pour s'en sortir.
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D'après les DNA c'est vraiment certainement fini avec Kombouaré..
Le Racing y va tout droit

Au milieu du naufrage, Pascal Johansen a tenté de surnager. En vain...(Photos DNA - Bernard Meyer)
Ridicules 90' durant, grotesques mêmes par instant face à des Nantais qui se sont amusés, les Strasbourgeois filent tout droit vers la L2. Antoine Kombouaré devrait apprendre son licenciement dans les heures ou au plus tard les jours qui viennent. Il ne peut y avoir d'autre issue.
Ce matin, Antoine Kombouaré n'est plus que l'entraîneur virtuel d'une équipe qui n'existe pas. La défaite d'hier a été celle de trop. Aujourd'hui, demain au plus tard, sa mise à l'écart sera officialisée et le nom de son remplaçant sera annoncé.
Dénouement logique et attendu. Par lui comme par tout le monde. Parce qu'il ne peut en être autrement, parce que le mal est profond et qu'à ce rythme le Racing va devenir la risée de la France du foot, si ce n'est pas déjà le cas.
Parce que depuis le mois de janvier, cette équipe n'est plus que l'ombre d'elle-même. Parce que, enfin, c'est la seule solution possible pour tenter de sauver ce qui peut encore l'être. Autrement dit, les apparences.
« On ne peut pas continuer comme ça »
Ebranlé comme tout le monde par le pitoyable spectacle - ce qui est un très grand mot dans le cas présent, pantomime serait plus juste - proposé hier, Egon Gindorf ne laissait d'ailleurs guère planer de doutes sur l'issue de l'entrevue qu'il aura aujourd'hui avec son futur ex-entraîneur. Même s'il se refusait à affirmer un choix définitif.
« C'est une déception énorme, assénait-il. C'est presque scandaleux de voir comme l'équipe s'est comportée aujourd'hui. On va réagir. Il n'y a pas que les joueurs que l'on peut changer, il y a aussi l'entraîneur. Laissez-moi le week-end, mais c'est sûr qu'on ne peut pas continuer comme ça. C'est lamentable ce qui se passe. Lamentable de voir des joueurs qui ne se battent pas. Et puis, il n'y a plus de jeu, c'est ça la catastrophe. Les joueurs ont couru comme un renard dans le poulailler. N'importe comment. Il n'y a pas de système. Ma déception est énorme, énorme ».
Médiocrité partagée
Pas de système, pas d'âme, pas d'allant, pas d'envie et si peu de talent. Le résumé exact d'une heure et demi d'ennui profond, de médiocrité partagée.
Hier, le Racing a accepté de se soumettre à son infériorité. A accepté ce jeu que de successives solitudes n'ont jamais su emplir et qui se liquéfie encore, comme si c'était possible, journée après journée. Car pire que l'enfer de Dante, sa chute ne connaît décidément pas de fin à son abîme, alors qu'on avait naïvement imaginé que le seuil de l'acceptable avait été atteint au Parc la semaine dernière.
« Je resterai debout »
Comme en 2001, c'est donc un chemin de croix qui est proposé aux spectateurs qui se sont, hier, livré à une bronca que les circonstances exigeaient. Noyant leur colère sous un déluge de sifflets. Comme pour ériger un monument à leur déception.
« Après le but encaissé, on a été incapables de relever la tête, concédait Antoine Kombouaré longtemps après que M. Moulin, au niveau de l'ensemble, a sifflé la fin du match. Peur de jouer, d'être disponible. Nous avons été incapables de demander un ballon dans les pieds. C'est une très grosse déception. Moi, je n'ai pas vu des garçons fatigués physiquement après le match ». Ce qui est assez grave, on en conviendra.
Quant à son avenir, il refusait de voir si loin puisqu'il est dit que c'est désormais une perspective lointaine. Incertaine en tout cas. « Je n'en sais rien. Je travaille. Je vais essayer de redonner une âme à cette équipe, de la confiance. Il faut trouver les remèdes. Si je vais présenter ma démission ? Je me suis toujours bagarré. Je me bagarre avec ceux qui veulent me suivre. Je fais face. J'ai toujours été débout, je resterai debout ».
Antoine Kombouaré est donc un homme qui partira debout.
Pascal Coquis
Le Racing y va tout droit

Au milieu du naufrage, Pascal Johansen a tenté de surnager. En vain...(Photos DNA - Bernard Meyer)
Ridicules 90' durant, grotesques mêmes par instant face à des Nantais qui se sont amusés, les Strasbourgeois filent tout droit vers la L2. Antoine Kombouaré devrait apprendre son licenciement dans les heures ou au plus tard les jours qui viennent. Il ne peut y avoir d'autre issue.
Ce matin, Antoine Kombouaré n'est plus que l'entraîneur virtuel d'une équipe qui n'existe pas. La défaite d'hier a été celle de trop. Aujourd'hui, demain au plus tard, sa mise à l'écart sera officialisée et le nom de son remplaçant sera annoncé.
Dénouement logique et attendu. Par lui comme par tout le monde. Parce qu'il ne peut en être autrement, parce que le mal est profond et qu'à ce rythme le Racing va devenir la risée de la France du foot, si ce n'est pas déjà le cas.
Parce que depuis le mois de janvier, cette équipe n'est plus que l'ombre d'elle-même. Parce que, enfin, c'est la seule solution possible pour tenter de sauver ce qui peut encore l'être. Autrement dit, les apparences.
« On ne peut pas continuer comme ça »
Ebranlé comme tout le monde par le pitoyable spectacle - ce qui est un très grand mot dans le cas présent, pantomime serait plus juste - proposé hier, Egon Gindorf ne laissait d'ailleurs guère planer de doutes sur l'issue de l'entrevue qu'il aura aujourd'hui avec son futur ex-entraîneur. Même s'il se refusait à affirmer un choix définitif.
« C'est une déception énorme, assénait-il. C'est presque scandaleux de voir comme l'équipe s'est comportée aujourd'hui. On va réagir. Il n'y a pas que les joueurs que l'on peut changer, il y a aussi l'entraîneur. Laissez-moi le week-end, mais c'est sûr qu'on ne peut pas continuer comme ça. C'est lamentable ce qui se passe. Lamentable de voir des joueurs qui ne se battent pas. Et puis, il n'y a plus de jeu, c'est ça la catastrophe. Les joueurs ont couru comme un renard dans le poulailler. N'importe comment. Il n'y a pas de système. Ma déception est énorme, énorme ».
Médiocrité partagée
Pas de système, pas d'âme, pas d'allant, pas d'envie et si peu de talent. Le résumé exact d'une heure et demi d'ennui profond, de médiocrité partagée.
Hier, le Racing a accepté de se soumettre à son infériorité. A accepté ce jeu que de successives solitudes n'ont jamais su emplir et qui se liquéfie encore, comme si c'était possible, journée après journée. Car pire que l'enfer de Dante, sa chute ne connaît décidément pas de fin à son abîme, alors qu'on avait naïvement imaginé que le seuil de l'acceptable avait été atteint au Parc la semaine dernière.
« Je resterai debout »
Comme en 2001, c'est donc un chemin de croix qui est proposé aux spectateurs qui se sont, hier, livré à une bronca que les circonstances exigeaient. Noyant leur colère sous un déluge de sifflets. Comme pour ériger un monument à leur déception.
« Après le but encaissé, on a été incapables de relever la tête, concédait Antoine Kombouaré longtemps après que M. Moulin, au niveau de l'ensemble, a sifflé la fin du match. Peur de jouer, d'être disponible. Nous avons été incapables de demander un ballon dans les pieds. C'est une très grosse déception. Moi, je n'ai pas vu des garçons fatigués physiquement après le match ». Ce qui est assez grave, on en conviendra.
Quant à son avenir, il refusait de voir si loin puisqu'il est dit que c'est désormais une perspective lointaine. Incertaine en tout cas. « Je n'en sais rien. Je travaille. Je vais essayer de redonner une âme à cette équipe, de la confiance. Il faut trouver les remèdes. Si je vais présenter ma démission ? Je me suis toujours bagarré. Je me bagarre avec ceux qui veulent me suivre. Je fais face. J'ai toujours été débout, je resterai debout ».
Antoine Kombouaré est donc un homme qui partira debout.
Pascal Coquis
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- Préparateur physique@Staff
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- Enregistré le : 30 mars 2004 18:29
- Localisation : Ingersheim
J'ai souvent soutenu Kambouare, mais la je crois et je suis meme sur que pour lui, c'est fini... Il a quand meme apporté de bonne chose a strasbourg mais plus rien ne passe entre lui et les joueurs maintenant...
Et puis de toute facon, faut bien faire quelque chose, sinon, on fille vers un record avec un championnat sans victoire...
Et puis de toute facon, faut bien faire quelque chose, sinon, on fille vers un record avec un championnat sans victoire...
Alsacien pour toujours