il y a qq années, il y avait une équipe qui jouriat en PE et une autre dans l'ancêtre du CFA. Mais ça fait un bout de temps qu'il n'y a plus que le CFA (les autres jouent en 18 ans
L'Equipe 2 - Championnat de National 3
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Juju
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Manu
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Manu
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Le Racing intraitable
La Chapelle St-Luc 0 RC Strasbourg II 3
Mi-temps : 0-3. Temps froid. 50 spectateurs environ. Pelouse en bon état. Arbitre : M. Sien assisté de MM. Ravillon et Charlier. Les buts : Nsangu (5e'), Ndiaye (12e'), Ulm (30e') pour Strasbourg. Avertissements : Himeur (27e'), Linger (30e') au RCSC. RCSC : Denovilliers, Burelle, Berthaux, Mankos, Linger (cap.), Himeur, Mezriche, Girard, Sabatier, Benslimane, Moussaouy puis Mbarga, Er, Kellis. RC STRASBOURG : Delin, Moraba, Ndiaye, Sylvestre, Camadini (cap.), Sam, Kobylik, Doukantie, Nsangu, Viau, Ulm, Savane, Krebs puis Bensaïd, Batomenila, Gurtner. Pour ce sommet inversé du championnat, les Chapelains n'avaient guère d'alternative, s'ils voulaient redonner un peu d'épaisseur à leur désormais challenge annuel, le maintien. Hélas, au grand désappointement de leur entraîneur, les Chapelains ne furent que l'ombre d'eux-mêmes, et pour tout dire totalement absents de la première période qui vit des Alsaciens supérieurs dans tous les domaines du jeu construire une victoire logique et qui ne souffre d'aucune contestation. Malgré la rentrée de Himeur, attendu un peu comme le messie, à l'image du temps plus que frisquet qui sévissait, le premier coup de froid survint dès la 5e' quand le centre fuyant de l'expérimenté Kobylik était catapulté au fond des filets de Denovilliers par un Nsangu étrangement seul au deuxième poteau. Absents du débat, les hommes de Salou allaient une nouvelle fois céder sur un nouveau déboulé de Kobylik, il est vrai souvent rompu à la ligue I, quand ce dernier expédia un centre que Denovilliers ne pouvait que repousser dans les pieds de Ulm qui n'en demandait pas plus pour enlever tout suspense à l'issue de la rencontre (30e'). Le match qui sombrait alors dans l'à -peu-près faillit être réveillé par Moussaouy qui expédiait une splendide volée des 25 m, mais le cuir après avoir percuté la transversale et rebondi sur la ligne de Delin se refusait à franchir la ligne fatidique (33e'). C'était bien trop peu pour faire douter des Alsaciens, sûrs de leur fait, qui se contentaient de faire tourner le ballon et gérer un avantage guère contesté par des Aubois plutôt résignés. Dès la reprise, les Chapelains, quelque peu revigorés quand Himeur se faisait souffler le ballon par Delin. Les bonnes intentions chapelaines auraient pu aboutir quand la volée de Girard à la réception d'un centre de Sabatier rasait le montant gauche du portier alsacien (57e'), même si ce sont encore les visiteurs qui montraient les dents sur un nouveau contre rondement mené par l'insatiable Ndiaye, ce dernier manquant d'un cheveu la balle de 4-0. Les locaux jetteront alors leurs dernières forces dans la bataille, mais sans grande conviction, et pour tout dire de manière trop désordonnée pour faire chanceler des Strasbourgeois qui la jouaient hérisson et guettant le moindre contre pour corser une addition déjà particulièrement salée.
La Chapelle St-Luc 0 RC Strasbourg II 3
Mi-temps : 0-3. Temps froid. 50 spectateurs environ. Pelouse en bon état. Arbitre : M. Sien assisté de MM. Ravillon et Charlier. Les buts : Nsangu (5e'), Ndiaye (12e'), Ulm (30e') pour Strasbourg. Avertissements : Himeur (27e'), Linger (30e') au RCSC. RCSC : Denovilliers, Burelle, Berthaux, Mankos, Linger (cap.), Himeur, Mezriche, Girard, Sabatier, Benslimane, Moussaouy puis Mbarga, Er, Kellis. RC STRASBOURG : Delin, Moraba, Ndiaye, Sylvestre, Camadini (cap.), Sam, Kobylik, Doukantie, Nsangu, Viau, Ulm, Savane, Krebs puis Bensaïd, Batomenila, Gurtner. Pour ce sommet inversé du championnat, les Chapelains n'avaient guère d'alternative, s'ils voulaient redonner un peu d'épaisseur à leur désormais challenge annuel, le maintien. Hélas, au grand désappointement de leur entraîneur, les Chapelains ne furent que l'ombre d'eux-mêmes, et pour tout dire totalement absents de la première période qui vit des Alsaciens supérieurs dans tous les domaines du jeu construire une victoire logique et qui ne souffre d'aucune contestation. Malgré la rentrée de Himeur, attendu un peu comme le messie, à l'image du temps plus que frisquet qui sévissait, le premier coup de froid survint dès la 5e' quand le centre fuyant de l'expérimenté Kobylik était catapulté au fond des filets de Denovilliers par un Nsangu étrangement seul au deuxième poteau. Absents du débat, les hommes de Salou allaient une nouvelle fois céder sur un nouveau déboulé de Kobylik, il est vrai souvent rompu à la ligue I, quand ce dernier expédia un centre que Denovilliers ne pouvait que repousser dans les pieds de Ulm qui n'en demandait pas plus pour enlever tout suspense à l'issue de la rencontre (30e'). Le match qui sombrait alors dans l'à -peu-près faillit être réveillé par Moussaouy qui expédiait une splendide volée des 25 m, mais le cuir après avoir percuté la transversale et rebondi sur la ligne de Delin se refusait à franchir la ligne fatidique (33e'). C'était bien trop peu pour faire douter des Alsaciens, sûrs de leur fait, qui se contentaient de faire tourner le ballon et gérer un avantage guère contesté par des Aubois plutôt résignés. Dès la reprise, les Chapelains, quelque peu revigorés quand Himeur se faisait souffler le ballon par Delin. Les bonnes intentions chapelaines auraient pu aboutir quand la volée de Girard à la réception d'un centre de Sabatier rasait le montant gauche du portier alsacien (57e'), même si ce sont encore les visiteurs qui montraient les dents sur un nouveau contre rondement mené par l'insatiable Ndiaye, ce dernier manquant d'un cheveu la balle de 4-0. Les locaux jetteront alors leurs dernières forces dans la bataille, mais sans grande conviction, et pour tout dire de manière trop désordonnée pour faire chanceler des Strasbourgeois qui la jouaient hérisson et guettant le moindre contre pour corser une addition déjà particulièrement salée.
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