vincenzo2004 a écrit :j'en ai un en trop je pense que je vais le donner gratuitement a quelqu'un devant la billeterie...
[05/06] 5ème J. Groupe UEFA : RCS / Belgrade : 2-2
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Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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L'homme de la vallée
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Mais en considérant que Gmom est une pièce forte de notre effectif, n'est-il pas normal de le réserver pour Samedi ?
On a pas tellement d'attaquants que ça si ?
Déjà qu'on a beaucoup de blessés...
Donc s'il joue demain il sera crevé samedi je pense.
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- C'est pas parce qu'on à rien à dire qu'il faut la fermer
- Et vous vous en pensez quoi ?
- Moi ? Oh rien..
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comme nous tous !!!!!!!!!!!!!!
un match à 20h45 en semaine , mais c'est du n'importe quoi !!!
fin du match 22 h45-23h
émeute du coté des serbes = stade bloqué pendant 35-45 minutes
trajet du retour = 30 minutes
bref au lit vers 0h30-0h45 et réveil vers 6 h!!!!!!!!
bref une courte nuit nous attends!!!
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Le Pen sera plutot à gauche d'apres moi et Krebs au milieu ...DNA a écrit :Un bon coup de jeune
Pour ce dernier match de poule, le Racing, déjà qualifié et qui évoluera donc sans aucune pression, offrira un visage juvénile et inédit face à une équipe de Belgrade surmotivée.
La crainte de voir les Strasbourgeois entrer sur le terrain avec le match face à l'OM en tête a rapidement été évacuée. Ce soir, les Strasbourgeois auront Belgrade et uniquement Belgrade à l'esprit. Sans beaucoup de risques de voir, à un moment où un autre, leurs pensées s'évader.
C'est qu'une bonne moitié de l'équipe ne devrait pas être physiquement concernée par le dernier match aller du championnat samedi. Celui qui peut permettre, si ça veut rigoler et donc si une victoire strasbourgeoise se conjugue à une défaite troyenne, au Racing d'aborder la trêve avec quatre points de débours sur le premier relégable. Ce qui serait, convenons-en, un moindre mal après les affres passées.
« Ils ont une chance incroyable »
Comme il l'avait annoncé dès avant le match à Nancy, Jacky Duguépéroux a en effet très largement fait tourner son effectif. Enfin, dans la mesure où la profondeur du réservoir de CFA et son infirmerie le lui permettent évidemment.
Au repos complet donc, Pagis qui soigne une cheville endolorie après le derby de ce week-end en Lorraine. Au repos au moins partiel également Puydebois, les frères Farnerud, Hosni, Haggui et Lacour sommés de récupérer. Rien que des titulaires qui vont pouvoir, sauf accident, se présenter en pleine possession de leurs moyens samedi face à l'OM.
Et sur le champ les minots du club comme Schneider, Krebs, Faty (19 ans) ou Gameiro (18 ans) qui s'apprêtent à vivre un grand moment après n'avoir passé pour la plupart que quelques minutes sur le terrain avec les pros. Exception faite de Bellaïd qui, du haut de ses 19 ans et de ses sept titularisations cette année, fait carrément figure de vieux grognard.
« Les plus âgés sur le terrain seront Cassard et le Pen, confirme ainsi l'entraîneur strasbourgeois. Les autres sont tous jeunes. Ils ont une chance incroyable de pouvoir disputer la coupe d'Europe à 19 ou 20 ans. Moi, j'en avais 30 quand je l'ai joué. Et puis, c'est le moyen de voir si on peut compter sur eux ou pas ».
Pour ça, on va vite être fixé. Car si ce dernier match de poule ne concerne que de très loin les Strasbourgeois assurés de terminer à l'une des deux premières places du classement, il est décisif pour les Serbes. Et eux, avec un public en grande partie acquis à leur cause, seront remontés comme des pendules.
Avec trois points, fruits de leur seule victoire dans cette poule face à Rome, les hommes de Walter Zenga n'ont plus leur destin en main. Seule une victoire peut leur permettre d'espérer. Et encore, il faudra que ça se goupille bien pour eux en Italie où la Roma accueille Bâle.
Autrement dit, il faudra que dans le même temps Rome et Bâle se neutralisent (avec 5 points la Roma serait éliminée). Ou que les Suisses l'emportent et éliminent définitivement les Italiens.
L'Etoile Rouge semble assurée d'un 23e titre
L'ancien grand gardien de l'équipe d'Italie, qui détient toujours le record d'invincibilité en Coupe du monde, va donc lancer toutes ses forces vives dans cette partie. Sans rien calculer.
D'autant que sa situation en championnat le lui permet puisque l'Etoile Rouge semble d'ores et déjà assurée d'un 23e titre national et que la coupe d'Europe reste un objectif important du club.
On ne pourrait décemment programmer plus beau baptême du feu pour les jeunes pousses strasbourgeoises qui joueront sans pression mais sous la pression. Ce n'est pas si courant non plus. Il va falloir en profiter.
Rouge, la Meinau
L'Etoile Rouge est venue à Strasbourg pour y chercher sa qualification en seizième de finale. Peu importe les moyens, même s'il faut user de courbettes et de charme. Dans un premier temps...
Les Serbes ont débarqué hier soir en Alsace et ça va finir par se savoir. Si quelque 11 000 billets ont été vendus aux supporters strasbourgeois, les fans de l'Etoile Rouge sont eux aussi attendus en nombre.
Tout un quart de virage leur est ainsi réservé. Non sans anxiété du côté des responsables de la sécurité strasbourgeois, qui voient une grosse étiquette « public à risque » pendue dans leur dos. Qu'importe. D'Allemagne, de Suisse, du Bénélux et même de Scandinavie, les Serbes convergeront bruyamment vers la Meinau, en fin d'après-midi, le coeur rempli d'espoir.
Nul doute, l'affaire est sérieuse. D'autant plus que leur équipe est en fâcheuse posture dans cette Coupe UEFA. Seule une victoire, peu importe l'ampleur du score, permettrait de poursuivre l'aventure. Presque un minimum pour un club du standing de l'Etoile.
« Je lui aurais offert à manger »
« J'ai dû expliquer à certains de mes joueurs ce que représentait vraiment ce club, dit ainsi Duguépéroux. Il fait partie des très grands d'Europe. J'ai eu l'occasion de visiter, lors de l'un de mes voyages là -bas, le musée du stade. Eh ! bien, c'est impressionnant de voir la quantité de coupes et de trophées amassés dans les vitrines ! »
Le prestige d'un passé glorieux, voilà le lourd fardeau que Walter Zenga abandonnerait volontiers en bord de chemin. L'entraîneur italien de Belgrade - 58 sélections, troisième du Mondiale 1990 avec la Squadra -, sait bien que l'enjeu est de taille. Sourire en coin et bonnet vissé sur la tête, il n'en laisse pourtant rien paraître.
« Rusés et truqueurs »
« La pression ? Non, franchement, je ne la ressens pas, affirme l'ex-gardien. Si quelqu'un m'avait dit en début de saison que nous serions en tête du championnat, demi-finaliste de notre coupe nationale et encore en course en UEFA, je lui aurais immédiatement offert à manger. »
Soit. Zenga, connu dans ses jeunes années - et les moins jeunes aussi, d'ailleurs - pour son irrépressible propension à courir les jupons, est donc un homme bon et généreux. Son équipe n'a-t-elle pas repassé les couverts voilà quinze jours contre la Roma (3-1), en mettant les petits plats dans les grands ?
Ce coup d'éclats suffit à rappeler que l'Etoile Rouge reste une équipe redoutable qui est venue chercher sa qualification contre une équipe strasbourgeoise « bis ». Là encore, Zenga refuse de tomber dans l'excès de confiance.
« Moi, j'ai vu que leur entraîneur a utilisé 22 joueurs en UEFA et que son équipe est leader, tempère-t-il. Qu'il aligne une formation mixte ne change rien à mes yeux. J'ai beaucoup de respect pour cet adversaire, dont la qualité en Coupe d'Europe n'est plus à prouver. »
Malgré les compliments, Jacky Duguépéroux, homme à qui on ne la fait pas comme ça, reste d'une vigilance extrême. « On connaît le football yougoslave, conclut-il. Ce sont des rusés, des truqueurs, des costauds aussi qui usent de leur grande taille. » L'heure des compliments est révolue. Place aux actes. Si possible dans le calme, messieurs les supporters...
L'Alsace a écrit :Une histoire de prestige
Alors que l'Etoile Rouge de Belgrade viendra ce soir (20 h 45) chercher son visa pour les 16e s de finale de Coupe de l'UEFA, le Racing, déjà qualifié, tentera de préserver son invincibilité dans l'épreuve.
Ce match compte-t-il vraiment pour du beurre ? Peut-être si l'on se réfère à l'unique objectif à atteindre quand on participe à la Coupe UEFA : accéder au tour suivant. Or, depuis son nul à Rome il y a trois semaines, le Racing sait qu'il participera aux 16e s de finale en février (aller les 15-16, retour le 23). Il sait même que, quel que soit son résultat face à l'Etoile Rouge de Belgrade ce soir (20 h 45) à la Meinau, il terminera dans les deux premiers du groupe E de la phase de poules qui s'achève en soirée et disputera ainsi le match retour à la Meinau. Seule incertitude : en cas de première place, il en découdra avec le 3e d'un autre groupe ; s'il termine « seulement » second, il se mesurera au 3e d'un des huit groupes de Ligue des Champions.
« L'Etoile Rouge est un grand club »
Une nuance qui ne perturbe guère Jacky Duguépéroux, bien plus préoccupé par le court terme et le maintien en Ligue 1. Donc, par la réception de l'OM samedi. L'entraîneur strasbourgeois l'avait annoncé : il fera tourner son effectif ce soir, ce qui ne signifie nullement que les Bleus se présenteront en victimes résignées. Pour deux raisons : un, le Racing est toujours invaincu dans la compétition cette saison (4 victoires et 1 nul) et verrait d'un bon oeil de le rester ; deux, les jeunes qui seront titularisés (Krebs, Gameiro, Schneider, Faty et Bellaïd, le plus assidu de tous dans l'équipe) auront toutes les raisons de briller. Sans parler des « anciens » Stéphane Cassard et Ulrich Le Pen, de retour après une longue absence (le premier sur un choix, le second sur blessure) qui tiendront sans doute à se rappeler au bon souvenir de tous et, surtout, de leur coach. Outre l'enjeu d'une première ou d'une deuxième place pour les Strasbourgeois, le match de ce soir en revêtira un autre qui se suffit à lui-même : l'Etoile Rouge viendra à Strasbourg chercher sa qualification pour les 16e s. Une victoire la lui offrirait automatiquement. Un nul pourrait lui suffire à condition que l'AS Roma s'incline contre Bâle au stade olympique de Rome. Peu probable. « L'Etoile Rouge arrive avec sa meilleure équipe pour faire un résultat et ça peut déboucher sur un match intéressant », prévient « Dugué », « J'ai dit aux jeunes que j'avais découvert la Coupe d'Europe à 30 ans et qu'ils doivent mesurer la chance qui est la leur de la jouer à 18 ou 19. Quoi qu'on en pense, l'Etoile Rouge est un grand club. J'ai eu l'occasion d'aller là -bas quand j'étais au recrutement, de voir son stade de 100000 places, son musée où l'on sent tout le poids de son histoire. J'ai vu la cassette de son match contre Rome au cours duquel elle s'est imposée 3-1 après avoir été menée 1-0. Des joueurs comme le buteur Nikola Zigic, qui est tout sauf maladroit malgré ses 2,02 m, le petit milieu très actif Nenad Kovacevic ou l'autre milieu Dragan Mladenovic, que je suivais quand j'étais au recrutement et qui est très bon, même s'il n'a pas réussi aux Glasgow Rangers (ni à la Real Sociedad), seront à surveiller. Ces trois-là sont partants pour la Coupe du monde (Ndlr : la Serbie-Montenegro se retrouve dans le même groupe que Boka et la Côte d'Ivoire). Je le répète : l'Etoile Rouge reste un grand club. » Un grand club présidé par un ex-grand joueur, Dragan Stojkovic, toujours féru de Ligue 1, puisqu'il réside à Paris. L'ex-Marseillais se méfie de ce Racing rajeuni : « Même s'ils ne joueront pas, j'apprécie particulièrement Pagis, qui est toujours dangereux pour une défense, et Alexander Farnerud. J'aime les joueurs très techniques dans son genre. Strasbourg joue bien, mais a souvent manqué de chance en championnat. Mentalement, sa victoire à Nancy est capitale. Parce que cette équipe-là a de grandes qualités. J'ai regardé tous ses matches de Coupe de l'UEFA, à Bâle (2-0), contre Tromsà¶ (2-0) et à Rome (1-1) et elle n'a pas volé sa qualification. » Son Etoile Rouge entend ne pas voler la sienne.
L'Europe de la jeunesse
Pour mieux préparer la venue de l'OM, Jacky Duguépéroux a choisi de faire tourner son effectif et de confier les clefs du match à sa classe biberon.
Gaétan Krebs a fêté ses 20 ans le 18 novembre et arrosé l'événement avec ses coéquipiers voici quelques jours. Il est, du club des cinq jeunes qu'alignera d'entrée Jacky Duguépéroux ce soir, le seul à disposer d'un contrat professionnel (signé cet été et valable jusqu'en 2008). Habib Bellaïd, Yann Schneider et Ricardo Faty n'ont que 19 ans. Et Kevin Gameiro a tout juste atteint sa majorité. À eux cinq, ils pèsent 14 matches de L 1 (dont 8 pour le seul Bellaïd) et ont tous débuté en championnat cette saison. Mais ils n'en figureront donc pas moins dans le onze de départ ce soir contre l'Etoile Rouge, à moins que Gmamdia ne soit préféré à Gameiro en, attaque. D'ailleurs, hormis ce dernier (remplaçant à Graz et contre Tromsà¶), aucun n'en sera à son coup d'essai européen. Bellaïd, resté sur le banc face aux Autrichiens à l'aller comme au retour, était titulaire contre Tromsà¶ et à Rome. Remplaçant contre Graz à la Meinau, Faty était entré 4'à Bâle, mais avait débuté face aux Norvégiens et en Italie. Schneider a suppléé Cédric Kanté, blessé, à la 71e minute face à la Roma. Et Krebs a joué une petite demi-heure contre Tromsà¶, avant d'entrer à la mi-temps dans la capitale italienne. Comme Bellaïd, il a d'ailleurs goûté aux trois compétitions disputées par le RCS jusqu'ici, puisqu'il était titulaire en Coupe de la Ligue à Caen. « Si en début de saison, on m'avait dit que je jouerais autant avec les pros, j'aurais eu du mal à y croire », avoue le petit milieu de terrain originaire de Sentheim, qui jouera tout à l'heure devant ses parents, « Je ne m'y attendais pas. Bien sûr, il aurait sans doute été préférable de débuter en L 1 dans des circonstances plus favorables. Mais après tout, il n'est sans doute pas plus mal de connaître la galère. Jouer des matches de Coupes tous les week-ends, sous la pression de la relégation, ça endurcit. Cet été, il était question que je sois prêté, mais il n'y a pas vraiment eu d'offres. Je n'ai aucun regret d'être resté. Ça se passe bien. Maintenant, si je dois partir pour avoir plus de temps de jeu encore, pourquoi pas ? Mais rester ici, entre la L 1, la Coupe UEFA et la Coupe de France, ça peut être intéressant. De toute façon, débuter en pro au Racing quand on est Alsacien, c'est une fierté. » Une fierté qu'il ressentira encore en soirée face à l'Etoile Rouge. « Pour nous, c'est le match idéal. Parce que nous sommes déjà qualifiés et que nous pourrons jouer libérés, sans l'obligation absolue du résultat. Les Serbes viennent chercher leur qualification. Ils vont se découvrir. Ça peut donner un bon match. »
« Le challenge est beau »
Comme son jeune partenaire, Ricardo Faty, à qui la blessure longue durée de Sidi Keita et le transfert de Christian Bassila ont ouvert des perspectives au poste de milieu récupérateur, croque dans l'instant présent, lui qui effectue sa rentrée après sa blessure au mollet gauche contractée à Rome le 24 novembre. « À 19 ans, ce n'est pas trop tôt pour démarrer en Ligue 1. Les blessures font partie du jeu. À nous d'en profiter pour nous imposer. En championnat, le challenge est beau. Dans une situation aussi périlleuse, on progresse deux fois plus et deux fois plus vite. On grandit. Entrer à Bâle, être titulaire à Rome et, maintenant, contre Belgrade, ça fait super plaisir. Pour nous, les jeunes, ce sont des matches super intéressants à vivre. Nous ferons tout pour gagner. Depuis le succès à Nancy, même si le vestiaire n'a pas vraiment changé, on sent qu'une nouvelle confiance l'anime. À nous de l'entretenir avant la venue de l'OM samedi. »
Sous surveillance
Parce que le public de l'Etoile Rouge est considéré comme « délicat » selon Serge Cayen, le responsable de la sécurité du Racing, les dirigeants strasbourgeois, en accord avec les services de police, ont pris des mesures drastiques pour la rencontre de ce soir. « Les fans serbes nous ont demandé 500 billets, mais seuls 120 sont arrivés en bus (Ndlr : ils résident au mont Sainte-Odile et leur hôtel avait déjà dû appeler la gendarmerie hier soir). Ceux-là seront envoyés dans le quart de virage nord-est grillagé. Parmi eux figurent des supporters de catégorie C, les plus dangereux. Et toute la tribune Est (4 000 places) sera réservée aux centaines d'autres qui viendront de Suisse, d'Autriche, d'Allemagne et de France, au sein desquelles on trouvera peut-être un public familial. Ils seront pris en charge et la surveillance du match sera assurée par une compagnie de CRS. » La location a par ailleurs dépassé les prévisions les plus optimistes. Alors que 8 516 spectateurs seulement avaient assisté au match contre Tromsà¶, la barre des 15 000 devrait être approchée, voire franchie en soirée, puisque 11 000 billets avaient été vendus hier. « Comme quoi un succès de Nancy peut avoir des effets positifs immédiats », souligne Serge Cayen, « sans compter que l'Etoile Rouge reste un club attractif. » Duguépéroux a vu Meyong. Pendant que le recruteur Philippe Thys assistait lundi à la rencontre, Jacky Duguépéroux a regardé sur Sport + Vitoria Setubal – Belenenses, dernier match de la 14e journée du championnat portugais (1-0). Dans son viseur, l'attaquant camerounais de Belenenses, Albert Meyong (notre édition d'hier), second buteur de 1r e division lusitanienne avec 9 buts. « Difficile de le juger sur un tel match, alors que son équipe a subi et qu'il n'a pas reçu de ballons exploitables. Mais d'autres à la cellule recrutement le connaissent beaucoup mieux que moi. » 23 ans de moyenne d'âge. Le Racing alignera ce soir une équipe de départ de 23 ans de moyenne d'âge. Une moyenne tirée vers le haut par la rentrée des trentenaires Stéphane Cassard (33 ans) et Ulrich Le Pen (31 ans). Sans eux, elle retomberait à tout juste plus de 21 ans. Une seule incertitude dans l'équipe de départ. « Je ne sais pas encore si je lancerai Kevin Gameiro devant ou si je maintiendrai Haikel Gmamdia », indique « Dugué ».
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