[07/08] 26ème J: Strasbourg / Sochaux - 0-2

[urotsukidogi]

Allez je me le fais façon journaliste sportif:

RCS - SOCHAUX......... So chiant

La Meinau a révélé hier soir un aspect qu'on ne lui connaissait que peu, à  savoir être un haut lieu de la culture et de l'art. En effet nous avons pu assister à  une véritable opposition de style entre un football réaliste sochalien (2 occasions 2 buts) et un football cubiste strasbourgeois que n'aurait pas renié Picasso.
La première mi-temps aura vu l'equipe frappée du lion attaquer comme un mort de faim prêt à  renverser une défense louée par beaucoup et qui a du mettre un 1/4 d'heure à  se régler, ils allaient beaucoup trop vite vu l'opposition!! 1 but d'Isabey plus tard marqué tranquillement comme à  l'entrainement lorsqu'on veut punir son gardien qui nous a chambré quelques secondes plus tôt en le laissant tout seul se faire allumer à  5 mètres, le racing décidait de tenter de construire une action. Mouloungui devait alors découvrir cette chose étrange appelée ballon et centrer pour un Abdessadki dont la tête frolant le poteau droit de Richert sera là  la seule preuve de son existence sur le terrain. Les joueurs du racing après avoir suite à  un pressing d'une rare qualité encaissé un second but d'Erding purent enfin déployer tout leur talent tacticotechnique d'équipe en rentrant comme un seul homme au vestiaire à  la suite du coup de sifflet de l'arbitre. Les spectateurs craignant que leurs héros n'aient pas entendu le dit signal de l'arbitre avaient de plus décidé de soutenir le geste de l'homme en noir par leurs propres sifflets.
La deuxième mi-temps fut de bien plus grand intérêt pendant le premier quart d'heure, temps qu'il fallut pour que je mange mon sandwich fait maison. Ensuite, le spectacle retomba au niveau évoqué précdemment ou incompréhension succédaient à  des contrôles à  5 m, des ballons de 40m en profondeur sur Santos puis sur Gameiro (vous savez l'attaquant de 1m30 qu'on envoie sauter face à  des défenseurs de 1m90). Le rajout systématique d'attaquants permit d'admirer l'alignement parfait de notre ligne d'attaque collée contre les défenseurs n'essayant surtout pas de proposer du mouvement. Là  encore, les 3 coups de fin furent acceuillis par cette grande question qui taraudait le stade "dis le match de rugby il est fini ou je vais pouvoir mater un peu de sport avant de me coucher?"

Les peintres:

Cassard: 2 Ne peut rien sur les buts mais peut par contre repeindre sa ligne de surface afin de ne pas prendre le ballon avec ses mains en dehors de celle-ci.
Dos Santos 3: le meilleur ce soir, euh que dire de plus.
Lacour 0: Rien rien rien
Bellaid: 1 A participé au naufrage collectif.
Paisley: 1 Ses magnifiques passes en profondeur auront été son seul fait de gloire

Cohade: 2 a couru partout sans jamais réussir après avoir peiniblement pris un ballon à  l'adversaire à  en faire quelque chose.
Rodrigo: 1 Ne mérite pas 1M€ de transfert dur ce match

Abdessadki: 0,5 c'est ou le smiley ou on se marre comme une baleine?
Mouloungui: 1 C'est pas bien de faire jouer des mecs bléssés en plus le football c'est pas sa spécialité non?
Mulenga: 1 Ca lui a fait un bien fou la CAN!!!!

Santos:0,5 qui?

[argueti]

Dure est la chute

Le Racing se devait de retrouver le chemin du succès, hier soir, face à  une équipe sochalienne en perdition. Les Alsaciens, apathiques et finalement désespérants, sont tombés de haut. Les voilà  redescendus à  la quatorzième place, engoncés dans leurs doutes. Sale soirée.

On joue le samedi comme on s'entraîne la semaine. Partant de ce principe aussi vieux que le football - du moins depuis que ce jeu est devenu une affaire sérieuse -, Jean-Marc Furlan avait de bonnes raisons d'espérer. Oubliée, la courte mais logique défaite concédée samedi dernier à  Lorient (1-0), ses troupes sont de nouveau en ordre de bataille. Les Strasbourgeois ont la gnac, les attaquants un appétit insatiable, une vraie faim de ballon. Titulaires comme remplaçants, tous ont le couteau entre les dents.

En réalité, les Bleus sont à  l'agonie

C'est donc un samedi sanglant qui s'annonce à  la Meinau. Face aux Lionceaux du Doubs, dont le rugissement s'apparente à  un frêle piaillement dans la jungle du bas de tableau, les Strasbourgeois doivent jouer les équarrisseurs. De ceux qui vous dépècent un animal malade, histoire de lui ôter le dernier souffle de vie et de s'offrir une peau douillette pour les derniers frimas de l'hiver. Concrètement, en cas de victoire, les Bleus peuvent repousser les Sochaliens à  onze points. Un nul suffit à  les maintenir à  huit longueurs. Pas rien, ça. Une perspective qui, au pire, contenterait Furlan, un coach qui redoute quand même le coup de griffe de la bête blessée. « Sochaux est peut-être dix-neuvième au classement, mais sixième à  l'extérieur », rappelle-t-il à  la fin des débats.

« Un naufrage collectif, sans les jambes ni les compétences »

La scène de chasse tourne à  la débâcle, sous les sifflets d'une Meinau frondeuse. En l'absence de Fanchone, un petit peu blessé, et de Gameiro, volontairement laissé sur le banc, le Racing entre dans la partie sans le moindre ressort. Mulenga et Mouloungui, chargés de mettre le feu aux poudres sur les côtés, font « pschittt ». Leurs permutations sur les ailes n'y changent rien, même si le second nommé est peut-être le seul à  instiller un timide grain de folie. En réalité, les Bleus sont à  l'agonie, complètement occis. A l'image d'un Cohade à  bout de souffle ou d'un Alvaro Santos fantomatique face au club qui l'a prêté, le Racing court - et encore, c'est un grand mot - dans le vide. Même la défense, habituel gage de sécurité, est aux abois. En deux accélérations, oeuvres de Maurice-Belay, les Doubistes sont à  l'abri. Isabey (14e') puis Erding (36e') profitent des largesses alsaciennes pour tromper Cassard. Le Racing est, déjà , au fond du trou. « C'est un naufrage collectif, analyse lucidement Furlan. Nous n'avions ni les jambes ni les compétences. On a mal défendu et mal attaqué. Je suis très déçu, mais je sais que c'est le lot des équipes qui luttent pour le maintien de passer par des périodes douloureuses. »

Pourvu que la chute ne soit pas sans fin

Les tentatives du coach, qui lance tour à  tour Renteria, Johansen et Gameiro, n'influent en rien sur le cours des événements. Les Strasbourgeois échouent invariablement dans tout ce qu'ils entreprennent et se dirigent tout droit vers leur quatrième défaite de la saison à  la Meinau. « Mais ils sont où, les Strasbourgeois ? » Le carré doubiste peut jubiler. Son équipe, revenue à  cinq points du Racing, est relancée dans la course au maintien. « On n'est pas mort, on est en survie », précise Francis Gillot, l'entraîneur doubiste. Le Racing, lui, tombe de haut. Pourvu que la chute ne soit pas sans fin. « Le propre d'un entraîneur, c'est de tout prévoir, même le pire », philosophe Furlan, conscient qu'il sera délicat d'éviter la - mauvaise - passe de trois samedi prochain au Mans, sans Paisley ni Rodrigo, tous deux suspendus. « Ce championnat est un marathon, on est préparés à  lutter jusqu'au bout », conclut le manager général. C'est peu de le dire.

Des individualités en souffrance

Si quelques-uns ont assuré le minimum, quelques autres, Lacour et Mulenga en tête, n'ont pas été loin de naufrager hier.

CASSARD () : S'il n'a rien à  se reprocher sur les deux buts, le portier alsacien a commis une boulette en reprenant en dehors de sa surface un ballon en retrait (65e).
LACOUR () : L'ancien capitaine a souffert dans son couloir où Maurice-Belay a fait preuve d'une grosse activité. Ses difficultés ont été illustrées par les buts sochaliens, quand le latéral droit a fait office de piquet (14e et 36e).
BELLAID () : L'international espoir n'est pas exempt de tout reproche sur la 1re réalisation doubiste. Il a tenté de hausser son niveau physique par la suite, mais en a finalement trop fait. A tel point que dans le sillage d'une montée ratée, il a été approximatif dans son replacement et Erding a pu tranquillement décroiser une tête fatale (36e).
PAISLEY () : On a espéré que son assurance des premières minutes soit contagieuse. Hélas, sa belle relance vers Mulenga (3e) ou son jaillissement sur un débordement de Erding (5e) n'ont été que des illusions. Et il a raté des relances en 2e période.
DOS SANTOS () : Le défenseur chauve a d'abord pris un vent de la part de Erding (5e) ce qui a nourri une légitime prudence. Il ne s'est guère affairé sur le front offensif, mais a plutôt bien tenu son côté.
RODRIGO () : S'il a assuré le minimum, le Brésilien n'a pas été époustouflant et cela suffit pour inspirer une relative déception. Le pivot du jeu strasbourgeois s'est révélé trop discret pour influer sur les débats. Une petite tête vers Renteria aurait pu changer le cours funeste du match (70e). Le Colombien n'en a pas profité.
COHADE () : Serait-il temps de le faire souffler ? Son profil « diesel » a suscité l'espoir d'une montée en puissance. On l'a attendu jusqu'à  son remplacement. Habituel accélérateur, il a systématiquement orienté le jeu vers l'arrière. Son souffle court a donné l'impression que Stéphane Dalmat était toujours en équipe de France ou que Maurice-Belay est l'un des meilleurs centreurs du championnat. A cédé sa place à  RENTERIA (54e), qui a signé son entrée de tirs à  côté (71e par exemple).
MULENGA () : Sans ménager son énergie, le Zambien a complètement raté sa sortie. Entre des contrôles aux approximations abyssales, comme à  la 30e minute, des passes à  la précision désespérante pour le coéquipier, il n'a pas confirmé sa sortie stéphanoise. Son calvaire s'est achevé à  l'entrée en jeu de JOHANSEN (59e).
ABDESSADKI () : Il a été l'auteur de l'action la plus dangereuse du Racing en ouvrant vers Mouloungui et en reprenant le centre d'une tête plongeante qui a fini au ras du poteau (18e). Pas toujours tranchant, mais souvent bien placé, il est l'un des rares à  sauver dans les rangs alsaciens, en dépit de ses coups de pied arrêtés toujours aussi mal tirés. Un pressing sur Richert (66e) prouve qu'il ne s'est jamais découragé. Remplacé par GAMEIRO (70e).
MOULOUNGUI () : Bien sûr, on peut toujours fulminer devant quelques-unes de ses actions inachevées. Mais le Gabonais a provoqué, a réussi un bon centre (18e) vers Abdessadki et un fort joli contrôle du talon (35e), a été à  la réception d'un corner qu'il n'a pas réussi à  propulser au fond des filets (44e). S'il était le seul Strasbourgeois manche courte, il n'a pas joué les touristes, même s'il a baissé la tête dans la dernière ligne droite.
ALVARO SANTOS () : Le syndrome docteur banc et mister titulaire a encore frappé. Lorsque le joueur prêté par... Sochaux est dans le onze, le Racing perd. Avec la défaite d'hier, c'est arrivé 4 fois sur 7, pour une seule victoire. Sa discrétion n'a évidemment pas évité l'énorme raté.

François Namur & Sébastien Keller

[argueti]

Sochaux respire, le RCS transpire

En signant sa quatrième victoire à  l'extérieur hier à  la Meinau (2-0), le FCSM s'est relancé dans la course au maintien et a insinué le doute dans l'esprit d'un Racing qui a perdu trois places en cette 26e journée.

Strasbourg restait sur deux victoires à  la Meinau. Et avec les deux réceptions de Sochaux (19e) et Metz (lanterne rouge, le 8 mars), les Strasbourgeois, forts de 32 points avant le derby d'hier, comptaient bien accomplir un pas décisif vers un maintien objet unique de leurs préoccupations de promus. Mais un FC Sochaux/Montbéliard sous assistance respiratoire avant son déplacement en Alsace leur a coupé le souffle et s'est du même coup donné un peu d'air. Certes, les Sochaliens sont loin d'être tirés d'affaire, mais sans doute pourront-ils capitaliser, au moins en termes de confiance, sur leur 4e victoire à  l'extérieur de la saison. Car les Doubistes ont signé en Alsace le plus logique des succès face à  des Bleus d'Alsace bien pâles. Il a suffi de deux coups de patte de Nicolas Maurice-Belay en première période pour que les hommes de Francis Gillot annihilent définitivement les maigres velléités strasbourgeoises. Sur son premier centre, Mevlut Erding a tout à  la fois fait preuve d'intelligence et d'altruisme pour offrir sur un plateau à  Michaël Isabey son troisième but de la saison (14e). Sur le second, l'international espoirs a lui-même fini le travail d'une imparable tête plongeante (37e), inscrivant au passage son 6e but personnel. Avec un but et une passe décisive à  son actif (joli tableau de chasse pour un joueur de retour de blessure) il a pu quitter ses partenaires à  la mi-temps - victime d'une petite douleur au mollet - avec le sentiment du devoir accompli. C'est ce même sentiment qui doit animer les Sochaliens ce matin. Des Lionceaux qui ont entamé de la meilleure des façons la trilogie de la survie qu'ils poursuivront la semaine prochaine à  Bonal contre Rennes, puis le 8 mars à  Toulouse. « Il n'y a pas de match facile en L 1, mais nous nous le sommes rendu facile », se félicite l'entraîneur franc-comtois Francis Gillot. « Nous n'avions pas été récompensés contre Caen. Nous récupérons ce que nous avons perdu ce jour-là . Il faut faire une série, battre Rennes samedi. Sochaux n'est pas mort et même si beaucoup de monde nous voit en Ligue 2, les 25 joueurs et moi n'allons rien lâcher. »

Furlan : « Un naufrage collectif »

Paradoxalement et malgré un classement toujours délicat, Gillot et ses hommes ont peut-être moins de souci à  se faire – du moins au vu du match d'hier soir – qu'un Racing fantomatique comme rarement cette saison. Incapable du moindre changement de rythme, de la plus petite révolte, Strasbourg a sombré corps et surtout âme. La preuve ? Teddy Richert n'a pas eu, en 90 minutes, la moindre parade digne de ce nom à  effectuer. D'une pauvreté abyssale, le jeu – un terme un rien inapproprié en l'occurrence – du RCS n'a jamais perturbé un FCSM serein. Au point qu'une Meinau chambreuse a commencé à  saluer par des « Olé » la passe à  dix des Doubistes, avant d'accompagner la sortie des siens, au coup de sifflet final, d'une belle bronca. « Un match raté, un non-match, un naufrage collectif », admet volontiers le coach bas-rhinois Jean-Marc Furlan. « Quand on lutte pour le maintien, il y a de bons passages, d'autres moins. Il faudra se battre jusqu'au bout dans un championnat très serré. Nous sommes préparés à  ça. Nous espérions faire la différence ce soir (hier). Mais nous n'avions ni les jambes, ni les compétences pour y arriver. Si je suis inquiet ? Je le suis toujours. Et je le serais aussi si nous étions 3es en me demandant si nous ne pouvons pas faire mieux. » Aujourd'hui, Strasbourg est 14e et en est à  se demander s'il ne peut pas faire pire.

C'est par où, le but ?

Indigence offensive, créativité absente, passivité défensive : le Racing a péché sur tous les fronts hier soir.

Stéphane Cassard (4). N'a pu que constater les dégâts sur les deux buts. Une stupide faute de main en dehors de sa surface (65e) aurait même pu coûter un 3e but au Racing.
Guillaume Lacour (3). Trimballé par Nicolas Maurice-Belay, il est engagé sur les deux buts sochaliens qui sont venus de son côté droit. Souvent en retard, à  l'origine de nombreuses fautes et ballons perdus, il a fait regretter la présence athlétique de Szelesi à  ce poste. C'est dire.
Habib Bellaïd (4). Comme Lacour, il a été mystifié par Maurice-Belay sur le premier but. Tour à  tour, Grax et Erding lui ont posé des problèmes.
Gregory Paisley (4). Devant l'indigence du milieu strasbourgeois, il a tenté de trouver ses attaquants par des transversales intéressantes. Mais il n'a pas non plus brillé à  la réception des centres décisifs de Maurice-Belay.
Manuel Dos Santos (6). Autant le flanc droit strasbourgeois a été friable, hier soir, autant le côté gauche a été sûr, l'ancien Monégasque montant bonne garde. Son coup-franc, à  la 38e, aurait mérité meilleur sort.
Renaud Cohade (4). D'une passivité coupable sur le centre de Maurice-Belay qui a amené le second but, il est lui aussi atteint du « syndrome de la passe décisive » : plutôt que de jouer vers l'avant au risque de perdre le ballon, il préfère assurer vers l'arrière, rendant inutiles les appels et démarrages de ses attaquants. Remplacé à  la 54e par Wason Renteria, qui a au moins eu le mérite de tenter sa chance.
Rodrigo (5). Livré à  lui-même à  la récupération à  côté d'un Cohade émoussé, il a été l'un des seuls milieux à  jouer vers l'avant.
Jacob Mulenga (4). À la peine depuis son retour de la CAN, il n'a été que rarement alimenté en bons ballons. Remplacé à  la 59e par Pascal Johansen, qui n'a pas plus pesé sur le jeu même s'il a, lui, tenté de servir ses attaquants.
Yacine Abdessadki (3). À son poste de « créateur », son plus gros défaut actuel est de ne pas sentir le jeu. Ce qui lui vaut d'être mal placé dans les phases offensives et en retard dans les gestes défensifs. Aurait pu se racheter sur une tête plongeante à  la 18e s'il l'avait cadrée. En face, Erding, lui, n'a pas raté le coche sur une action similaire. Sifflé à  sa sortie du terrain (71e) pour laisser la place à  Kevin Gameiro, pas plus en verve que ses coéquipiers.
Eric Mouloungui (4). À l'origine de la seule véritable occasion alsacienne de la première mi-temps, il a été dangereux à  gauche mais inexistant lorsqu'il permutait à  droite. En manque évident de compétition, ce qui explique un contrôle à  trois mètres sur une balle de but, après un corner d'Abdessadki (44e).
Alvaro Santos (3). Titulaire donc transparent, comme depuis le début de la saison.

[vaevictis]

http://www.dailymotion.com/search/socha ... sume_sport

[enzy]

Match vu à  la télé :

Moralité du match : le raçing relance à  lui tout seul cette fin de championnat pour ce qui est du maintien .

Je disais hier soir à  mon pote que je ne sentais pas du tout ce match, non pas pour faire le mec pessimiste mais tout simplement parce que statistiquement, il est écrit que le raçing ne peut pas vivre une fin de saison tranquille et qu'une défaite contre Sochaux était le meilleur moyen d'entretenir cette tradition.
Ben au moins sur ce point, ils ont répondus à  mes attentes hier soir

Sinon, par rapport au match :

Victoire plus que mérité de Sochaux tant le raçing était aux abonnés absents
On a le droit de perdre un match, même aussi important que celui d'hier soir, mais pas en affichant un tel état d'esprit en terme d'envie
Sochaux en voulait beaucoup plus que nous, et souvent ça suffit pour gagner un match.
Furlan ne sait toujours pas insufler cette gnac à  ses joueurs, c'était clair que Sochaux allait jouer le couteau sous la gorge, lui le premier est tombé dans le panneau.

Au niveau de la prestation des joueurs :

Lacour, Abde, Alvagros, dehors, ça suffit maintenant le social

Bellaid n'est plus du tout maitre de sa zone de vérité, doit se remmetrre sérieusement en questions.

Cohade-Rodrigo, même combat, c'est à  dire plus rien dans les chaussettes.

Quand à  nos soi-disants joueurs offensifs, pas une occasion de but à  domicile contre le 19 ème, pas la peine d'en rajouter.

Va falloir lutter pour le maintien

Ca fait mal au cul de dire ça, mais allez l'OM

[GeoGeo]

http://www.dailymotion.com/search/socha ... sume_sport

hé bé quelle passivité de la défense sur les buts bordel a croire que les joueurs ont envie de descendre en L2? a oui je sais pour être considérés comme des stars contre libourne

[corentin martins]

Le Racing aucune "ame" comment peut on etre domine de la maniere et etre mené au score apres 30 minutes a domicile..

Ou est le collectif, ou est cette motivation de rien lacher?

Comment peut on titulariser Alvaro a la pointe de l'attaque et se passer de Renteria?

Comment titulariser Lacour en defense quand on 1 internationnal qui tiens ce post?

Que fait Mr Furlan en coaching?

Furlan n'apporte pas la motivation ou l'envie que JPP apportait l'annee derniere....

Quand je vois notre calendrier de la fin du championnat il faudra mouiller le maillot pour pouvoir se sauver....

[D520]

que je suis content d'avoir loupé ce match lorsque je lis vos commentaires

[Psychogene]

Ah parce qu'il y avait un match hier? J'étais pourtant à  la Meinau et j'ai rien vu

[Hans]

Que cette équipe est faible mentalement ...

A quoi bon gagner et se mettre à  l'abris ? 32 point à  ce stade de la compétition c'est au delà  de nos esperances ... et puis on dit depuis le début que le maintien se jouera à  la dernière journée ... donc vu qu'on est en avance, on pouvait se permettre de perdre.
Mais qu'ils sont cons ...