
[Ex] Milovan Sikimic
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Re: Milovan Sikimic
Sikimic est revenu au club par amour de la région, de la ville et de ses supporters 

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Re: Milovan Sikimic
moi je trouve qu il est bien le gars, bien sur qu il ne veut pas jouer pour 2 morceaux de pains.... mais bon il aurait pu aller a cannes....
et c est bien qu il y aie des joueurs qui aiment (un peu) le club.
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Re: Milovan Sikimic
oui oui à raison de 13000/mois, moi aussi de mon temps je l'aurai adoré, adulé même pour jouer en CFA2
mais soit, c'est bien pour lui et pour le racing, un peu moins pour celui qui le paye à un tel niveau

mais soit, c'est bien pour lui et pour le racing, un peu moins pour celui qui le paye à un tel niveau
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Re: Milovan Sikimic
Bon Ténor, comme tu as du mal, je te facilite la tâche :
L'Alsace a écrit :On connaît la suite. Quelques jours plus tard, Bernard Graeff jette l’éponge. Entre-temps, Fréjus a engagé Pancho Abardonado. Sikimic se retrouve le bec dans l’eau. « M. Graeff m’a informé de son retrait par téléphone », n’a pas oublié le chouchou de la Meinau. « Mais il m’a tout de suite proposé de prendre à sa charge pendant deux ans, sur ses propres deniers, la différence entre mon futur salaire – où que je signe – et ce qu’il m’avait promis. Je ne lui demandais rien. Ne pas aller à Fréjus était une décision personnelle et je l’assumais. Mais il voulait absolument tenir son engagement. Le respect de la parole donnée est une chose rare aujourd’hui, particulièrement dans le foot. Je le remercie infiniment. »
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Re: Milovan Sikimic
la Classe Mr Graeff quand meme !!!
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Re: Milovan Sikimic
dommage que les princes alsaciens ne veuillent pas s'entendre....
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Re: Milovan Sikimic
si tu penses à graeff parmi les princes, qui seraient les autresalphons a écrit :dommage que les princes alsaciens ne veuillent pas s'entendre....

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Re: Milovan Sikimic
DNA a écrit :« Au cœur de tous les Alsaciens »
Arrivé en décembre dans l’effectif de François Keller, Milovan Sikimic a joué avec efficacité son rôle de taulier dans un groupe jeune. Avec son premier grand bonheur en bleu, le défenseur serbe se dit soulagé d’avoir rempli les objectifs fixés en début de saison. Il espère que cela augure de lendemains plus calmes.
Samedi, le Racing a décroché la montée. Comment avez-vous vécu cet aboutissement ?
– C’est un soulagement. D’un point de vue personnel, je vis quelque chose de très positif ici, alors que j’ai surtout vécu des choses agitées dans ce club en trois ans. Au niveau de l’effectif, on a le sentiment d’avoir réussi une longue saison, avec des déplacements sur des terrains où le Racing n’avait jamais mis les pieds. L’aventure nous a soudés. Avec le recul, on peut peut-être se dire que c’est une belle expérience. Les jeunes et tous les joueurs ont répondu présent. En début de saison, tout le monde nous voyait en CFA, mais on n’oublie pas non plus que beaucoup de matches se sont joués à peu de choses et que cette montée, c’est avant tout une belle récompense.
– Vous avez pris le train en marche, puisque vous n’êtes arrivé qu’en décembre. Quel regard portez-vous sur une équipe qui, à l’origine, a été construite sans vous ?
– J’avais souvent David Ledy et François Keller au téléphone avant de venir (du championnat chypriote, ndlr). Ils m’avaient rassuré sur l’état d’esprit de ce groupe. Mais j’ai malgré tout été agréablement surpris. Le vestiaire est vraiment facile à vivre. C’était très simple pour moi de m’adapter. En plus, j’avais ce rôle d’apporter un peu de mon expérience. Ce n’était d’ailleurs pas évident de m’accepter, mais cela a vraiment été le cas. Au final, le groupe est équilibré, il y a des jeunes, quelques leaders et une belle cohésion entre tout le monde. Les problèmes, finalement, sont venus de l’extérieur.
– L’environnement, une nouvelle fois, ne vous a pas aidés. Comment avez-vous géré l’incessante agitation environnante ?
– Comme d’habitude, on peut dire, ce n’est pas très net en coulisses. Ça laisse des traces. Mais avec un garçon comme Ludovic Golliard, qui a également de l’expérience, on a essayé de calmer tout ça, on a essayé de se protéger. Par rapport à la saison, on peut voir que l’on peut continuer en CFA. Après, par rapport aux autres clubs que j’ai connus, Strasbourg, c’est vraiment particulier. À Guingamp, tout dépend de Noël Le Graët et c’est facile. Au Partizan Belgrade, tout est organisé autour du terrain. Je m’aperçois que le Racing est au cœur de tous les Alsaciens, c’est vraiment sensible pour la région. Tout le peuple bleu attend sans doute le calme. Après, sur les trois dernières années, il faut bien voir que l’on a rarement parlé de sportif, que le club continue à intéresser pas mal de monde. Après, par rapport à tout ce qui se passe en coulisses, je préfère être jugé que de juger. Mais ce qui est sûr, au niveau de la direction, c’est qu’il faut un passionné qui est prêt à perdre beaucoup d’argent au début, capable d’assumer financièrement avec cet objectif de Ligue 2 dans les trois ans. Pour l’instant, en la matière, on est dans le noir. Qui paye qui ? Ça me dépasse et je préfère ne pas rentrer dans les discussions qui opposent les gens.
– Serez-vous encore Strasbourgeois la saison prochaine ?
– J’attendrai que ça se calme. Je suis patient, mais la patience a des limites. Je me donne encore quatre ou cinq ans pour jouer au foot. A priori, ce serait bien de garder la majorité de l’effectif, même si c’est évidemment au coach de faire son choix.
L'histoire est en marche ...