[Ex] Pascal Johansen

[argueti]

C'est clair mais seul avec des blaireeaux à  coté tu peux courir partout à  ne sert à  rien ...

[D520]

s'il avait joué comme ca toute la saison, jamais il ne se serait retrouvé sur le banc de touche !!!

[lunada]

Il aurait fallu lui laisser l'opportunité de jouer, et surtout ne pas le démolir constamment comme l'a fait Furlan.

Avant Psg, il n' a pratiquement pas joué les dix derniers match.

Il n'est pas sûr que la situation serait fondamentablement différente s'il avait joué ces match, mais je reste persuadé que l'équipe aurait quelques points en plus.

A mon avis contre Sochaux et metz, il a fait cruellement défaut.

[Its_me]

Le Johansen qu'on voit actuellement aurait servi ... celui qu'on voyait il y a une dizaine de matchs ne nous aurait servi à  rien.
C'est ça le problème avec lui

[lunada]

Il me semble quand même qu'il a fait de bons match ( Marseille, Metz, Lille, Bordeaux, PSG, et j'en oublie ).

Son éviction après le match à  domicile contre Nice n'était nullement justifié, car il n'a pas été pire que le reste de l'équipe.

S'il avait été présent à  la place d'Abdessadki pendant les match où ce dernier était à  l'agonie, on aurait pu avoir de meilleurs résultats.

Au risque de me répéter, c'est Furlan qui l'a démoli, pour à  présent le mettre en avant.
Il a tout de même eu le culot de tenir ces propos: " Pascal a besoin du Racing, et le Racing a besoin de lui ".

Il n'avait qu'à  lui faire confiance dès le départ au lieu de le livrer à  la vindicte publique.

Je crois qu'on se rendra compte la saison prochaine, quand il sera parti ( à  mon avis pour Metz et Pouliquen ), de l'importance qu'il avait.

[baskath]

D'accord avec Its_me : il a eu un gros passage à  vide, comme souvent au milieu de la saison. Son éviction n'était pas du tout le fruit du hasard !

[Pinon]

Le premier d'une serie :

Le meilleur et le pire

Pascal Johansen évoque la délicate situation d'un Racing désormais relégable, qui alterne le meilleur et le pire depuis le début de saison. Le milieu de terrain espère un sursaut collectif lors du match à  Valenciennes.

A Strasbourg, Pascal Johansen a tout connu. La fièvre de l'Europe, deux montées, des victoires en Coupe... et deux descentes en Ligue 2. « Le meilleur comme le pire », résume-t-il dans un sourire. En cela, l'histoire récente du Racing est un peu à  l'image de la saison du Colmarien. En 18 matchs disputés (dont 11 comme titulaire), Johansen a alterné le bon - ses prestations flamboyantes à  Lille, Metz ou Paris - et le bizarre, comme ces innombrables mises à  l'écart du groupe et autres forfaits à  répétition. Des embrouilles qui semblent déjà  lointaines quand on voit le joueur déambuler à  la Meinau avec son habituel air décontracté. Le tout teinté, tout de même, d'un brin de fatalisme. Car après deux matchs « excellents » (dixit Jean-Marc Furlan), le milieu de terrain, touché aux adducteurs, est incertain pour le déplacement à  Valenciennes (lire ci-contre).

« On a un groupe sain et j'espère que ça fera la différence »

Ce qui n'empêche pas Pascal Johansen d'analyser les tenants et aboutissants de ce « sprint final assez stressant » dans lequel est plongé le Racing. « C'est une période difficile, mais on est promus et on s'y est préparé depuis le début de saison, avance le Haut-Rhinois. Ce qui devient inquiétant et angoissant, c'est que désormais il n'y a pas que nos résultats à  prendre en compte, mais aussi ceux de l'adversaire ». Des adversaires qui se nomment Lens, Toulouse et Paris, soit « des équipes à  gros budget, avec des fortes individualités ». Mais « la question est de savoir s'ils seront assez forts au niveau du mental et du collectif, poursuit le milieu de terrain. Nous, on a un groupe sain et j'espère que ça fera la différence ». Histoire de ne pas rééditer les tristes saisons 2000/2001 et 2005/2006, toutes deux synonymes de relégation pour le Racing. « La situation est différente. Les autres années, on avait très mal démarré. En 2005, on avait même attendu la 18e journée pour gagner notre premier match, donc on savait très tôt à  quoi s'attendre, rappelle-t-il. Là , on a bien débuté la saison et peut être qu'on s'est installé inconsciemment dans un certain confort ».

« Il faut retrouver un peu de folie dans notre jeu »

Un « confort » qui n'est désormais plus qu'un lointain souvenir pour des
Strasbourgeois défaits six fois lors des sept dernières rencontres. Et qui ont même été lâchés par leur public de la Meinau, kop compris. « Il faut faire abstraction de ça, assène Johansen. C'est normal que le public siffle. A nous de faire en sorte qu'il soit à  nouveau derrière nous. Il suffit qu'on marque et il suivra ». Le problème, c'est que le Racing, justement, ne marque plus. Même quand Jean-Marc Furlan décide de titulariser quatre attaquants comme il l'a fait face à  Monaco. « La réussite devant les buts nous manque, reconnaît volontiers l'Alsacien, mais il ne manque pas grand-chose. Il faut garder nos principes et retrouver un peu de folie dans notre jeu ». Que l'adversaire du jour se nomme Valenciennes, équipe quasiment invincible à  domicile, n'y change rien. « De toute façon, avec Lyon ou Marseille, il ne reste que des gros morceaux. On n'a plus le choix », tranche Johansen. Avant de rappeler que le Racing « a déjà  prouvé cette saison qu'il pouvait battre n'importe qui ». Et perdre contre n'importe qui aussi. Le meilleur comme le pire quoi...

[lunada]

Tout d'un coup, pour Furlan, Johansen est devenu indispensable.

Il est vrai que son absence contre VA n'est pas de nature à  me rassurer, même si lors de ce match on n'aura pas à  faire le jeu.

Je suppose que Furlan va titulariser Schneiderlin et l'affecter à  un rôle plus offensif, et le préférer à  Gasmi, qui pourrait, en fonction de l'évolution du match, entrer en cours de jeu.

[lolo]

Tout d'un coup, pour Furlan, Johansen est devenu indispensable.

Tout d'un coup Johansen joue mieux. Où est la cause, où est la conséquence?

[lunada]

Pour moi, il a toujours bien joué, en ayant des moments de moins bien comme tout le monde.

Son éviction après le match contre Nice, alors qu'il a été un des rares à  surnager, était liée à  un problème extra-professionnel.
Furlan n'a d'ailleurs jamais donné d'explication cohérente à  ce sujet.

Je reste persuadé que si johansen avait été présent lors de la période noire connue par l'équipe, on n'en serait pas au point actuel.