Direction Nationale de Contrôle de Gestion (DNCG)

[argueti]

Reste plus qu'à attendre ...

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CFA en vue

Le contraire aurait été surprenant : la DNCG (1) devrait valider dans la journée l’accession en CFA du RCS après avoir reçu ses dirigeants, le chef de file des repreneurs et futur président Marc Keller en tête, pendant un peu plus d’une heure ce matin à Paris.

Il va falloir patienter jusqu’à l’annonce officielle de la décision, dans l’après-midi ou en début de soirée, sur le site internet de la FFF (1). Mais le Racing évoluera bien la saison prochaine en CFA. Une issue sans surprise tant il est vrai que toutes les conditions semblaient réunies pour qu’il en soit ainsi (notre édition de ce jour). Ce matin, avec un peu de retard sur l’horaire prévu, l’organe fédéral de contrôle financier a reçu pendant une heure et quart Marc Keller, leader du pool de repreneurs qui vient d’injecter 1,2 million en cash dans le club, Patrick Spielmann, le président de l’association amateur, et les représentants des collectivités locales plus que jamais appelées à mettre la main au portefeuille pour sauver le soldat Racing.

L’entrevue a été retranscrite en direct et en intégralité ou presque par Alain Fontanel, l’adjoint strasbourgeois aux finances, sur son compte twitter, ce qui constitue assurément une transgression sans précédent des préceptes d’une DNCG qu’on sait très à cheval sur la confidentialité des échanges en son sein. Et qui aurait pu s’offusquer de se savoir ainsi épiée. A quand une caméra de télévision pour filmer les auditions du gendarme financier, comme Frédéric Sitterlé avait pu le suggérer avant un conseil d’administration de l’association RCS en début d’année 2012 ? Voilà pour la forme.

Sur le fond, les dirigeants du Racing emmenés par Marc Keller avaient suffisamment de « biscuits » dans leur besace pour satisfaire l’appétit – de clarification – des membres de la DNCG. Avec des fonds propres rééquilibrés grâce à l’apport d’argent frais des nouveaux investisseurs (1,2 million, alors que les besoins immédiats étaient de 850000 euros) et des subventions d’un niveau sans égal en France pour un club de 4e division, il était quasiment couru d’avance que cette audience serait une formalité, malgré les restrictions d’usage employées la veille par certains acteurs du dossier strasbourgeois.

Entre la Ville et la CUS (qui reconduiront leurs subventions de 650000 euros + 100000 d’achat de prestations), la Région (qui financera le club sur trois ans à hauteur de 600000 euros annuels) et le Département du Bas-Rhin (dont l’engagement n’a pas encore été chiffré, mais peut être évalué, sans grand risque de se tromper, entre 150000 et 200000 euros par an), l’argent des contribuables financera environ 55 % du budget 2012-2013 (1,5 million sur 2,7). Une sacrée base de départ dont même l’imaginatif Frédéric Sitterlé n’aurait pas osé rêver. De quoi gommer les a priori négatifs d’une DNCG lassée de recevoir depuis près de trois ans – tantôt à la LFP, tantôt à la FFF - des dirigeants strasbourgeois à l’éthique pour le moins discutable.

Ne reste plus désormais qu’à attendre quelques heures un verdict qui ne fait guère de doute. La montée en CFA acquise sur le terrain par François Keller et ses troupes permettra à son frère Marc de se mettre officiellement au travail. Pour la première fois depuis longtemps, le club sera rendu à un footballeur. Peut-être, du coup, reparlera-t-on enfin football – et exclusivement football - du côté de la Meinau. On en avait perdu l’habitude.

Stéphane Godin

(1) Direction nationale du contrôle de gestion de la Fédération française de football.

Ce qui serait intéressant de connaitre, c'est le taux de subvention des autres clubs amateurs ?

[lolo]

Décision mise en délibéré...

[alphons]

ouais ....on n a pas su etre tres convainvant.....bon on verra bien

[argueti]

Un verdict très attendu

Alors que les dirigeants du RCS, auditionnés hier matin par la DNCG (1), espéraient obtenir la validation de la montée en CFA, le gendarme financier a mis son verdict en délibéré. Mais le nouveau président Marc Keller ne doute pas d’une issue favorable.

Le verdict était attendu, dans les deux sens du terme. Il se fera encore attendre. Des onze clubs auditionnés en ce début de semaine par la DNCG, seul le Racing n’est pas encore fixé sur son avenir. Pourtant, en une heure et quart hier matin, Marc Keller, le nouveau président élu dimanche lors d’une AG minimaliste (2), accompagné d’une délégation plus nombreuse que jamais (3), s’est évertué à démontrer que le dossier de reprise qu’il porte était fiable et viable.

Mais en grand habitué de ce type d’entrevue, l’ancien international s’est bien gardé de triompher trop vite. Alors qu’Alain Fontanel, l’adjoint strasbourgeois aux finances, souhaitait publier un communiqué emphatique dès la fin de matinée, l’ex-milieu de terrain l’en a dissuadé. Les faits lui ont donné raison. Car peu après 17 h, la DNCG a annoncé qu’elle mettait son verdict en délibéré. Un peu contre toute attente, sachant que le matin même, Marc Keller avait produit les ordres de virement de tous les futurs actionnaires (4), réalisés ou en cours, excepté Sébastien Loeb. Le septuple champion du monde des rallyes a bien donné son accord. Mais son agenda chargé, avec sa nouvelle victoire dimanche en Nouvelle-Zélande, ne lui a pas laissé le temps de le formaliser. « Il est en train de rentrer et je ne vais pas l’embêter », dédramatise « Marco » Keller, « dès son retour, je réglerai ça avec lui ». Patrick Adler, ex-vice-président, et Pierre-Emmanuel Weil, fils de l’administrateur judiciaire Claude-Maxime Weil et conseiller de Thierry Herrmann, vont eux aussi acquérir quelques actions pour intégrer le pool.

« Il ne devrait pas y avoir de problèmes »

De fait, la DNCG attendra sans doute la formation définitive du tour de table pour donner son feu vert. C’est l’analyse d’un Marc Keller serein. « On repart de très loin, ne l’oublions pas. Les membres de la DNCG ont été échaudés par tout ce qui s’est passé au Racing ces dernières années. Mais je n’ai aucune inquiétude, aucun doute sur notre dossier financier. Il reste juste quelques détails juridico-administratifs à régler. La DNCG va nous adresser un courrier pour nous préciser ce qu’elle attend. »

Le nouvel homme fort du RCS estime néanmoins les garanties produites hier assez solides pour obtenir son aval. « J’ai fourni une attestation de 1,2 million, moins la participation de Sébastien Loeb. Nous répondons aux besoins en fonds propres au 30 juin (850 000 euros) et il en ira de même en 2012-2013 (Ndlr : avec un déficit prévisionnel estimé à 300 000 euros - « L’Alsace » d’hier) . Il ne devrait pas y avoir de problèmes pour monter en CFA. »

L’alignement en rangs serrés des collectivités derrière le club n’est évidemment pas étranger à cette prédiction optimiste. Entre la Ville et la CUS (qui reconduiront leurs subventions de 650 000 euros + 100 000 d’achat de prestations), la Région (qui financera le club sur trois ans à hauteur de 600 000 euros annuels) et le Département du Bas-Rhin (dont l’engagement devrait osciller entre 150 000 et 200 000 euros par an), l’argent des contribuables couvrira environ 55 % du budget 2012-2013 (1,5 million sur 2,7). Des subventions sans égal en France pour un club de 4 e niveau.

Le spectre d’une rétrogradation en DH est ainsi écarté. Mais le Racing va devoir s’armer de patience durant quelques jours. Preuve que les stigmates des précédentes gouvernances erratiques du club ne sont pas encore effacés dans l’esprit de l’autorité financière. Ensuite, avec un vrai footeux à sa tête pour la première fois depuis des années, le foot reviendra enfin au cœur du « jeu ». Une première victoire qu’apprécieront ceux que le ballon rond passionne davantage que les interminables joutes des prétoires.

(1) Direction nationale du contrôle de gestion de la Fédération française de football.
(2) Cette assemblée générale n’a réuni chez l’avocat Bernard Alexandre que les deux actionnaires de la SAS Racing, Marc Keller à 99 % et Patrick Spielmann, au nom de l’association amateur, à 1 %.
(3) Outre Marc Keller ont assisté à l’audition à Paris Patrick Spielmann, Henri Ancel et Erny Jacky, président et administrateurs de l’association, Antoine Herth, vice-président de la Région, et Christophe Kieffer, directeur de cabinet du président du Conseil régional Philippe Richert, Alain Fontanel et Serge Oehler, adjoints strasbourgeois aux finances et aux sports.
(4) Marc Keller, Egon Gindorf, Thierry Herrmann, Paul Adam, Pierre Schmidt, Thierry Wendling, Ivan Hasek, Christophe Rempp, Sébastien Loeb. Plus Pierre-Emmanuel Weil et Patrick Adler.

Stéphane Godin

[argueti]

Le Racing Club de Strasbourg invite les représentants des médias à une conférence de presse ce jeudi 28 juin à 17 heures dans le salon des Présidents du Stade de la Meinau.
À cette occasion, Monsieur Marc Keller, Président de la SAS RCS, et Monsieur Egon Gindorf, reviendront sur la reprise du Racing.

Ils seront entourés de Monsieur Roland Ries, Maire de Strasbourg, et de Monsieur Philippe Richert, Président de la Région Alsace, qui ont joué un rôle très actif dans l'élaboration du projet du nouveau Racing.

[télésupporteur]

avec la dernière participation de loeb, le racing devrait ne pas avoir de restriction de masse salariale

[Tenor]

Richert pour se faire pardonner la gabegie de la Région voir du CG dees villes de Mulhouse et d'Haguenau n'a pas eu besoin de forcer la main à Loeb ... c'est du donnant donnant , ça passe mieux dans les journaux et auprès des électeurs

[argueti]

Jour d'éclaircie à Paris ?

Les dirigeants du Racing sont attendus aujourd’hui, à Paris, pour convaincre la DNCG de la validité d’une reprise quasiment bouclée.

Au terme d’un week-end entre gris clair et gris foncé au niveau du ciel, le Racing espère la franche éclaircie pour aujourd’hui. Voilà une bonne dizaine de jours que la page Frédéric Sitterlé a été tournée, le jour où Marc Keller et ses associés ont convaincu l’ancien président de lâcher pour deux euros symboliques la marque Racing et la Société par Actions Simplifiée (SAS), soit la structure créée pour reconstruire un club en voie de disparition il y a peu. Il a fallu concrétiser dans les discussions. Convoqués mardi dernier à la Direction Nationale du Contrôle de Gestion (DNCG), les dirigeants du Racing en sont quittes pour présenter l’état d’avancement du dossier, cet après-midi.

« Il y a une procédure à respecter »

« Patrick Spielmann (le président de l’association), Henri Ancel (administrateur) et moi-même serons effectivement à Paris mardi après-midi, a indiqué Marc Keller hier. Nous avons travaillé pour faire avancer les choses ces derniers jours. Je ne suis pas inquiet par rapport à l’audition. Mais ensuite, il y a une procédure à respecter. » Comme convenu, la convention qui lie l’association à la SAS a été signée vendredi, par Patrick Spielmann et Marc Keller. Sa dernière version a été légèrement modifiée par rapport à celle négociée entre Spielmann et Sitterlé. La marque notamment a été sanctuarisée pour être cédée à l’association. Le dossier est dans les mains de la préfecture dont l’arrêté était attendu hier pour validation.

« Nous avons également procédé à l’augmentation de capital, pour 400 000 euros, comme nous l’avions garanti, avec une répartition entre les onze actionnaires (*), précise encore Marc Keller. On ne pouvait pas aller plus vite. Mais nous avons respecté les engagements pris lors de l’audition de mardi. » Aussi, le dirigeant du Racing se révèle-t-il confiant, même si la rigueur de la DNCG demeure invariablement une source d’incertitude à chaque intersaison. « Nous avons tout de même bien fait avancer notre dossier depuis une semaine », considère le jeune président en faisant l’inventaire des détails administratifs et financiers réglés ces derniers jours. Le passé récent du Racing empêche de considérer l’épisode du jour comme une simple formalité.

De la même manière, la DNCG a choisi de se montrer particulièrement sévère ces temps-ci, la possibilité de revenir de la capitale avec un encadrement de la masse salariale n’étant pas complètement à exclure.

Marc Keller veut blinder le Racing d’une crédibilité perdue dans les méandres des crises

Mais Marc Keller et son équipe se sont refusés à envisager le pire, notamment une interdiction de monter en CFA et donc la constitution d’un budget pour une saison 2012-2013 en CFA 2. « Franchement, il y aura un suivi tout au long de la saison et, pour le moment, tous les chiffres que l’on a avancés ont été vérifiés et concrétisés », conclut-il. Comme auréolé d’une invariable sérénité, Marc Keller veut désormais blinder le Racing d’une crédibilité perdue dans les méandres des crises à répétition. En obtenant un immaculé blanc-seing de la DNCG, il confirmerait que pour le Racing le pire est bien derrière lui. Il serait alors question à nouveau, enfin, de sportif et d’organisation d’un club qui aura encore la montée dans le viseur la saison prochaine.

(*) : Marc Keller, Egon Gindorf, Pierre Schmidt, Thierry Wendling, Ivan Hasek, Christophe Rempp, Patrick Adler, Paul Adam, Thierry Herrmann, Pierre-Emmanuel Weil et Sébastien Loeb.

Fr.N.,

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En ordre de paix

Après l’augmentation de capital et l’investissement en compte courant réalisés ce week-end par les repreneurs, le RCS se présentera groupé et pacifié cet après-midi (14 h 30) devant une DNCG (1) qui devrait enfin valider son accession en CFA.

Tout est prêt. Une semaine après sa 2 e audition de juin devant la DNCG, le Racing sera de nouveau entendu cet après-midi (14 h 30) par le gendarme financier de la FFF à Paris. Une audition à laquelle le club strasbourgeois déléguera un état-major restreint, composé du nouveau président Marc Keller, du président de l’association amateur Patrick Spielmann et de son administrateur Henri Ancel dont l’expertise - bénévole - a, ces derniers mois, masqué les errances d’une gouvernance blodelsheimoise portée disparue.

En huit jours, Marc Keller et son équipe ont réglé les « détails juridico-administratifs » qui avaient incité mardi dernier la DNCG à mettre sa décision en délibéré. La convention de gestion entre la SAS Racing nouvellement présidée par l’ancien international et l’association support a de nouveau été signée et validée par la Préfecture. « Elle l’avait été par Frédéric Sitterlé (l’ancien propriétaire de la marque RCS désormais aux abonnés absents) et devait logiquement l’être par moi », détaille Marc Keller, « Il y a eu deux ou trois petits aménagements, mais uniquement sur la forme, pas sur le fond. Rien de capital (2). »

400 000 euros en capital, 800 000 en compte courant

À propos de capital justement, les onze nouveaux actionnaires du club ont injecté comme promis 1,2 million d’euros : 400 000 euros en capital de la SAS Racing (Ndlr : il était de 10 000 euros jusque-là) et 800 000 en compte courant d’actionnaires bloqué durant 36 mois, conformément aux recommandations de l’organe de contrôle financier de la FFF. Marc Keller ne se montre guère volubile sur la répartition des parts entre l’équipe d’actionnaires. Tout juste confesse-t-il : « Je vais devenir l’actionnaire principal, parce que l’argent que j’injecte l’est majoritairement dans le capital. Le capital étant a priori bloqué plus longtemps que le compte courant (Ndlr : jusqu’à une revente), je ne le récupérerai pas à court terme. Je l’ai souhaité pour pouvoir travailler sereinement. »

Selon nos informations, le capital de la SAS devrait se répartir ainsi, à quelques fractions près, entre les 11 : 25 % pour Marc Keller, 14 pour Egon Gindorf, 10 (chacun) pour Sébastien Loeb, Thierry Herrmann, Paul Adam et Pierre Schmidt, 8 pour Ivan Hasek, 5 (chacun) pour Christophe Rempp et Thierry Wendling, 1,5 (chacun) pour Patrick Adler et Pierre-Emmanuel Weil. « Je suis bien plus concentré sur la recherche d’un secrétaire général », botte en touche l’ancien ailier. « Je profiterai du rendez-vous à la DNCG ce mardi pour rencontrer trois candidats à Paris. Je vais aussi me pencher sur le dossier du commercial à engager. À temps plein ou non ? Je ne sais pas encore. On travaille également sur la nouvelle configuration du centre de formation. Les deux prochains mois vont être un peu durs pour prendre la pleine mesure du travail à accomplir. Mais dès que François (Keller, son coach de frère) et les joueurs vont retrouver l’entraînement (le lundi 9 en début d’après-midi), le sportif va reprendre ses droits. La saison sera lancée. L’idée, c’est de remettre l’église au milieu du village et de ne plus parler que de foot. »

Tout à l’heure, le Racing ne devrait pas avoir besoin d’allumer un cierge dans l’église en question - ni même à Notre-Dame - pour obtenir la bénédiction de la DNCG. Après trois années diaboliques où la bataille a souvent fait rage avec des propriétaires aux visées machiavéliques, ses composantes semblent enfin en ordre de paix.

Constantin : « Pas une alternative »

Marc Keller le disait jeudi en conférence de presse : « Dix à quinze personnes sont intéressées pour nous rejoindre dans le capital du Racing. Il y aura sans doute un 2 e tour de table, mais je ne sais pas exactement quand. » Parmi les candidats déclarés ou sollicités, Jean-Luc Jaeger, le patron du traiteur alsacien Effervescence, Lionel Burstin, président de la société immobilière Immoval, ou l’ancien milieu de terrain international du Racing Olivier Dacourt.

Le président du FC Sion Christian Constantin, relancé en dernière minute par Frédéric Sitterlé avant que le Haut-Rhinois ne finisse, contraint et forcé, par céder la marque et sa Société par Actions Simplifiée à un euro chacune à M. Keller et ses associés, n’émarge pas dans cette catégorie. Mais son homme de confiance Jean-Luc Witzel, ancien directeur sportif du RCS, n’en dément pas moins formellement ce qu’affirmait Sitterlé dans quatre « posts » publiés sur www.lalsace.fr le jeudi 21 juin en réaction à notre article intitulé « Double discours et trouble jeu. »

« Frédéric Sitterlé parlait sur votre site internet de Christian Constantin comme d’une alternative au pool de repreneurs alsaciens », rappelle J.-L. Witzel, Haut-Rhinois lui aussi (de Blotzheim). « Or, M. Constantin a été très clair lorsqu’il a reçu Henri Ancel (Ndlr : l’administrateur de l’association amateur initialement chargé de fédérer certains repreneurs) fin avril : il n’a jamais été une alternative à qui que ce soit et n’a jamais souhaité y aller seul. Il a en revanche indiqué qu’il était prêt à accompagner et soutenir financièrement un tour de table, de préférence un pool de repreneurs alsaciens. Il n’a pas changé de position et souhaite bon courage à Marc Keller et son équipe. »

(1) Direction nationale du contrôle de gestion de la Fédération française de football.
(2) Contrairement à ce qui était indiqué dans la première convention, la marque RCS a été transférée gracieusement par la SAS vers l’association amateur.

Stéphane Godin