[Ex] Cyril Chapuis

[Phapha]

Chapuis signe à  Metz

L'ex attaquant de Rennes et Marseille Cyril Chapuis

Sympa de ne pas mentionner son passage par le Racing.

[D520]

il a quand même fait une belle saison avec Pouliquen à  Grenoble
peut etre que Pouliquen sait trouver les mots justes pour en faire un joueur de foot de L1 ...

[fab]

Abracadabra?

Leve toi et marque?

[GeoGeo]

le crampon gauche c'est pour le pied gauche, et le droit c'est pour le pied droit

[argueti]

Souvenir ...

[fab]

c'est pas gentil d'accapbler ces pauvres messins encore plus...

[argueti]

Chapuis revoit le jour

Dans l'ombre après le renvoi de Pouliquen à  Grenoble, Cyril Chapuis retrouve la lumière. Recruté par ce même Pouliquen, aujourd'hui à  Metz, l'attaquant se fait une joie de sortir de ce long tunnel.

Ce n'est pas la première fois que Metz et Cyril Chapuis étaient en contact. La saison dernière déjà , Joël Muller, le directeur sportif du club, avait joint les représentants du joueur pour leur faire part de l'intérêt des Grenats. Finalement, il aura fallu le départ de Francis De Taddeo pour que l'affaire se fasse. De Taddeo toujours là , l'arrivée de Chapuis ne semblait pas envisageable. « Cela fait un moment que mes agents me parlent d'aller à  Metz, mais avec le coach précédent, ce n'était pas possible. Mà¼ller m'en a parlé, il m'a dit que lui était intéressé mais que le coach ne voulait pas en raison de mon étiquette. » La fameuse réputation de Chapuis, considéré par beaucoup comme un joueur « instable ».

L'ancien attaquant de l'OM, Rennes et Lyon en est parfaitement conscient. « D'ailleurs les gens m'en parlent, reconnaît le nouveau Messin. Ils parlent de moi comme d'un joueur que l'on voyait haut et qui a changé de club tous les ans. Les gens ont raison de me coller cette étiquette. » Yvon Pouliquen est, lui, passé outre cette réputation. Lorsqu'il a croisé Joël Muller à  son arrivée en Lorraine, c'est même l'une des premières choses que les deux hommes ont évoquées. « Quand Pouliquen est arrivé, raconte Chapuis, il a dit de moi : ‘‘ Pas du tout, Cyril je l'ai eu pendant un an, ça s'est super bien passé, il est super souriant et super gentil, je n'ai eu aucun problème avec lui. '' » Une entente parfaite née d'une collaboration à  Grenoble où Chapuis a tout de suite apprécié la sincérité de son nouveau coach. « On ne peut pas faire mieux. » La réciproque étant vraie, Pouliquen a donc tout de suite pensé à  son ancien buteur au GF38 pour mener la rébellion messine.

Même si tout n'a pas été aussi simple que prévu (« Au départ, c'était compliqué pour Metz de recruter. Le coach m'avait juste dit qu'il en parlerait et qu'il essayerait de faire le maximum. »), Chapuis, relancé par Pouliquen après une longue blessure, a donc pu mettre un terme à  six mois d'inactivité. « C'était un choix. Aujourd'hui, je ne regrette pas même si ça a été dur. En France, quand vous avez été blessé et qu'en plus vous avez une étiquette de farfelu, c'est chaud pour retrouver un club de L1. » Avec Metz, l'ancien meilleur ennemi de Christian Gourcuff à  Rennes (« j'ai failli lui en mettre une ou deux ») retrouvera et la L1 et le plaisir d'évoluer dans les stades de l'élite. « Ça change tout, jubile le joueur, quasi certain de vivre six mois de plaisir. Je connais le coach. La situation est critique donc il va tenter le tout pour le tout. Il va faire une équipe pour marquer des buts. La notion de plaisir sera constante. Dans ce contexte, je ne peux que me faire remarquer et reprendre du plaisir. »

Mais où était-il passé ?

Une saison à  Grenoble et puis plus rien. Depuis la fin de la saison 2006-2007, le championnat de France était sans nouvelles ou presque de Cyril Chapuis. Arrivé au GF38 sur demande de Yvon Pouliquen, Chapuis pensait y rester deux ou trois saisons. Mais le départ du coach grenoblois a modifié ses plans. « Ils l'ont limogé alors que je devais prolonger de deux ou trois ans. J'étais convoqué en février et finalement il s'est fait virer. Grenoble m'a ensuite proposé un an avec Bazdarevic mais je n'avais pas envie de connaître la L2 avec un autre coach que Pouliquen », explique le renfort messin, qui précise qu'il était venu à  Grenoble un peu à  reculons. « Je n'étais pas trop chaud. J'ai réfléchi car je ne savais pas trop si le fait de jouer en L2 allait me motiver. Je ne voulais pas juste y aller pour prendre un salaire. Mais le coach avait réussi à  me tenir un discours vraiment solide. » Pendant six mois, Chapuis, sans club, a alors pris son mal en patience, préférant attendre une meilleur proposition que le Maccabi Tel Aviv ou les Emirats qui lui faisaient les yeux doux. A peu de choses près, le natif de Lyon aurait pu nourrir là  le pire regret de sa carrière. Finalement son plus mauvais choix restera celui de 2003, « quand j'étais à  Marseille et que je suis parti en Angleterre. A partir de là , ça s'est gâté, j'ai été prêté sans arrêt à  droite à  gauche alors que l'OM jouait la Ligue des Champions et voulait me garder. Mais moi je voulais partir car j'étais un peu foufou. »

[silex57]

L'ancien attaquant de l'OM, Rennes et Lyon

ça fait quand même de jolies références ... et encore ils ont pas mis le Racing !!

[fan_racing]

C'est très sympa de nous avoir omis, et puis comme tu dis, c'est des noms de clubs reconnus qui sont mentionnés ... le retour à  la réalité n'en sera que plus dur

[Pinon]

L'ancien attaquant de l'OM, Rennes et Lyon

ça fait quand même de jolies références ... et encore ils ont pas mis le Racing !!

Justement