http://skysports.planetfootball.com
Strasbourg kept Le Mans firmly in the relegation zone with a crushing 3-0 win. Ulrich Len Pen bagged a brace in the second half, with his goals sandwiching a Cyril Chapuis effort.
http://www.lequipe.fr
Strasbourg a mis le temps, mais a tout de même réussi à passer trois buts au Mans. Ulrich Le Pen a signé un doublé et Cyril Chapuis a inscrit son premier but sous les couleurs alsaciennes, depuis son arrivée lors du mercato. Le Racing a mis un terme à une série de trois défaites d'affilée. Pour Le Mans, c'est un deuxième revers consécutif.
http://www.football365.fr
Le Pen ravive les couleurs alsaciennes
Bousculés en première mi-temps par une équipe mancelle sans complexe, les Strasbourgeois ont fait la différence par leur abnégation et se sont rassurés sur leur potentiel. Avec, notamment, un Ulrich Le Pen étincelant de facilité et de réussite.
http://fr.sports.yahoo.com/foot
Strasbourg écrase Le Mans pour son premier succès de l'année
STRASBOURG, 7 fév (AFP) - Strasbourg a remporté une large victoire, sa première de l'année, devant Le Mans (3-0), samedi à la Meinau, lors de la 23e journée de la Ligue 1 de football à l'issue d'une rencontre assez équilibrée en première période et qui a basculé au corus du dernier quart d'heure.
Lors d'une première mi-temps sans relief, les Sartois se créaient les meilleures occasions de but par Cousin qui butait d'abord sur le gardien local Fernandez (17e), puis suite à un débordement de son compère de l'attaque Fanchone (31). Strasbourg se signalait une seule fois: une tête de Bassila, suite à un corner, n'avait pas pu être reprise par Chapuis (3).
Au retour des vestiaires, les Strasbourgeois faisaient preuve d'un implacable réalisme pour changer le cours du match.
Après une récupération de Lacour, relayé par Pontus Farnerud, Le Pen décochait un centre-tir qui faisait mouche (54). Sur un mauvais dégagement de Bedenik, Mouloungui orientait le jeu vers le côté gauche où Le Pen concluait un petit festival par un centre parfait à destination de Chapuis qui transformait en but de la tête (72).
A huit minutes de la fin, Le Pen, encore lui, était à la conclusion d'une contre-attaque initiée par Mouloungui, relayée par un débordement incisif d'Ehret, qui servait idéalement l'homme de la soirée. Le Pen signait un doublé qui fait beaucoup de bien à Strasbourg, désormais 12e.
http://www.dna.fr
Un soulagement sans prix
En inscrivant son premier but sous ses nouvelles couleurs, Cyril Chapuis, à la lutte ici avec l'ex-Strasbourgeois du Mans Yannick Fischer, a libéré le Racing. (Photos DNA - Michel Frison)
Ils nous avaient habitués à mieux jouer, mais aussi à multiplier les gags. Face au Mans, les Strasbourgeois ont déjoué, marqué trois buts pour deux occasions. Et n'ont pris aucun but, ce qui ne leur était plus arrivé depuis le 4 octobre dernier et un déplacement à Nice. Ils ont gagné, et c'est tout ce qu'on leur réclamait.
Ils avaient promis tellement de choses, «l'envie de redresser la tête» pour Christian Bassila, «montrer qu'on ne mérite pas de figurer dans la zone dangereuse» selon Pontus Farnerud. Ils avaient tant et tant promis qu'on avait fini par y croire. Mais voilà , 45 minutes durant, les premières de cette rencontre présentée comme capitale, ce Racing n'aura rien montré.
Elle aura seulement permis à Jean-François Bédénik, coincé entre ses deux poteaux, de se demander s'il était bien le gardien d'une des plus perméables défenses que compte la France. On n'aura pas ne serait-ce qu'une entame d'occasion à griffonner sur un calepin resté désepérement vierge de toute écriture.
Têtes basses, jambes lourdes
Enfin non, car les Manceaux, sans l'air d'y toucher, viennent régulièrement mettre le danger dans le camp strasbourgeois. Avec ce 4-4-2 qui se mue en 4-2-4 à chaque balle récupérée. Avec surtout sur son côté droit un Fabrice Pancrate, pas vraiment tenu en laisse par Fabrice Ehret, qui s'en va souvent semer un peu plus le doute sur chacune de ses accélérations. Et si les Strasbourgeois avaient des raisons de douter d'eux-mêmes en entrant sur leur pelouse, ils repartaient têtes basses rejoindre leur vestiaire 45 minutes plus loin. Tant leur prestation, au mieux indigeste, au pire famélique, laissait transpirer ce même doute inscrit au plus profond de leurs âmes.
«C'est simple, j'ai centré»
Et puis, si les choses avaient mal tourné à Lens, le sablier de la chance allait se retourner et empaqueter l'affaire. A Lens, le centre d'Ulrich Le Pen n'avait rencontré que le poteau droit de Charles Itandje, celui d'hier soir perdait quelques centimètres en longueur et rejoignait l'intérieur du but manceau (52e').
«C'est simple, j'ai centré», avouera sans peine le buteur heureux. Quelques centimètres qui vont tout changer, et les incantations de Christian Bassila pour que les «choses tournent à nouveau dans le bon sens» étaient enfin entendues.
Les aveux de «Lulu»
On ne va pas exagérer, ce Racing, même s'il reprendra un peu le sens du jeu, n'a rien d'exaltant. Mais, au moins, il gère sa minuscule et improbable avance. «L'essentiel était de gagner. Aujourd'hui, le jeu n'était pas à l'ordre du jour. Les prochaines fois, on essayera d'en mettre un peu dans nos victoires», souligne ainsi Ulrich Le Pen, aussi peu aveugle dans ses déclarations que décisif ces derniers temps sur la pelouse.
D'ailleurs, c'est lui qui offrira le deuxième but à Cyril Chapuis et s'offrira un troisième but-gag. «Sur le centre d'Ehret, c'est Bonnart qui me dégage le ballon sur le pied et je marque», précisera encore Ulrich Le Pen.
Des louches de réussite
La réussite, qui avait résolument tourné le dos aux Strasbourgeois ces dernières semaines, a largement et généreusement servi les joueurs d'Antoine Kombouaré face au Mans. Par louches pleines, même. «On savait qu'il nous fallait être patients face à une équipe habile à l'extérieur. On l'a été», répondra l'entraîneur strasbourgeois. Le public, avec. Cette réussite est peut-être un simple retour des choses. Mais d'abord et surtout un grand soulagement. Le premier relégable, Guingamp, est désormais à huit points.
http://www.alsapresse.com
Le Racing se met à l'abri
Après sa nette victoire hier soir face au Mans (3-0), sans forcément être convaincant, le Racing s'est offert huit points d'avance sur le premier relégable. Il pourra à nouveau travailler dans la sérénité ces prochaines semaines.
LE RACING n'a sans doute pas livré un grand match hier soir. Mais, après tout, peu importe. Dans sa situation devenue quelque peu délicate, il s'est offert un énorme bol d'air en disposant du Mans sur le score sans appel de 3-0, grâce, une fois de plus, à une sortie pleine d'à propos d'Ulrich Le Pen, double buteur et passeur décisif pour Chapuis. Nanti de 8 points d'avance sur le premier relégable (Guingamp), il peut désormais voir venir. Dos au mur après sa récente mauvaise passe, on pouvait attendre un Racing offensif, avec la paire Mouloungui-Chapuis finalement alignée d'entrée, et déterminé à mettre rapidement en difficulté un adversaire qu'il avait aisément dominé dans la Sarthe au match aller. Mais les données ont bien changé depuis la fin de l'été. Le Mans a repris du poil de la bête, alors que les Strasbourgeois sont plongés en plein doute. Du coup, les Alsaciens ne parviennent pas à se libérer et évoluent très souvent à contre-temps comme sur cette action de la 21e. Sur un corner sarthois, Chapuis récupère le ballon, décale Farnerud, qui tergiverse au milieu de terrain, sert finalement Deroff, qui attend que Mouloungui ait cessé son appel pour tenter de le lancer sur l'aile. Autres exemples symptomatiques : sur une ouverture parfaite de Le Pen, Chapuis passe le gardien adverse mais ne parvient pas à redresser la course du ballon (32e) ; et quand Bassila, au pressing, pique le ballon à Domoraud et lance Le Pen, ce dernier manque le contrôle (38e). Le jeu est très équilibré tout au long de la première période. Les absences de Ljuboja (parti à Paris) et de Niang (à la Coupe d'Afrique) se font cruellement sentir, tant ils pesaient sur les adversaires. Là , le Racing s'en remet aux coups de pied arrêtés, mais Bassila ne cadre pas sa tête (2e, 30e), alors que Chapuis, au second poteau, ne parvient pas à armer un tir bien qu'il soit en position de choix (45e). Si Le Mans est également assez brouillon dans le jeu, les Sarthois auraient très bien pu ouvrir le score. Sur une balle en profondeur, Cousin échappe ainsi à la vigilance locale, mais est repris in extremis par Devaux, avant de frapper devant le but, sans dommage (16e). Et sur un contre amorcé par le remuant Fanchone côté droit, Cousin, encore lui, est contré au dernier moment par Drobny (30e).
Le premier de Chapuis
Le second acte débute avec une double frayeur pour les Bas-Rhinois. Sur un corner, l'arrière-garde ne parvient pas à repousser le ballon, et Liabeuf manque heureusement le cadre (47e). Puis Pancrate, auteur d'un nouveau numéro côté droit, adresse un centre fuyant qui donne quelques frissons. Mais la situation va finir par se débloquer d'une manière quelque peu heureuse : côté gauche, Le Pen laisse Domoraud sur place et son centre finit dans le petit filet intérieur en ayant lobé au passage Bedenik (53e). Les Alsaciens se décrispent alors quelque peu, même s'ils gardent de nombreux déchets dans leur jeu. Deroff lance Farnerud sur la gauche, dont le centre est repris en deux temps par Mouloungui, mais largement à côté (58e). Il faut alors un nouvel exploit personnel de Le Pen pour mettre le Racing à l'abri. Il accélère, se paye un beau slalom au coeur de la défense mancelle et dépose le ballon sur la tête de Chapuis (72e), qui peut aller savourer son premier but sous les couleurs strasbourgeoises sur le banc de touche, qu'il rejoint sous l'ovation des supporters. Cette fois, le Racing peut tranquillement gérer sa fin de match. Sur un contre amorcé par Mouloungui, Ehret adresse un centre tendu, repris parfaitement par Le Pen, aussitôt rappelé sur le banc (82e). 3-0, que demander de plus ? De surcroît, le Racing finit le match sans encaisser de but. Ce n'était plus arrivé depuis le 4 octobre.
Les inscriptions au forum sont rouvertes 
et comme on recommence a marquer des buts, c'est la fete!!
lacour
Lacour