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Oh que la ville est jolie ...[03/04] 25ème J: RCS / Sochaux - 0/2
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argueti
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argueti
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Tchoule
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Le concept est excellent, ca me plait bien d'avoir des avis exterieurs sur notre equipe, et l'opinion de supporters sur leur propre equipe...pour les autres questions, il me semble me souvenir qu'on a parmi nous qq personnes se destinant au metier de journaliste sportif, je pense qu'ils sont plus qualifies que moi pour faire des propositions! 
tout ce que moi je peux proposer, c'est de piquer le concept de ce qu'avait fait les Monegasques...poser les questions sur un forum et solliciter les reponses des forumistes, et ensuite faire une synthese...mais bon, ca demande pas mal de travail je pense, et c'est pas sur que vous ayez le temps de faire encore ca en plus, alors moi, la formule actuelle me satisfait!
tout ce que moi je peux proposer, c'est de piquer le concept de ce qu'avait fait les Monegasques...poser les questions sur un forum et solliciter les reponses des forumistes, et ensuite faire une synthese...mais bon, ca demande pas mal de travail je pense, et c'est pas sur que vous ayez le temps de faire encore ca en plus, alors moi, la formule actuelle me satisfait! -
Manu
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FOOTBALL La date de fraîcheur est périmée
Sochaux n'a plus actuellement ses « semelles de vent » mais doit vite retrouver de la fraîcheur pour faire face à ses prochaines échéances, ô combien palpitantes.
à” paradoxe, c'est au moment où le thermomètre persiste avec le degré zéro que le FC Sochaux manque de fraîcheur. Comme quoi, en football… Personne n'en doute dans l'entourage des jaunes et bleus, la grosse goutte de sueur qui a fait déborder le chaudron en Coupe de la Ligue a également emmené, avec elle, une bonne partie des forces physiques du FCSM. « Je m'y attendais » reconnaissait Guy Lacombe « On ne peut pas être amputé d'un cinquième de son effectif et ne pas payer un jour ce manque. Je le savais, d'autres ne le savaient peut-être pas… (N.D.L.R. suivez son regard vers les dirigeants). En terme de points depuis la CAN, nous avons baissé de ton. C'est sûrement le prix à payer, mais je pense que nous aurions pu faire différemment » glisse au passage le technicien doubiste. Toujours pas remis d'avoir vu Santos et les quatre autres « Africains » partir vers le Maghreb sans être remplacés, Guy Lacombe brosse malgré tout dans le sens du poil, Santos. « Je ne reviens plus sur son départ. C'est l'arrivée qui est importante. Et je le dis solennellement, à la limite, Santos a bien fait d'y aller. J'ai même plus qu'une pensée à son intention. Je suis ravi pour lui et Adel ainsi que Jaouad Zaïri qui a fait un très bon tournoi. » La confirmation est là : celui qui gagne a toujours raison.
Nous sommes encore en haut
Face à Bordeaux, samedi, un adversaire à ne pas dévaluer, Pedretti et ses copains n'ont pu que constater ce manque d'électricité dans leur jeu. Basé depuis longtemps déjà sur la vitesse, la vivacité, la mobilité, l'explosivité, l'expression sochalienne perd forcément de son intensité et de sa force de frappe dès lors que l'énergie fait défaut. Que ce soient les Sénégalais, revenus de la Coupe d'Afrique — « J'ai manqué un peu de jus, sur le terrain, on sentait qu'il nous manquait le petit plus » dixit Omar Daf- où les joueurs qui ont beaucoup donné ces dernières semaines, personne n'a été épargné par ce coup de pompe. Face à ce constat, la maison sochalienne n'est, cependant, pas en feu. « Nous sommes encore en haut du classement, on ne va pas se mettre une pression inutile » expliquait encore Omar Daf.. Guy Lacombe, lui, parlait « de régénération et de ce temps qui fera les choses » L'interrogation, bien évidemment dans une telle situation, reste la durée de ce passage à vide et la faculté qu'auront les Doubistes à retrouver leur allant et leur tonus. « L'équipe a toujours su bien réagir » faisait alors remarquer Guy Lacombe. Si trois joueurs Santos, Chedli et Zaïri, vont revenir dans le groupe cette semaine, comment ne pas penser, qu'eux aussi auront également un peu de sable dans les chaussures, après les efforts répétés en Tunisie. Souvent, la gestion de ces périodes difficiles, la rapidité à y mettre un terme, constituent le fossé qui sépare les meilleurs des autres dans un championnat. Ce petit coup de pompe doubiste, pas payé au prix fort grâce à Wilson Oruma – mais comment le sélectionneur nigérian a t-il pu se passer de lui ? - ne constitue, pour l'instant, qu'un léger ralentissement après le revers face à Lille. Au classement, le FCSM n'a quasiment rien abandonné. Cependant, le calendrier de ce mois de février ne prédestinait pas initialement à la régénération. Si Strasbourg se profile à l'horizon pour un gros derby sous le signe de la revanche — les Alsaciens en ont pris trois à Bonal- dans la foulée, la double confrontation avec l'Inter Milan, les affrontements avec Bastia et le PSG vont largement solliciter les organismes. Bref, Sochaux arrive peut-être au pied de ce mur, décisif pour sa saison et son orientation européenne. Et c'est au pied du mur, qu'on voit le maçon...
Sochaux n'a plus actuellement ses « semelles de vent » mais doit vite retrouver de la fraîcheur pour faire face à ses prochaines échéances, ô combien palpitantes.
à” paradoxe, c'est au moment où le thermomètre persiste avec le degré zéro que le FC Sochaux manque de fraîcheur. Comme quoi, en football… Personne n'en doute dans l'entourage des jaunes et bleus, la grosse goutte de sueur qui a fait déborder le chaudron en Coupe de la Ligue a également emmené, avec elle, une bonne partie des forces physiques du FCSM. « Je m'y attendais » reconnaissait Guy Lacombe « On ne peut pas être amputé d'un cinquième de son effectif et ne pas payer un jour ce manque. Je le savais, d'autres ne le savaient peut-être pas… (N.D.L.R. suivez son regard vers les dirigeants). En terme de points depuis la CAN, nous avons baissé de ton. C'est sûrement le prix à payer, mais je pense que nous aurions pu faire différemment » glisse au passage le technicien doubiste. Toujours pas remis d'avoir vu Santos et les quatre autres « Africains » partir vers le Maghreb sans être remplacés, Guy Lacombe brosse malgré tout dans le sens du poil, Santos. « Je ne reviens plus sur son départ. C'est l'arrivée qui est importante. Et je le dis solennellement, à la limite, Santos a bien fait d'y aller. J'ai même plus qu'une pensée à son intention. Je suis ravi pour lui et Adel ainsi que Jaouad Zaïri qui a fait un très bon tournoi. » La confirmation est là : celui qui gagne a toujours raison.
Nous sommes encore en haut
Face à Bordeaux, samedi, un adversaire à ne pas dévaluer, Pedretti et ses copains n'ont pu que constater ce manque d'électricité dans leur jeu. Basé depuis longtemps déjà sur la vitesse, la vivacité, la mobilité, l'explosivité, l'expression sochalienne perd forcément de son intensité et de sa force de frappe dès lors que l'énergie fait défaut. Que ce soient les Sénégalais, revenus de la Coupe d'Afrique — « J'ai manqué un peu de jus, sur le terrain, on sentait qu'il nous manquait le petit plus » dixit Omar Daf- où les joueurs qui ont beaucoup donné ces dernières semaines, personne n'a été épargné par ce coup de pompe. Face à ce constat, la maison sochalienne n'est, cependant, pas en feu. « Nous sommes encore en haut du classement, on ne va pas se mettre une pression inutile » expliquait encore Omar Daf.. Guy Lacombe, lui, parlait « de régénération et de ce temps qui fera les choses » L'interrogation, bien évidemment dans une telle situation, reste la durée de ce passage à vide et la faculté qu'auront les Doubistes à retrouver leur allant et leur tonus. « L'équipe a toujours su bien réagir » faisait alors remarquer Guy Lacombe. Si trois joueurs Santos, Chedli et Zaïri, vont revenir dans le groupe cette semaine, comment ne pas penser, qu'eux aussi auront également un peu de sable dans les chaussures, après les efforts répétés en Tunisie. Souvent, la gestion de ces périodes difficiles, la rapidité à y mettre un terme, constituent le fossé qui sépare les meilleurs des autres dans un championnat. Ce petit coup de pompe doubiste, pas payé au prix fort grâce à Wilson Oruma – mais comment le sélectionneur nigérian a t-il pu se passer de lui ? - ne constitue, pour l'instant, qu'un léger ralentissement après le revers face à Lille. Au classement, le FCSM n'a quasiment rien abandonné. Cependant, le calendrier de ce mois de février ne prédestinait pas initialement à la régénération. Si Strasbourg se profile à l'horizon pour un gros derby sous le signe de la revanche — les Alsaciens en ont pris trois à Bonal- dans la foulée, la double confrontation avec l'Inter Milan, les affrontements avec Bastia et le PSG vont largement solliciter les organismes. Bref, Sochaux arrive peut-être au pied de ce mur, décisif pour sa saison et son orientation européenne. Et c'est au pied du mur, qu'on voit le maçon...
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Manu
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argueti
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Ungroscoupdans le derby ?
Le Racing a souvent souffert cette saison face aux « gros » de Ligue 1. Puni à l'aller à Sochaux (3-0), peut-il inverser la tendance dans le derby retour samedi à la Meinau ?
Le Racing Strasbourg, 12e de L 1, est-il à sa place ? Sur la qualité du jeu qu'il a souvent produite cette saison, la réponse est clairement non. Sur la réalité des chiffres, peut-être. Les statistiques sont — on le sait — faites pour être battues en brèche, mais alors que le cap de la 24e journée a été franchi samedi avec le nul rapporté d'Ajaccio (0-0), Antoine Kombouaré et ses hommes leur ont souvent donné raison. À 14 journées de la clôture d'une année 2003-2004 pour l'instant placée sous le signe d'une relative tranquillité au classement, les Strasbourgeois, qui possèdent toujours 8 points d'avance sur le premier relégable, en ont engrangé 30, ainsi répartis : 8 seulement en 12 matches contre leurs adversaires classés dans les 10 premiers (victoires sur Nantes et Marseille, nuls à Nice et contre Bordeaux) et 22, en 12 rencontres également, contre leurs 9 compagnons de la 2e partie du tableau. Le constat pourrait être un brin alarmant si l'on se fiait uniquement au calendrier des trois prochains mois. Le RCS doit encore affronter 6 de ses 9 congénères du « bas » de tableau et défier 8 des 10 premiers. Ses confrontations avec les deux autres lors du cycle retour (défaites 0-2 contre Auxerre et 1-2 à Lens) ont confirmé la tendance entrevue au cours de la 1re moitié de saison.
Sochaux : 6 points en 6 journées
Mais la froideur de ce bilan comptable recèle, heureusement pour lui, des éléments qui invitent à un optimisme raisonnable. Un, s'il a régulièrement chuté contre les grosses cylindrées à l'extérieur, le Racing en a aussi dominé deux à la Meinau : 1-0 devant Nantes et le fameux 4-1 contre Marseille qui faisait de lui, au soir de la 10e journée, un excellent 6e. Or, il en accueillera encore 5 avant la fin de saison (Sochaux, Nice, Lyon, PSG et Monaco) contre 3 déplacements (Nantes, Marseille et Bordeaux). Deux, ses échecs chez les ténors auraient pu tourner autrement sans quelques regrettables incidents : une « mimine » d'Ehret offrant à Luyindula et Lyon le penalty d'une victoire étriquée dans les arrêts de jeu à Gerland (1-0) ; un ou deux errements défensifs lors de prestations haut de gamme — malgré les revers — à Auxerre (3-2), Paris (3-2) et même Monaco (2-0), bousculé 40'durant par un séduisant Strasbourg à Louis II ; des buts casquettes sur des boulettes des gardiens (Dutruel à l'aller contre Lens ou au retour face à l'AJA et Fernandez à Bollaert) ; ou des « oublis » coupables de la défense. Ce dernier paramètre explique également la défaite du 10 janvier à Guingamp (une mésentente Fahmi — Dorsin — Dutruel sur le 3e but breton -2-3) dans un match que Bassila et les autres n'auraient jamais dû perdre.
Oublier le match aller
Trois, hormis le nul récolté à Nice (0-0), le RCS a grappillé ses autres 6 points en déplacement chez des « clients » de seconde moitié de tableau (succès au Mans, nuls à Toulouse, Rennes et Ajaccio). Et s'il recevra Rennes et Toulouse avant le baisser de rideau, il rendra visite à Metz (certes vainqueur 2-0 à la Meinau, mais souvent ballotté à Saint-Symphorien), Lille, Bastia et Montpellier avec l'ambition légitime de ne pas en rentrer bredouille. Bref, pour améliorer l'ordinaire d'une dernière ligne droite a priori toute tracée dans le ventre mou, le Racing doit combiner deux conditions : poursuivre sur sa lancée face aux équipes de son calibre et améliorer son rendement contre celles qui le devancent. Le second volet de ce challenge s'ouvre dès samedi (20 h) à la Meinau face au voisin sochalien. Histoire, aussi, de faire oublier la plus cinglante gifle reçue par les Bleus cette saison du côté de Bonal (3-0). Il y a peut-être un « gros » coup à jouer face à un FCSM certes toujours 5e et qui attend de pied ferme l'Inter Milan le jeudi 26 en 16e aller de Coupe de l'UEFA, mais qui, après une impressionnante série de 7 victoires consécutives en L 1, a ralenti la cadence, avec 6 points « seulement » lors des 6 dernières journées.
Sochaux : le retour des Africains.
Si les Sénégalais Omar Daf et Souleymane Diawara étaient, comme leur compatriote strasbourgeois Mamadou Niang, rentrés la semaine dernière après l'élimination de leur pays (0-1) le samedi précédent contre la Tunisie (Ndlr : tous deux ont d'ailleurs joué samedi contre Bordeaux), les trois derniers Africains de Sochaux devraient être de retour aujourd'hui : les deux champions d'Afrique tunisiens, Santos et Adel Chedli, et le finaliste malheureux de la CAN, le Marocain Jaouad Zaïri. Jérémy Mathieu jouera, lui, avec les espoirs de Raymond Domenech ce soir (20 h) à Tournai en amical face à la Belgique
Le Racing a souvent souffert cette saison face aux « gros » de Ligue 1. Puni à l'aller à Sochaux (3-0), peut-il inverser la tendance dans le derby retour samedi à la Meinau ?
Le Racing Strasbourg, 12e de L 1, est-il à sa place ? Sur la qualité du jeu qu'il a souvent produite cette saison, la réponse est clairement non. Sur la réalité des chiffres, peut-être. Les statistiques sont — on le sait — faites pour être battues en brèche, mais alors que le cap de la 24e journée a été franchi samedi avec le nul rapporté d'Ajaccio (0-0), Antoine Kombouaré et ses hommes leur ont souvent donné raison. À 14 journées de la clôture d'une année 2003-2004 pour l'instant placée sous le signe d'une relative tranquillité au classement, les Strasbourgeois, qui possèdent toujours 8 points d'avance sur le premier relégable, en ont engrangé 30, ainsi répartis : 8 seulement en 12 matches contre leurs adversaires classés dans les 10 premiers (victoires sur Nantes et Marseille, nuls à Nice et contre Bordeaux) et 22, en 12 rencontres également, contre leurs 9 compagnons de la 2e partie du tableau. Le constat pourrait être un brin alarmant si l'on se fiait uniquement au calendrier des trois prochains mois. Le RCS doit encore affronter 6 de ses 9 congénères du « bas » de tableau et défier 8 des 10 premiers. Ses confrontations avec les deux autres lors du cycle retour (défaites 0-2 contre Auxerre et 1-2 à Lens) ont confirmé la tendance entrevue au cours de la 1re moitié de saison.
Sochaux : 6 points en 6 journées
Mais la froideur de ce bilan comptable recèle, heureusement pour lui, des éléments qui invitent à un optimisme raisonnable. Un, s'il a régulièrement chuté contre les grosses cylindrées à l'extérieur, le Racing en a aussi dominé deux à la Meinau : 1-0 devant Nantes et le fameux 4-1 contre Marseille qui faisait de lui, au soir de la 10e journée, un excellent 6e. Or, il en accueillera encore 5 avant la fin de saison (Sochaux, Nice, Lyon, PSG et Monaco) contre 3 déplacements (Nantes, Marseille et Bordeaux). Deux, ses échecs chez les ténors auraient pu tourner autrement sans quelques regrettables incidents : une « mimine » d'Ehret offrant à Luyindula et Lyon le penalty d'une victoire étriquée dans les arrêts de jeu à Gerland (1-0) ; un ou deux errements défensifs lors de prestations haut de gamme — malgré les revers — à Auxerre (3-2), Paris (3-2) et même Monaco (2-0), bousculé 40'durant par un séduisant Strasbourg à Louis II ; des buts casquettes sur des boulettes des gardiens (Dutruel à l'aller contre Lens ou au retour face à l'AJA et Fernandez à Bollaert) ; ou des « oublis » coupables de la défense. Ce dernier paramètre explique également la défaite du 10 janvier à Guingamp (une mésentente Fahmi — Dorsin — Dutruel sur le 3e but breton -2-3) dans un match que Bassila et les autres n'auraient jamais dû perdre.
Oublier le match aller
Trois, hormis le nul récolté à Nice (0-0), le RCS a grappillé ses autres 6 points en déplacement chez des « clients » de seconde moitié de tableau (succès au Mans, nuls à Toulouse, Rennes et Ajaccio). Et s'il recevra Rennes et Toulouse avant le baisser de rideau, il rendra visite à Metz (certes vainqueur 2-0 à la Meinau, mais souvent ballotté à Saint-Symphorien), Lille, Bastia et Montpellier avec l'ambition légitime de ne pas en rentrer bredouille. Bref, pour améliorer l'ordinaire d'une dernière ligne droite a priori toute tracée dans le ventre mou, le Racing doit combiner deux conditions : poursuivre sur sa lancée face aux équipes de son calibre et améliorer son rendement contre celles qui le devancent. Le second volet de ce challenge s'ouvre dès samedi (20 h) à la Meinau face au voisin sochalien. Histoire, aussi, de faire oublier la plus cinglante gifle reçue par les Bleus cette saison du côté de Bonal (3-0). Il y a peut-être un « gros » coup à jouer face à un FCSM certes toujours 5e et qui attend de pied ferme l'Inter Milan le jeudi 26 en 16e aller de Coupe de l'UEFA, mais qui, après une impressionnante série de 7 victoires consécutives en L 1, a ralenti la cadence, avec 6 points « seulement » lors des 6 dernières journées.
Sochaux : le retour des Africains.
Si les Sénégalais Omar Daf et Souleymane Diawara étaient, comme leur compatriote strasbourgeois Mamadou Niang, rentrés la semaine dernière après l'élimination de leur pays (0-1) le samedi précédent contre la Tunisie (Ndlr : tous deux ont d'ailleurs joué samedi contre Bordeaux), les trois derniers Africains de Sochaux devraient être de retour aujourd'hui : les deux champions d'Afrique tunisiens, Santos et Adel Chedli, et le finaliste malheureux de la CAN, le Marocain Jaouad Zaïri. Jérémy Mathieu jouera, lui, avec les espoirs de Raymond Domenech ce soir (20 h) à Tournai en amical face à la Belgique
L'histoire est en marche ...
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Manu
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Trouvé sur leur site :
Voici ma petite idée contre Strasbourg :
_________________________Gnanhouan_________________________
______Daf_________Flachez_________Diawara___________Monsoreau
_____Oruma___________Lonfat__________Pedretti_________Mathieu_
___________________________Pagis___Frau_____________________
Remplaçants : Paisley, Isabey, Santos, Trapasso, Martinovic...
Voici ma petite idée contre Strasbourg :
_________________________Gnanhouan_________________________
______Daf_________Flachez_________Diawara___________Monsoreau
_____Oruma___________Lonfat__________Pedretti_________Mathieu_
___________________________Pagis___Frau_____________________
Remplaçants : Paisley, Isabey, Santos, Trapasso, Martinovic...