[Ex] Abdel Fahmi
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Relis ta phrase et tu verras kon peut l'interpréter de cette manière.FM75 a écrit :t as lu où que j ai dit que Bassila avait une bonne relance ?? au lieu de jouer les malins et de vouloir jouer avec moi, essaye de bien comprendre ce que j écris...
Si on peut plus te charrier FM...
Faire aisément ce qui est difficile aux autres, voilà le talent; faire ce qui est impossible au talent, voilà le génie...
- Tchoule
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Fahmi sourit
Abdel Fahmi est de retour. Après trois mois de méforme et de pépins physiques qui l'ont écarté du groupe de Kombouaré, le défenseur axial s'apprête à reprendre du service, samedi à Lille, contre le club de son coeur.
C'est un signe. Fahmi sourit. Sur le terrain annexe de la Meinau, au sortir des entraînements, le visage du Marocain est à nouveau radieux. Comme avant, ce gaillard taillé dans le roc a retrouvé les joies simples de ce qui fait le quotidien d'un pro. Et pour lui, c'est déjà beaucoup.
Arrivé à Strasbourg en catimini, fin septembre, pour pallier l'indisponibilité de Vaclav Drobny, celui qui était alors présenté par Marc Keller comme un « patron » avait alors régalé. Puissant, solide, costaud, l'ex-Lillois s'était d'entrée imposé au coeur de la défense de zone prônée par Kombouaré.
Trou d'air
Quelques matches de bonne facture, dont la désormais mythique claque administrée à Marseille (4-1), avaient convaincu le staff et le public alsaciens. Lui ne s'est jamais emballé, pertinemment convaincu qu'en football rien n'est jamais acquis. Ça n'a pas loupé.
Aux premiers frimas de l'hiver, Fahmi a commencé à toussoter. Parti trop vite, trop fort, l'international a traversé un sérieux trou d'air. Normal pour un joueur privé de compétition pendant presque six mois dans le Nord, lui qui n'est plus du tout rentré dans les plans de Claude Puel.
Imbroglio
A cette baisse de régime s'ajoute ensuite l'imbroglio de la Coupe d'Afrique des Nations. Fahmi avait promis aux dirigeants strasbourgeois de tirer un trait sur la sélection marocaine.
Le mal du pays, le doute, le retour en grâce de Devaux, tous ces éléments ont dû se bousculer dans sa tête. Il n'arrive plus à se décider. Une blessure, plus diplomatique que douloureuse, referme la parenthèse. Toujours est-il que le Maroc fait des étincelles à la CAN alors que lui ronge son frein à la Meinau.
« Je me suis senti seul, explique Abdel Fahmi. Je n'avais personne pour me remonter le moral. C'était une période très difficile. On a tout de suite voulu que je sois à mon meilleur niveau. Un défenseur a besoin de temps et de beaucoup de matches pour trouver les bons automatismes. Puis j'ai été blessé. »
« Bonne option »
Cette fois, la douleur est aussi réelle que tenace. Une déchirure des ischio-jambiers succède à une contracture du mollet. Le voilà sur le flanc pour de bon. Pour trois mois très exactement de traversée du désert, tout juste entrecoupée par une furtive apparition à Ajaccio.
Parti se ressourcer ces dernières semaines en CFA, comme les autres recalés de Kombouaré, Fahmi refuse de courber l'échine. Avec la suspension de Devaux à Lille, l'heure de la rédemption semble enfin avoir enfin sonné. « Il n'est pas encore à son meilleur niveau mais ses chances de rejouer vont en augmentant, synthétise l'entraîneur strasbourgeois. Pour le match de Lille, Abdel est une bonne option. »
« Beaucoup d'amis »
Pour faire simple, Fahmi devrait être associé à Kanté et à Drobny samedi à Grimonprez-Jooris, Kombouaré n'étant pas enclin à chambouler son schéma de défense renforcée au moment où celle-ci commence à donner quelques gages de sécurité. Une perspective qui enchante l'intéressé.
« C'est un bonheur de revenir à Lille, club où j'ai laissé beaucoup d'amis, sourit Fahmi. Je ne garde que des bons souvenirs de mes cinq ans passés dans le Nord, de la montée en D1 à la Ligue des Champions. Parme, Manchester, Dortmund, ces matches-là restent gravés dans ma mémoire... »
« Besoin de points »
La nostalgie disparaît toutefois à l'évocation de la difficile situation du Racing. « On a besoin de points, martèle Abdel. Et il faudra en chercher à Lille, face à des gars qui s'accrochent et qui sont hyper-motivés. Moi, je ne me retourne pas sur le passé ni sur les problèmes que j'ai pu rencontrer. Ce qui m'importe, c'est que le Racing se maintienne en L 1. »
Un souhait sincère pour un gaillard qui devrait, quoi qu'il arrive, plier bagage en mai prochain. « Ne vous inquiétez pas pour moi, ajoute Fahmi. Mon avenir, c'est Dieu qui en décidera. » Fahmi a souri. Est-ce un signe ?
DNA
Abdel Fahmi est de retour. Après trois mois de méforme et de pépins physiques qui l'ont écarté du groupe de Kombouaré, le défenseur axial s'apprête à reprendre du service, samedi à Lille, contre le club de son coeur.
C'est un signe. Fahmi sourit. Sur le terrain annexe de la Meinau, au sortir des entraînements, le visage du Marocain est à nouveau radieux. Comme avant, ce gaillard taillé dans le roc a retrouvé les joies simples de ce qui fait le quotidien d'un pro. Et pour lui, c'est déjà beaucoup.
Arrivé à Strasbourg en catimini, fin septembre, pour pallier l'indisponibilité de Vaclav Drobny, celui qui était alors présenté par Marc Keller comme un « patron » avait alors régalé. Puissant, solide, costaud, l'ex-Lillois s'était d'entrée imposé au coeur de la défense de zone prônée par Kombouaré.
Trou d'air
Quelques matches de bonne facture, dont la désormais mythique claque administrée à Marseille (4-1), avaient convaincu le staff et le public alsaciens. Lui ne s'est jamais emballé, pertinemment convaincu qu'en football rien n'est jamais acquis. Ça n'a pas loupé.
Aux premiers frimas de l'hiver, Fahmi a commencé à toussoter. Parti trop vite, trop fort, l'international a traversé un sérieux trou d'air. Normal pour un joueur privé de compétition pendant presque six mois dans le Nord, lui qui n'est plus du tout rentré dans les plans de Claude Puel.
Imbroglio
A cette baisse de régime s'ajoute ensuite l'imbroglio de la Coupe d'Afrique des Nations. Fahmi avait promis aux dirigeants strasbourgeois de tirer un trait sur la sélection marocaine.
Le mal du pays, le doute, le retour en grâce de Devaux, tous ces éléments ont dû se bousculer dans sa tête. Il n'arrive plus à se décider. Une blessure, plus diplomatique que douloureuse, referme la parenthèse. Toujours est-il que le Maroc fait des étincelles à la CAN alors que lui ronge son frein à la Meinau.
« Je me suis senti seul, explique Abdel Fahmi. Je n'avais personne pour me remonter le moral. C'était une période très difficile. On a tout de suite voulu que je sois à mon meilleur niveau. Un défenseur a besoin de temps et de beaucoup de matches pour trouver les bons automatismes. Puis j'ai été blessé. »
« Bonne option »
Cette fois, la douleur est aussi réelle que tenace. Une déchirure des ischio-jambiers succède à une contracture du mollet. Le voilà sur le flanc pour de bon. Pour trois mois très exactement de traversée du désert, tout juste entrecoupée par une furtive apparition à Ajaccio.
Parti se ressourcer ces dernières semaines en CFA, comme les autres recalés de Kombouaré, Fahmi refuse de courber l'échine. Avec la suspension de Devaux à Lille, l'heure de la rédemption semble enfin avoir enfin sonné. « Il n'est pas encore à son meilleur niveau mais ses chances de rejouer vont en augmentant, synthétise l'entraîneur strasbourgeois. Pour le match de Lille, Abdel est une bonne option. »
« Beaucoup d'amis »
Pour faire simple, Fahmi devrait être associé à Kanté et à Drobny samedi à Grimonprez-Jooris, Kombouaré n'étant pas enclin à chambouler son schéma de défense renforcée au moment où celle-ci commence à donner quelques gages de sécurité. Une perspective qui enchante l'intéressé.
« C'est un bonheur de revenir à Lille, club où j'ai laissé beaucoup d'amis, sourit Fahmi. Je ne garde que des bons souvenirs de mes cinq ans passés dans le Nord, de la montée en D1 à la Ligue des Champions. Parme, Manchester, Dortmund, ces matches-là restent gravés dans ma mémoire... »
« Besoin de points »
La nostalgie disparaît toutefois à l'évocation de la difficile situation du Racing. « On a besoin de points, martèle Abdel. Et il faudra en chercher à Lille, face à des gars qui s'accrochent et qui sont hyper-motivés. Moi, je ne me retourne pas sur le passé ni sur les problèmes que j'ai pu rencontrer. Ce qui m'importe, c'est que le Racing se maintienne en L 1. »
Un souhait sincère pour un gaillard qui devrait, quoi qu'il arrive, plier bagage en mai prochain. « Ne vous inquiétez pas pour moi, ajoute Fahmi. Mon avenir, c'est Dieu qui en décidera. » Fahmi a souri. Est-ce un signe ?
DNA
- argueti
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Fahmi : retour en Nord
Porté « disparu » depuis trois mois, l'international marocain fera sa rentrée ce samedi dans l'antre de son ancien club, Lille.
C'était à l'automne dernier. Arrivé à Strasbourg le mercredi 24 septembre après le naufrage à Sochaux (0-3), Abdelilah Fahmi avait, en 3 ou 4 matches pleins (contre Nantes, à Nice et face à Marseille notamment), séduit tout le monde. Au point qu'on se demandait pourquoi le LOSC avait pu libérer un défenseur de cette qualité sans la moindre contrepartie. Vaclav Drobny blessé, Jean-Christophe Devaux à la recherche de son meilleur niveau, l'ex-Lillois, engagé pour la saison, semblait avoir signé un long bail en charnière centrale aux côtés de Cédric Kanté. Mais les choses se sont gâtées. Une ou deux erreurs d'appréciation (à Rennes notamment sur le but de Frei), une baisse de régime physique puis une blessure début décembre lui ont fait perdre son statut d'incontournable. « En arrivant, je me suis donné à fond, j'ai aligné 4 à 5 très bons matches sans vraiment connaître mes partenaires, car je devais m'adapter tout de suite, mais après six mois sans jouer à Lille, j'ai subi un petit contrecoup. » Fragilisé avant Noël, l'international marocain (30 ans) l'est encore plus après. Ses atermoiements autour de son départ à la Coupe d'Afrique des Nations (à laquelle il renoncera en dernière minute, respectant ainsi la parole donnée aux dirigeants strasbourgeois lors de son engagement fin septembre) ne l'aident pas à gagner en sérénité. Le 17 janvier, soir d'une défaite à domicile face à Auxerre (0-2), Fahmi dispute ce qui reste à ce jour son dernier match comme titulaire. C'était il y a plus de trois mois. Drobny revient à l'époque dans le circuit. Le Marocain, lui, se blesse au mollet. Sur la voie de la guérison, il enchaîne un nouveau pépin musculaire à la cuisse. Depuis, les belles promesses de l'automne attendent confirmation. Et, clin d'oeil du destin, c'est à Lille dont il a porté les couleurs de 2000 à 2003, que Fahmi aura l'occasion, ce samedi à 20 h, de confirmer un retour en forme en CFA (avec un doublé contre La Chapelle Saint-Luc). Devaux suspendu, il devrait en effet débuter en défense centrale avec Kanté et Drobny. À Grimonprez-Jooris, il jouera presque à domicile. « Devant 30 ou 40 membres de ma famille ou amis », dit-il. « Là -bas, je n'ai vécu que du bonheur : la montée en L 1, la Champions'League face à Dortmund, Parme, Manchester ou La Corogne, ce qui, pour un « petit » club comme Lille, était fabuleux, un public merveilleux. Ça va me faire tout drôle de jouer pour la première fois là -bas contre le LOSC. » À un mois de la fin de saison, du terme, aussi, de son contrat qui, sauf improbable retournement de tendance, ne sera pas renouvelé, Fahmi foulera la pelouse nordiste avec un appétit féroce. « Quand j'ai rejoint Strasbourg en septembre, j'étais, comme à chaque fois que je m'engage avec un nouveau club, très ambitieux. Aujourd'hui, j'ai envie de prouver à tout le monde, à ceux qui m'ont critiqué surtout, qu'ils se sont trompés et que je suis encore là . Je veux rendre service à un Racing en difficulté. Je ne veux pas quitter Strasbourg sur une descente en L 2, sur cette image négative. Mon avenir ? Je ne suis pas inquiet. J'ai juste envie de me battre pour aider le club à éviter la relégation. Le Racing et ses dirigeants ne méritent pas de descendre. »
Alsace
Porté « disparu » depuis trois mois, l'international marocain fera sa rentrée ce samedi dans l'antre de son ancien club, Lille.
C'était à l'automne dernier. Arrivé à Strasbourg le mercredi 24 septembre après le naufrage à Sochaux (0-3), Abdelilah Fahmi avait, en 3 ou 4 matches pleins (contre Nantes, à Nice et face à Marseille notamment), séduit tout le monde. Au point qu'on se demandait pourquoi le LOSC avait pu libérer un défenseur de cette qualité sans la moindre contrepartie. Vaclav Drobny blessé, Jean-Christophe Devaux à la recherche de son meilleur niveau, l'ex-Lillois, engagé pour la saison, semblait avoir signé un long bail en charnière centrale aux côtés de Cédric Kanté. Mais les choses se sont gâtées. Une ou deux erreurs d'appréciation (à Rennes notamment sur le but de Frei), une baisse de régime physique puis une blessure début décembre lui ont fait perdre son statut d'incontournable. « En arrivant, je me suis donné à fond, j'ai aligné 4 à 5 très bons matches sans vraiment connaître mes partenaires, car je devais m'adapter tout de suite, mais après six mois sans jouer à Lille, j'ai subi un petit contrecoup. » Fragilisé avant Noël, l'international marocain (30 ans) l'est encore plus après. Ses atermoiements autour de son départ à la Coupe d'Afrique des Nations (à laquelle il renoncera en dernière minute, respectant ainsi la parole donnée aux dirigeants strasbourgeois lors de son engagement fin septembre) ne l'aident pas à gagner en sérénité. Le 17 janvier, soir d'une défaite à domicile face à Auxerre (0-2), Fahmi dispute ce qui reste à ce jour son dernier match comme titulaire. C'était il y a plus de trois mois. Drobny revient à l'époque dans le circuit. Le Marocain, lui, se blesse au mollet. Sur la voie de la guérison, il enchaîne un nouveau pépin musculaire à la cuisse. Depuis, les belles promesses de l'automne attendent confirmation. Et, clin d'oeil du destin, c'est à Lille dont il a porté les couleurs de 2000 à 2003, que Fahmi aura l'occasion, ce samedi à 20 h, de confirmer un retour en forme en CFA (avec un doublé contre La Chapelle Saint-Luc). Devaux suspendu, il devrait en effet débuter en défense centrale avec Kanté et Drobny. À Grimonprez-Jooris, il jouera presque à domicile. « Devant 30 ou 40 membres de ma famille ou amis », dit-il. « Là -bas, je n'ai vécu que du bonheur : la montée en L 1, la Champions'League face à Dortmund, Parme, Manchester ou La Corogne, ce qui, pour un « petit » club comme Lille, était fabuleux, un public merveilleux. Ça va me faire tout drôle de jouer pour la première fois là -bas contre le LOSC. » À un mois de la fin de saison, du terme, aussi, de son contrat qui, sauf improbable retournement de tendance, ne sera pas renouvelé, Fahmi foulera la pelouse nordiste avec un appétit féroce. « Quand j'ai rejoint Strasbourg en septembre, j'étais, comme à chaque fois que je m'engage avec un nouveau club, très ambitieux. Aujourd'hui, j'ai envie de prouver à tout le monde, à ceux qui m'ont critiqué surtout, qu'ils se sont trompés et que je suis encore là . Je veux rendre service à un Racing en difficulté. Je ne veux pas quitter Strasbourg sur une descente en L 2, sur cette image négative. Mon avenir ? Je ne suis pas inquiet. J'ai juste envie de me battre pour aider le club à éviter la relégation. Le Racing et ses dirigeants ne méritent pas de descendre. »
Alsace
L'histoire est en marche ...
- Vico Corleone
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- Localisation : Cergy Pontoise
Fahmi: un match ferme et un avec sursis
La Commission de discipline de la Ligue de Football s'est réunie ce jeudi soir. Expulsé face à Toulouse à la 17e minute de jeu, Abdel Fahmi a écopé d'un match de suspensio ferme, plus un avec sursis. Il loupera, par conséquent, le déplacement à Saint-Etienne, ce qui était prévu, mais pourra être aligné face à Istres, la semaine prochaine.
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- Localisation : WIEN
j ai bien l impression que c est pas demain qu il va rejouer en equipe 1...........peut probable qu il reprenne la plade de Hagui
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La L1 j y crois encore