[Ex] Valérien Ismaël

Vos impressions sur les anciens et actuels joueurs de l'effectif
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raphou96
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Re: [Ex] Valérien Ismaël

Message par raphou96 »

C'etait beau ca et le plus top quand on est en plus dans les tribunes.
franck68
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Re: [Ex] Valérien Ismaël

Message par franck68 »

Un de mes derniers match à la Meinau...
Promis j'y retournerais quand on affrontera à nouveau l'inter :lol:
...
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Its_me
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Re: [Ex] Valérien Ismaël

Message par Its_me »

Sport24 a écrit :L’ancien défenseur du Bayern Munich, Valérien Ismaël, estime que le club allemand prend Lyon très au sérieux avant la demi-finale aller de mercredi.

«Lyon est très respecté en Allemagne. Le Bayern prend ce match très au sérieux. Les joueurs savent que cette équipe peut réaliser un exploit, ils sont très, très concentrés. Ils parlent encore de la lourde défaite d’il y a quelques années à Lyon (3-0). Samedi dernier, avant le match contre Hanovre, il y avait encore un reportage à la télé allemande sur ce match-là. A l’époque, Franz Beckenbauer s’était directement adressé aux joueurs en les attaquant violemment. A la suite de cela, l’équipe avait remporté la Ligue des Champions 2001. Au Bayern, on n’a pas oublié Lyon !», nous a confié Valérien Ismaël.
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raphou96
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Re: [Ex] Valérien Ismaël

Message par raphou96 »

Football365 a écrit :Football365 prend des nouvelles chaque mardi d'un ancien joueur de L1 retiré des terrains ou parti tenter sa chance à l'étranger. Invité du « Que deviens-tu » cette semaine : Valérien Ismaël, qui devrait devenir coordinateur sportif à Hanovre en Allemagne.


Valérien Ismaël, vous avez arrêté votre carrière l'année dernière mais êtes resté en Allemagne où vous avez joué à Brême, au Bayern et à Hanovre. Doit-on vous appeler Valérien ou « Valerieune » à l'Allemande ?
Ça reste Valérien à la Française même si j'habite désormais en Allemagne depuis sept ans. J'ai fini ma carrière et commencé mon après-carrière en Allemagne.

Justement, quelle est votre nouvelle carrière ? On a appris que vous pourriez devenir consultant pour Orange Sport…
Consultant, c'est quelque chose que je fais en parallèle. Normalement, si le club d'Hanovre se maintient en Première Division, je devrais entamer ma reconversion en tant que coordinateur sportif. Actuellement, la situation est assez difficile. Si le club devait descendre, il faudra rediscuter car il y a aura une restructuration. Pour l'instant, c'est un gros point d'interrogation.

Hanovre est un club qui a pris récemment 7-0 contre le Bayern, ce qui n'a pas fait sa gloire…
Effectivement, c'était un match malheureux alors que la semaine d'avant, nous avions fait un très bon match contre Schalke, avec une victoire 4-2 et une prestation très intéressante qui nous laisse espérer que le club sorte de cette situation. Mais ce match à Munich a été incompréhensible. Même si le Bayern a livré un très bon match, Hanovre a montré un tout autre visage que celui présenté la semaine précédente (ndlr : samedi, Hanovre s'est racheté en battant Möchengladbach 6-1, ce qui a permis au club de sortir de la zone de relégation).

Vous semblez épanoui en Allemagne, un pays très accueillant, loin des idées préconçues qu'on a parfois en France…
Je suis arrivé en 2003 à Brême. Je ne savais pas trop où je mettais les pieds. J'étais comme tout Français, avec des a priori. Quand on ne connaît pas, c'est comme ça. Mais dès le premier jour, j'ai été très bien accueilli. Contrairement à ce qu'on pense, les Allemands aiment beaucoup les Français et leur mentalité. Beaucoup d'Allemands parlent français. Ils l'apprennent souvent à l'école. Moi, je leur ai rendu la pareille sur le terrain et en apprenant très vite l'allemand en dehors. Et ça, les Allemands en sont très reconnaissants. Au fur et à mesure des années, plus je restais en Allemagne, plus je me sentais bien. J'ai trouvé un pays d'accueil où je me sens très bien.

« Le championnat allemand sera le championnat du futur »

C'est un pays aussi de contrastes. Vous avez vécu dans le Nord et dans le Sud de l'Allemagne, avec des grosses différences de paysages et de mentalités…
Exactement, vous avez très bien résumé. Il y a des différences de paysages. Dans le Sud de l'Allemagne, il y a beaucoup plus de montagnes et c'est très prisé par les Allemands. Dans la région de Munich et le Sud, direction l'Autriche, il y a les Alpes. C'est vraiment très beau. Le Nord de l'Allemagne présente un tout autre paysage, beaucoup plus plat. Il y a aussi une toute autre mentalité, qui est très agréable et que j'ai découverte à Brême et à Hanovre.

L'installation de joueurs français en Allemagne, d'abord Didier Six puis d'autres comme vous, Sagnol, Lizarazu, Delpierre, Ribéry, Pfertzel, Ehret ou Beda, démontre que l'Europe a fait son chemin. Ceux qui ont connu l'ambiance des France-RFA savent qu'il y a eu un fossé de comblé…
C'est vrai qu'on a plus l'impression que les Français sont restés bloqués sur les images de France-RFA de 1982 mais depuis, beaucoup de Français sont venus dans le championnat allemand et peu sont repartis. Ce championnat est à l'image du pays. Les stades sont modernes, pleins, c'est très attractif. Le pays est comme son championnat. Les Allemands sont très ouverts, très tolérants, contrairement à ce qu'on peut croire. Il y a des règles, des principes. Il y a la fameuse discipline allemande, valeur première ici, mais en contrepartie, c'est un pays très tolérant.

A Hanovre, un club peu connu, vous disposez d'un stade qui démontre à lui seul que les infrastructures en France sont très en retard…
C'est clair qu'il y a une énorme différence. Le championnat allemand sera le championnat du futur. Les stades sont modernes et pas seulement en Première Division. En Seconde Division aussi où la moyenne de spectateurs est entre 15 et 20 000. C'est un championnat très suivi, très professionnel. Si vous suivez à la télé un match de Deuxième Division, vous ne voyez pas la différence avec la Bundesliga. Il reste quelques stades champêtres mais ils sont très rares. En France, en L1, il y a des stades un peu vétustes. Mais en L2, ça n'a rien à voir avec la Deuxième Division allemande.

Vous avez porté les couleurs du Bayern qui s'est qualifié en finale de la Ligue des Champions. Vous, vous n'êtes allé qu'en demi-finales de Coupe de l'UEFA, avec Lens à l'époque…
Oui, contre Arsenal. Je pars du principe qu'une finale, ça se gagne. Quitte à perdre, autant perdre en demi-finale. J'ai été plusieurs fois en finale de Coupe et j'ai toujours gagné. Quand on est en Ligue des Champions à ce niveau-là, ce n'est pas comme en coupe nationale où on a peut-être la chance chaque année de défendre sa chance. En Ligue des Champions, tu n'as pas l'occasion d'y revenir souvent. Quand tu as l'occasion de la jouer, il faut donner le maximum pour profiter du gros truc.
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Re: [Ex] Valérien Ismaël

Message par silex57 »

Comme le dit Ismaël, le championnat allemand est très agréable et à mon avis sous estimé. D'ailleurs cette année le Bayern en finale de LDC et Hambourg en demie de League Europa ... En tous les cas je regrette beaucoup que la Bundesliga ne soit plus au sommaire de l'EDD ...
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Re: [Ex] Valérien Ismaël

Message par Phapha »

Clair, je reviens d'Allemagne et c'était un plaisir de suivre les multiplexes (d'ailleurs je suis vert de rater les deux dernières journées, où les 9 matchs ont lieu exactement en même temps).
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Re: [Ex] Valérien Ismaël

Message par kablanovka »

Mouais, à part cette année les clubs allemands ne sont pas très bons dans les compétitions continentales...Et en dehors du Bayern aucun club n'est régulier, un club est bon une année puis il chutte
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Re: [Ex] Valérien Ismaël

Message par silex57 »

Ouais comme les clubs français, sauf que le championnat allemand est beaucoup moins chiant à suivre ...
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Re: [Ex] Valérien Ismaël

Message par kablanovka »

Ouais, il y a plus de buts c'est sur.
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Re: [Ex] Valérien Ismaël

Message par Its_me »

L'Equipe a écrit :Ismaël va coacher la réserve

Coordinateur sportif d'Hanovre 96, Valérien Ismaël va s'asseoir sur le banc de la réserve du club dès le 1er janvier 2012. A la retraite depuis l'été 2009, l'ancien défenseur de Strasbourg, du Werder ou encore du Bayern avait pourtant expliqué il y a deux ans qu'il ne voudrait jamais être entraîneur : «Ce boulot est devenu ingrat. Un jour, tu es un héros, le lendemain, un rien-du-tout, la pression est devenue dernièrement trop forte». Jörg Schmadtke, directeur général d'Hanovre, a réussi à le convaincre : «C'est une grande opportunité pour lui de donner une belle suite à sa carrière. Je suis convaincu qu'il peut être un bon coach, avec toute son expérience et ses qualités. Je lui souhaite beaucoup de succès.»
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