[CDM2006] Le Fil Rouge

Vos impressions sur l'actualité du football en général
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Nico
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Message par Nico »

Ah merde, sa m'aurais bien tenté de faire d'autre découvertes dans le genre !

En tout cas, j'étais éffondré :lol: :lol: ;)
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NéRiK
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Message par NéRiK »

:shock:

Excellent. :lol:
Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et prouver qu'on en est un
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argueti
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Message par argueti »

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lolo
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Message par lolo »

Deux supporters de l'équipe de football du Portugal qui manifestaient leur joie samedi dans les rues de Cap d'Ail (Alpes-Maritimes) ont été grièvement blessés par balles par un habitant ne supportant pas le bruit, qui a été abattu lors d'une intervention des gendarmes.

L'une des victimes, un homme de 37 ans né au Portugal, touché à  la tête, se trouvait dimanche soir dans un état critique. Il est hospitalisé au service réanimation des urgences de l'hôpital Pasteur à  Nice.

La seconde victime, une femme de 46 ans, également née au Portugal, blessée au bras, a été opérée dimanche.

Les deux victimes vivent depuis de nombreuses années dans le sud est de la France.

Le tireur est un homme de 58 ans, préposé aux postes, qui semble avoir eu des antécédents psychiatriques, selon le procureur de la République à  Nice, Eric de Montgolfier.

Il a été abattu peu avant 01h00 du matin, dimanche, par un gendarme de la compagnie de Menton, appelée sur les lieux après que le forcené eut tiré à  deux reprises avec un fusil sur les supporters qui passaient en bas de chez lui.

"Il s'agit a priori d'un cas de légitime défense", a indiqué Eric de Montgolfier. Une information judiciaire pour "homicide volontaire dans une hypothèse de légitime défense" a été ouverte dimanche soir au parquet de Nice afin de reconstituer les faits. Le gendarme a été remis en liberté sans contrôle judiciaire. Il n'est pas suspendu de ses fonctions, a-t-on précisé au groupement de gendarmerie des Alpes-Maritimes.

Selon les premiers éléments de l'enquête, le tireur avait fait feu vers 23h30, après une altercation avec les supporteurs, avant de se retirer chez lui. Il était sous emprise de l'alcool, selon une source judiciaire.

Les gendarmes l'ont contacté une première fois par téléphone, sans parvenir à  le raisonner. Ils se sont ensuite rendus à  son domicile avec un de ses proches.

L'homme a alors ouvert la porte, armé d'un sabre de cavalerie, et s'est montré menaçant, entraînant le tir, à  deux reprises d'un des militaires. Ce dernier a cherché à  le neutraliser en visant l'épaule mais les balles ont touché des parties vitales en raison des mouvements de l'individu, selon les gendarmes.

La compagne et le fils du tireur, qui se trouvaient dans l'appartement au moment des faits ont été placés sous suivi psychologique dans un hôpital de Monaco.

Le président du Conseil général des Alpes-maritimes, Christian Estrosi, ministre délégué à  l'Aménagement du territoire, a exprimé dimanche soir son "soutien" et sa "reconnaissance" aux gendarmes intervenus au domicile du tireur.

Dans un communiqué, il a assuré de sa "solidarité" le militaire qui, "en tirant en situation de légitime défense sur un individu dangereux qui venait de menacer des vies humaines, a probablement sauvé celle de l'ensemble de ses camarades".

Par ailleurs, à  Berlin, vingt personnes ont été blessées, dont dix légèrement, lorsqu'un automobiliste a foncé dans la foule sur la "Fanmeile" de Berlin, le principal espace de rassemblement des supporteurs pendant le Mondial de football.
France - Portugal: 2-0... :? :oops:
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RV
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Message par RV »

Trop fort avec Crouch, un de c'est big man n'empêche, pas très fringuant durant la coupe du monde, mais bon en général j'aime bien les joueurs grand moi, parfait pour le jeu de tête, mais pour le jeu au pied c'est plus dur, c'est ç :) a la vie à  1m99...
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argueti
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Message par argueti »

L'Alsace a écrit :Choeurs de l'Etoile : le coeur dans les étoiles

Gros succès pour l'écran géant installé par la Communauté urbaine de Strasbourg place de l'Etoile, samedi soir, à  l'occasion de la retransmission du match France-Brésil.

Plusieurs milliers de supporteurs, vivant ensemble intensément la rencontre, ont vibré en commun sur les pelouses devant le Centre administratif, avec drapeaux et maquillages bleu-blanc-rouge, sirènes, cris... La victoire de la France a provoqué une explosion de bonheur puis le déferlement vers le centre ville d'une cohorte bigarrée hurlant en choeur son immense joie, manifestée par des pétards, feux de bengale, roulements de sifflets ; et des « Allez les Bleus ! » ou « Zizou ! Zizou ! » scandés à  pleins poumons. Les places Kléber et de l'Homme de Fer furent vite noyées de monde, les carrefours, les rails du tram furent envahis, d'autant qu'aux abords convergeaient de nombreuses voitures de supporteurs klaxonnant à  tout va. On a hélas noté des débordements et comportements dangereux : rodéos de quads, de motos, de scooters (avec tentatives d'en voler garés là ), personnes perchées sur le toit de véhicules roulant. Et des coups sur des véhicules, et même l'un ou l'autre saccage d'abribus.

Expulsés l'autre dimanche à  Francfort lors du 8e de finale musclé (16 avertissements et quatre cartons rouges) contre les Pays-Bas (1-0), le stratège du Barça, Deco, et le néo-Madrilène de l'Athletico, Costinha (ancien de l'AS Monaco), seront de retour dans l'effectif portugais mercredi à  Munich face aux Bleus. Ils ont tous deux purgé leur suspension. En revanche, Petit, le milieu de terrain du Benfica Lisbonne, natif de… Strasbourg, est suspendu pour une accumulation de cartons jaunes.

Pris dans un bloc de béton

Avec seulement deux buts encaissés en cinq rencontres (dont un penalty), la défense des Bleus a neutralisé ses adversaires successifs. En 1998, cette solidité avait été l'une des fondations du titre mondial.

« Pour aller loin en Coupe du monde, il faut posséder une défense solide. » Cette vérité première, Raymond Domenech la répétait comme un leitmotiv voici quelques jours. C'était à  l'époque déjà  lointaine (à  peine plus d'une semaine) où les Bleus se cherchaient offensivement. Où ils n'avaient pas pu faire plier les Suisses et n'avaient qu'à  peine secoué les roseaux sud-coréens, sans les faire rompre. Inquiétants devant, les Français étaient en revanche entrés dans ce Mondial 2006 forts du même hermétisme que lors de leurs trois matches de préparation. Face au Mexique (1-0), au Danemark (2-0) et à  la Chine (3-1), ils n'avaient encaissé qu'un but. Et encore ! Un penalty du Chinois Zheng. Poussifs lors du premier tour, les Bleus ne s'étaient jamais départis de cette imperméabilité qui, sans faire nécessairement gagner les matches, permet au moins de ne pas les perdre. Suisse (0-0), Corée du Sud (1-1) et Togo (0-2) n'avaient surpris Fabien Barthez qu'une fois en 270 minutes. Depuis, seul l'Espagnol David Villa (encore sur penalty) a trompé le gardien français. Modifiée à  une seule reprise lorsque Mickaël Silvestre a remplacé un Eric Abidal suspendu face au Togo, le secteur défensif tricolore brille par sa constance et l'a encore prouvé face au Brésil. En 1998, les Bleus d'Aimé Jacquet n'avaient encaissé que deux buts lors de leurs sept étapes vers le titre planétaire. Aujourd'hui, ils en sont aussi à  deux.

« Parler, même si on n'a rien à  dire »

« Défensivement, on a été costauds, mais cela ne concerne pas seulement les quatre de derrière », se plaît toutefois à  souligner William Gallas, membre influent de la « garde noire » centrale, en référence au duo Marius Trésor – Jean-Pierre Adams ainsi surnommé à  la charnière des années 1970. Son tandem avec l'inusable Lilian Thuram (119 sélections et une 120e à  venir mercredi à  Munich) fonctionne à  merveille. « L'équipe toute entière a été remarquable. Les attaquants ont fait leur boulot défensif, les milieux, récupéré énormément de ballons », insiste encore celui qui a plus souvent qu'à  son tour joué latéral gauche à  Chelsea. « Avec Lilian, on ne peut que progresser. On ne s'est pas trop parlé pendant le match, mais on se comprend maintenant. On sait comment se placer. C'est différent d'il y a quelques semaines. » Comme le dit Fabien Barthez, la défense française et, avec elle, toute l'équipe ont réalisé « un match particulièrement propre. » Mais alors que les Bleus sont entrés de plain-pied dans le dernier carré, le réalisme défensif ne saurait suffire. La preuve : si les Allemands ont encaissé un but de plus que les Français (3), les deux autres demi-finalistes, l'Italie et le Portugal, n'ont cédé qu'une fois. De quoi conforter Raymond Domenech dans l'analyse citée plus haut. « On a gagné presque tous les duels samedi », relève aussi Eric Abidal, infranchissable porte coulissante du couloir gauche comme Willy Sagnol l'est sur le flanc droit. « Chez nous, quand tu joues un peu en retrait, le collègue t'engueule tout de suite. Derrière, il faut communiquer tout le temps, même si on n'a rien à  dire. Ça permet de rester pleinement concentré. » Sur le rendement défensif des Bleus, il n'y a effectivement rien à  (re) dire. La modestie – relative — des adversaires du premier tour avait laissé planer un doute. Depuis, les tests probants face à  l'Espagne (3-1) et au Brésil (1-0) ont constitué la meilleure des défenses pour l'arrière-garde tricolore.

À la conquête du monde

Transfigurée depuis deux matches, l'équipe de France, magique face au Brésil samedi soir, peut croire en son objectif de coiffer une seconde couronne mondiale après 1998. L'euphorie a été vite évacuée, l'heure est à  la préparation de la demi-finale face au Portugal.
Après la nuit magique de Francfort samedi, on a encore un peu de mal à  réaliser : la France a éliminé le Brésil, finaliste lors des trois dernières éditions, champion du monde en titre, grandissime favori à  sa propre succession, dès le stade des quarts de finale. Elle a réussi un match exceptionnel dans tous les domaines, tous les joueurs emboîtant le pas de Zinédine Zidane, qui a peut-être livré là  sa meilleure partition en Coupe du monde, du même niveau que lors de la finale en 1998. Bien entendu, l'euphorie a gagné le camp bleu, qui a pu fêter comme il se doit cet exploit samedi soir dans les vestiaires puis à  l'occasion de son retour dans son camp retranché du Schlosshotel Mà¼nchhausen à  Aerzen. Mais dès hier matin, l'heure n'était plus à  la fête, mais à  la concentration pour la demi-finale qui l'opposera mercredi soir à  21h au Portugal à  Munich. « Nous sommes contents, point, a martelé Raymond Domenech, le sélectionneur, hier en début d'après-midi. Nous sommes déjà  passés de l'euphorie à  la phase de préparation pour la demi-finale avec tout ce qu'elle peut représenter. Même si nous sommes retirés dans un château, les messages affluent de partout. Même si nous avons coupé les télés, nous savons que c'est cocorico sur toute la ligne. Nous essayons de relativiser, de ramener tout le monde à  la réalité du moment. Il faut revenir à  l'état d'esprit qui régnait avant le match face au Brésil. àŠtre dans les quatre derniers, c'est déjà  exceptionnel, mais nous en voulons plus ». Comme des gloutons, les Tricolores, après avoir goûté à  deux mets aussi délicieux que l'Espagne et le Brésil, n'ont pas la moindre envie d'être victime d'une indigestion portugaise, puis italienne ou germanique. Depuis des mois, Raymond Domenech ne cesse de parler de la finale du 9 juillet et, contre vents et marées, il est en passe de réussir son pari fou, même s'il reste persuadé que « la demi-finale est la marche la plus délicate d'entre toutes à  franchir. Parce que derrière, il y a quelque chose d'énorme, personne ne veut manquer l'accession au plus beau des matches. »

« Un basculement dans l'opinion »

Pourtant, en raison d'un premier tour plus que moyen, personne n'attendait les Bleus à  pareille fête, de nombreux observateurs les narguant pour leur grand âge, parlant de club de joyeux retraités. « Seuls les adversaires ont changé depuis que nous sommes en Allemagne, certifie le sélectionneur. Nous avons continué à  travailler, à  essayer de développer notre jeu. Et vous savez, une Coupe du monde, c'est long. Il y a sept matches, on vit un mois et demi ensemble. Il faut vivre, bosser, s'écouter. Il y a beaucoup d'ingrédients qui entrent en ligne de compte pour tenir. Pour moi, l'équipe n'a jamais basculé dans un sens ou dans l'autre. Il y a un basculement dans l'opinion et dans la vision qu'ont les gens de nous. Nos dernières prestations renforcent juste l'équipe dans ce qu'elle est capable de faire ». Les joueurs ont bien sûr savouré ce succès en quart de finale, tout en évitant de se disperser, se souvenant qu'en 1986, après le chef-d'oeuvre de Guadalajara, les Bleus s'étaient inclinés face à  l'Allemagne en demi-finale. « Nous avons un groupe humble, rassure Patrick Vieira. Nous sommes bien entre nous, nous avons tous les pieds sur terre. Nous sommes conscients de ce qui nous arrive. Mais l'objectif est toujours la victoire finale, donc il n'y a pas de risque que nous ne préparions pas au mieux la rencontre face au Portugal. » « On ne va pas s'enflammer parce que nous avons battu le Brésil, souligne William Gallas. Ce n'était pas notre objectif en Allemagne. Cela reste le 9 juillet à  Berlin. Samedi, j'ai été content de la haie d'honneur qu'a dressée le staff technique pour notre sortie du terrain. Il était fier de nous. J'espère qu'on pourra faire quelque chose pour lui… » Les Bleus sont donc prêts à  aller puiser dans leurs réserves pour battre un Portugal qui court après un succès face à  la France depuis 1975. Tout le monde est aujourd'hui confiant et a toutes les raisons de l'être. « Nous exprimons nos qualités par le collectif, pas par le talent individuel comme les Brésiliens, témoigne Eric Abidal. La différence se fait par le mental, notre rage de vaincre, notre bloc défensif ». Et il reste encore un champion du monde en titre à  éliminer : Luis Felipe Scolari, qui avait conduit la Seleçao au titre en 2002. Pas un bon signe pour lui.

« Son meilleur match »

Le sélectionneur brésilien Carlos Alberto Parreira a estimé hier que le Français Zinédine Zidane avait joué samedi en quart de finale contre le Brésil son meilleur match depuis la finale de 1998, contre le même Brésil. « C'était sa meilleure partie des huit dernières années, il a couru tout le temps, il a joué avec beaucoup d'autorité », a dit Parreira au lendemain de la défaite de son équipe 1 à  0. « Nous savions tous de quoi Zidane était capable, et la France a tué le match avec son coup franc » repris par Thierry Henry. Selon le technicien brésilien, « le Brésil a bien joué pendant vingt minutes, ensuite la France a commencé à  s'assurer la domination territoriale. Les Français ont gagné le match en milieu de terrain et Zidane a fait la différence ». Interrogé sur le but de Henry, où l'attaquant français s'est retrouvé étrangement seul devant la cage de Dida, Parreira a avoué : « Kaka, Ze Roberto et même Cafu auraient dû le marquer. Nous avons des garçons forts de la tête qui auraient dû intercepter ce centre c…s C'était une erreur sans doute ».

Thierry Henry enfin servi !

Zinédine Zidane a enfin offert une passe décisive à  Thierry Henry, pour leur tout premier but construit ensemble en équipe de France, celui qui a qualifié les Bleus pour les demi-finales du Mondial face au Brésil (1-0). Enfin ! Les deux stars françaises se sont trouvées, se sont comprises. Zidane a dû attendre sa 106e sélection pour offrir un ballon en or à  Thierry Henry, qui lui a dû patienter pendant 83 matches pour en recevoir un qui lui a permis de marquer son 36e but en sélection. Un ballon en or (avant un Ballon d'or ?) pour le 6e but de Henry en Coupe du monde, record de Michel Platini (5 buts) battu ! Bien sûr, ils n'ont pas toujours joué ensemble mais les chiffres parlent quand même. Il a fallu attendre. Et même s'il ne s'agit que d'un coup franc, tiré par Zidane pour le plat du pied en force de Henry (57e), le symbole est fort. A quelques jours de la fin de la carrière de Zidane, Zizou le magnifique et le Roi Henry ont su briser ce qui devenait une malédiction. Le jour où il fallait, le jour des plus grands.
Merwan
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Message par Merwan »

J'adore le numéro 1! :lol:
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Pinon
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Message par Pinon »

«Mon histoire avec la sélection est terminée. Je veux laisser la place pour une rénovation. J'espère que je pourrai transmettre ce maillot à  quelqu'un qui poursuivra cette histoire victorieuse». C'est en ces mots que Roberto Carlos a annoncé la fin de sa carrière internationale sur son site internet.

Le joueur du Real Madrid, qui compte 125 sélections en équipe du Brésil a été champion du monde en 2002. Il a participé à  quatre des cinq matches du Brésil lors du Mondial allemand avant que la Seleçao ne soit éliminée par la France en quart de finale. «Je veux poursuivre ma carrière en club, précise-t-il, et je vais bientôt prendre une décision pour savoir où je jouerai la saison prochaine».
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo

Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais

Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
ZITELLI
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Message par ZITELLI »

Le Brésil va pouvoir renouveler ses postes de latéraux. Gilberto a été très bon contre le Japon et à  droite, Cicinho est un excellent joueur.
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NéRiK
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Message par NéRiK »

Je me fais pas de soucis pour les Brésilliens. Ils reviendront vite. Ils ont les joueurs pour. ;)
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