[Ex] Remy Vercoutre

Vos impressions sur les anciens et actuels joueurs de l'effectif
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Stan
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Message par Stan »

Et ben oui, si Cassard est meilleur aux entrainements et que Vercoutre fait une boulette tout les 2 matches, y'a pas de raison qu'on inverse pas les rôles, comme il le dit si bien.
Merwan
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Message par Merwan »

Très bel article sur nos gardiens sur le racingstub:


L'après Vencel: qui a assuré la relève, quelles ont été leurs prestations, leurs histoires ? Souvenirs...


Qui au Racing ne se souvient pas d'Alex Vencel ? Un joueur incomparable, certes, mais aussi et surtout un homme d'une grande honnêteté, un homme gentil et disponible. Bref, un gars bien, tout simplement. Ses parades et son sourire sont encore présents dans les coeurs alsaciens, et le seront encore longtemps.

Vencel ... Il faisait l'unanimité, jusqu'à  ce match, ce match qui a scellé son avenir au Racing, Montpellier-Strasbourg, lors de la saison 1999-2000, où une blessure l'obligea à  sortir à  10 minutes de la fin alors que le Racing menait par 1 but d'écart. Son remplaçant, le Schilikois Thierry Debès, était motivé, voulait s'imposer, il n'avait pas forcément le niveau de la Ligue 1, mais sa bonne étoile en a décidé autrement ce soir là . Trois parades dignes d'un Buffon ou d'un Barthez l'ont propulsé titulaire des cages de l'équipe alsacienne pour la saison suivante, et Proisy a surtout éjecté Vencel sur la liste des transferts ... Destination Le Havre.

Une saison bien noire attendait le néo-titulaire, puisque ce dernier encaissait presque trois buts à  chaque match, sans pouvoir réagir ni intervenir... Des buts à  gogos, une défense zéro, un Racing qui pointe à  la dernière place à  la mi-saison. Et c'est là  que le duo Proisy-Le Roy, a fait sans doute la plus grosse erreur de toute l'histoire du Racing, en embauchant pour environ 13M de Francs (2M€) et 1M de francs par mois net l'« énorme » (sic) José Luis Chilavert, sans doute l'un des meilleurs gardiens du monde jusque là ... Bilan : un gardien fort sympathique mais rarement apprécié au vu de ses piètres performances sur le terrain. S'en suivra enfin le mémorable épisode du "Bibendum Michelin" lancé par la vipère Patrick Proisy juste avant la reprise de la saison 2002-2003 et lors de l'arrivée de Vincent Fernandez. La stratégie strasbourgeoise était de mettre en concurrence les deux gardiens, ce que le Paraguayen refusa catégoriquement. Si bien que lors de la première journée du championnat (Strasbourg-Ajaccio 1-1), il prétexta un mal de dos pour éviter d'être vu sur la banc des remplaçants. Fin d'une histoire qui était vouée à  l'échec dès le départ.

Pour cette saison 2003-2004, le Racing cherchait absolument un gardien, des rumeurs à  la mesure du Racing étaient évoquées. Mais c’est sans compter sur Marc Keller, le nouveau manager du Racing, qui réalisa un coup somptueux puisqu’il fit signer Richard Dutruel, l’ancien international A des Bleus alors en fin de contrat avec son club Alavès. Des prestations très moyennes au début de saison mirent le doute sur les capacités de l’ancien Barcelonais à  donner confiance à  toute une défense… Mais dès son retour de blessure vers la fin de la saison, le grand Richard fit des matchs de grande classe et des parades plus exceptionnelles les unes que les autres. Les cages pour la saison 2004-2005 étaient promises à  Dutruel, mais c’est un jour d’entraînement que le portier alsacien demanda au dirigeants de chercher un nouveau gardien. Le gardien d’arthrose au dos et sera indisponible pour au moins 6 mois… on s'étonne alors qu’il ait joué toute la saison avec cette blessure !! « Je n’arrive plus à  porter ma fille de 2 ans… » dit-il. Dutruel n'aura porté le maillot du Racing que quelques matchs et malgré un nombre important d'erreurs il s'attira rapidement la bonne grâce du difficile public strasbourgeois conquis par le courage et l'honnêteté de l'homme.

A l’aube de la saison 2004-2005, il reste un gardien capable de jouer au Racing, il s’agit du jeune Nicolas Bonis, qui n’a presque pas joué mais qui a fait ce qu’il avait à  faire. Mais le pourtant talentueux natif de Wissembourg n’a pas les épaules assez solides pour garder les cages alsaciennes en tant que numéro 1 ou du moins c'est ce que pensent les dirigeants strasbourgeois. Le Racing part donc à  la recherche d’un gardien voire deux. Tony Silva, Richard Trivino, Ronan Le Crom, Grégory Wimbée, Stéphane Cassard et Rémy Vercoutre sont évoqués, et c’est les 2 derniers qui sont recrutés respectivement à  Troyes et Lyon, Vercoutre sous forme de prêt avec option d’achat (1.5 ME).

Tous les espoirs sont portés sur ce jeune Montpelliérain de formation qui sera incontestablement le numéro 1 devant Stéphane Cassard et Nicolas Bonis (en partance ?). Premier verdict, samedi, face à  Bastia sur l'Ile de Beauté, pour le premier match officiel de la saison...
Manu
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Message par Manu »

Voilà  deux saisons que le garçon mûrit dans l'ombre de Grégory Coupet. Le natif de Béziers a ainsi réussi l'exploit d'accrocher deux couronnes de champion de France à  son palmarès en ne disputant qu'une poignée de matches de L1 (20 en tout dont seulement 4 sous le maillot lyonnais !). Il est à  un tournant de sa carrière et amené à  prendre des responsabilités. Prêté, ce qui ne présage rien de bon (cf. les expériences strasbourgeoises décevantes de la saison passée avec Pontus Farnerud, Cyril Chapuis et Mickaël Dorsin), Vercoutre s'offre une seconde chance durable parmi l'élite. Du côté de Montpellier, lors de la saison 2001-2002, il avait été évincé au profit de Riou au bout de 11 matches (une victoire, quatre défaites et neuf buts encaissés), ce qui n'avait rien d'infamant derrière les douteux Dzodic, Tchato et autre Fugier. A 24 ans, le voilà  à  la croisée des chemins. Pour une trajectoire à  la Landreau ou à  la Debes ? L'avis d'Antoine Kombouaré : « C'est un garçon techniquement très bon, tonique, plein de jus, qui possède une bonne lecture du jeu. Il présente également l'avantage de dégager de la fraîcheur. Mais il a aussi les défauts de ses qualités. Il doit canaliser son énergie et ne pas être trop fou sur sa ligne ».
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argueti
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Message par argueti »

Mais la matinée était surtout marquée par la petite réception offerte par Rémy Vercoutre. Pour fêter la naissance de son premier enfant, Roméo, né à  Lyon le 9 août, le gardien du Racing a 'régalé' ses partenaires. Le Racing souhaite d'ailleurs beaucoup de bonheur au jeune papa, ainsi qu'à  Stéphanie, la maman, et bien entendu, au petit nouveau, vivement attendu dans les tribunes de la Meinau !
;)

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Message par foreveralsacien »

En deux rencontres, Rémy Vercoutre a encaissé six buts. Si ses dents ont grincé, l'ex-Lyonnais de 24 ans, façonné à  Dunkerque et poli à  Montpellier, a conservé sa bonne humeur. Et se sent prêt à  rebondir.

« J'ai été accueilli à  bras ouverts. Je ne regrette pas d'être venu », raconte d'emblée Rémy Vercoutre dans un grand sourire. « Peguy Luyindula m'avait parlé de Strasbourg. En bien. Je ne suis pas déçu. Je suis dans un club familial, je ne me suis pas trompé. »

Galère

Bien sûr, le début de saison le titille. Six fois déjà , il a dû faire le chemin jusqu'au fond de son but. « Je suis frustré. J'ai pris ces buts avec l'impression d'avoir fait mon job. Et c'est même dur d'entendre les gens le dire. Je me sens responsable, mais pas coupable. C'est un drôle de sentiment. »
Et, contre Toulouse, Rémy Vercoutre avoue même avoir vécu « l'un des moments les plus galères » de sa jeune carrière. « A la mi-temps, il y avait un silence de mort dans le vestiaire. Qu'est-ce-qu'on fout là  ? Les Toulousains menaient 3-0 et nous n'étions plus que dix. Ils nous ont donné les clés du match, mais nous ne savions pas quoi en faire. »

« Un groupe soudé »

Si les encouragements d'une partie de la Meinau, qui a scandé son nom, l'ont sorti du KO - « A 0-4, ils m'ont fait du bien » -, il sait que ce Racing est loin du scénario escompté après seulement deux des 38 actes.
« Je reste confiant en l'équipe et j'ai confiance dans ma défense, reprend Rémy Vercoutre. Ce que je sais, c'est que ce groupe de joueurs a vécu des choses difficiles la saison passée et qu'il est très soudé. Tout le monde se soucie de tout le monde. »
D'ailleurs, hier matin, après la séance, c'est lui qui a régalé le palais de ses coéquipiers. « Pour fêter la naissance de Roméo, mon fils », s'exclame-t-il. « Les épouses de mes coéquipiers ont appelé ma femme pour savoir si elle avait besoin d'aide. »

Agent d'ambiance

Enfin sorti de l'ombre de Grégory Coupet, Rémy Vercoutre a l'envie de tout casser. « A Lyon, je m'étais accaparé le seul rôle dont on avait besoin : celui d'amuser. J'étais celui qui chambrait ses coéquipiers, celui qui mettait de l'ambiance dans le vestiaire, explique-t-il. Aujourd'hui, même si je reste un bon vivant, je dois plus me concentrer sur mon boulot de gardien de but. Avoir plus de recul. »
Et même si les Bastiais, puis les Toulousains, se sont occupés de son cas, il n'a pas envie de jeter aux orties ses gants. « J'ai tellement envie de jouer. »

« Les Stéphanois m'attendent »

Et puis, devant lui, se profilent le stade Geoffroy-Guichard et son public bouillant. « C'est pour ce genre de moments que t'adores ton métier de footballeur. Il va y avoir 40 000 personnes, il va y avoir du bruit. »
Pour l'ex-Lyonnais qu'il est, il sait que ce match aura une saveur particulière. « Comme je suis né dans le Nord, à  Grande-Synthe, je n'ai rien de mal à  penser des Stéphanois, poursuit Rémy Vercoutre avant de continuer sur un ton joyeux. Mais je sais le sort réservé aux joueurs qui ont porté le maillot de l'OL comme Alonzo ou Potillon. Je vais être mal reçu. »

Club endormi

Sincèrement, il ne s'inquiète pas de l'accueil du public vert. « Il est comme tous les publics à  l'exception de celui de Lens, très fair-play. Et puis, si je peux cristalliser tous les regards des Stéphanois, ça libérera peut-être mes coéquipiers. »
Avec Strasbourg, Rémy Vercoutre a autant envie de franchir un palier que faire franchir un palier à  son club. « De l'extérieur, le Racing fait penser à  un club qui s'est longtemps endormi et qui attend un déclic. Tout le monde se méfie de lui, mais personne ne le craint. »

« Je suis ouvert aux autres »

Bavard, « ouvert aux autres et aux belles choses », Rémy Vercoutre parle maintenant de son métier.
« Ce que je regrette, c'est qu'on soit mis sur un piédestal. Alors que je suis comme ces milliers de gamins qui poussent un ballon, argumente-t-il. J'ai simplement eu la chance de croiser certaines personnes, certains éducateurs qui m'ont permis d'être là  où je suis aujourd'hui. Je suis conscient de cette chance. »
Et, pour ne « pas mourir bête » comme il le dit, Rémy Vercoutre est une sorte de touche-à -tout. « Notre métier nous permet de beaucoup voyager et de connaître différents clubs. »

Besoin de savoir

Alors, il visite. Les églises, les cathédrales, les musées, etc.. « J'adore ça », sourit-il. « Quand un Lyonnais évoquait un endroit, j'aimais savoir ce dont il me parlait. »
Géographiquement éloigné de l'association humanitaire dont il est le parrain - « elle s'occupe de lutte contre le cancer. Laurent, un ami, l'a créée après en avoir souffert. Je l'avais accompagné durant sa maladie » -, Rémy Vercoutre se fait à  sa nouvelle vie.
« Pour être bien quelque part, j'ai besoin de connaître les gens, les murs et l'histoire de la région. L'Alsace est riche de tout ça. Et je me sens déjà  bien ici, note-t-il avant de rire. La région ne manque pas de bons vivants. »

S'installer en L1

Celui qui a abandonné toutes ces manies d'avant-match « en voyant les grands joueurs de Lyon... ne pas en avoir besoin », n'a qu'une seule idée en tête : « J'ai joué en CFA2, en CFA, en Ligue 2. Maintenant, je veux m'installer en Ligue 1. » Avec le Racing, bien entendu...
;)
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Message par Its_me »

argueti a écrit :It's me le roi des cartes :?: :idea: ;)
Je suis en plein rapport de stage là  ... j'ai 30 pages à  faire pour le 26 ... donc ça va être chaud de faire une carte. :(
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Message par argueti »

Une brise de fraîcheur

En dépit d'un début de saison délicat, avec déjà  huit buts encaissés, Rémi Vercoutre ne perd pas espoir. Le jeune gardien du Racing redonne des couleurs au quotidien des Bleus, à  travers son discours toujours positif. Une note de gaieté dans la morosité de ce début de saison.

Il n'en fait pas une montagne. Rémi Vercoutre n'ignore pourtant rien de la réalité crue des chiffres, dont la famille du ballon rond est si friande. En quatre matches, le gardien strasbourgeois a déjà  ramassé à  huit reprises le cuir au fond de ses filets. Un triste record qu'il partage avec le Niçois Grégorini et le duo parisien Letizi - Alonzo, compagnons gantés d'infortune en ce début de saison.
« Oui, oui, huit buts, c'est embêtant, soupire Vercoutre non sans afficher un timide sourire. Je rêverais d'en prendre beaucoup moins. Il faut dire qu'avec le match contre Toulouse, ça en fait quand même quatre d'un coup ! Pour le reste, je n'ai pas l'impression d'avoir été mis énormément en danger. L'équipe non plus, d'ailleurs. Il manque ce brin de réussite que possède par exemple Metz, à  qui tout sourit actuellement. »

« Pas des peintres »

Le natif de Grande-Synthe ne fuit pas pour autant les responsabilités, qu'elles soient individuelles ou collectives. « On a coutume de dire que la chance se provoque, ajoute-t-il. C'est d'autant plus vrai dans notre cas, car on joue encore avec le frein à  main. Ce n'est pas un problème de système de jeu ou d'envie. »
« A l'image d'un tennisman qui doute, on tarde à  lâcher nos coups, poursuit Vercoutre. Pourtant, on a tout ce qui faut pour réussir. Si on était une bande de "peintres", je vous assure qu'on ne serait pas pros ! Pour se désinhiber, il n'y a qu'une solution, c'est gagner. »

Optimiste

Le problème, selon Vercoutre, ne réside donc pas dans la qualité du groupe. Même à  l'issue du match nul aux dépens d'Istres (1-1), le jeune gardien préfère positiver. Question de caractère, enjoué et résolument tourné vers l'optimisme. « J'ai entendu un peu partout qu'on était mauvais, qu'on a livré une prestation fade et pauvre, dit l'ex-Lyonnais. Je ne suis pas d'accord. En fin de match, on a poussé comme jamais et ça aurait très bien pu se retourner en notre faveur. »
Conscient que le pécule (2 points) péniblement amassé jusque-là  est insuffisant, Vercoutre attend avec impatience le déclic enclin à  dégripper la machine. Le calendrier délicat qui attend le Racing en septembre - déplacements à  Monaco, Caen, Paris, réception de Lens -, n'est pas de nature à  le tracasser plus que ça.

« Voir ce qu'on a dans le ventre »

« Jouer contre des grosses cylindrées n'est pas forcément une mauvaise chose, positive-t-il. On sera dans la peau de l'outsider qui n'a rien à  perdre. Comme ça, on verra ce qu'on a vraiment dans le ventre. Moi, je suis confiant. Ce ne sont pas nos quatre premiers matches qui vont tout remettre en cause. Je peux vous dire que l'ambiance dans le groupe n'a pas changé. Tout le monde est serein et travaille dur. Le vent va tourner, c'est sûr. »
Durant la dizaine de jours qui séparent le Racing de son déplacement à  Monaco, Vercoutre s'échinera encore et toujours à  apporter son envie et sa bonne humeur lors de séances quotidiennes qui se tiennent cette semaine en comité restreint (lire ci-contre). Le sourire en bandoulière et le petit mot pour chambrer prêt à  être déballé.

En sifflotant

« Cette coupure va nous faire du bien, sourit-il. Le match de vendredi (contre Neuchâtel à  Illzach), sans enjeu, permettra de travailler les automatismes, même si on n'est pas au complet. Ceux qui sont partis en sélection vont couper avec le quotidien et voir du pays. Ils vont nous apporter, je l'espère, la fraîcheur qui nous fait défaut. »
D'un pas alerte, le sac de ballons posé sur les épaules, Rémi Vercoutre s'en retourne aux vestiaires, longtemps après ses coéquipiers. Le garçon sifflote gaiement. Et si c'était lui, l'hirondelle qui annonçait le printemps des Bleus ?
:)
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Message par foreveralsacien »

Par ailleurs, Rémi Vercoutre (photo) ne disputera pas cette opposition. Le gardien souffre du 5e métatarse du pied gauche, depuis ce vendredi matin. Il a passé une radio à  l'Hôpital Civil dans l'après-midi en compagnie de François Pietra, médecin du club. C'est Stéphane Cassard qui gardera les cages strasbourgeoises face au Xamax.
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Message par Vico Corleone »

Tu parles, c'est une blessure diplomatique pour qu'il fasse jouer Cassard ce soir sans remettre en cause le statut de titulaire de Vercoutre
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Message par foreveralsacien »

pas convaincu...
Vercroute était attendu, mais il n'a pu jouer. Il souffre du pied, il passera un scanner lundi pour savoir pourquoi. « Je ne voulais prendre aucun risque », explique son entraîneur. Cassard a disputé l'intégralité du match.
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