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Antoine Kombouaré
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Maneo
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Maneo
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Kabou arrive !
Ben on peut dire que c'est presque fait là non ? Pitain j'ai peur ...DNA a écrit :Antoine Kombouaré débarquera demain après-midi à Strasbourg en compagnie de son avocat pour rencontrer les dirigeants du Racing et lever les derniers obstacles (durée du mandat, salaire) à la signature d'un contrat qui devrait être de deux ans.
Si tout se passe comme prévu, le (presque) ancien Parisien pourrait officiellement devenir dans la soirée le 47e entraîneur du Racing. - Une réponse de votre part était attendue aujourd'hui (hier, NDLR) par Egon Gindorf et Marc Keller, alors ça y est, vous avez pris une décision ? - Il n'y aura pas de réponse définitive ce soir. Nous continuons de discuter et on va encore réfléchir. Je suis en train de voir tranquillement afin de trouver un bon compromis. Un accord qui satisfasse tout le monde. - Le temps presse pourtant avec le départ en vacances des joueurs du Racing dimanche et une équipe à construire pour l'année prochaine... - J'en suis conscient. La décision finale ne devrait pas tarder. En fait, je serai vendredi à Strasbourg pour rencontrer les dirigeants strasbourgeois et discuter des derniers détails et mettre tout ça au clair.
« Strasbourg est une belle opportunité »
- Ce qui signifie que vous êtes tout près d'un accord ? - Nous n'en sommes plus très loin effectivement. Strasbourg, c'est un super challenge à relever. Je ne sais pas qui pourrait ne pas être intéressé. Je suis déjà tellement flatté qu'ils aient pensé à moi... Maintenant, nous ne sommes pas d'accord sur tout et je n'ignore pas qu'un autre candidat est sur les rangs (Bà¶là¶ni, NDLR). - Sans compter que Rennes et surtout le PSG sont toujours intéressés par votre venue. A ce propos, avez-vous rencontré Vahid Halilhodzic mardi après le match ? - Non. Vahid a une saison à terminer et un match important à préparer. Mais si vous tenez à parler de la proposition du PSG, il ne faut pas comparer avec celle du Racing. C'est sans comparaison. A Paris, on me propose un poste d'adjoint et en Alsace un poste de nº1. Je suis très content que le PSG reconnaisse mon travail, mais je suis ambitieux. J'ai envie de franchir un cap. Strasbourg est une belle opportunité pour cela.
« Pas une question d'argent »
- Oui, mais on vous sait très attaché au PSG... - C'est vrai que j'y ai passé de très belles années, mais chacun sa route. J'ai une carrière à mener. En clair, je suis prêt à relever le défi du Racing. - Pourquoi tarder alors ? - J'aime bien les choses claires, tranquilles. Je ne me prends pas la tête. Encore une fois, je suis très flatté que Strasbourg ait pensé à moi. C'est un challenge qui me plaît et il va falloir se mettre au boulot. Moi, j'aime bien les choses claires, tranquilles. Je ne me prends pas la tête. Je réfléchis et quand ce sera prêt, alors... Mais une décision sera prise avant la fin de la semaine. - C'est le salaire qui bloque, la durée du contrat, le nom de votre adjoint ? - C'est un tout. Ce sont des points qu'il faut régler, mais je n'en fais surtout pas une histoire d'argent. Vendredi, on en saura plus. Demain, je discute avec Marc (Keller) au téléphone et si tout se passe bien nous pourrons finaliser.
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Manu
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Kombouaré priorité de Strasbourg (journal l'équipe)
Antoine Kombouaré est en tête de liste pour succéder à Ivan Hasek, démissionnaire, au poste d'entraîneur de Strasbourg.
"On accorde la priorité à Antoine (Kombouaré)", a déclaré le président du club alsacien, Egon Gindorf, ajoutant que l'entraîneur de l'équipe réserve du Paris-SG devrait donner sa réponse d'ici la fin de la semaine. "Le club a une ou deux pistes en réserve en cas de refus de Kombouaré", a encore indiqué le président strasbourgeois.
Laszlo Boloni, que le Sporting Portugal ne souhaite pas conserver, a notamment été contacté, tandis que Gilbert Gress, qui faisait figure de favori dans un premier temps, a annoncé le week-end dernier qu'il se retirait de la course en raison des atermoiements des dirigeants strasbourgeois.
Kombouaré a par ailleurs eu un entretien téléphonique avec le futur entraîneur du Paris-SG, Vahid Halilhodzic, pour évoquer l'avenir du club de la capitale.
Il s'est dit "flatté" d'être le premier choix du président de Strasbourg, Egon Gindorf, pour remplacer l'entraîneur démissionnaire, Ivan Hasek. "Je ne cache pas que ma priorité, c'est Strasbourg. On va essayer d'avancer sur le plan des discussions. Normalement, demain en fin de journée, j'aurai donné une réponse. Cela risque de se passer vendredi", a-t-il ajouté.
L'ancien défenseur parisien, âgé de 39 ans, a précisé qu'il comptait demander un contrat de trois ans aux dirigeants alsaciens, avec qui il doit s'entretenir jeudi au téléphone
"On accorde la priorité à Antoine (Kombouaré)", a déclaré le président du club alsacien, Egon Gindorf, ajoutant que l'entraîneur de l'équipe réserve du Paris-SG devrait donner sa réponse d'ici la fin de la semaine. "Le club a une ou deux pistes en réserve en cas de refus de Kombouaré", a encore indiqué le président strasbourgeois.
Laszlo Boloni, que le Sporting Portugal ne souhaite pas conserver, a notamment été contacté, tandis que Gilbert Gress, qui faisait figure de favori dans un premier temps, a annoncé le week-end dernier qu'il se retirait de la course en raison des atermoiements des dirigeants strasbourgeois.
Kombouaré a par ailleurs eu un entretien téléphonique avec le futur entraîneur du Paris-SG, Vahid Halilhodzic, pour évoquer l'avenir du club de la capitale.
Il s'est dit "flatté" d'être le premier choix du président de Strasbourg, Egon Gindorf, pour remplacer l'entraîneur démissionnaire, Ivan Hasek. "Je ne cache pas que ma priorité, c'est Strasbourg. On va essayer d'avancer sur le plan des discussions. Normalement, demain en fin de journée, j'aurai donné une réponse. Cela risque de se passer vendredi", a-t-il ajouté.
L'ancien défenseur parisien, âgé de 39 ans, a précisé qu'il comptait demander un contrat de trois ans aux dirigeants alsaciens, avec qui il doit s'entretenir jeudi au téléphone
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Manu
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Manu
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Racing : Kombouaré arrive demain (journal l'alsace)
Le coach du CFA parisien a fait son choix : il veut venir au RCS, mais devait encore en discuter, hier soir, en famille. Il devrait s'engager pour deux ans demain à Strasbourg.
CETTE FOIS, le doute n'est plus permis. Même si Marc Keller et Antoine Kombouaré manient encore les précautions d'usage, l'arrivée à Strasbourg de l'ex-joueur parisien, coach de la réserve du PSG, ne fait plus aucun doute. Le Racing avait déjà fait de lui sa priorité absolue. Restait à attendre la réponse d'un technicien ouvertement contacté par Rennes et quelques autres (dont Châteauroux) et dont Vahid Halilhodzic, le futur entraîneur de Paris, souhaitait faire son adjoint. Après quelques jours de réflexion, Kombouaré, en fin de bail à Paris, a tranché. « Je veux venir à Strasbourg. Nous n'avons pas encore discuté de tous les aspects de mon contrat. Je mesure ma chance d'être ainsi convoité. Je suis flatté, honoré. J'éprouve une grande fierté. Sans prétention aucune, les gens reconnaissent la qualité de mon travail. Avec Strasbourg, nous avons envie de trouver un terrain d'entente. Il n'y a pas de raisons que nous ne le trouvions pas, même si rien n'est fait. » La chronologie des événements est même déjà établie. « Nous nous rappellerons ce jeudi entre 16 et 17 h, précise Marc Keller, Antoine vient juste de me dire (Ndlr : hier à 18 h 30) qu'il souhaite nous rejoindre. Nous réglerons les 3 ou 4 derniers détails par téléphone. Et si tout va bien, il paraphera vendredi après-midi à Strasbourg un contrat de deux ans. » Kombouaré ne s'éternisera cependant pas en Alsace. « Je suis payé par le PSG jusqu'au 30 juin et mon équipe joue samedi son dernier match de CFA. Ensuite, nous disputerons mardi la demi-finale nationale le mardi 27 et, je l'espère, la finale le vendredi 30. Ma fin de saison sera palpitante. Mais avec le Racing, je ne vais pas jouer au chat et à la souris. Si nous tombons d'accord, nous nous mettrons vite au boulot. Aujourd'hui, de nombreux joueurs strasbourgeois sont dans l'incertitude, comme beaucoup de Parisiens le sont avec la venue de Vahid Halilhodzic. Mais parler maintenant est sans objet. Nous étudierons vite les cas des uns et des autres. A tout problème, il y a une solution. A titre personnel, je me sens déjà redevable vis-à -vis de Marc Keller d'avoir pensé à moi. Ça va décupler ma motivation. »
Bernard Guignedoux adjoint
Son « bon feeling avec les dirigeants strasbourgeois » a guidé son choix. « Ce feeling prime tout. Je n'en fais pas une question d'argent ou de prestige. J'aime la clarté. Ça fait 20 ans que je suis dans le foot pro. Ma carrière de joueur m'a aidé à passer de l'autre côté de la barrière. Pour Strasbourg, c'est un challenge de m'engager. Ça l'est pour moi d'arriver en Ligue 1. Je vais être jugé sur les résultats. J'aime ça. J'ai senti chez mes interlocuteurs que je pourrai compter sur eux même dans les moments difficiles. Il me faudra gagner la confiance des Alsaciens, connaisseurs du foot, et c'est normal. Mais je sais qu'on peut être très bien accueilli en Alsace si on prône des vertus liées au travail et si on gagne cette confiance. » Sauf improbable retournement de tendance, Antoine Kombouaré s'engagera avec un adjoint qu'il a déjà choisi : son compère Bernard Guignedoux (56 ans), ex-pro à Paris et Monaco notamment, entraîneur de l'équipe parisienne de CFA 2. Hier, le Néo-Calédonien devait encore réussir un ultime examen de passage : celui de sa famille. « Avec ma femme et mes deux enfants, Yann (19 ans) et Sandra (16 ans), nous nous sommes toujours serré les coudes. L'offre strasbourgeoise m'ouvre, à 40 ans bientôt, de nouvelles perspectives. Mais ce ne sont plus des enfants qu'on peut trimballer comme ça. Ils sont épanouis à Paris. Mon fils a prévu d'y rester, pour ses amis (es). Je vais tout faire pour le convaincre de nous suivre. » Un mois et demi après l'annonce du départ d'Ivan Hasek (le 12 avril), le Racing a trouvé son successeur. Le grand chantier de l'équipe va pouvoir commencer.
Antoine Kombouaré connaît bien Philippe Thys, le recruteur du Racing, avec lequel il a évolué à Toulon et Nantes. L'envie strasbour- geoise de l'engager a fait pencher la balance. « Le discours de Marc Keller (notre photo), que j'avais côtoyé comme joueur, m'a séduit. Celui des dirigeants aussi. »
AFP
CETTE FOIS, le doute n'est plus permis. Même si Marc Keller et Antoine Kombouaré manient encore les précautions d'usage, l'arrivée à Strasbourg de l'ex-joueur parisien, coach de la réserve du PSG, ne fait plus aucun doute. Le Racing avait déjà fait de lui sa priorité absolue. Restait à attendre la réponse d'un technicien ouvertement contacté par Rennes et quelques autres (dont Châteauroux) et dont Vahid Halilhodzic, le futur entraîneur de Paris, souhaitait faire son adjoint. Après quelques jours de réflexion, Kombouaré, en fin de bail à Paris, a tranché. « Je veux venir à Strasbourg. Nous n'avons pas encore discuté de tous les aspects de mon contrat. Je mesure ma chance d'être ainsi convoité. Je suis flatté, honoré. J'éprouve une grande fierté. Sans prétention aucune, les gens reconnaissent la qualité de mon travail. Avec Strasbourg, nous avons envie de trouver un terrain d'entente. Il n'y a pas de raisons que nous ne le trouvions pas, même si rien n'est fait. » La chronologie des événements est même déjà établie. « Nous nous rappellerons ce jeudi entre 16 et 17 h, précise Marc Keller, Antoine vient juste de me dire (Ndlr : hier à 18 h 30) qu'il souhaite nous rejoindre. Nous réglerons les 3 ou 4 derniers détails par téléphone. Et si tout va bien, il paraphera vendredi après-midi à Strasbourg un contrat de deux ans. » Kombouaré ne s'éternisera cependant pas en Alsace. « Je suis payé par le PSG jusqu'au 30 juin et mon équipe joue samedi son dernier match de CFA. Ensuite, nous disputerons mardi la demi-finale nationale le mardi 27 et, je l'espère, la finale le vendredi 30. Ma fin de saison sera palpitante. Mais avec le Racing, je ne vais pas jouer au chat et à la souris. Si nous tombons d'accord, nous nous mettrons vite au boulot. Aujourd'hui, de nombreux joueurs strasbourgeois sont dans l'incertitude, comme beaucoup de Parisiens le sont avec la venue de Vahid Halilhodzic. Mais parler maintenant est sans objet. Nous étudierons vite les cas des uns et des autres. A tout problème, il y a une solution. A titre personnel, je me sens déjà redevable vis-à -vis de Marc Keller d'avoir pensé à moi. Ça va décupler ma motivation. »
Bernard Guignedoux adjoint
Son « bon feeling avec les dirigeants strasbourgeois » a guidé son choix. « Ce feeling prime tout. Je n'en fais pas une question d'argent ou de prestige. J'aime la clarté. Ça fait 20 ans que je suis dans le foot pro. Ma carrière de joueur m'a aidé à passer de l'autre côté de la barrière. Pour Strasbourg, c'est un challenge de m'engager. Ça l'est pour moi d'arriver en Ligue 1. Je vais être jugé sur les résultats. J'aime ça. J'ai senti chez mes interlocuteurs que je pourrai compter sur eux même dans les moments difficiles. Il me faudra gagner la confiance des Alsaciens, connaisseurs du foot, et c'est normal. Mais je sais qu'on peut être très bien accueilli en Alsace si on prône des vertus liées au travail et si on gagne cette confiance. » Sauf improbable retournement de tendance, Antoine Kombouaré s'engagera avec un adjoint qu'il a déjà choisi : son compère Bernard Guignedoux (56 ans), ex-pro à Paris et Monaco notamment, entraîneur de l'équipe parisienne de CFA 2. Hier, le Néo-Calédonien devait encore réussir un ultime examen de passage : celui de sa famille. « Avec ma femme et mes deux enfants, Yann (19 ans) et Sandra (16 ans), nous nous sommes toujours serré les coudes. L'offre strasbourgeoise m'ouvre, à 40 ans bientôt, de nouvelles perspectives. Mais ce ne sont plus des enfants qu'on peut trimballer comme ça. Ils sont épanouis à Paris. Mon fils a prévu d'y rester, pour ses amis (es). Je vais tout faire pour le convaincre de nous suivre. » Un mois et demi après l'annonce du départ d'Ivan Hasek (le 12 avril), le Racing a trouvé son successeur. Le grand chantier de l'équipe va pouvoir commencer.
Antoine Kombouaré connaît bien Philippe Thys, le recruteur du Racing, avec lequel il a évolué à Toulon et Nantes. L'envie strasbour- geoise de l'engager a fait pencher la balance. « Le discours de Marc Keller (notre photo), que j'avais côtoyé comme joueur, m'a séduit. Celui des dirigeants aussi. »
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je suis dépité
un mélange entre la colere, la frustration, l'impuissance .....
le racing ne prend pas du tout la forme que j'esperai
alors bon voyons ce que ca va donner ....... il ne me reste que ca, c'est a dire ce que je fais depuis 10 ans .... ATTENDRE
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Du Football dans mes veines
Le RC Strasbourg dans mon coeur
Les ciels et blancs seront vainqueurs
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