[04/05] 18ème J: Metz / RCS - 1/0

L'actualité du Racing en championnat
Verrouillé
matt57

Message par matt57 »

Au secours, il revient
Mamadou Niang va mieux, Strasbourg aussi. Le lien semble évident. Comme un message d'avertissement pour Metz, le club qui a relancé l'attaquant sénégalais.


Arrive le derby de l'Est et, avec lui, une équipe strasbourgeoise requinquée. Il y a deux mois, elle a changé d'entraîneur; le raccourci sauterait donc aux yeux: Jacky Duguépéroux ayant pris la suite d'Antoine Kombouaré, la thèse du choc psychologique vieille comme le Racing expliquerait la métamorphose. Il faut aussi consulter les feuilles de match et les fiches de poids des joueurs pour ajouter ce constat à  un autre: Strasbourg va mieux depuis que Mamadou Niang va mieux. Il joue. Et en plus, il marque.

Chez lui, comme chez tout athlète de haut niveau, la courbe des performances épouse la courbe de forme. Un jour, la balance indiquant l'évidence d'une surcharge pondérale (87 kg contre 79 kg aujourd'hui!), Kombouaré a envoyé Niang à  Medrano, comme d'autres vont au sauna: pour perdre du poids. "Contrairement à  ce que l'on croit, j'y suis allé volontiers, affirme l'intéressé. Ce n'était pas une sanction.> D'ailleurs, aujourd'hui encore, Mamadou Niang ne cache pas sa gêne à  l'égard de l'entraîneur congédié: "Il a tout fait pour m'aider, je me sens toujours fautif.>

A Ajaccio, premier match de la nouvelle ère Duguépéroux, Niang revenu à  un niveau correct a donc retrouvé le chemin des filets, après une longue, longue période de disette. Depuis, il a aussi marqué à  Troyes, en Coupe de la Ligue, face à  Auxerre, à  Lille. La Meinau aurait-elle retrouvé son héros du début de saison dernière, complice efficace de Daniel Ljuboja avant le départ du Serbo-Monténégrin pour le Paris SG, et un temps animateur en tête du classement des buteurs? "Les gens pensaient que j'allais toujours jouer comme en début de saison dernière. Je peux comprendre leur déception, leur colère même, vu l'argent que nous gagnons. Mais je ne suis pas infaillible. Comme tout le monde, j'ai quelques soucis. Ça ne se passe pas toujours comme on le voudrait. Personne n'était bien, en début de saison.> Aujourd'hui? "Une équipe, ça marche au plaisir et au collectif. Maintenant, nous avons les deux.>

Voilà  Metz prévenu: au secours, Niang revient! Et, lorsque Niang revient, les retrouvailles ne sont jamais anodines. "J'aime retrouver les stades où j'ai joué>, dit-il. Sauf au printemps dernier, où une blessure avait fini par avoir raison de sa pugnacité, en début de deuxième mi-temps, en ce stade Saint-Symphorien qu'il avait eu le temps d'apprivoiser en deux temps, trois mouvements, la saison précédente. "Ce match, je n'aurais pas dû le jouer. Mais je voulais tellement aider l'équipe...> Neuf mois plus tard, reparti sur des bases qu'il souhaite solides, ravi du binôme qu'il forme avec Mickaël Pagis pour lui offrir dans l'espace ces ballons dont il raffole, Mamadou Niang rêve donc, cette fois, d'un retour gagnant. 1-0, but de Meniri, la saison dernière. Quel score cette fois-ci? "Metz n'a pas droit à  l'échec, a-t-il constaté. Nous non plus. Pour Strasbourg, il n'est pas question de rentrer bredouille.>

Trois semaines après être repassé par le stade de l'Aube, où Faruk Hadzibegic ne comptait pas sur lui en janvier 2003, Niang a tracé son chemin: à  Troyes, son doublé avait permis à  Strasbourg de poursuivre l'aventure en Coupe de la Ligue. "A Metz, dit-il, la meilleure manière de faire plaisir à  Jean Fernandez est que je donne le maximum. Quitte à  marquer."


LE REPUBLICAIN LORRAIN DU JOUR
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Pinon
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Message par Pinon »

Le groupe messin
Wimbée, Agassa - Caillet, Méniri, Pompière, Signorino, Allegro - Nicaise, Leca, Proment, Obraniak, Ribéry - Socrier, Tum, Renouard, Gueye

Blessés : Borbiconi (fracture côte), Avezac (genou), Djiba (genou), Beria (rééducation), Mihoubi (pied)
Suspendu : Aucun
Choix de l'entraîneur : Cherreau, Mangane, Bocandé, Dinet, Gorius, Humbert, Mom.N'Diaye, Contout
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argueti
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Message par argueti »

OBJECTIF DU JOUR : NE PAS RELANCER METZZZZZZZZZZZZZ :!: :evil:
L'histoire est en marche ...
alain
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Message par alain »

salut les saucisses-choucroute-raifort :P
comme certains se plaignent qu'il y a pas de lorrains qui passent sur le forum avant le match de ce soir,je viens vous faire un petit coucou 8)

On a besoin des 3 points et fernandez veut 23 points a l'issue des matchs aller et il compte surement pas prendre les 3 points a Paris,alors je pense qu'il a mijote un plan special pour la venue de strasbourg ;)

desole pour vous :twisted:


J'ai habite 19 ans a la krutenau et j'ai passe des sacres bons moments a la meinau !! Beaucoup de bons souvenirs :)

bonne chance pour le match ;)
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Message par foreveralsacien »

Ce soir à  Metz, pour le derby de l'Est, le Racing tâchera de réussir ce qu'il n'a pas su faire lors de ses neuf premières sorties de l'année. A savoir gagner, enfin, hors de ses bases. Face à  des Lorrains en chute libre, les Alsaciens tiennent peut-être le bon bout. A voir...

C'est dans l'air du temps. Malgré la grisaille et la froidure de cette fin d'automne, les Strasbourgeois ont connu une semaine ensoleillée. Heureux de vivre, contents de taquiner le ballon, déterminés à  l'idée de disputer ce « vrai derby de l'Est », dixit Duguépéroux, ils ont imperceptiblement acquis un début de certitude.
Il faut croire que, ce soir à  Saint-Symphorien, le coup paraît jouable. En neuf journées à  l'extérieur, les Bleus n'ont pas encore eu l'occasion de pousser la chansonnette sous la douche. La victoire, entrevue de manière éphémère du côté de Caen, Ajaccio, Marseille et dernièrement Lille, s'est à  chaque fois dérobée sur leurs pieds.

« Le moment ou jamais »

« C'est le moment de concrétiser notre redressement, dit Yacine Abdessadki. Surtout qu'on vient de perdre deux points à  domicile contre Sochaux, même si le match nul est logique. On n'a pas pour habitude de se focaliser sur le classement. Là , je dois dire qu'on y a porté une attention particulière. Tout c'est resserré jusqu'à  la dixième place. Il s'agit d'en profiter. C'est le moment ou jamais. »
Historiquement peu inspiré sur la pelouse messine (lire ci-contre), le Racing est donc décidé à  forcer sa nature. Face à  des Lorrains qui dérapent inexorablement ces dernières semaines sur la pente fatale, l'affaire est censée mieux s'emboucher qu'à  l'accoutumée. Du coup, le discours se veut plus incisif.

« Plus gourmands »

« Début octobre, l'équipe se traînait à  la dernière place, loin des premiers non relégables, alors que Metz était installé dans le haut du panier, rappelle Jacky Duguépéroux. On a réussi à  recoller, à  nous d'être plus gourmands. L'objectif est de prendre quatre points d'ici la trêve. Avant de penser à  la venue de Rennes, il s'agit déjà  de ne pas perdre à  Metz. »
Ne pas perdre est une chose. Gagner en devient une toute autre quand on connaît l'incapacité strasbourgeoise à  traverser une rencontre de bout en bout sans desserrer l'étau. Si ce n'est l'attaque qui tique, comme à  Marseille, c'est la défense qui s'oublie, à  l'image de la sortie lilloise...
A Metz, donc, le salut passera par une attention de tous les instants, notamment face au trublion Ribéry, et un réalisme à  toute épreuve. Reste aussi à  trouver ce petit grain de folie, absent samedi dernier contre Sochaux (0-0), enclin à  enflammer une partie qui s'annonce plutôt hermétique.
« J'espère que les équipes vont se lâcher, dit Duguépéroux. Que ce soit le Racing ou Metz, on a plus besoin de gagner que de ne pas perdre. Mais c'est quand même à  eux de faire le jeu. A nous de bien défendre et de profiter des situations de contre qui ne manqueront pas de se présenter. »
C'est dans l'air du temps. Ce soir, le Racing est susceptible de mettre un terme à  21 ans d'insuccès en terre mosellane. Assurément la meilleure des manières pour passer la Noël au chaud !
Et si c'etait la bonne... titre les DNA!
Ca doit etre la bonne! Allez Racing!
Alsacien pour toujours
matt57

Message par matt57 »

Un peu plus qu'un derby
Querelle de voisinage à  Saint-Symphorien. Querelle de famille aussi, entre Messins et Strasbourgeois décidés à  ne pas passer les fêtes de fin d'année ensemble, en situation de précarité.

Méfions-nous des derbys de l'Est de fin d'année: parfois, ils sentent la poudre. Les narines de Nelly Viennot, arbitre assistante de son état, se souviennent sûrement d'un récent Strasbourg - Metz d'un siècle finissant. En un jeudi 21 décembre 2000 de très sinistre mémoire, un jet de pétard à  proximité de la dame au drapeau avait en effet mis un terme prématuré à  une soirée mal embarquée pour les Messins, puis au mandat de Joël Muller quelques jours plus tard. Alors, oui, méfions-nous de ce derby de l'Est de fin d'année: la maison étant de nouveau gouvernée, Jean Fernandez semble épargné par une mauvaise surprise, donc le FC Metz à  l'abri d'une immense ineptie; son équipe, en revanche, s'expose à  un hiver inconfortable si, ce soir, à  Saint-Symphorien, elle ne vient pas à  bout de son voisin alsacien.

Pour l'heure, Metz paraît plus près de passer la trêve la tête hors de l'eau que la tête sous l'eau. Une victoire, pour sa dernière apparition domestique de l'année civile, le placerait même à  l'abri, quoi qu'il arrive la semaine prochaine, à  Paris le concernant. Mais tout autre résultat l'exposerait à  une situation de précarité semblable à  celle de l'an dernier. Au final, passer les fêtes de fin d'année sur un fil n'avait pas empêché les Lorrains de prolonger leur bail en Ligue 1; tant qu'à  choisir, pourtant, et à  tenir la promesse d'un "maintien confortable>, autant ne pas jouer avec le feu. Mais, leur dernière victoire remontant à  la 12e journée, face à  Bastia (2-0), et même à  ses prémices (buts inscrits au cours des cinq premières minutes), les Messins n'ont pas eu besoin de longs discours pour intégrer l'urgence d'un succès: "Strasbourg est un concurrent direct et nous savons à  quoi nous expose un résultat négatif, témoigne Jean Fernandez. Alors, oui, bien sûr que les joueurs sont conscients de la nécessité d'enlever trois points.>

Ont-ils les moyens de cette ambition? A voir... Le triple constat d'une perte d'influence des leaders du début de saison, d'une baisse de régime collective et d'une tendance fâcheuse à  encaisser des buts idiots semble difficilement devoir se marier avec les exigences d'un marathon qui touche à  sa fin: sans doute faut-il en finir avec 2004, pour mieux repartir en 2005. Mais, sur un match, c'est bien connu...

Au moment où Metz apparaît en perte de vitesse, Strasbourg semble suivre une courbe contraire, ce qui n'était pas difficile vu son début de saison ponctué d'une première victoire seulement survenue à  la onzième journée. A priori, ça n'arrange rien. "Je me méfie d'une équipe en pleine dynamique, souligne ainsi Jean Fernandez, capable de provoquer la décision à  tout moment grâce à  Niang ou Pagis, et doté de joueurs pétris de qualités comme le jeune Arrache.> Son confrère strasbourgeois revenu aux affaires tient, quant à  lui, à  tenir la feuille de route prévoyant d'avoir quitté les trois dernières places à  la trêve. "Les deux équipes ont besoin de gagner, plutôt que de ne pas perdre>, résume Jacky Duguépéroux, une semaine après une première querelle de voisinage non réglée. Mais, ajoute-t-il, "Strasbourg - Sochaux (0-0) n'est pas un derby. Le derby de l'Est, le vrai, c'est Metz - Strasbourg." Cette année, sans sentir la poudre, c'est même un peu plus que ça.


Sylvain VILLAUME.


Et voici l'article principale du républicain lorrain de Samedi
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argueti
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Message par argueti »

Une ardoise à  effacer

Revenu à  quatre points d'un FC Metz qui l'a battu deux fois la saison passée, le Racing tentera de remporter le derby ce soir (20 h) à  Saint-Symphorien où il ne s'est plus imposé en championnat depuis 21 ans.
L'un, le FC Metz, est sur une pente savonneuse (5 matches sans victoire et 3 points sur 15). L'autre, le Racing Strasbourg, la remonte depuis deux mois et le premier match de Jacky Duguépéroux à  sa tête. En huit journées, les Racingmen ont récolté trois fois plus de points (12 contre 4) que lors des neuf premières sous la baguette d'Antoine Kombouaré. Mais cette embellie durable ne leur a pas encore permis, sinon de façon fugace après leur succès sur Auxerre le 20 novembre lors de la 15e journée (au goal-average), de s'extirper de la zone de relégation. Certes, le Racing a réduit son retard sur le peloton. Il a même raccroché les roues, mais pour se mettre à  l'abri d'un nouveau coup de vent et, donc, d'une possible défaillance, il lui faut maintenant faire son trou dans ce ventre que l'on dit mou. « Quatre points à  Metz samedi et contre Rennes à  la Meinau le suivant, ce serait l'idéal », calcule « Dugué », « ça nous permettrait d'atteindre la barre des vingt points à  la trêve. L'objectif est toujours de ne pas se laisser décrocher. Mais pour cela, il faudra éviter tout relâchement. Metz et Bastia ont réalisé deux supers débuts de saison, mais sont aujourd'hui en difficultés. Ce derby à  Saint-Symphorien sera d'autant plus particulier qu'il mettra aux prises deux candidats au maintien. Le stade sera plein. J'espère que les deux équipes vont se lâcher. Elles ont plus besoin de gagner que de ne pas perdre. Mais à  la limite, c'est aux Messins de faire le jeu. »

« Le moment ou jamais »

Des Lorrains en perte de vitesse et désireux de rebondir, à  l'instar de leur stratège Franck Ribéry qui a bien failli évoluer dans le camp d'en face cette saison (voir ci-dessous). « Après notre excellent début de championnat (Ndlr : leader unique après 4 journées — 3 victoires et 1 nul), nous ne nous sommes pas pris pour ce que nous n'étions pas. Mais nous avons parfois laissé échapper des points bêtement, comme contre Saint-Etienne où nous avons mené deux fois chez nous sans pouvoir l'emporter. On le voit bien : aucun club ne lâche. Chacun a ses objectifs : le maintien pour les uns, l'Europe pour les autres, la Ligue des Champions pour les meilleurs. Il n'y a pas de match facile. Strasbourg a repris confiance, c'est une bonne équipe sur laquelle nous n'avons plus que quatre longueurs d'avance. Je sais que ce derby est très attendu. J'aimerais que nous assurions les trois points pour reprendre nos distances. » Cet écart de quatre unités (au lieu des 9 après 9 journées), le Racing espère le réduire pour faire fructifier ce que Yacine Abdessadki qualifie de « bon point » contre Sochaux (0-0). « Il est rare de jouer deux derbies en une semaine », observe l'international marocain du RCS. « Pour la première fois, nous avons vraiment regardé le classement. Pour achever de nous rassurer sur notre progression et notre avenir, notre première victoire à  l'extérieur serait la bienvenue. Elle nous propulserait hors de la zone de relégation. Face à  un FC Metz dans une mauvaise spirale, ce n'est pas le moment ou jamais, mais presque. Ceci dit, pas question de faire de complexe de supériorité. Jusqu'à  preuve du contraire, Metz a toujours quatre points de plus que nous. » Et combien ce soir ? C'est tout l'enjeu et l'attrait de ce 49e derby de l'Est pour un RCS qui n'a plus gagné à  Saint-Symphorien en championnat depuis le 22 octobre 1983 (1-0).
Se battre, et surtout pas les aider a se relancer !!!!
Ribéry, milieu de choix

Alors qu'il était proche du RCS au printemps, l'ancien Brestois a finalement signé à  Metz dont il fait le bonheur.
Il a failli s'engager en mai au Racing, même s'il dément avoir donné sa parole. Mais c'est finalement en Lorraine que Franck Ribéry, nouvel international espoir grâce à  sa progression exponentielle depuis six mois, s'épanouit sous le maillot grenat d'un FC Metz tout heureux d'avoir su attirer le meilleur passeur de National en 2003-2004 (« j'ai distillé une vingtaine de passes décisives l'an passé avec Brest ») et de Ligue 1 en 2004-2005 (8 passes). À Strasbourg, on n'a guère goûté le revirement de celui qui a reçu en août le trophée de meilleur joueur de L 1. En fin de saison passée, la cellule recrutement du RCS, conduite par un certain Jacky Duguépéroux, lui avait fait une offre salariale ferme sur trois ans. Le club bas-rhinois avait ainsi été le premier à  se positionner. Mais aujourd'hui, on murmure du côté de la Meinau que Ribéry, d'accord sur le principe, a fini par changer d'avis et fait le mort, sans même répondre au portable. Jeudi matin d'ailleurs, à  l'évocation du sujet, Jacky Duguépéroux a choisi la dérision pour l'éluder. « J'étais recruteur à  l'époque, je suis entraîneur aujourd'hui. J'ai changé de casquette (sourire). C'est l'atout offensif n°1 de Metz, à  la fois passeur et finisseur. Nous le surveillerons, mais sans nous focaliser sur lui. » Désormais dans le viseur de grands clubs alors qu'il est sous contrat au FCM jusqu'en 2007, le meneur lorrain présente une version différente de celle du club alsacien. « J'ai bien rencontré Jacky Duguépéroux, il me voulait absolument et, c'est vrai, c'était presque fait. Mais je n'ai jamais donné ma parole à  Strasbourg. J'ai eu d'autres contacts en L 1 (Nantes, Lens, Caen, Lille et Metz) et ma rencontre avec Jean Fernandez, que mon agent connaissait très bien, a été décisive. Le coach (Fernandez) ne m'a pas promis une place de titulaire, mais m'a dit que je jouerais si je le méritais. Il m'a convaincu. Strasbourg est un bon club, mais Metz donne souvent sa chance aux jeunes. Je me suis dit que la mienne viendrait. Avec le recul, je suis fier et heureux de jouer à  Metz. » Les récents bruits de couloir autour de sa personne lui ont pourtant suggéré quelques paroles malheureuses il y a un mois. Au point de déclencher l'ire du président Carlo Molinari, ulcéré de voir un joueur issu du National (Boulogne, Alès et Brest), arrivé l'été passé, songer déjà  à  voler vers d'autres cieux. « Ce n'était pas ça », rectifie-t-il, « mais quand on se sait sur les tablettes de grands clubs, on est forcément flatté. C'est ce que j'ai dit, rien d'autre. Il y a six mois, personne ne me connaissait. Je sais d'où je viens (Ndlr : il a été viré du centre de formation de Lille à  16 ans où il côtoyait notamment Moussilou et Cheyrou, a connu les soucis financiers d'Alès et a même travaillé durant deux mois avec son père dans une entreprise de terrassement il y a deux ans et demi). Mais quand je vois où j'en suis aujourd'hui, j'avoue mon bonheur et même ma fierté. »
Dommage ...
L'histoire est en marche ...
Manu
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Message par Manu »

alain a écrit :salut les saucisses-choucroute-raifort :P
comme certains se plaignent qu'il y a pas de lorrains qui passent sur le forum avant le match de ce soir,je viens vous faire un petit coucou 8)

On a besoin des 3 points et fernandez veut 23 points a l'issue des matchs aller et il compte surement pas prendre les 3 points a Paris,alors je pense qu'il a mijote un plan special pour la venue de strasbourg ;)

desole pour vous :twisted:


J'ai habite 19 ans a la krutenau et j'ai passe des sacres bons moments a la meinau !! Beaucoup de bons souvenirs :)

bonne chance pour le match ;)
Merci d'être passé on commencait à  s'inquiéter !!! :roll:

Ce soir moment historique on gagne à  Metz ce qui vous fait malheureusement passé derriére nous et vous condamne à  la L2... (non je rigole les 2 corses descendent + istres !)

Désolé :lol:
elkondor
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Message par elkondor »

Je sais pas vous mais moi ce match me fait peur.
Généralement quand on se déplace pour gagner on se prend souvent une belle branlée voir on est complètement ridicule.
Je crois que le RS a malheureusement le don de relancer les équipes en difficulté comme le PSG cette année ou Guinguamp l'année dernière :cry:
Bref face à  ce vent d'optimisme je sent bien soit le 4-0 pour Metz ou un épique 3-2 avec un but de Tum à  court de forme dans les arrêts de jeux!

Bon si après ça je gagne pas le prix du forumiste le plus négatif... ;)
Manu
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Message par Manu »

Faut gagner ce soir !


AUX ARMESSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS


:twisted:
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