[04/05] 25ème J: RCS / Caen - 5/0

[L2]

Vu sur le site du SM Caen:


UNE TRISTE SOIREE: DEFAITE 5-0
Le samedi 5 février 2005
News des Pros

Les 2 finalistes de la Coupe de la Ligue se retrouvaient ce soir à  la Meinau pour une rencontre importante dans l'objectif du maintien.
Sur un terrain en partie gelé, les strasbourgeois se montrent d'entrée de jeu plus à  l'aise. Dès la 8ème minute, après 3 corners consécutifs, Pagis, esseulé au second poteau, d'une superbe reprise de volée trompe Planté (1-0).
Les caennais semblent perdus sur le terrain, le coach décide de repositionner ses joueurs et remplace Dugardein par Sarr (21ème). Quelques minutes plus tard, Lacour tacle sèchement Lemaître qui sort sur la civière, il est remplacé par Matic.
Les strasbourgeois ont la maîtrise du ballon, Abdessadki récupère un ballon qui traîne dans la surface, frappe, Planté ne peut que repousser le ballon, le strasbourgeois poursuit et pousse la balle dans les filets (2-0 ; 28ème).
Nous avons l'impression de revivre le même scénario que lors du match à  Saint-Etienne où la réussite est du côté adverse.
Sur ce terrain plus que difficile, les caennais n'arrivent pas à  sortir correctement la balle, le match de Monaco est bien loin.
Malgré une tentative de Mazure après un bon centre de Sarr, les caennais passent rarement la moitié du terrain. 5 minutes avant la pause, les alsaciens marque le 3ème but grâce à  Niang sur un corner de Farnerud. Les 2 équipes rentrent aux vestiaires sur ce score logique tellement la différence est grande entre les 2 formations.
A la reprise, les caennais semblent abattus et résignés. De leur côté les strasbourgeois se contentent de gérer leur avance et profitent des moindres brèches, à  la 56ème, Niang déborde et centre, Pagis s'arrache et trompe une nouvelle fois Planté (4-0).
Il n'y a plus qu'une équipe sur le terrain, les caennais ne jouent plus et on les sent abattus.
A 7 minutes de la fin de la rencontre, Pagis enfonce un peu plus des normands bien pâles en inscrivant son troisième but personnel.
La route pour le maintien est encore longue pour les joueurs de Remy.

[lolo]

On a gagné 5-0 c'ést tès bien.

Mais il faut pas rêvé, qu'on va faire la même score lors de la finale de la coupe de ligue le 30 Avril, ça va être un match difficile.

Mais avant la finale, Il y a encore plein match, pour sauvé notre peaux en ligue 1.

Seul regret de la soirée: jack.ub90 n'a toujours pas pris le temps de s'acheter la dernière édition du Petit Larousse (même illustré)...
et du Bescherelle...

[lolo]

Comme dit dans le direct, lol est maintenant interdit de forum et de FBA pendant les matchs c'est lui le porte poisse

OK.

Pour le prochain, je viens à  la Meinau. D'accord?

[foreveralsacien]

Et dire qu'on a failli prendre Bakari......

[foreveralsacien]

Le Racing s'est régalé ce samedi soir sur sa pelouse. Face à  Caen, concurrent direct pour le maintien et futur adversaire au Stade de France, les hommes de Jacky Duguépéroux ont frôlé la perfection.
Avec un Mickaël Pagis, auteur d'un magnifique triplé, à  la baguette.

Il suffisait de voir les visages dans les vestiaires. Sereins, apaisés et fiers. Peu après le coup de sifflet final, les joueurs Strasbourgeois avaient le faciès radieux et le sentiment du travail bien fait. Difficile d'être mécontent, c'est vrai, après une telle démonstration.
Ce samedi soir, le Racing s'est fait plaisir comme jamais cette saison. Il a produit du jeu, s'est créé beaucoup d'occasions, en a concrétisé beaucoup aussi et a terminé le match avec son but inviolé. Un tableau idéal et qui confirme le net regain aperçu face à  Saint-Etienne en milieu de semaine. Un regain qui permet de redécoller au classement et de respirer à  nouveau.

Caen étouffé

« Ce match sera un tournant », avait prévenu Jacky Duguépéroux après la qualification pour la finale de la coupe de la Ligue. Ses joueurs en avaient conscience et ont donc abordé la rencontre face aux Caennais, qui restaient sur quatre points pris lors des deux dernières journées, de la meilleure manière possible. En inscrivant un but après 8 minutes de jeu et en stoppant net toute envie Normande de s'aventurer dans la surface de Stéphane Cassard.
Séreux de bout en bout, le Racing a très vite pris du plaisir à  jouer ce match-là . Et comme il a été réaliste devant le but, il s'est aussi très rapidement simplifié la tâche. Pagis marquait le premier but, suivi par Yacine Abdessadki (28e) puis Mamadou Niang (39e). Le tout avant la pause.

« J'en redemande ! »

« Notre premier but inscrit très vite les a destabilisés et les a contraint à  changer de système de jeu, analysait Duguépéroux. Il y a eu plus d'espaces pour nous ensuite. » Le récital Mickaël Pagis pouvait donc commencer. Avec ce premier but mais aussi une large participation au jeu offensif, un deuxième but sur un service de Niang (56e), une participation au jeu toujours aussi intelligente et un troisième but sur un décalage de Pascal Camadini (83e).
« Il y a bien longtemps que je n'avais pas pris autant de plaisir sur un terrain, confiera le triple buteur, aux micros. Le foot est tellement simple quand toute l'équipe joue vers l'avant. J'en redemande ! » Le public de la Meinau, venu en nombre, en redemande aussi...
Ce succès est avant tout crucial dans la lutte pour le maintien. Face à  un concurrent direct, le Racing a engrangé trois points précieux et a redonné une allure différente à  son goal average (-5). Au soir de cette 25e journée, il est désormais 16e avec la perspective d'accueillir, lors de la prochaine journée, le Paris Saint-Germain. Pour un choc qui promet de faire rugir de plaisir la Meinau.

SO!!!

[Manu]

D'une seule voix

On prend (presque) les mêmes et on recommence. Disposés en 4-1-3-2, les Strasbourgeois ont (collectivement) surclassé les Caennais. S'ils continuent dans cette voie, à  jouer d'une seule voix en oubliant leurs complexes au vestiaire, ils mériteront leur maintien.

CASSARD () : Un match très propre. Malgré le peu de ballons joués, il est resté vigilant sur cette sortie devant Mazure (20e') ou sur cette frappe du même Caennais (36e'). Et comme il attire la chance, la frappe de Mazure (encore) se contentera de chatouiller le haut de sa transversale. Encore une sortie décisive dans les pieds de Mazure (57e'), puis un réflexe sur une tête de Ben Askar (89e') et le gardien strasbourgeois aura complété sa bonne soirée.
LACOUR () : Un tacle sévère, quoique régulier, sur Lemaître obligé de sortir. Il a été intransigeant ensuite face à  Matic et a bien fermé son couloir.
HAGUI () : Une soirée tranquille, même s'il se laisse surprendre sur un long ballon de Sarr (36e'). Un souci de la relance. Un bon match sans gros souci.
DEVAUX () : Il était encore au mastic. Donc, il s'est battu, a taclé et a sauté. Un samedi soir classique de L 1 pour lui. Donc, un match costaud.
BOKA () : Et voilà , Boka se trouve et tout arrive. Dufer en a été la victime hier au point au point de devenir invisible. L'Ivoirien s'est même permis quelques belles montées sur son côté gauche. A lui de devenir régulier.
ABDESSADKI () : Une passe, superbe et décisive, pour Pagis. Après, il bat lui-même Planté en deux temps. Un gros esprit d'entreprise, une grosse débauche d'énergie défensive pour fermer au maximum (avec Lacour) le couloir droit du Racing. Seube a (vraiment) passé une mauvaise soirée alsacienne.
KEITA () : Bassila blessé - « J'ai ressenti une douleur à  mon genou droit » -, c'est Sidi Keita qui sera le libero du milieu de terrain strasbourgeois. Et le gamin, si l'on excepte une petite saute d'humeur évitable sur Zubar (27e') - Duguépéroux en a même fait des gros yeux -, s'en est très bien sorti. Il ne presse pas, il étouffe. Donc, un gros abattage pour embêter Deroin principalement de s'exprimer et des relances simples en première intention. Du vrai bon boulot. Remplacé par CAMADINI (73e). Il a bien fêté son 201e match en L 1.
JOHANSEN () : Quand il faut courir après la balle, il court. Quand il faut orienter le jeu vers l'avant, il oriente. Quand il faut, etc.. Donc, encore une bonne sortie pour lui et de la complémentarité avec ses copains du milieu.
FARNERUD () : Il est dans le coup sur deux des cinq buts du Racing. Meneur de jeu, il donne l'impression de donner du talent au ballon. C'est un régal. Et sa précision est utile sur les coups de pied arrêtés. Il est (déjà ) indispensable. Remplacé par LE PEN (80e'). Une passe décisive pour lui à  peine entré en jeu.
NIANG () : Il s'est dépensé sans compter et il a été logiquement récompensé par un but, son cinquième de la saison.
PAGIS () : « Pagistral » est (durablement) de retour. Buteurs grâce à  une superbe volée puis grâce à  son opportunisme sur les deux réalisations suivantes (ses 9e, 10e et 11e buts en L 1), il a aussi été passeur ou inspirateur. Bref, il a été un régal à  voir jouer hier soir.

[foreveralsacien]

Sur la lancée de sa qualification en finale de la coupe de la Ligue, le Racing a « atomisé » Caen hier soir, un concurrent direct pour le maintien. Ce matin, Strasbourg est sorti de la zone de relégation (16e) et peut à  nouveau envisager des jours meilleurs. Bravo.

Cinq buts dans la musette ! Caen n'a pas fait le voyage en Alsace pour rien. Futur adversaire en finale de la coupe, au printemps prochain, mais surtout actuel concurrent direct au maintien, le promu normand a pris un bon coup de froid sur la pelouse gelée de la Meinau.
Pour trouver trace de pareille démonstration, il faut remonter à  des temps lointains que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. A l'été 1994, les Sauzée, Gravelaine et autre Leboeuf avaient passé un 5-0 à  Martigues. Cette fois, la balade alsacienne est orchestrée par un Pagis taille patron. Surtout, elle arrive au bon moment.

Avec la manière

Plus que l'ampleur du score, forcément admirable, c'est surtout la manière qui est à  retenir. Car les Bleus ont endossé hier soir leur habit de lumière. Les Caennais, si redoutables mercredi dernier contre Monaco (3-1), sont restés le nez plantés dans le gazon.
D'Abdessadki à  Niang, buteurs heureux, en passant par Johansen, Boka ou Pagis, qui reprend la tête du classement des buteurs - 11 réalisations -, tous ont été à  l'unisson. Une grande farandole de jeu à  une touche de balle, de beaux gestes et d'inspirations qui sont les gages d'une soirée étincelante.

« Capable d'enchaîner »

Pas de quoi, toutefois, griser Jacky Duguépéroux. « Ce n'est pas un soir de fête, mais un soir de victoire, insiste le technicien strasbourgeois. Ça prouve qu'on est capable d'enchaîner deux bons matches de suite. Maintenant, on peut goûter à  quelques jours de repos bien mérités et préparer sereinement la venue de Paris dans quinze jours. »
Quant à  Pagis, pour son premier triplé en Ligue 1, il privilégie aussi l'effort collectif à  l'exploit individuel. « L'important, c'est de battre un concurrent direct à  la descente, sourit l'ex-Sochalien. En plus, on y a mis la manière. Ça fait du bien. Jusque-là , on a à  chaque fois dû cravacher pour nous imposer. Là , on peut savourer cette belle victoire et le fait que l'on sorte de la zone de relégation. »
Entre coupe et championnat, le Racing a donc franchi cette semaine un grand pas. Il a surtout pris conscience que ses qualités, utilisées à  bon escient, peuvent s'avérer redoutables. Ce n'est pas Caen qui dira le contraire...

DNA!!!
Depuis 94 on attendait cela!!!

[foreveralsacien]

http://www.lequipe.fr/Football/TROPHEE_EQUIPEFR.html

Pour une fois que quasiment toute l'equipe est dans les premiers!!!!!

[EDES]

Il va surtout falloir "digérer" cette très large victoire, sur un très faible Caen. Ne pas croire qu'on est arrivé : le chemin est encore long et difficile.
Mais, si le racing reste à  ce niveau, aucun problème pour son maintien, et on peut logiquement espérer une cerise sur le gâteau le 30 avril. C'est tout le mal que je souhaite à  la bande à  Dugué.

[vincenzo2004]

super racing!!

rien a redire...

mais j'espere que le groupe n'explosera pas en été..