[04/05] 25ème J: RCS / Caen - 5/0

[EDES]

http://www.lequipe.fr/Football/TROPHEE_EQUIPEFR.html

Pour une fois que quasiment toute l'equipe est dans les premiers!!!!!

Tu as tout à  fait raison de le souligner : 10 racigmen dans les 12 premiers !!!

[Manu]

Espérons déjà  le maintien aprés je fais confiance à  Jacky et à  Keller pour construire une équipe autre que celle là  quand même car nous ne sommes que 16 eme je vous rappelle...

[matt57]

http://www.lequipe.fr/Football/TROPHEE_EQUIPEFR.html

Pour une fois que quasiment toute l'equipe est dans les premiers!!!!!

Tu as tout à  fait raison de le souligner : 10 racigmen dans les 12 premiers !!!

Yacine dans les cinqs premiers cela en fera taire certains ICI

[Gotcha]

5-0 ... mais une ambiance de morgue par moments ... comme d'hab.

normal, j'étais pas là 

ben dis donc, j'ai l'impression d'avoir raté LE match de la décennie .... c'est vraiment pas de bol !! Bon ben c'est reparti pour 10 ans d'attente, flute alors

[argueti]

Espérons déjà  le maintien aprés je fais confiance à  Jacky et à  Keller pour construire une équipe autre que celle là  quand même car nous ne sommes que 16 eme je vous rappelle...

Si les 11 de hier arrivent a jouer comme ca a chaque match, je signe de suite.

Pagis : « J'en redemande »

Jacky Duguépéroux (entraîneur du Racing) : « C'est soir de victoire, pas de fête. Nous allons lutter avec Caen jusqu'à  la fin de la saison. C'est une bonne semaine, avec encore un match de bonne qualité dans des conditions plus que difficiles. Les joueurs ont prouvé qu'ils étaient capables de livrer deux bons matches de suite. C'est bon pour le moral. C'était aussi essentiel de ne pas encaisser de but, j'y attache une grande importance. Je suis satisfait. Les joueurs qui ne partent pas en sélection vont avoir trois jours de repos, ils seront plus agréables que si nous avions laissé des plumes ».

Patrick Rémy (entraîneur de Caen) : « Nous avons fait trop de fautes, nous avons montré trop d'insuffisances dans tous les domaines pour pouvoir rivaliser avec Strasbourg qui a fait la différence très rapidement. Il était difficile de revenir dans le match. Il y a des soirées comme ça, il y a eu Lyon, Monaco, Saint-Etienne, et maintenant Strasbourg. Une fois tous les six matches, on prend une bonne raclée. Nous n'avons pas le niveau nécessaire pour rivaliser lorsque nous sommes un peu en-dessous. Strasbourg a des qualités et ça fait lourd à  l'arrivée. Et quand on plonge, c'est clair et net. »

Mickaël Pagis (buteur du Racing) : « L'important était de gagner contre un concurrent direct, nous l'avons fait de belle manière. J'ai marqué trois buts, j'ai un peu contribué à  la qualité du jeu produit (rires). Ici, nous avons toujours cravaché, c'était dur psychologiquement. Là , nous avons 15 jours sans match, on va savourer ce succès et le fait d'être sorti de la zone de relégation. On s'était dit qu'il fallait refaire les mêmes choses que face à  Saint-Etienne, ce n'était pas évident quatre jours après. Chacun a pris conscience qu'il fallait rééditer cette performance. Je suis en tête du classement des buteurs, ce n'est pas dans mes habitudes et je prends ça tranquillement. L'aspect collectif prime. Cela faisait longtemps que je n'avais pas pris autant de plaisir. Jouer simple et aller de l'avant, c'est un plaisir, j'en redemande. »

Jean-Christophe Devaux (défenseur du Racing) : « On s'est fait plaisir et cela fait deux matches sans encaisser de but. C'est important. 5-0, cela fait un moment qu'on n'avait pas vu ça. On va savourer. On a joué, on s'est créé de nombreuses occasions et la réussite est tombée.»

Les « Bleus » font carton plein

La première victoire 2005 en L1 a aussi été la plus large de la saison. Entre opération séduction et remontée au classement, le RCS a tout gagné.

« Nous avons besoin du public. Il doit revenir à  la Meinau pour voir qu'il s'y passe à  nouveau quelque chose. » Depuis sa nomination (le 4 octobre) presque, Jacky Duguépéroux ne cesse de marteler ce message à  l'intention de supporters alsaciens devenus frileux. Et pas seulement à  cause de la période hivernale. Le bilan du Racing sous sa coupe (de la Ligue, évidemment) plaide largement pour le nouvel entraîneur : six victoires, trois nuls (ou 7 victoires et 2 nuls si l'on classe dans la catégorie des succès la qualification aux tirs au but contre Lille en 8e de Coupe de la Ligue) avant la réception de Caen. Comme Nice, Bordeaux, Auxerre, Rennes, Clermont et Saint-Etienne (ces deux derniers en Coupe de la Ligue), le Stade Malherbe et sa perméable défense (la plus mauvaise de L1 avec, ce matin, 42 buts encaissés en 25 journées) a mordu la poussière ou plutôt brouté l'herbe gelée de l'enceinte strasbourgeoise. Et le public a, donc, pour une fois, pu vérifier de visu « qu'il s'y passe à  nouveau quelque chose. » Car l'affiche, qui aurait semblé insignifiante en d'autres circonstances, a attiré 20.528 spectateurs, frôlant le record de fréquentation de la saison (20.826 contre Sochaux), malgré une température négative. Un chiffre à  relativiser certes, puisque le club avait offert 2 invitations à  chacun de ses abonnés. Mais tout de même !

Le premier triplé de Pagis

Si le Racing – Caen d'hier soir était la répétition générale de la finale de la Coupe de la Ligue le 30 avril, le club bas-rhinois peut rêver de lendemains qui chantent. Depuis mardi et l'élimination des Verts (1-0), tous les Bleus espéraient profiter de la dynamique de la Coupe de la Ligue pour se relancer en L1, eux qui couraient toujours après leur premier succès 2005 en championnat (2 nuls, 2 défaites). Cette première victoire 2005 leur aura réclamé un peu de patience. Mais elle restera dans les annales. Car il faudra remonter loin dans les archives pour trouver trace d'un succès strasbourgeois par cinq buts d'écart en première division. Les trois meilleurs buteurs du RCS cette saison, Mickaël Pagis (11 buts, à  nouveau en tête des réalisateurs), Mamadou Niang (5) et Yacine Abdessadki (4), ont tous été la fête hier soir. Et à  travers eux, une équipe, un staff, des dirigeants et tout un stade. Duguépéroux et ses hommes ont frappé fort. A commencer par les esprits de Caennais qui ont vu les Strasbourgeois fondre sur eux au classement et doivent se dire qu'il faudra montrer autre chose pour empêcher le coach strasbourgeois d'aller cueillir sa 2e Coupe de la Ligue le 30 avril (après 1997). Le Racing a ainsi fait carton plein : pêle-mêle, il a séduit son public, bondi de trois places au classement (16e), réduit de moitié son goal-average négatif (- 5) et, surtout, clos une formidable semaine. « Nous cherchions un match référence. En quatre jours, nous nous en sommes offert deux », jubile Mickaël Pagis, auteur de son premier triplé en L 1, « Et nous n'avons pas pris de but sur ces deux rencontres. Ça prouve que nous ne sommes plus inconstants. J'espère que nous avons enfin trouvé des certitudes et que nous allons pouvoir décoller. Nous pouvions difficilement faire mieux : une qualif pour la finale, une victoire face à  un concurrent direct, une sortie de la zone rouge et la communion avec le public. C'est parfait. Avant de recevoir PSG, nous allons pouvoir savourer quinze jours. » Quinze, on ne sait. Mais trois, sûr. Duguépéroux a, en effet, offert à  ses « guerriers » un repos bien mérité jusqu'à  mercredi matin.

Reçu cinq sur cinq

Le RC Strasbourg n'a pas laissé passer l'occasion hier face à  Caen, recevant une véritable ovation d'un public venu très nombreux (5-0). Un déclic semble s'être produit pour une équipe qui se retrouve à  nouveau 16e de L1 ce matin.

Le Racing-Club de Strasbourg connaissait l'importance de cette rencontre face à  Caen, adversaire direct dans la course au maintien en Ligue 1, hier soir, à  la Meinau. Les joueurs avaient reçu le message cinq sur cinq, puisqu'ils n'ont pas manqué l'occasion d'engranger trois points précieux au classement, ce qui leur permet à  nouveau de s'extirper la zone rouge ce matin.

Depuis plus de 10 ans !

Futur adversaire de la finale de la Coupe de la Ligue au Stade de France le 30 avril prochain, Caen n'a pas pesé lourd sur la pelouse en grande partie gelée. A la pause, les Normands étaient déjà  expédié dans les cordes, les Strasbourgeois régalant leurs spectateurs, venant fort nombreux, par des actions plus dangereuses les unes que les autres. C'est, d'ailleurs, la plus large victoire du Racing en L1 depuis plus de dix ans. D'ailleurs, la première franche incursion locale dans les 16 mètres normands fait déjà  mouche. Sur le côté gauche, Abdessadki récupère un ballon et adresse immédiatement un long centre vers le second poteau. La défense caennaise est prise à  revers et Pagis, esseulé, reprend de volée et inscrit son 9e but de la saison. Planté, si brillant ces dernières semaines, ne peut que constater les dégâts (8e). Il n'y a évidemment pas de meilleure entrée en matière possible. Les Normands attendent des possibilités de contrer, mais les Bas-Rhinois sont plus vifs, plus présents dans les duels et monopolisent le ballon. Lacour décale Pagis à  droite, lequel centre fort devant le but. Niang est contré par Planté, mais parvient quand même à  centrer en retrait, Johansen étant un poil trop court (15e). Le gardien caennais s'en tire ensuite bien sur un coup franc vicieux, avec rebond, de Farnerud (18e), mais la pression locale est toujours aussi vive. Logiquement, les Strasbourgeois trouvent une seconde fois l'ouverture. Farnerud centre de la gauche, Johansen prolonge le ballon et Abdessadki surgit à  l'entrée de la surface. Sa reprise est repoussée une première fois par Planté, mais le milieu bas-rhinois poursuit son action et loge le ballon sous la transversale (28e). Le break est fait et Pagis, parfaitement décalé par Johansen, manque son duel avec le gardien normand (31e). Il faut attendre la 36e minute pour voir la première occasion caennaise, Mazure reprenant au second poteau une transversale de Matic, mais Cassard ferme bien son angle. Trois minutes plus tard, sur un corner de la droite de Farnerud, Niang s'élève plus haut que Danjou pour inscrire de la tête son 5e but de la saison (39e). Dans les arrêts de jeu, la reprise de Mazure sur un service en retrait de Deroin tutoie la transversale, alors que sur le contre, Niang échoue deux fois : d'abord sur le gardien, puis juste à  côté.

La dizaine pour Pagis

A la reprise, le Racing veut éviter le spectre de Clermont, qui l'avait fait trembler malgré trois buts de retard à  la pause. Johansen, après moins d'une minute, frappe au ras du montant (46e), alors que le coup franc de Farnerud passe juste au-dessus (50e). Le sort de la rencontre est définitivement scellé lorsque le Suédois envoie Niang sur l'aile droite, lequel centre au cordeau sur Pagis, qui marque son 10e but de superbe manière (56e). La partie baisse alors un peu d'intensité, ce qui est tout à  fait logique. Caen parvient à  faire circuler un peu mieux le ballon, sans que Cassard soit mis en danger. De l'autre côté, les actions locales sont toujours aussi incisives et mettent les Normands au supplice. Si quelques actions sont manquées de fort peu, Pagis ne laisse pas passer l'occasion lorsque Camadini le décale à  l'entrée de la surface, son extérieur du pied droit ne laissant aucune chance à  Planté. Son triplé lui permet de rejoindre le Monégasque Kallon en tête du classement des buteurs. La soirée s'achève en une belle fête, la «ola» faisant plusieurs fois le tour d'un stade réconcilié avec son équipe. Pourvu que ça dure.

[Stan]

Kanté, Arrache, Bassila, Deroff.. ont peut-être loupé le bon wagon vous croyez pas ?

Pour les 2 premiers cités, je suis persuadé qu'ils ont les qualités nécessaires pour à  nouveau aider le groupe en cas de défaillance d'un titulaire, il faut qu'ils continuent à  bosser dur à  l'entrainement, c'est dans l'intérêt du groupe..

Pour les 2 autres, je suis un peu plus sceptique, Deroff étant trop irrégulier j'espère que Lacour confirmera ses bonnes sorties, quand à  Bassila, ben tout simplement j'espère que JD a bien vu que, sans lui, ça va plus vite vers l'avant et qu'il y a moins de déchets dans l'entrejeu..

[Manu]

Dommage pour Kanté et Arrache, petite baisse de forme ?

[Stan]

Oui (Arrache était beaucoup moins percutant et décisif, et Kanté a commis 2-3 petites erreurs qui nous ont couté quelques points il me semble), et conjuguée à  de bonnes perfs de Lacour et Devaux, la logique voulant que JD fasse jouer les meilleurs hommes du moment, ça donne ça..

Mais ça ne peut que être bénéfique pour le groupe d'avoir 15-16 joueurs potables plutôt que 11-12..

[argueti]

Je crois surtout que Dugué a trouvé le schema tactique idéal pour chaque joueur :

- Lacour : Qui devrait plutot jouer au milieu s'est retrouvé en ARD. Et puis finalement au fil des matchs, on le trouve propre dans la relance, present et regulier. Deroff ne pointe meme plus le bout de son nez.
- Abde : Il etait bien en MOD, mais preferait jouer au milieu en relanceur. En le placant sur le coté droit d'un milieu a 3, il se met encore plus en valeur.
- Bassila ou Keita : D'abord au milieu d'un 4-4-2, ils sont plus en vu et recuperent plus de ballons en jouant devant la defense. Ce qui aide aussi a la solidité defensive
- Farnerud : D'abord a droite, puis a gauche, puis en attaque, c'est finalement en 10 qu'il arrive le mieux a s'exprimer. En participant a la relance et au travail defensif, il devient un joueur clef du milieu de terrain.
- Pagis : Il l'a dit, ce qu'il prefere c'est se faire plaisir sur un terrain et distiller des passes. Avec Alex derriere, et Niang devant, il arrive en decrochant de l'attaque, a mettre sa vision de jeu au service de l'equipe.
- Niang : En 4-4-2 il arrivait deja a faire de belles choses. Maintenant qu'il a Alex en plus derriere lui et Pagis a coté ou juste derriere, il peut faire plus d'appels et bouger les defenses comme il aime le faire.

Biensur, les perdants dans cette histoire s'appelle Arrache ou Le Pen a moindre mesure. Il a joué a la place d'Alex en fin de match.

[foreveralsacien]

De tout de facon, y'a toujours des perdants quelque part!!!
A eux de faire les efforts necessaire pour revenir!
Ils peuvent tous revenir! Quand on voit que Niang est revenu après ses kilos, Devaux après avoir fait banquette etc.... Ils doivent se battre, la concurrence ets bonne!!!