Un sacré gardien de but!
Il n'a même pas mis un coup franc a Stras!
[Ex] José-Luis Chilavert
- Maneo
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Plainte de Chilavert rejetée !
Celà ne concerne plus le racing mais voilà déjà une épine de moins dans le pied de notre ami Patrick Proisy ! Je me demande quand ils comptent régler cette affaire de fausse signature ?AFP a écrit :Le tribunal correctionnel de Strasbourg a rejeté mercredi pour raisons de procédures une plainte pour injures de l'ancien gardien international paraguayen de Strasbourg (L1) José-Luis Chilavert contre l'ex-président du club de football Patrick Proisy, a-t-on appris de source judiciaire.
Le tribunal a estimé que les propos reprochés par le joueur à l'ancien dirigeant tombaient sous le coup de la prescription, au civil comme au pénal.
M. Chilavert, licencié en septembre 2002 par le Racing club de Strasbourg, avait déposé une plainte avec constitution de partie civile le 12 septembre 2001. Il reprochait à M. Proisy de l'avoir traité au cours d'une conférence de presse de "Bibendum Michelin". Il accusait également l'ancien président du club d'avoir parlé de "pratiques de république bananière, en référence à ses origines sud-américaines".
La polémique était intervenue alors qu'un différend sur des sommes réclamées au club par le joueur avait éclaté et que le gardien était resté sur la touche après être rentré de vacances en surcharge pondérale.
"Etymologiquement le terme de bibendum vient du latin «bibere» qui veut dire boire. Traiter quelqu'un de Bibendum c'est le traiter, en clair, de pochtron", avait plaidé l'avocate du joueur, Me Hélène Moser, estimant que M. Proisy avait voulu "foudroyer Chilavert, le déconsidérer dans le monde du football".
Chilavert, qui fut capitaine de l'équipe du Paraguay au Mondial 2002, a été sacré champion d'Uruguay en décembre dernier avec le club de Penarol. Il est actuellement en contact avec le club argentin de Vélez Sarsfield, dont il avait été une vedette au début des années 1990.
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Chilavert sort - déjà - de sa retraite
Jose Luis Chilavert, le fantasque gardien paraguayen, qui avait pris sa retraite en décembre dernier, a annoncé vendredi qu'il jouerait l'édition 2004 de la Copa Libertadores avec le club argentin de Velez Sarsfield.
Jose Luis Chilavert, qui a remporté le titre de champion d'Uruguay avec Penarol en décembre 2003, a déjà joué pour Velez Sarsfield entre 1991 et 2000 avant de rejoindre Strasbourg en octobre 2000.
A 38 ans, il a déclaré lors d'une conférence de presse qu'il serait « enchanté » d'être présent dans les rangs du Velez Sarsfield pour affronter le club vénézuélien d'Union Maracaibo dès le début de la compétition.
Jose Luis Chilavert, le fantasque gardien paraguayen, qui avait pris sa retraite en décembre dernier, a annoncé vendredi qu'il jouerait l'édition 2004 de la Copa Libertadores avec le club argentin de Velez Sarsfield.
Jose Luis Chilavert, qui a remporté le titre de champion d'Uruguay avec Penarol en décembre 2003, a déjà joué pour Velez Sarsfield entre 1991 et 2000 avant de rejoindre Strasbourg en octobre 2000.
A 38 ans, il a déclaré lors d'une conférence de presse qu'il serait « enchanté » d'être présent dans les rangs du Velez Sarsfield pour affronter le club vénézuélien d'Union Maracaibo dès le début de la compétition.
L'histoire est en marche ...
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Chilavert convaincu de faux
L'ex-gardien du Racing, qui, sur la base d'une convention qu'aurait signée Proisy, réclame 4,2 millions de dollars à IMG/McCormack, a été confondu.
C'est un rebondissement. Et de taille ! L'ancien gardien du Racing-Club de Strasbourg, le Paraguayen Jose Luis Chilavert (38 ans), qui évolue cette saison à Vélez Sarsfield (D 1 argentine), risque-t-il cinq années de prison et 150000 € d'amende ? Sans préjuger du verdict pénal, c'est en tout cas ce qu'il encourt si le juge parisien Jean-Luc Bongrand, qui instruit la plainte pour « faux et usage de faux » déposée par l'ex-président du RCS Patrick Proisy à l'automne 2002, décide de mener jusqu'à leur terme ses investigations. Et dans une affaire qui dure depuis bientôt deux ans, on ne voit pas pourquoi il en irait autrement. Petit rappel des faits : le 30 août 2002, veille d'un déplacement à Lille, Chilavert annonce qu'il ne jouera plus jamais sous le maillot strasbourgeois. Il affirme que Proisy et le propriétaire du club, IMG/Mc Cormack, ne lui ont versé que 200000 dollars sur les 4,4 millions qu'ils lui auraient promis dans une convention sous seing privé paraphée, selon lui, le 31 octobre 2000 à Paris (jour de sa signature au Racing) par celui qui n'est plus aujourd'hui président du RCS. Dès le lendemain, P. Proisy annonce le licenciement d'un gardien qu'il a lui-même enrôlé un an plus tôt dans un immense battage médiatique. Le Sud-Américain contre-attaque et exhibe un document qui porte selon lui la signature originale du patron du Racing. Ce dernier le qualifie de « torchon » et dépose aussitôt contre Chilavert une plainte « pour faux et usage de faux » à Paris.
Un mandat d'arrêt international ?
Depuis un an et demi, l'affaire suit son cours. Avec un développement explosif intervenu en deux temps ces dernières semaines. Il y a deux mois, l'expertise graphologique ordonnée par le juge Bongrand livre des conclusions défavorables au gardien paraguayen. Son avocat strasbourgeois, Me René Pernot, demande alors une contre-expertise dont les résultats, communiqués la semaine passée, confirment l'expertise initiale : selon les graphologues, la signature de Patrick Proisy est un faux et a donc été imitée. Inutile de dire que le coup est rude pour le Paraguayen passible de poursuites, avec les peines maximales évoquées ci-dessus. Le juge Bongrand l'a d'ailleurs déjà convoqué à deux reprises à Paris. « La première convocation est arrivée deux jours avant l'audition et le délai était trop juste, ce qu'a admis le juge », précise Me Pernot. « La seconde était prévue en ce début de semaine et Chilavert n'est pas venu non plus. Mes derniers contacts avec lui se sont faits par l'intermédiaire d'un avocat argentin qui a expédié au juge Bongrand un certificat de son club assurant que Chilavert ne pouvait pas se rendre à Paris parce qu'il avait un match à disputer (Ndlr : Vélez Sarsfield jouait dimanche contre Independiente — 0-0 -, mais le gardien n'a pas été aligné). » Chilavert répondra-t-il à une troisième convocation ? « S'il reviendra en France ? Je l'ignore. Il n'y a en tout cas pas intérêt », avoue son avocat qui s'apprête à abandonner le dossier pour raisons de santé. « Personnellement, je ne m'attendais pas à un coup pareil. Le risque pour Chilavert est réel. Le juge peut délivrer un mandat d'arrêt international. » « L'affaire Chilavert ne fait que commencer », écrivait « L'Alsace » dans son édition du 18 septembre 2002. Elle tire peut-être à sa fin. Et cet épilogue-là n'augure rien de bon pour l'ex-meilleur gardien de la planète.
l'Alsace
L'ex-gardien du Racing, qui, sur la base d'une convention qu'aurait signée Proisy, réclame 4,2 millions de dollars à IMG/McCormack, a été confondu.
C'est un rebondissement. Et de taille ! L'ancien gardien du Racing-Club de Strasbourg, le Paraguayen Jose Luis Chilavert (38 ans), qui évolue cette saison à Vélez Sarsfield (D 1 argentine), risque-t-il cinq années de prison et 150000 € d'amende ? Sans préjuger du verdict pénal, c'est en tout cas ce qu'il encourt si le juge parisien Jean-Luc Bongrand, qui instruit la plainte pour « faux et usage de faux » déposée par l'ex-président du RCS Patrick Proisy à l'automne 2002, décide de mener jusqu'à leur terme ses investigations. Et dans une affaire qui dure depuis bientôt deux ans, on ne voit pas pourquoi il en irait autrement. Petit rappel des faits : le 30 août 2002, veille d'un déplacement à Lille, Chilavert annonce qu'il ne jouera plus jamais sous le maillot strasbourgeois. Il affirme que Proisy et le propriétaire du club, IMG/Mc Cormack, ne lui ont versé que 200000 dollars sur les 4,4 millions qu'ils lui auraient promis dans une convention sous seing privé paraphée, selon lui, le 31 octobre 2000 à Paris (jour de sa signature au Racing) par celui qui n'est plus aujourd'hui président du RCS. Dès le lendemain, P. Proisy annonce le licenciement d'un gardien qu'il a lui-même enrôlé un an plus tôt dans un immense battage médiatique. Le Sud-Américain contre-attaque et exhibe un document qui porte selon lui la signature originale du patron du Racing. Ce dernier le qualifie de « torchon » et dépose aussitôt contre Chilavert une plainte « pour faux et usage de faux » à Paris.
Un mandat d'arrêt international ?
Depuis un an et demi, l'affaire suit son cours. Avec un développement explosif intervenu en deux temps ces dernières semaines. Il y a deux mois, l'expertise graphologique ordonnée par le juge Bongrand livre des conclusions défavorables au gardien paraguayen. Son avocat strasbourgeois, Me René Pernot, demande alors une contre-expertise dont les résultats, communiqués la semaine passée, confirment l'expertise initiale : selon les graphologues, la signature de Patrick Proisy est un faux et a donc été imitée. Inutile de dire que le coup est rude pour le Paraguayen passible de poursuites, avec les peines maximales évoquées ci-dessus. Le juge Bongrand l'a d'ailleurs déjà convoqué à deux reprises à Paris. « La première convocation est arrivée deux jours avant l'audition et le délai était trop juste, ce qu'a admis le juge », précise Me Pernot. « La seconde était prévue en ce début de semaine et Chilavert n'est pas venu non plus. Mes derniers contacts avec lui se sont faits par l'intermédiaire d'un avocat argentin qui a expédié au juge Bongrand un certificat de son club assurant que Chilavert ne pouvait pas se rendre à Paris parce qu'il avait un match à disputer (Ndlr : Vélez Sarsfield jouait dimanche contre Independiente — 0-0 -, mais le gardien n'a pas été aligné). » Chilavert répondra-t-il à une troisième convocation ? « S'il reviendra en France ? Je l'ignore. Il n'y a en tout cas pas intérêt », avoue son avocat qui s'apprête à abandonner le dossier pour raisons de santé. « Personnellement, je ne m'attendais pas à un coup pareil. Le risque pour Chilavert est réel. Le juge peut délivrer un mandat d'arrêt international. » « L'affaire Chilavert ne fait que commencer », écrivait « L'Alsace » dans son édition du 18 septembre 2002. Elle tire peut-être à sa fin. Et cet épilogue-là n'augure rien de bon pour l'ex-meilleur gardien de la planète.
l'Alsace
L'histoire est en marche ...