C'est bien pour ça que j'ai mis à priori. C'est vrai qu'on a pris 2 buts mais c'était contre une bonne équipe de ligue 2 à domicile et en coupe, ça n'est donc pas non plus une catastrophe.
Mais c'est clair que pour conclure quand à ses qualités il va falloir le voir de visu et sur plusieurs matchs.
[Ex] Lionel Locatelli
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Mouai, il marque un but mais la défense s'en prend encore deux ... Locatelli n'est pas non plus un titulaire en puissance pour le Racing, quand on vient de FCBA je pense que l'on ne peut pas de suite prétendre à une place de titulaire ... maintenant, avec l'arrivée de Strasser, il est possible que Lionel ne soit plus vraiment titulaire
C'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches. Victor Hugo
Être riche, c'est avoir suffisamment de nourriture pour toute l'année Paysan Népalais
Tout ce qu'ils veulent c'est une France qui ferme sa gueule Dub Inc
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SO a écrit :Locatelli stoppe l'aventure
Arrivé cet été en provenance du FC Bassin d'Arcachon, Lionel Locatelli a trouvé un accord à l'amiable avec le Racing pour rompre son contrat. Le défenseur a vécu de grands moments à Strasbourg mais était nostalgique de sa vie d'avant. Il va retourner en Gironde, où un travail l'attend.
C'est la fin d'une histoire entre le Club et ce joueur à l'état d'esprit irréprochable qui avait su se faire une place dans le vestiaire.
« Lionel laissera un excellent souvenir au Racing, a commenté Philippe Ginestet. Nous le remercions de son investissement au sein du groupe et lui souhaitons bonne chance avec le FC Bassin d'Arcachon et dans sa vie professionnelle. »
- Pourquoi cette décision ?
- Cela fait un petit moment que ça me trotte dans la tête. J'ai eu un parcours professionnel différent de mes collègues. Venir au Racing et découvrir le milieu pro constituait, pour moi, un challenge après deux grosses saisons chez les amateurs. C'a été un pari sportif et humain. Je crois avoir bien géré l'aspect sportif. J'ai été présent six fois dans le groupe, j'ai joué deux matches et marqué un but. Le bilan est positif. Mais il y a le côté familial, humain. Honnêtement, j'ai eu du mal à me faire au monde professionnel. J'ai 25 ans et j'ai jugé que je préférais ma vie d'avant. Depuis mes 16 ans, j'ai toujours cumulé football et travail. Alors, en accord avec ma compagne, j'ai pris cette décision. J'ai discuté avec l'entraîneur et le Président, et nous avons trouvé un accord pour une rupture à l'amiable de mon contrat. Le Club du FC Bassin d'Arcachon est resté dans mon cÅ“ur. Avec Jean-Pierre Papin, on l'a construit ce club, on a vécu deux montées, une coupe. Aujourd'hui, en CFA2, il se retrouve en difficulté et je crois avoir laissé un vide derrière moi. Et puis, un travail m'attend là -bas. Je suis quelqu'un qui a besoin de se sentir comme un pilier dans une équipe. A Arcachon, ça se passait et ça se passera comme ça. A Strasbourg, c'est différent et c'est tout à fait normal. Les jeunes poussent.
- Que retiendrez-vous de votre passage au Racing ?
- Que du positif ! Il fallait que je vive ça au moins une fois. Si j'avais pris ma retraite sportive sans connaître ça, cela aurait été un regret. J'ai découvert un autre monde. J'ai découvert également un grand club, doté de superbes installations. J'ai fait la connaissance de gens merveilleux. Quand on est dans le monde extérieur, on a toujours de fausses idées sur les joueurs pros. Je peux vous assurer que ce sont des gens simples et qui donnent tout pour leur maillot. Moi, je repars de cette expérience plus costaud.
« Je n'ai jamais changé »
- Quels sont les souvenirs que vous emportez avec vous ?
- Il y a plusieurs images. Tout d'abord le stage de préparation d'avant-saison. C'était une grande première pour moi. Humainement, ç'a été super, et sportivement aussi même si difficile physiquement. Je n'avais jamais travaillé comme ça. Ensuite, il y a ce match face au Bayern Munich. Je suis rentré en deuxième mi-temps, alors que le score était de 0-0, et avec les jeunes on les a tapés 2-0. Jouer dans ce stade, devant ce public face à une telle équipe c'est une drôle d'expérience. Et puis, bien sûr, je retiendrai le match en Coupe de la Ligue à Châteauroux où je marque ce but de folie. En fait, au final, je m'aperçois que je n'ai jamais changé. A Strasbourg, j'ai essayé de vivre les choses de manière naturelle, sans me prendre pour un autre.
- Maintenant que cette décision est prise, dans quel état d'esprit êtes-vous ?
- Je suis soulagé. J'avais une appréhension, c'était de savoir comment cette décision serait perçue par le Club et le Président. J'ai pu constater, une fois encore, que Philippe Ginestet était quelqu'un de très généreux et de très simple même s'il est à la tête d'un club pro. Je ne remercierai jamais assez Jean-Pierre Papin. Je lui dois tout. Nous garderons contact longtemps. Une amitié forte existe entre lui et moi. Aujourd'hui, je suis soulagé, oui, et reboosté. Je me sens encore plus costaud. Cette expérience va être un tremplin, une source de motivation.
- Continuerez-vous à suivre les résultats du Racing ?
- Bien sûr ! Je garde quelques numéros de joueurs. Et puis, le Président m'a lancé une invitation en cas de montée du club en L1. Il souhaiterait que je participe à la fête avec le Club. Ca, ça n'a pas de prix pour moi. Et je pense que les gars y arriveront. J'ai vu la qualité de ce groupe et, surtout, les jeunes qui arrivent derrière. Il y a un gros potentiel dans ce Club.
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