[Ex] Jean-Alain Fanchone

[Tenor]

Dire d'être blessé et ne pas se rendre aux soins ? Tu cautionnes quoi là au fait ?

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« Il a reçu un coup à Tours vendredi...

Je joue peut être sur les mots, mais il ne me semble avoir lu nul part que c'était JAF qui avait déclaré être blessé, y'a une nuance. Cà sert à rien de charger encore davantage à tord le joueur.
)

Un entraineur ne sanctionne pas un joueur par plaisir, donc le problème existe bel et bien par le renvoi en CFA; je n'ai rien inventé
Que le gars a une valeur marchande, c'est aussi un fait, mais ne rentre pas en ligne de compte avec une sanction. Faut pas tout mélanger. Ce qui serait bien, c'est que Plessis s'explique pour la non convocation de JAF pour le match de Metz

[fan_racing]

@Fan Racing : quel intérêt de parler de ses prestations du début de saison, alors qu'il a clairement haussé le niveau depuis ... Ce n'est plus le même joueur qu'à l'automne, et c'est stupide de s'en passer ...

Qu'il ait haussé le niveau j'en conviens, mais ça ce n'est pas seulement une bonne chose : c'est également et surtout le minimum syndical. Son niveau est meilleur maintenant, mais il n'est pas bon pour autant je trouve : c'est juste qu'avant il n'avait pas le niveau CFA. Si encore cela nous pénalisait à coup sûr de nous en passer, ok, mais là on a Gueye et Othon qui peuvent occuper tout le flanc gauche.

Et puis Janin n'a pas décidé de le laisser en réserve pour s'amuser quand même. S'il avait procédé par élimination et décrété "celui-là, je ne le garde pas dans le groupe", j'aurais sans doute aussi dit qu'il mériterait au moins sa place sur le banc. Mais là, il s'est fait jeter parce qu'une nouvelle fois il n'en a fait qu'à sa tête. C'est tellement dur de se lever le dimanche matin, pour faire quelques mouvements en salle des soins, quand en plus on touche sans doute plus de 15 000 € mensuels ?

[télésupporteur]

vu ses prestations actuelles, est-ce vraiment sanctionner l'équipe en le remplaçant par othon
pour une fois, d'accord avec janin ( copyright sur cette ligne )

[argueti]

« Jaf », la saison déplaisir

Ce devait être l'année de la confirmation. Las, Jean-Alain Fanchone, élu meilleur latéral gauche de Ligue 2 en mai dernier, s'est perdu en cours de route. A l'entame du sprint final, le jeune Mulhousien espère encore sauver les meubles en contribuant à assurer le maintien.

Jean-Alain Fanchone a en partie retrouvé sa joie de vivre. Certes, son sourire est encore timide, parfois un peu crispé. Au moins n'affiche-t-il plus cette mine renfrognée et boudeuse qui l'accompagnait depuis août dernier et l'échec de son transfert vers Lille.

Il en voulait alors à la Terre entière

Autre signe de détente : « Jaf » s'est remis à parler. Ces derniers mois, le défenseur âgé de 21 ans était plongé dans un profond mutisme. De peur, peut-être, de déverser son aigreur sur la place publique, il a préféré ne plus rien dire. L'épisode de la deuxième tentative d'un départ vers le Losc, qui avait achoppé le 1er février, au dernier jour du marché hivernal, en raison du refus poli de Nicolas Fauvergue de lever son option d'achat, l'avait profondément déstabilisé. Il en voulait alors aux journalistes, aux supporteurs, aux dirigeants, à la Terre entière. « Je me voyais parti dans un grand club de Ligue 1, j'ai eu du mal à m'en remettre, reconnaît-il. Le plus dur à accepter, c'est que les gens aient pu penser que je n'avais plus envie de jouer au Racing. C'est faux. Je suis ici depuis neuf ans, mais je ne voulais pas laisser filer une si belle opportunité. Après cette histoire, il n'y a pas eu grand monde pour me remettre en confiance. » Fort heureusement, Pascal Janin a pris le Mulhousien par la main et accepté de tirer un trait sur ses errements de la première moitié de saison, quand il ne mettait plus un pied devant l'autre sur le terrain. « En décembre, déjà, il a su trouver les mots pour me faire rebondir, précise « Jaf », qui avait été mis au placard six semaines durant, au lendemain d'une piètre prestation à... Nîmes (2-1). Ma famille m'a aussi bien poussé. J'ai compris que c'était à moi de bien travailler pour retrouver mon niveau. »

« J'ai l'impression d'avoir perdu une année »

Fanchone se remet donc au boulot. Redevenu un titulaire indiscutable depuis février, il s'acquitte sobrement de sa tâche défensive, à défaut de briller dans son couloir gauche. « L'an dernier, on jouait le haut du tableau parce qu'on pratiquait un bon football, dit-il. Là, on est en bas parce qu'on a beaucoup plus de mal. On défend aussi plus qu'on n'attaque. Cela me convient nettement moins. Mon jeu, c'est de déborder, percuter... » On l'aura compris, la rancoeur est toujours à fleur de peau. « Honnêtement, j'ai l'impression d'avoir perdu une année, ajoute celui qui est en contrat avec le Racing jusqu'en 2013. Je n'ai pas progressé, si ce n'est au niveau du mental. » L'équilibre reste toutefois fragile, le risque de rechute n'étant jamais totalement à exclure. Fin mars, après la défaite à Tours (2-0), le garçon ne se présente pas à une séance de soins. Janin l'écarte du groupe l'espace d'une semaine et se passe de lui pour le derby contre Metz. Depuis cette incartade, « Jaf » n'a plus fait parler de lui. Si ce n'est sur la pelouse, où il espère assurer au plus vite le maintien. « A Bastia, on a été nuls et il va falloir vite se ressaisir pour éviter la catastrophe, martèle-t-il. Dans les vestiaires, les gars sont encore à s'interroger sur le pourquoi du comment de cette défaite. Moi, ça me saoule de regarder derrière moi. Devant, il y a Nîmes et c'est tout ce qui compte. On devra tous se bouger le c... »

« De bonnes vacances pour me changer les idées »

A travers ces mots crus et fleuris transpire la détermination d'un garçon qui s'est écarté du droit chemin. Il lui reste désormais quatre journées pour sauver ce qui peut encore l'être. « Après, j'aurai besoin de bonnes vacances pour me changer les idées », conclut celui qui n'a pas encore abandonné l'idée de marcher sur les pas d'un ancien compagnon du centre de formation, Kevin Gameiro. Dans la capitale alsacienne, la Ligue 1 n'a jamais paru aussi loin. A Fanchone de faire en sorte qu'elle ne s'éloigne pas encore plus.

Séb.K.

[argueti]

JAF malade

Victime d’une angine mardi soir, Jean-Alain Fanchone ne s’est pas présenté à l’entraînement hier matin. Le joueur, qui n’a pas donné de nouvelles, est attendu à 10 h pour la séance de veille de match. Selon son état, il sera du déplacement à Châteauroux ou non. Susceptible de le remplacer sur le côté gauche de la défense, Quentin Othon, dont le genou gauche était solidement strappé hier, s’est entraîné normalement. « Je n’ai pas forcé, mais ça va mieux. On verra demain. » Pour le dernier match de la saison, il devrait serrer les dents.

[argueti]

« JAF », la fin du malentendu

Le latéral gauche s'est engagé avec Arles-Avignon. Jean-Alain Fanchone doit (enfin) tourner la page strasbourgeoise à la faveur d'un prêt chez le promu en L 1. Avant de partir, il s'est expliqué sur ce qui relève d'un énorme gâchis au regard de sa saison passée.

Avec le départ de « JAF », un pur produit de la formation alsacienne, il y a d'abord une belle part laissée aux regrets. Débarqué à Strasbourg à l'âge de 16 ans après un bail initial au FC Mulhouse, dans le club de sa ville de naissance, il est l'auteur d'une progression linéaire. Vainqueur de la Coupe Gambardella en 2006, en compagnie de Othon, Zenke, Gasmi ou encore Mathlouthi, Jean-Alain Fanchone se voit confier les clefs du flanc gauche de la défense du Racing, dans le sillage de la descente en 2008. Jean-Marc Furlan apparaît inspiré en lui faisant confiance. Le jeune défenseur, qui aura 22 ans dans un mois, est notamment l'auteur de quatre passes décisives. Et puis, l'échec dans l'opération remontée, après la douloureuse défaite enregistrée à Montpellier (2-1), le 29 mai 2009, esquisse comme une cassure. Plus rien ne sera comme avant le désastre de la Mosson. L'intéressé en est le premier conscient.

Des histoires d'absence, mais aussi l'histoire d'une incompréhension

« Le début de mon parcours, chez les pros, c'était nickel, considère-t-il. Quand on a raté la montée, la dégringolade a commencé. » Son rendement individuel prend la trajectoire d'un gros plongeon. Il ne conteste pas le jugement. C'est parfois un fantôme qui a revêtu le maillot floqué du n°3. « Parfois, je ne sais pas si j'étais là », ne se défile-t-il pas. « JAF » et le Racing, ce sont donc aussi des histoires d'absence. C'est aussi l'histoire d'une incompréhension. Lille l'a voulu, avec plus ou moins d'ardeur, au mois d'août 2009 puis en janvier 2010. Le départ ne s'est pas conclu en dépit de sa présence dans le Nord, pour signer son contrat ! L'apprentissage du foot pro s'est donc poursuivi avec ces épisodes cruels. La Ligue 1 lui a rouvert ses portes, depuis ce week-end. Il tentera d'y exister et de faire exister l'improbable promu, Arles-Avignon. Jusqu'au bout, il s'est méfié naturellement d'un nouveau contre-temps alors qu'il désire ardemment découvrir l'élite.

« Plus appris avec Fournier que lors de toute la saison précédente »

« Pour ma carrière, j'ai envie d'évoluer dans un club de L 1, souligne-t-il, en mettant le cap au sud, entre le Vaucluse et les Bouches-du-Rhône. Lille me voulait déjà il y a quelques mois. Je dois partir. Mais je quitte un club qui me tient à cœur. » « JAF » n'a pas toujours su exprimer cet attachement, depuis un an notamment. Dans son esprit, les torts sont partagés et ses difficultés criantes s'expliquent à travers un nom : Janin. « Depuis un mois, j'ai l'impression de revivre, considère-t-il. En fait, j'ai plus appris avec Laurent Fournier que lors de toute la saison précédente, à tous les niveaux. » Il considère que la méthode du prédécesseur de l'actuel entraîneur strasbourgeois n'a pas été la bonne. Il n'est pas loin d'accuser. « On avait des joueurs de qualité et, malgré ça, on n'a jamais été capable de faire trois passes de suite, finit-il par lâcher. La consigne, c'était de défendre tout le match, à chaque match, avec le petit espoir de placer un contre pour l'emporter. Le coach nous disait clairement qu'on n'avait pas de qualité. » Et le pire est arrivé.

Mais au terme d'une préparation qu'il a vécu quasiment dans son intégralité en Alsace, Jean-Alain Fanchone exprime une forme de confiance. « J'ai commencé à revivre avec Laurent Fournier et ça se passait super bien dans le groupe, conclut-il. Les joueurs et le staff arrivent à faire abstraction du contexte agité depuis la reprise. On essaye de jouer. On sait se pourrir sur le terrain le temps du match et tout oublier après. Même si on n'a pas beaucoup joué ensemble, je suis confiant pour la remontée en L 2. » Prêté sans option d'achat, le latéral gauche y trouverait grand intérêt : dans un an, rien n'exclut un retour à Strasbourg.

[fan_racing]

Ça fait quand même un an-et-demi qu'il est mauvais, je suis sceptique quant à sa capacité à tenir à peu près la route en Ligue 1, alors qu'il n'a pas su le faire durablement en Ligue 2, même dans une équipe plus que moyenne la saison passée. Enfin, si ça peut soulager la masse salariale ...

[Maneo]

Il ne fera rien à Arles à part faire le con comme il le fait depuis qu'il a pris la grosse tête ...

[télésupporteur]

il confirme ce que je pensais ( et écrivais ) sur les (in)compétences de janin

[Tenor]

oui c'est très facile de taper sur l'entraineur, mais lui qu'est-ce qu'il a entrepris pour sortir le club de la merde ??????????
Rien, 3 X rien ! L'inverse il a foutu sa merde avec sa grosse tête.
Content qu'un mec comme ça s'en aille, j'espère qu'il va réussir ailleurs et que son entraineur soit au moins à son niveau