[06/07] 25ème J: Châteauroux / Strasbourg : 1-1

[ismaili]

ok je v faire un effort mais c une abitude

Edit Its_me : c'est mieux mais voilà  ce qu'on aurait attendu à  peu près.
"Ok, je vais faire un effort mais c'est une habitude".
Quoiqu'il en soit c'est gentil de voir que des nouveaux sont prêts à  faire des effort

[NéRiK]

1 pt à  l'exterieur et 3 à  domicile jusqu'ua la fin de la saison, je signe tout suite.

[corentin martins]

c'etait enfin un match correct du racing ou d'une equipe qui montre qu'elle a envie de monter en L1.
Je trouve d'abord qu'on a ete bon et serieux au milieu de terrain, grace a une bonne technique entre autre de Cohade, Lacour, Camadini (passeur sur le but) et Johansen lui aussi s'est bien battu..

D'autre part Tum a demande beauoup le ballon, enorme d'ebauche d'energie pour ce joueur.. L'homme du match qui aurait pu etre le grand homme du match si il avait eu un peu plus de reussite dans ses face a face avec Fernandez.

Le racing a joue, s'est beaucoup depense et surtout ils n'ont rien lache, beaucoup de duels gagnés.. En fait ils etaient tres solidaire et ont bien construit tout n'est pas parfait mais si ils continuent comme ca et qu'ils arrivent enfin a garder leur avantage au score ils seront sur le podium a la fin de la saison... ALLER LES BLEUS ON VEUT REVENIR EN L1

[Titounetz]

ok je v faire un effort mais c une abitude

Edit Its_me : c'est mieux mais voilà  ce qu'on aurait attendu à  peu près.
"Ok, je vais faire un effort mais c'est une habitude".
Quoiqu'il en soit c'est gentil de voir que des nouveaux sont prêts à  faire des effort

D'ailleurs, il y a quelques nouvelles têtes ces derniers temps qui participent au forum!
Je profite de l'occasion pour leur dire

[Pinon]

Ca reste une mauvaise affaire malgré un renouveau au niveau du jeu ... en prenant 3 points hier soir, on mettait Le Havre à  2 points (voir 5, si le Racing gagne vendredi et que Le Havre perd) mais surtout, on aurait mis la pression sur Caen mais surtout sur Metz en était qu'à  un seul point de cette place de leader ! C'est vraiment dommage de perdre 4 points sur deux déplacements alors que l'on avait largement les moyens d'en ramener 2 de plus hier soir ...

C'est vraiment con que Tum n'ai pas eu de chance sur ses deux potaux et sur ses deux duels face à  Fernandez ! Il marque un but hier soir, mais aurait surtout pu en marquer facilement un second avec un peu plus de chance et moins de maladresse

[Pinon]

Rageant, forcément

Un Racing qui a enfin retrouvé un jeu séduisant aurait mérité mieux que le point du match nul hier à  Châteauroux. Les Strasbourgeois sont 4es de Ligue 2 ce matin, avec 46 points.
« Pour la première fois de la saison, je suis frustré », lâche Jean-Pierre Papin. Une frustration largement compréhensible, au vu du scénario qui s'est déroulé dans l'antre à  moitié vide de Gaston-Petit.
Car si le RCS a souvent pu compter sur la chance cette saison - comme on l'a encore vu la semaine passée face à  Tours - celle-ci avait choisi son camp hier après-midi. Celui d'une équipe de Châteauroux timorée, qui peut s'estimer heureuse d'avoir égalisé sur coup de pied arrêté, sans vraiment avoir inquiété Cassard.
Mieux, pour la première fois depuis longtemps, le Racing a pris le match en mains et a prouvé qu'il valait mieux que ses piteuses prestations du mois de janvier.

Hervé Tum, du grand art

Transformé, le milieu de terrain strasbourgeois a fait bloc, étouffant toute velléité berrichonne dès l'entame. A l'image d'un Lacour intraitable devant sa défense. Ou encore d'un Cohade qui avait retrouvé la « gnac » sur son côté droit. Et que dire de Johansen, qui a tout simplement fait hier l'un de ses meilleurs matchs sous les couleurs strasbourgeoises depuis bien longtemps.
Bref, ce Racing séduisant multiplie les offensives et obtient corner sur corner. Mais c'est sur une énième récupération de balle en milieu de terrain que vient la lumière. Hervé Tum, servi par Camadini en profondeur, contrôle, avance entre deux défenseurs et lobe Fernandez plein axe (19e). Du grand art.
Derrière, le quatuor Ekobo-Devaux-Strasser-Abou assure l'essentiel et n'est que rarement mis en danger face à  une équipe castelroussine il est vrai pas vraiment tranchante.

« A 11 contre 11 on l'aurait certainement emporté »

Suite à  un coup franc lointain tiré par Devaux, Tum est à  deux doigts de doubler la mise d'une reprise instantanée, qui trouve le poteau de Fernandez (42e). On pense alors que le Racing peut plier rapidement ce match, tant la réaction berrichonne se fait attendre. C'est sans compter sur l'intervention de M. Gasquet, qui expulse dans la minute qui suit Pascal Camadini pour une faute sur le jeune Sako. Difficile à  avaler.
« Cette expulsion n'est pas méritée, Pascal (NDLR : Camadini) prend le ballon, pas la cheville. Et à  11 contre 11, on l'aurait certainement emporté, souligne JPP, parce que jusque là , on avait une maîtrise parfaite, on quadrillait bien le terrain ».
Rageant, surtout que le réveil berrichon n'est jamais venu. En deuxième mi-temps, c'est même un Racing réduit à  10 qui est à  deux doigts de faire le break. Las, le coup de boule d'Allegro remet les équipes à  égalité. Et malgré les efforts incessants d'un Tum incroyable d'abnégation, le Racing doit se contenter de ce point du match nul. Un point qui lui permet de rester 4e avec 46 points, à  égalité avec le Havre.

« Les trois points étaient à  notre portée »

« Les trois points étaient à  notre portée, c'est rageant mais c'est le foot, ça fait partie du jeu. Mais si on continue à  jouer comme ça, il n'y a pas beaucoup d'équipes qui pourront nous empêcher de monter », souligne JPP. A condition de continuer à  faire le plein à  domicile. Et ce, dès vendredi, face à  Créteil.

Barbara Schuster

La lumière Tum

Un magnifique lob d'Hervé Tum a permis à  un Racing une nouvelle fois rapidement réduit à  dix de ramener un point de Châteauroux.

CASSARD (***). - Début de match tranquille, jusqu'à  la 30e, où il sort dans les pieds de Mulenga. S'est aussi montré rassurant dans les airs. Encore une fois indispensable.

EKOBO (***). - Titularisé à  gauche, il avait fort à  faire face au remuant Sako. Et l'a fait, avec sobriété, tout en suppléant sa défense centrale dans les moments chauds et en tentant d'apporter le surnombre en contre attaque. Intéressant.

DEVAUX (***). - Il a fait parler le métier face au très physique et très rapide Mulenga. Jeannot a su trouver les ressources pour museler l'attaquant, même s'il a connu une fin de match plus difficile, à  l'image de toute la défense.

STRASSER (***). - N'a pas bien débuté le match. Du mieux en deuxième mi-temps, où il a sorti quelques balles chaudes tout en retrouvant son rôle de tour de contrôle grâce à  son bon jeu de tête.

ABOU (***). - Discret, l'Egyptien a été sobre et efficace dans son couloir face au bulldozer Ahmada. On ne lui en demande pas plus.

LACOUR (****). - Le capitaine par intérim a encore effectué un travail de sape indispensable, tout en étant à  l'origine de presque toutes les offensives strasbourgeoises. Très bon, comme le reste du milieu de terrain strasbourgeois.

CAMADINI (**). - Son ouverture instinctive pour Tum permet au Racing d'ouvrir le score. Le Corse a ensuite été expulsé juste avant la mi-temps par M. Gasquet pour une de ses premières fautes sur Sako. Sévère, très sévère.

COHADE (***). - Moutaouakil n'a certainement pas passé une bonne soirée face aux accélérations incessantes de Cohade sur l'aile droite. Dommage qu'il perde autant d'énergie à  contester les décisions de l'arbitre. Remplacé par YACHIR (89e).

JOHANSEN (****). - A prouvé qu'il était un des seuls Strasbourgeois a savoir jouer à  une touche de balle, en tentant de belles combinaisons tant avec Joao qu'avec Tum. A su offrir de bonnes balles de contre en deuxième période. Du grand Pagalou.

JOAO (**). - Le Brésilien est beaucoup redescendu pour aider son milieu de terrain, voir même ses défenseurs, et a montré une belle adresse balle au pied. Remplacé par MOULOUNGUI (63e), un peu maladroit même s'il a apporté de la percussion.

TUM (*****). - On le dit souvent maladroit, parfois inefficace, Hervé Tum a prouvé hier qu'il était en mesure de faire taire les critiques. Une pression constante sur la défense, une énergie incroyable et un but intelligent. Malgré la malchance (deux poteaux !), le Camerounais a fait un match plein.

[argueti]

Une jolie mise au point

Maître du jeu, le RCS, réduit à  dix juste avant la mi-temps, a rendu une copie presque parfaite hier à  Châteauroux. À un détail près : l'égalisation concédée à  un quart d'heure de la fin sur corner (1-1).

C'est le genre de match qui, dans une période un rien troublée, rassure tout le monde. Certes, les Strasbourgeois ont quitté hier le stade Gaston-Petit avec un petit goût d'amertume aux commissures des lèvres. Car ce match chez le 6e de L 2, Guillaume Lacour et ses partenaires l'avaient mené à  leur guise. Mais il leur a manqué un brin de réalisme pour réussir la très belle opération de cette 25e journée, en attendant le choc des deux premiers entre Metz et Caen ce soir à  Saint-Symphorien. Ils sont de nouveau au pied du podium, devancés à  la différence de buts par un Havre AC en pleine bourre. Mais ils ont démontré dans l'Indre qu'un nul pouvait avoir plus de valeur – symbolique, pas comptable – que certaines victoires. Peut-être les hommes de Jean-Pierre Papin ont-ils aussi profité de l'étonnante apathie des Castelroussins. Peut-être aussi ces derniers ont-ils été anesthésiés par la grosse performance collective des Bleus. « Si nous jouons comme ça jusqu'à  la fin de saison, pas beaucoup d'équipes pourront nous empêcher de monter », s'enflamme un Papin « content du point pris à  l'extérieur, même si je pense que nous méritions plus. Pour une des premières fois de la saison, je me sens frustré. Nous avons fait un grand match, produit du jeu, avec 7 ou 8 occasions très franches à  l'extérieur. Nous n'avons péché que dans la finition. Mais je maintiens qu'au rythme d'un point en déplacement et de trois à  domicile, nous serons sans problèmes en L 1. »

Bertin : « Un super Strasbourg »

Teddy Bertin, l'ex-capitaine du Racing qui porte aujourd'hui le brassard dans l'Indre, reconnaît sans faux fuyant que son équipe s'en sort bien. « Nous sommes tombés sur un super Strasbourg. Nous n'avons pratiquement pas eu d'occasions, ni rien montré de très bon dans le jeu. Nous avons surtout eu beaucoup de chance. Il en faut dans le foot. Nous n'avons qu'un mérite : celui de nous être battus jusqu'au bout et d'avoir encore une fois prouvé notre efficacité sur coups de pied arrêtés. Nous sentions d'ailleurs que nous ne pouvions nous en sortir que comme ça. Prendre un point contre une équipe qui joue la montée, c'est toujours intéressant. » Comme le martèle Pascal Johansen, au four et au moulin hier (« il a été très très bon », complimente un JPP qui n'a pas toujours eu les mêmes égards avec le Colmarien), le Racing a « maîtrisé le match même à  10 contre 11 pendant une mi-temps. Il est juste malheureux d'avoir concédé l'égalisation sur coup de pied arrêté. » Le but d'Allegro sur corner est effectivement le seul bémol dans une partition strasbourgeoise enlevée et épurée des récentes fausses notes dans le jeu. « Nos trois points contre Tours n'étaient pas tout à  fait mérités. À l'inverse, le nul ne l'est pas aujourd'hui (hier) pour Châteauroux », constate un Pascal Camadini agacé par son expulsion. « À 11 contre 11, nous aurions gagné, n'en suis sûr. Mais quelque part, il était écrit que nous ne devions prendre que 4 points sur ces 2 matches. » La boucle est bouclée et on en revient au raisonnement de JPP qui tiendra d'autant mieux la route si le RCS se met en tête d'allier la manière au résultat.

L'arroseur arrosé

On a si souvent écrit que le Racing avait arraché des points qu'il ne méritait guère qu'on peut bien, sans se forcer, faire cet aveu ce matin : les Strasbourgeois en ont perdu deux hier. Comme lors de leurs deux premières confrontations avec Châteauroux (victoires 4-2 en Coupe de la Ligue dans ce même stade Gaston-Petit et 2-0 à  l'aller à  la Meinau), les hommes de Jean-Pierre Papin ont maîtrisé leur sujet. Ils ont surtout contrôlé une Berrichonne dont on peut légitimement se demander, au moins sur ses trois oppositions avec le RCS, comment elle peut camper en si bonne compagnie. Car les joueurs de Cédric Daury n'ont jamais justifié leur 6e rang. Ils ont pourtant bénéficié d'un bon coup de pouce lorsque dans un match d'une grande correction, l'arbitre M. Gasquet a expulsé juste avant la pause Pascal Camadini, pour un tacle viril certes, mais correct sur Sako (44e). Jusque-là , les Bas-Rhinois n'avaient pratiquement jamais été inquiétés. En infériorité numérique, ils ne le furent pas non plus. La preuve : la première tentative cadrée des Castelroussins fut la bonne. Comme le RCS si souvent cette saison, la Berrichonne dut s'en remettre à  un coup de pied arrêté pour refaire surface. En l'occurrence un corner de Bayod repris de la tête par Allegro à  un quart d'heure de la fin. Un rétablissement presque miraculeux pour une Berrichonne inconsistante et passablement passive, même à  11 contre 10, étouffée, aussi, par un Racing sûr de sa force. Le RCS avait en effet pris le match par le bon bout et très logiquement ouvert le score sur un superbe lob de Hervé Tum, qu'une inspiration de Camadini avait mis sur orbite (19e). Le Camerounais, qui venait d'inscrire là  son 6e but en L 2 (son premier hors de la Meinau), aurait pu être l'homme du match.

Tum aurait pu tuer le match

Combatif à  souhait, à  l'image de toute l'équipe, l'ex-Messin eut, malheureusement pour lui, la malchance de toucher deux fois le poteau. La première sur un coup franc raté de Devaux qu'il dévia avec flair sur le montant gauche (42e). La seconde sur une ouverture millimétrée d'un énorme Johansen (83e), sur l'arrête droite cette fois. Sans parler de cet autre « immanquable », toujours sur une passe décisive du Colmarien, à  la 79e. Mais sa frappe croisée du droit lécha l'extérieur du poteau droit d'un Fernandez soulagé. « Le foot, c'est ça », philosophe Pascal Johansen, « Nous avions parfois pris des points sans les mériter. Cette fois, c'est l'inverse. Il y avait une âme dans l'équipe, du jeu, du jus. Malgré la frustration, c'est un bon point pour la confiance. Ça fait vraiment du bien de faire un gros match. »

Camadini, rouge amer

44e minute : Pascal Camadini reçoit un carton rouge direct pour sa première faute. Motif de l'expulsion : un tacle spectaculaire sur le milieu gauche berrichon, Bakary Sako, que l'assistant de M. Gasquet assimile à  un attentat. « Il a tout de suite crié "Dehors, dehors" à  l'arbitre », raconte le Corse, dont Jean-Pierre Papin se fait l'avocat : « Nous avons revu les images. Le tacle est viril, mais Pascal ne touche absolument pas la cheville de Sako. » Le milieu strasbourgeois confirme qu'il a joué et enlevé le ballon. « Sako fait un contrôle un peu long. Je vois que je peux intervenir. Je tends la jambe, c'est vrai, je dégage le ballon et c'est lui qui me frappe dans le pied. J'ai senti le choc, car choc il y a eu. Mais je ne connais pas de matches de foot sans choc. Il a crié pour obtenir la faute. C'est de bonne guerre. Quand l'arbitre m'a montré le rouge, je suis sorti sans rien dire. Ça ne sert à  rien de discuter. Je suis juste allé voir le joueur pour vérifier qu'il n'était pas blessé. Car même si je n'avais aucune mauvaise intention, on ne se sent jamais bien quand on blesse un adversaire. J'ai vite vu qu'il se relevait et courait comme un lapin.»

Stéphane Godin

[Its_me]

il jouait à  droite Ekobo ... pas à  gauche
Je suis sûr que c'est encore une femme qui a écrit ça

[Pinon]

Oui, c'est la même qui a écrit l'article principal sur le Racing

[télésupporteur]

on ne peut pas encore parler de fond de jeu, c.à .d. d'une animation offensive pour le racing
par contre leur prerssing, donc défensif, a été excellent

Je n'ait pas vu le match, mais un peu près tout le monde a l'être enthousiaste par rapport au jeu proposé, alors si se n'est pas dut à  de l'animation offensive c'était du à  quoi ? Peut tu préçisé ta pensée
Sinon si il y a un mieux, c'était du à  quoi ou à  quels joueurs ?
J'attends vos avis

le racing a pressé haut en profitant de la supériotité technique individuelle de chaque joueur du racing ( il n'y a qu'à  regarder le banc du racing, aucune autre équipe ne fournit un banc équivalent )
pour ce qui est des actions offensives, elles découlent plus d'une action individuelle ( camadini, johansen tum ) que d'un mouvement collectif, donc je n'ai pas encore trouvé dce qu'on appelle un fond de jeu
s'il existe, on le verra face au havre caen et grenoble